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Des aveux torrides

Des aveux torrides



Mes amis m’appellent Trixie car c’est le diminutif de mon prénom, je suis une jeune femme d’environ vingt-sept ans. Blonde, mince, je mesure un mètre soixante-huit. Mes seins ne sont ni trop gros, ni trop petits. J’aime porter des dessous sexy en dentelles. Soutien gorge noir demi-lune, laissant mes seins libres de toute entrave, bas et porte-jarretelle noirs, string. J’ adore le contraste du noir sur la peau blanche. J’aime le sexe, mais mon mari ne me donnant pas trop satisfaction sur ce plan. J’ai donc décidé de faire pas mal d’expériences. Mes histoires sont-elles de la fiction ?
Mais…si vous les lisez, peut-être vous poserez-vous la question de savoir si elles ne tirent pas leurs racines d’un certain vécu.
Je vais vous en faire partager une … Si elle vous plaît… Veuillez me le faire savoir dans les commentaires… Donnez-moi votre avis… et suivant vos réponses, je vous ferais partager les épisodes des histoires sensuelles d’une jolie blonde…Trixie…

C’était au début du mois de septembre, ce vendredi-là une forte canicule sévissait, j’avais donc revêtu une robe légère. De grosses fleurs vert et jaune parsemaient le fin tissu, une mince bande d’étoffe passant autour de mon cou, laissait mes épaules nues, et retenait les pans du décolleté qui plongeait entre mes seins, l’échancrure dorsale descendait jusqu’à la naissance de mes fesses. La robe s’évasait ensuite en corolle pour s’arrêter à mi-cuisse. Avec un tel vêtement, il était hors de question de porter un soutien-gorge, mes seins étaient donc libres de toutes entraves. C’était une robe d’été faite pour les vacances… Et comme je pratiquais depuis le mois de juin le bronzage intégral, au bord de ma piscine aucune marque blanche disgracieuse ne venait couper le hâle parfait de ma peau. La chaleur était accablante, j’avais décidé de la porter aujourd’hui… Je me moquais du qu’en dira-t-on…!

Maxime, mon petit copain de l’informatique avec qui je baisais depuis pas mal de temps, savais que l’un de mes fantasmes était de me faire sauter par un noir bien membré… Il m’avait mise sur la piste de Gérald en me disant qu’il avait remarqué que je ne laissais pas le grand black indifférent. Ce qui c’était révélé exact. Et Maxime était persuadé que j’avais fait l’amour avec celui-ci, il me questionnait sans cesse pour que je lui donne des détails lorsque j’avais couché avec Gérald.

Depuis il boudait un peu. Il était persuadé que cela était allé beaucoup plus loin que ce que je voulais bien lui raconter, et qu’il aimerait bien que je lui fasse partager la suite…

Donc Maxime, n’arrêtait pas me taquiner pour que je lui avoue ce qui s’était réellement passé avec Gérald, le jour où il m’avait laissée dans mon bureau, la jupe relevée en l’attendant, pour voir si celui-ci s’intéressait à moi… Il me disait qu’il se doutait que l’après-midi, à l’inventaire étant seule avec le grand noir, cela avait du être « chaud » ! Pour mettre fin à cette bouderie, j’avais décidé de tout lui raconter. Du moins mon aventure avec Gérald, pas encore les autres, j’avais un peu peur qu’il me prenne ensuite pour une « Marie-couche-toi-là »…

Cela faisait maintenant trois mois que l’inventaire n’avait pas été fait… Trois mois que Gérald ne m’avait plus touché, je savais qu’il en avait une énorme envie, souvent il me l’avouait au téléphone.

Cela tombait bien, car moi aussi son sexe me manquait et il fallait attaquer l’inventaire semestriel. J’appelais le magasinier pour lui signaler que je pouvais me libérer de 15 heures à 16 heures 30 pour commencer l’inventaire. Je donnais rendez-vous à Maxime à 14 heures 45 au local de l’appareil à boisson… J’avais une idée perverse en tête !! J’allais lui avouer ma relation avec Gérald… mais d’une certaine façon…

Juste avant de me rendre à mon premier rancard, je quittais mon string… J’étais nue sous le mince voile de ma robe. Maxime assit sur le banc, entouré de deux hommes buvait un café. Deux copines étaient là et discutaient debout. J’entrais le bas de ma robe froufroutant autour de mes jambes. Je m’approchais pour embrasser les filles, bien dans la lumière du soleil qui entrait à flot par la porte.

