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Karim devient Leila

Karim devient Leila



Chaque après-midi à partir de trois heures et demie, je devais rester seul à la maison, ma mère faisant des ménages à la ville.
Alors pour moi c’était le paradis.
Je me rendais dans le petit hangar au fond du jardin.
J’avais planqué là, sous de vieilles planches, un petit sac contenant mon bonheur : des habits de fillette que m’avait donnés Leila, une camarade de classe.

Ce jour là, je lui avais confié mon amertume de me voir dans un corps d’homme et de devoir mener une vie de garçon.
Avait commencé alors un nouveau jeu : elle me prêtait ses vêtements, arrangeait ma coiffure et me peignait les ongles comme elle faisait pour elle-même.
Elle complétait par un peu de maquillage sur mon visage puis elle m’aspergeait d’un délicat parfum pour jeunes demoiselles.
Je passais tous les après-midi chez Leila, avec ses vêtements et habillé comme une fillette très belle.
Mon visage en était complètement transformé et cela, ajouté à mon nouvel état d’esprit, me donnait un air aguichant que je détestais abandonner le soir.
Leila a fini par me donner quelques uns de ses habits et ainsi, je pouvais les porter dans la journée autant qu’il me plaisait.
Ma mère ne s’est jamais doutée de rien. Elle rentrait la nuit tombée, harassée, et tout juste me demandait-elle si j’avais fait mes devoirs.
C’était sa seule préoccupation, me voir continuer l’école et avoir une meilleure condition que la sienne ou celle de mon père, car eux ne savaient jamais de quoi demain serait fait.

Dans ces longues soirées solitaires dans ma maison, je marchais comme une fille, parlant et chantant avec la voix que je désirais vraiment.
Je m’asseyais les jambes croisées devant un miroir et je scrutais des milliers de fois mon visage, essayant de l’améliorer d’une dernière touche de maquillage.
Je me levais la courte robe pour admirer mes jambes et mon cul blanc débordant de la petite culotte rose qui me moulait étroitement.
Comme j’étais heureux alors ! Il semblait que la vie commençait à avoir un sens pour moi. J’avais trouvé ma voie.

Un jour, je me suis décidé à sortir le soir venu, ainsi habillé, pour aller rendre visite à Leila.
Elle m’a fait entrer en prenant bien soin que personne ne me voie dans cette tenue. Nous avons grimpé rapidement dans sa chambre et nous nous sommes jetés sur le lit en riant aux éclats de ma folie.
Mais elle avait eu raison de se méfier : son père m’a vu et il a compris.
A partir de ce moment, j’allais commencer une vie qui, jusqu’à aujourd’hui, m’enferme dans un écheveau de contradictions.
Le père de Leila est venu chez moi un soir frapper à la porte alors que j’étais habillé en fillette. J’ai essayé de lui faire croire qu’il n’y avait personne à la maison, mais il a insisté en disant qu’il savait que j’étais là.
J’ai ouvert la porte avec la crainte profonde de le découvrir en colère, et je me suis retrouvé dans une surprenante situation.
Le père de Leila m’apportait un beau bouquet de fleurs qu’il m’a tendu avec un sourire charmeur. J’ai pris les fleurs et je l’ai fait entrer. Il s’est assis sur un canapé près de l’entrée et m’a regardé en souriant. Il m’a fait signe de m’asseoir près de lui et j’ai obéi.
Aussitôt, il s’est mis à me caresser le visage en me disant combien j’étais belle, plus qu’une vraie fille et que les habits de Leila m’allaient mieux qu’à elle.

Le temps est maintenant venu de me rappeler toute cette situation avec le sourire, mais je vous avoue qu’à ce moment là, j’ai été à la fois un peu effrayé et excité par ce qui se passait.
J’ai bien aimé ses caresses sur mes joues, ses douces paroles, toute son attitude. De plus, il était le premier à m’offrir des fleurs.
Il m’a demandé comment je voulais m’appeler et je lui ai dit :
– S’il vous plaît, appelez-moi Leila !
C’était le nom de mes rêves.
Puis il a pris mon visage à deux mains et m’a embrassée profondément, d’une manière chevaleresque et sensuelle. Il savait s’y prendre !
Ses mains sont passées sous ma jupe et il a commencé à m’enlever la petite culotte que sa fille m’avait donnée.
Je l’ai aidé en soulevant mes fesses.
Il a sorti sa langue de ma bouche et m’a présenté son index à sucer. Ce que j’ai fait, à moitié craintif et à moitié excité.
Après tout, Leila était en compagnie d’un homme. Pourquoi ne pas en profiter ?
Ensuite, il a porté son doigt lubrifié par ma salive à mon anus totalement vierge. Il a introduit son doigt peu à peu en faisant des mouvements circulaires.
J’ai poussé de petits cris qui l’excitaient terriblement.
Ma petite douleur s’est transformée en un plaisir nouveau.

