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Avant (3)

Avant (3)



Je fus bien obligé, une fois reculotté, de suivre ma grand-tante à l’intérieur de la maison. Depuis le jardin il fallait monter quelques marches, traverser un perron recouvert d’une véranda puis on arrivait dans la cuisine. Elle en referma la porte assez brusquement, sans rien dire alla se servir un café. Je ne savais pas trop quoi faire, encore tout ému de l’aventure. Je ne sais pas ce qui me retiens de le dire à ta mère, elle m’a lancé. Tout d’un coup j’ai craint qu’effectivement une telle révélation n’entraîne une punition, et que maman cesse ses douces caresses nocturnes. Aussitôt j’ai senti mon sexe se recroqueviller.

On a frappé à la porte, ma grand-tante est allée l’ouvrir tout aussi brusquement qu’elle l’avait refermée. C’était la voisine, je voyais ses mains terreuses et ses yeux brillants comme si elle avait bu. C’est alors que j’ai vu, à peine à trois mètres de moi, cette chose incroyable, proprement inimaginable à l’instant d’avant, celle-ci a pris ma grand-tante par le cou et l’a embrassé en bouche longuement, ne s’interrompant que pour la regarder dans les yeux, lui dire ma salope, ma salope, fais-moi jouir avec le petit, fais-moi jouir. Ma grand-tante a seulement dit : oui Germaine. Ensuite elle a passé ses mains sous l’eau, elle a ôté son tablier et l’a posé sur une chaise. Puis elle a levé les bras pour défaire son chignon, dévoilant des aisselles rousses poilues, moites, tellement odorantes que je rebandai instantanément. Compte tenu des circonstances je n’osai trop rien faire, ne rien dire qui pourrait jouer en ma défaveur mais ma grand-tante, se tournant vers moi et comme adoucie me dit : Assis-toi. Ses yeux, je le remarquai, étaient eux aussi devenus brillants, ils me fixaient sans me voir, presque, tandis que ses lèvres, habituellement pincées, rentraient en elles-mêmes, on n’en voyait plus qu’une fente sévère.

Ce qui suivait restera gravé dans ma mémoire avec une précision de pianiste. Ma grand-tante se tourna vers Germaine, et lentement passa ses mains sous son débardeur jusqu’à ce que j’en voie les phalanges mouler la poitrine à travers le coton beige. Elle était en train de tordre ses tétons ! Du même geste elle se pencha légèrement, toutes les deux elles se tournèrent un peu afin que, à l’évidence, cela soit vu de moi, et elle vint respirer les aisselles de Germaine profondément. Ma petite salope, elle lui a dit, ma petite salope, que c’est bon. Et elle se mit à lui lécher ces touffes en grognant. Sur ma chaise, j’étais paralysé et mon sexe durci commençait à me faire mal, je crois m’être mis à transpirer, je me souviens de mes mains moites. Au bout d’un instant Germaine, qui pendant ce temps n’avait cessé de me regarder durement releva la tête de ma grand-tante par les cheveux et lui donna un long baiser, comme pour la remercier de lui avoir nettoyé les dessous de bras. J’ai bien travaillé, elle a dit en me regardant à son tour, mais maintenant on va s’occuper du petit.

Ma grand-tante me demanda d’aller dans les toilettes, une pièce relativement grande qui faisait aussi office de salle d’eau. J’étais heureux de pouvoir me mettre debout, trouver une autre position pour décoincer mon gland pris dans l’élastique du slip. Elle m’a pris par le bras en me forçant un peu pour que je ne leur fausse pas compagnie (quelle idée, j’étais abasourdi de désir). Nous sommes rentrés tous les trois dans la pièce, ma grand-tante l’a refermée à clé (qui d’autre aurait pu rentrer, pensai-je). Déshabille-toi, elle m’a dit. Ce qui je fis dans l’instant, basculant mes vêtements dans la baignoire. Je ne cherchais pas à disimuler mon sexe incroyablement bandé, le gland remonté sous mon nombril, le prépuce contre le duvet de mon ventre. Assis-toi contre le mur, les mains dans le dos. Et regarde.

Alors Germaine a retiré sa jupe, son jupon, sa culotte et elle est venue s’allonger devant moi sur le carrelage, la tête à mon niveau, touchant presque mes pieds. Blanche, elle était blanche, une énorme masse de viande blanche, son débardeur ne cachait presque plus rien. Elle a relevé les cuisses et une touffe admirable est apparue, je ne la voyais que de profil mais son ampleur, la façon dont elle empiétait sur le ventre et sur les cuisses, me parurent infernales. Une odeur incroyablement puissante me saisit les narines, une odeur mélangée de poivre, d’urine et de sueur. J’étais tétanisé. Regarde ce que je vais faire à Germaine, m’a dit ma grand-tante. Ne bouge pas, ne te touche pas, ne nous touche pas, regarde. Alors elle a relevé sa manche droite, elle s’est accroupie et ses doigts ont caressé les cuisses de Germaine longuement. Je ne voyais pas bien ce qu’elle faisait mais Germaine a commencé à transpirer du front, elle m’a regardé et doucement elle m’a dit : tu vas le faire après, et puis on te sucera ; ne t’inquiète pas mon petit. Et puis elle s’est mise à gémir, elle a commencé à lécher le bout de mes orteils.

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