Je savais pertinemment ce qui se passait, d’ailleurs la conversation des mecs avait cessé. Je sentais leurs yeux fixés sur mes fesses, le soleil perçant le mince tissu, les dévoilait en transparence à leurs regards ébahis. Mes copines placées du mauvais côté ne pouvaient rien deviner, ou tout au moins, pas grand-chose. J’écartais un peu les jambes, devineraient-ils que j’étais nue dessous ? Sûrement…

Les pointes de mes seins se tendirent, ma chatte devint moite. C’est osé pensais-je, mais je n’étais pas sensée m’apercevoir que la lumière du soleil donnait une telle transparence à ma robe…

Les deux filles s’éclipsèrent pour retourner au boulot, je me retournais en souriant vers les garçons, présentant mon coté pile, leurs yeux s’écarquillèrent encore plus. La nitescence du soleil devait laisser transparaître les moindres détails de mon corps, ils devaient même apercevoir juste au-dessus de la fente de ma chatte, mon petit bout de toison triangulaire épilé au plus ras. Je pensais que ces deux mecs, lorsqu’ils me croiseraient à nouveau, même habillée chaudement en hiver, avec ce qu’ils venaient de voir, banderaient comme des ânes. Ils n’eurent toutefois pas le loisir de mater bien plus longtemps, Maxime s’était levé, m’attrapant par un bras, il m’entraîna hors du rayon de soleil vers la machine à café.

« Ve…ve…vee..ux-tu un thé ?
— Oui, merci… »

Les deux gars, un sourire en coin se levèrent et retournèrent travailler à regret, leur pause était terminée.

« Dis donc petite salope, tu le fais exprès… Tu es complètement à poil la dessous… On a tous pu le voir, ta robe est complètement transparente au soleil… C’était vachement excitant… Touche… Je bande. Alors les deux autres……! !
— Elle te plaît ma robe ? Oui, je suis à poil dessous… Regarde… »

Je dénudais lentement mon sein droit en faisant glisser le tissu vers la gauche, le regardant avec un regard un brin provocateur, lui laissant admirer mon téton érigé.

« Dis donc tes mamelons sont bien tendus, je suis sûr que tu mouilles… Ça t’excite ce petit jeu de faire bander les mecs !
— Oh oui… alors !! »

Et tandis que je me penchais pour prendre mon gobelet de thé, sa main passa sous ma robe entre mes cuisses et son index s’insinua dans ma chatte.

« Salope… J’avais raison tu mouilles…Tu es gonflée quand même… De te donner en spectacle ainsi…
— Tu es jaloux…!! Oui, moi ça m’excite… » lui dis-je avec un petit sourire.

C’était un peu ce que je cherchais… Attiser sa jalousie… Pour que, lorsqu’il me baiserait, il le fasse avec un désir accru et un petit brin de vengeance. Je n’avais pas, loin de là, à me plaindre comme avec mon mari, de nos ébats sexuels. Mais un peu de piment supplémentaire, était toujours bon à prendre et comme il me questionnait beaucoup sur mes éventuelles relations avec Gérald, j’allais profiter de la situation…

« Ah, Ah…Maxime, est donc jaloux…
— Mais non, ça me plaît beaucoup de te voir faire bander les mecs, et tant mieux si ça t’excite ! Mais là ça frôle l’indécence…
— Bon… Tant mieux ! Car je vais retrouver Gérald, au magasin en sous-sol… Pour commencer l’inventaire… Et à cette heure-ci, le soleil y pénètre à flot par les vasistas… »

Je retournais me mettre en pleine lumière…

« Tu crois qu’il va aimer ?
— Tu vas vraiment y aller comme ça ?
— Ben oui, c’est pour le boulot… Je suis obligée… Lui répondis-je avec une petite moue navrée…
— Tu sais qu’il a envie de te sauter…!! S’il ne l’a pas déjà fait…»