Quelques instants après, il avait son médius tout entier dans mon cul de fillette. Je savais ce qui m’attendait et j’ai commencé à avoir un peu peur.
Le père de Leila a sorti son zob énorme et me l’a présenté devant mon visage.
Tout excité, il passait son gland sur mes joues, mes lèvres jusqu’à ce qu’il m’ordonne de le prendre dans ma bouche.
Instant à jamais inoubliable : pour la première fois, j’avais une queue dans ma bouche !
Je me sentais possédée complètement et à sa merci. Mais il était aussi un peu à la mienne, puisque je pouvais lui donner du plaisir avec ma langue et le dominer à ma façon.
Puis, lorsque sa queue a été bien raide, il m’a fait lui tourner le dos et a levé ma jupe. Il a introduit son pénis dans mon cul.
Tout mon corps a été envahi par une profonde douleur et j’ai su que tout son zob était en moi.
J’ai pleuré à chaudes larmes, l’implorant follement, coup sur coup, qu’il me l’enlève pour que la douleur me passe, puis qu’il me la remette bien à fond parce que j’aimais trop, enfin qu’il était un fils de pute pour me faire ça.
M’attrapant par les cheveux, il l’a ressorti et me l’a présenté à nouveau devant le visage.
Il a retiré de son membre un préservatif que je ne lui avais pas vu mettre.
Tout à coup, il a mis sa bite dans ma bouche et l’a remplie de sperme, ne me laissant pas la possibilité d’en perdre la moindre goutte.
– Avale tout, petite pute, pouliche de merde ! M’a-t-il crié.
C’était ma première lampée de sperme, et certainement la plus excitante.
Le père de Leila s’est laissé tomber sur le côté du canapé, épuisé mais heureux et satisfait de son éjaculation.

A peine quelques secondes plus tard, il a encore une fois mis sa main sous ma robe et a commencé à caresser mes testicules et mon petit membre.
J’en pleurais d’émotion bien qu’ayant encore mal.
Tout à coup, il s’est mis à genoux devant moi et a tout pris dans sa bouche tandis que ses doigts à nouveau cherchaient mon cul.
Je l’ai pris par les cheveux et plaqué contre mon ventre.
Il a eu une nouvelle érection. Il se masturbait sans enlever de la bouche ni mes couilles ni ma bite de petite travestie de 17 ans.
Pendant un bon moment, il m’a sucé tout en enfonçant ses doigts dans mon œillet.
J’ai du lui crier :
– Arrêtez, vous me faites trop mal au cul !
Alors il s’est levé et à nouveau a mis son pénis dans ma bouche. Il y a explosé quelques secondes après et j’ai été inondée du sperme presque brûlant.
Ensuite, me saisissant à la taille, il m’a transportée à la salle de bains et a lavé ma bouche et mon postérieur endolori.
Il m’a demandé pardon pour la douleur provoquée et m’a souri tendrement.
Je me suis remaquillée grâce à ce que sa fille m’avait donné et je suis redevenue la souriante et provocante Leila.
Une longue conversation a clôturé cette première rencontre. Je lui ai dit mes sentiments et mes besoins et il m’a avoué ses fantasmes pour les jeunes travestis.
Notre baiser d’adieu a été un des plus profonds et des plus longs que j’ai reçus dans ma vie.
Notre relation a duré près de trois ans.
Bien décidé à ne pas poursuivre mes études, j’ai fini par tout avouer à ma mère. Elle l’a mal pris mais ma volonté était plus forte que la sienne.

Dix ans après, elle m’en veut encore d’avoir choisi dès mon adolescence de me transformer en un travesti mais je suis heureux de ma nouvelle vie.
Le père de Leila a cessé d’être mon amant le jour où il a eu la preuve de mon infidélité. Il a failli me tuer en me rouant de coups. Après m’avoir cherchée désespérément, il m’avait trouvée en compagnie de trois jeunes du quartier. J’avais le visage couvert de sperme, et ils m’enculaient sans retenue !
Aujourd’hui, je le comprends même si je ne peux lui pardonner le mal qu’il m’a fait.
Leila ma camarade de classe s’est fâchée avec moi, épouvantée du rôle qu’elle a joué malgré elle dans cette histoire.

Il n’y a plus de Karim, mon vrai prénom. Désormais, je suis Leila. Je porte son nom en guise d’hommage, en souvenir d’elle et de sa saine beauté.
Je ne peux pas me plaindre de mon sort. J’ai acquis une beauté que jamais je n’aurais pensé obtenir avec mon corps d’homme.
Je suis parée de toutes les qualités qui font que je suis la féminité incarnée.
Et ceux qui me connaissent pourront se rendre compte que je suis toujours capable d’avaler le sperme de mon partenaire, comme je l’ai fait ce soir-là, sur le canapé, dans la maison de mon adolescence.

FIN.

A propos de l'auteur

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