Il me regardait avec un air légèrement contrit. Je ne lui avouais pas encore que cela était arrivé…

Mon stratagème avait l’air de marcher…

« Eh bien mon petit chéri… Tu es jaloux du grand noir ? C’est toi qui m’a dit qu’il avait une bite énorme… C’est toi qui me fait jouer à des jeux érotiques dans le local de la lingerie devant son bureau, il est vrai que je t’ai dit que les noirs ne me laissaient pas indifférente… et c’est la vérité… Allez, quelle heure est-il ? 15 heures… C’est l’heure… Promis, dans une heure trente, je passe dans ton bureau… Je te raconterai… patience…
— Donc tu as envie de te faire baiser…!!
— Qui sait… À toute à l’heure… Regarde, ma chatte coule… »

Je soulevais le bas de ma robe pour lui montrer, bien qu’il l’ait déjà remarqué, que je ne portais aucun string, et lui envoyant un baiser du bout des lèvres, je tournais les talons…

La porte du magasin était fermée à clef, un panneau indiquant « Fermé pour cause d’inventaire » y était apposé. L’accès est interdit pensais-je, en souriant, mais pas seulement pour cause d’inventaire !! Je toquais suivant le code établit. La porte s’ouvrit.

« Entre vite me dit Gérald en jetant un coup d’œil derrière moi pour voir si le couloir était désert. »

La serrure cliqueta deux fois… nous étions seuls…!

« Ça fait longtemps, la dernière fois me dit-il, en me faisant une bise appuyée, je crois que je me suis masturbé tous les jours en pensant à toi… »

Je le regardais l’air amusé par ce qu’il venait de me dire, il était vêtu d’une blouse bleue genre trois-quarts qui ne descendait pas plus bas que le haut de ses cuisses. Il était nu dessous son énorme sexe pendait mollement, plus loin que la moitié de sa cuisse musclée. En pensant que ce mandrin noir gigantesque allait bientôt entrer en moi, une bouffée de chaleur, partie de ma chatte et se propagea jusqu’à la racine de mes cheveux.

« Il fait chaud, ici je me suis mis à l’aise… en t’attendant… Me dit-il, en souriant »

Je regardais les fenêtres accolées au plafond, qui s’ouvraient au ras du sol de la cour, de l’extérieur personne ne pouvait voir l’intérieur, par contre des puits de lumière étincelante entraient en oblique.

Je coupais la lumière, ce fut comme si des projecteurs trouaient la pénombre. Perchée sur mes talons hauts, ondulant des fesses, je me dirigeais vers le premier. Face à la fenêtre, je levais les bras et m’offris à la caresse du soleil.

« Oooooh ! Magnifique… On dirait que tu es nue… On voit bien que tu n’as pas de soutien-gorge… Mais tu as un string, non ? La ficelle est entre tes fesses ? Non… Tu ne te balades pas ainsi, nue sous ta robe ?
— Et si ! Il y avait Maxime et deux de ses copains à l’appareil à boisson… Regarde ce qu’ils ont pu voir. Et ça m’a vachement excitée…»

Je me tournais vers lui… Il me semblait qu’ici dans la pénombre de la pièce, le soleil transperçait encore plus le mince tissu de ma robe. Je réalisais l’effet que cela avait du faire au deux hommes dans le local du distributeur à café. J’écartais les jambes pour qu’il puisse se délecter du spectacle.

« Salope… C’est vrai tu es à poil…! ! Putain, que tu es belle… »

Il s’avança vers moi, mes yeux ne quittaient pas le balancement de sa queue, le désir avait fait se rétracter légèrement son prépuce, et son gland mauve tranchant sur le noir de sa bite était à moitié découvert, excitant au possible.

« Regarde derrière toi ce que j’ai récupéré dans une salle de repos d’un atelier… »

Je me retournais, un divan trônait dans un coin de la pièce.

« Baisse-toi, écartes les jambes, touche le sol avec tes mains… Tu as vraiment des jambes magnifiques…»

J’obéis… Ma courte robe remonta sur mes fesses, découvrant la raie séparant mes deux globes bronzés, offrant mon vagin à ses regards. Je sentais perler une goutte de foutre… Au bord de ma chatte… La lumière solaire dut la faire scintiller…

« Tu mouilles ? Tu as l’air d’adorer te faire mater ainsi, dans cette tenue…! ! Tu restes ainsi, tu ne bouges pas… »

Il ralluma la lumière, entre mes jambes, je le regardais arriver. Il calottait et décalottait doucement sa grosse bite noire tendue à l’horizontale. Il allait me prendre ainsi… Je mouillais encore plus…

Arrivé derrière moi, il me passa le gland le long de ma fente, en entrant un tout petit peu le bout dans mon vagin, puis il écarta mes fesses et je sentis le gland glisser jusqu’à mon trou intime… Il le promena tout autour de l’anus exerçant parfois une légère pression, mais il ne me pénétra pas. Ses mains se glissèrent de chaque côté de mes aisselles, et saisirent mes seins, qu’elles malaxèrent, tandis qu’il embrassait mon dos avec passion. Il me fit relever et me poussa gentiment vers le divan. Il m’y coucha dessus. Il se mit à genoux.

« Quitte-moi ma blouse… »

Tandis que je déboutonnais les boutons, sa main passa entre mes cuisses, ma robe remonta plus haut que ma taille. Il se mit à embrasser et à lécher ma cuisse, ses doigts effleurant ma chatte.

J’avais réussi à lui quitter la blouse, et lui caressait doucement le dos, son torse noir brillait sous la lumière des néons. Je fis passer la lanière du haut de ma robe par-dessus ma tête et lui présentais mes deux seins, sa bouche avala aussitôt entièrement mon aréole droite, et ses lèvres tirèrent avec force sur le mamelon qui dardait, puis il s’occupa du sein gauche, mordillant le bout sensible, je gémissais de plaisir. Ma robe était maintenant enroulée autour de ma taille.

Sa bouche descendit en un long baiser jusqu’à ma chatte, que la paume de sa main n’avait pas arrêté de caresser. Sa langue s’attarda sur mon petit triangle de poils ras, je passais ma jambe droite par-dessus sa tête et la posais sur son dos ce qui m’écartela. Ses grosses lèvres lippues s’emparèrent de mon clitoris bien dégagé par ma position, et se mirent à le téter. Ses doigts le tenaient décapuchonné tandis que sa langue en titillait la base pour bien le faire durcir et gonfler. Sous cette caresse mon bassin se tortillait dans tous les sens. Sa langue partait de mon anus, et remontait le long de ma fente vaginale, puis redescendait comme pour humidifier mon petit trou rectal, qui se relâchait sous la légère pression et permettait ainsi petites incursions.

Son index se mit à caresser mon petit trou rugueux, puis par petites pressions il l’enfonça doucement. Il entrait et sortait lentement bientôt rejoint par son majeur, il ajouta son annulaire et les trois doigts s’enfoncèrent comme pour bien retourner mon ampoule rectale. Ce traitement ajouté aux pénétrations de sa langue dans mon vagin, à la succion de mon clitoris maintenant gonflé, à ses mains qui ne cessaient de malaxer mes seins, à ses doigts qui me trituraient, pinçaient les mamelons, me tirait des râles de plaisir. Dans un gémissement permanent, je lui demandais de ne pas cesser ses caresses… Ma main partit à la recherche de sa bite, je me mis à masturber fermement la monstrueuse hampe noire qui avait atteint des proportions gigantesques.

« La dernière fois j’ai adoré sodomiser ton petit cul, je sais, tu as aimé… Me susurra-t-il… Je n’ai pas arrêté d’y penser pendant ces trois mois… Alors avant tout, je vais commencer par te sodomiser… Dis-moi que tu aimes… »

Ses grands doigts noirs entrèrent plus profondément en tournant dans mon anus. Je hoquetais.

« Ouu…. Ouiiiiii… J’ai… J’aime ta grosse bite noire…. Fais… Fais ce que tu veux…
— Redis le… Petite salope… Je veux t’entendre dire que tu aimes ma grosse bite noire ! »

Ses doigts fouillaient mon vagin pour bien s’imprégner de mon foutre, puis il y cracha dessus pour bien humidifier mon anus, cela m’excitait énormément. C’est vrai que la première fois, il m’avait sodomisé, c’est encore vrai que j’avais adoré… Et il allait encore le faire… Il me fit mettre à genoux, il écarta avec sa main gauche ma fesse droite, le bout de son phallus dont le diamètre devait maintenant atteindre les sept centimètres, fermement tenu par son autre main, s’enfonça légèrement dans mon anus distendu.

« Tu es prête… ? »

Sans attendre la réponse, il commença à pousser, l’énorme sexe glissa lentement entre mes parois anales, il m’attrapa à la taille, pour m’attirer vers lui… Je devançais son désir en envoyant mon bassin en arrière…

« Aaaahh… Salope, tu as entièrement fait entrer ma bite… Dans ton cul…
— Ouuuuiiiiiii, c’est… C’est bon…. »

Je commençais à jouer des hanches d’avant en arrière, je sentais ses couilles battre mon périnée, puis je lui laissais le contrôle des opérations… Il entrait et sortait dans un premier temps doucement, puis il entrait la moitié de sa bite et d’un coup de rein brusque enfonçait le reste donnant de petits à coups lorsque son pubis touchait mes fesses, puis il ne bougeait plus pour bien me laisse sentir la grosseur de son pénis phénoménal ! Ma tête était enfouie dans le canapé, mes ongles griffaient le tissu, je hoquetais et râlais de plaisir….

« Je…. Je…. Vais… Jouuuuuuiiiiiir, cria-t-il au bout de dix minutes de ce délicieux supplice »

Il me saisit les seins, les serra et je sentis les soubresauts de sa queue déversant son sperme dans mon cul. Je ne pus me retenir plus longtemps, mon plaisir était au paroxysme, je ne le retins plus et j’explosais à mon tour dans une gerbe de jouissance. Je ne crois pas que pendant ces trois mois, il ait fait abstinence sexuelle, mais la quantité de sperme qu’il éjacula fut extraordinaire. Il se retira, je me couchais sur le dos, il m’embrassa longuement sa langue se nouant avec la mienne… Puis, il parcourut mon corps avec de petits baisers.

Au diable le boulot… Personne ne viendra nous déranger… La porte était d’ailleurs fermée à double tour. Il s’assit à côté de moi, je me tournais sur le ventre et commençais à jouer avec sa bite qui maintenant était flasque et pendait sur sa cuisse. La conversation roula sur pas mal de sujets, je lui avouais que depuis mes 18 ans, je fantasmais sur les noirs, mais pas seulement parce qu’ils avaient en général un gros sexe… Mais aussi parce qu’il y avait dans notre société, tout au moins jusqu’à maintenant, un tabou sur le fait qu’une blanche puisse faire l’amour avec un noir, et que cela m’excitait de transgresser cet « interdit » ; surtout si en plus les bites étaient aussi grosses que la sienne. Il m’avoua lui aussi, en riant, que son rêve avait été de baiser une blanche, blonde si possible, ce qui chez un noir ne pouvait être plus basique, mais qu’il n’aurait jamais pensé pouvoir me baiser et que la réalité dépassait ses espérances… Il s’était souvent masturbé, après avoir maté mes jeux érotiques avec Maxime dans le local jouxtant son bureau…

Cela me remit en mémoire, le plan que j’avais ourdi. Il fallait que Gérald me baise à nouveau et qu’il éjacule dans ma chatte, l’heure tournait et il fallait que je retrouve Maxime aux alentours de 16 heures 30 pour finaliser mon projet… En plus, c’était vendredi et la majorité du personnel aurait quitté la boîte pour partir en week-end… On devrait, là aussi, être tranquille…

Gérald était monté comme un étalon, et il récupérait aussi à une vitesse phénoménale ou alors il devait être fou de mon corps. Car un bon quart d’heure après, sa bite que je n’avais cessé de caresser pendant notre conversation, commençais à reprendre du volume. Il se leva et commença à frotter son membre noir autour de ma bouche.

Je regardais cet énorme mandrin avec un petit air gourmand, je tirais la langue, il y posa son gland, le bout de celle-ci parcouru lentement son frein jusqu’à son méat urinal. Je mordillais par à-coups son gland le faisant entrer dans ma bouche. Il eut l’air d’apprécier mes mordillements, je renouvelais l’opération plusieurs fois… lui tirant des gémissements de plaisir.

Ma langue parcourue depuis les testicules l’énorme phallus pour l’imprégner de salive, je voulais en avaler le plus possible, mais vu la grosseur et la longueur, c’était une tâche quasi désespérée que d’essayer d’en enfourner plus de la moitié dans ma cavité buccale. Mais je le suçais avec application frottant sa bite sur mes seins, essayant de faire entrer mes tétons dans son large méat.

Sa queue avait repris des proportions colossales, et une dureté à toute épreuve. Il me fit coucher sur le dos, jambes largement ouvertes, et comme en physique ou les deux pôles opposés s’attirent le bout de son gros gland mauve, vint se plaquer sur mon orifice vaginal. Mon fluide magnétique devait être super puissant, car sans attendre le gros tuyau noir glissa lentement dans ma fente béante et humide. Il n’en fit pénétrer que la moitié…

« Tu aimes ma grosse queue ? »

Il appuyait sur mes fosses poplités à l’arrière de mes genoux, pour bien écarter mes cuisses et donnait de petits coups de reins, faisant attention de ne pas s’enfoncer plus avant. Il me regardait dans les yeux, avec le regard gourmand d’un chat qui joue avec sa proie.

« Alors petite Salope, tu réponds ? Tu veux que je te la mette toute ?
— Ouuuiiiiiii….oooouuuuuuiiiiii….continue….continue…. »

Je me masturbais le clitoris… il enfonça d’un seul coup la totalité de son phallus, puis il commença d’aller et venir d’abord très lentement puis de plus en plus vite, je mouillais comme une folle. Parfois, lorsque sa queue était entrée entièrement, il s’arrêtait essayant ensuite de pousser comme pour l’enfoncer davantage, cela me faisait rugir de plaisir, je sentais ses testicules frotter mes fesses.

Il m’embrassait alors furieusement. Ma chatte était écartelée, défoncée par le diamètre de ce sexe noir, mais je raffolais de sentir la couronne de son gland frotter le long mes parois vaginales, je contractais mes muscles pour bien serrer le membre monstrueux.

Le plaisir montait rapidement, mais chaque fois que Gérald sentait que j’allais exploser, ralentissait ou stoppait ses pénétrations, pour me lécher les seins ou m’embrasser fougueusement.

« Attends… Attends-moi pour jouir… Je veux profiter au maximum de ta chatte… Ce n’est pas tous les jours que je peux profiter d’une petite blonde à qui je peux enfoncer la totalité de ma bite… »

Ma réponse fut des râles de satisfaction et des gémissements d’extase…

« Je…je ne tiens plus…je…je vais …jouir…. je pars…. »

Lui criais-je au bout de vingt minutes de ce traitement ininterrompu, et un terrible orgasme me submergea.

« Ouuuuuiiiiiiiiii, moi aussiiiiiiiiii……. »

L’énorme bite noire enfoncée au tréfonds de mes entrailles cracha sa semence en longs jets tièdes.

Cette fois aussi, il y eut hyperspermie, vu le temps que dura son éjaculation, il dut déverser plus de six millilitres de sperme.

Je n’aurai pu rêver mieux…Je pouvais passer à la seconde parti de mon plan… j’avais énormément joui, mais ma libido n’était pas entièrement satisfaite…

J’enfilais ma robe, après un dernier baiser à Gérald, je me dépêchais d’aller rejoindre Maxime…

En montant les escaliers menant à la cour, je sentais le sperme du grand noir commencer à couler sur mes cuisses…

Ma route coupait un petit jardin d’agrément ou poussaient des noisetiers. Je choisis une branche de coudrier fine et flexible d’environ un mètre de long et la coupais, puis je me hâtais vers ma

destination finale. Je frappais à la porte du bureau de Maxime et entrais, il était seul, à cette heure-ci, les trois-quarts du personnel étaient partis. En pensant à ce que je voulais, ma vulve se contractait toute seule, mon foutre s’ajoutait au sperme de Gérald qui s’écoulait de mes deux orifices. Je donnais un tour de clef, tout en le regardant avec un sourire malicieux. Il y eut une avalanche de questions.

« Tu as fini l’inventaire avec Gérald ? Il t’a baisée ? Que fais-tu avec cette badine ? Pourquoi tu te marres ?
— Ce que je fais avec la baguette ! Je crois que tu vas en avoir besoin !! Tiens prends là… »

Je m’approchais et m’accoudais à son bureau à côté de lui, dos bien à plat, fesses tendues, jambes écartées…

« S’ il m’a baisée ? Tu devrais vérifier… Touche…»

Sa main se posa derrière mon genou et remonta lentement à l’intérieur de ma jambe… ses doigts rencontrèrent bientôt le sperme poisseux qui coulait sur le haut de ma cuisse.

« Salope…tu mouilles…ou alors…c’est.. c’est du sperme… »

Son majeur et son index entrèrent dans ma chatte… il les enfonça profondément faisant plusieurs allers et retours…

« C’est bien du sperme… petite garce il t’a baisée…
— Oui, mais pas que… »

Son pouce se positionna sur mon ampoule rectale qui céda sous la légère pression…et pénétra dans le conduit également bien lubrifié…

« Il…il t’a sodomisée aussi… ton cul est béant… et trempé !!
— Eh bien oui… Tu voulais savoir… »

Je me retournais, ôtais ma robe qui tomba à mes pieds, je lui pris la main et suçais ses doigts plein de mon foutre et du sperme de mon amant précédent.

« Putain… que son sperme est bon… Tu veux goûter… ? Il y en a beaucoup… et aux deux endroits… ! Mais tu as l’air jaloux là, que la grand noir m’ait sauté… Et tu sais ce n’ai pas la première fois… et j ai vachement aimé… Tu ne crois pas que je mérite d’être punie ? La badine, c’est pour ça… »

Assise sur le bureau, le talon posé sur le dessus, jambe gauche ouverte ce qui entrebâillait largement ma chatte, du sperme coulait sur le dessus du meuble. Il s’approcha, tandis qu’il m’embrassait sauvagement, trois doigts de sa main droite fouillaient avec vigueur mon conduit vaginal. Il avait l’air vraiment excité… par mes aveux, moi aussi d’ailleurs, mon plan avait l’air de fonctionner. Je lui ôtais sa ceinture, et défis sa braguette, tandis que je déboutonnais sa chemise, il se débarrassa de son pantalon. Nous étions nus tous les deux… il bandait fermement.

« Attache moi au porte-manteau et punis moi… pour avoir baisé avec le grand noir… et adoré qu’il éjacule dans ma chatte…»

Il entoura mes poignets avec la lanière de cuir et les attacha au-dessus de ma tête aux patères fixées au mur, ce qui fit cambrer ma poitrine. Je n’avais encore jamais fait l’expérience de la flagellation, mais inconsciemment, je savais que j’aimerai. Se saisissant de la cravache improvisée, il commença à me caresser les seins, faisant le tour des aréoles, titillant les tétons qui réagirent aussitôt.

« Tu as aimé baiser avec Gérald ?
— Oui, je te l’ai dit ! J’ai adooooré son énorme sexe noir… dur comme du fer…»

Je le regardais avec un petit air défi. Il donna un coup sec à chacun de mes seins, je gémis sous le léger impact. Je remuais le torse de façon à faire danser ma poitrine dont les globes aux pointes tendues et gonflée, raffermis par les coups légers, frémissaient attendaient le prochain choc.

« Tu as vraiment aimé sa grosse bite noire ?
— Ouuiiii…! Elle n’est pas que grosse… elle est extrêmement longue… et il me l’a toute enfilée… au moins trente centimètres… Il m’a fait hurler de plaisir… Elle est beaucoup plus grosse que la tienne..
— Tiens…salope…tiens… »

Maxime excité par mes propos se mit à manier la baguette avec dextérité. Le mince stick glissait sur ma peau sans trop me faire mal, il se mit à taper les mamelons d’un côté puis de l’autre qui se gorgèrent de sang. Ma poitrine se tendait vers les coups… Cela commençait à m’exciter sérieusement… Je gémissais de plaisir à chaque coup. Arrogante, je me cambrais en avant, le provocant. Je sentis le bout du bâton descendre sur mon ventre comme une caresse, ma chatte était en feu… mon foutre coulait sur mes cuisses…

« C’est bon, tu aimes ça… comme tu as aimé sucer sa grosse queue noire…
— Oui, j’ai adoré son sperme… il est dé…délicieux… »

Pan, un nouveau coup. Le bout de la cravache improvisée descendit jusqu’à mon sexe, écartant mes lèvres, il l’insinua dans ma fente, pénétrant légèrement mon conduit vaginal, il remonta jusqu’à mon clitoris érigé et dur comme un petit bouton de porcelaine.

« Putain ce qu’elle mouille, la demoiselle, dit-il en suçant l’extrémité luisante de foutre. Il te faisait autant mouiller salope ?

— Oui ma chatte était plus que trempée… »

Il se mit à titiller mon clitoris.

« Tu as aimé qu’il te caresse le clitoris ?
— Ouuuuiiii, regarde ce que ça me faisait faire quand il me pénétrait, et je me mis à miner une pénétration. Sa grosse queue noire, m’a fait jouiirrr…. j’ai adoré…. me faire défoncer… »

A chaque tortillement de bassin, je recevais un léger coup. Il me fit tourner. Se mit à me caresser doucement le dos, avec la badine, puis lorsqu’il voyait que j’avais des frissons m’assenait un coup. Je prenais plaisir à ce traitement, il attaqua mes fesses, il les tapait doucement, mais je les sentais s’échauffer…

« Tape plus fort, lui demandais, je…je…je le mérite, sa grosse bite noire m’a fait jouir deux fois comme une folle… Surtout quand il me sodomisait…»

Cela me tirait des frissons depuis le bas-ventre, ils remontaient le long de ma colonne vertébrale. Je frottais ma chatte et mes seins sur le mur. Une flaque de foutre poissait mes poils et coulait sur le sol. Au bout d’un moment, la flagellation devenait un plaisir, elle stimulait toutes mes zones érogènes, mes seins étaient durs et gros, mes mamelons érigés en deux pics bruns, mes cuisses se frottaient l’une contre l’autre..

« Tu te feras encore baiser par lui ?
— Oh oui…oh oui…sa queue noire est énorrrrrrmmmmme….!
— Alors attends ! Je t’ai réservé quelque chose…pour le moment de tes aveux…tu vas voir… »

Il farfouilla dans un des tiroirs de son bureau, me remit face à lui…

« Regarde a quoi tu vas avoir droit… »

Il exhiba un godemiché noir d’environ, 25 cm et de 5 ou 6 cm de diamètre… Il approcha le fauteuil et sans me délier, me fit poser le pied dessus. Le phallus artificiel commença à glisser à l’intérieur de mon vagin, je hoquetais de plaisir, mon sexe du s’inonder encore plus, mes muscles vaginaux enserrèrent la verge de plastique noir. Mes parois vaginales palpitaient, tout mon intérieur palpitait. Un brasier dévorait mes entrailles, mon souffle se faisait rauque.

« Tu ne vas pas jouir maintenant… petite salope… attends ! Elle est grosse, hein… comme celle de Gérald…
— Ooouuuuuiiiii….j’ai..j’aime…. Mais la queue de Gérald était plus grosse… plus… plus vite… fais moi le sucer… il doit être imprégnée de son sperme… il a éjaculé une quantité phénoménale… dans ma chatte et mon cul… je… je sais…. je suis une Salope !»

J’exacerbais sa jalousie, sa queue était droite, raide, gonflée au paroxysme, il devait être prêt à éjaculer, mais je voulais encore ressentir la légère morsure de la mince badine sur mon corps. Tandis qu’il exauçait mon désir de succion d’une main, son autre main s’activait à m’infliger de légers coups. Ma tête devenait lourde, toute brûlante je frottais mes cuisses et ma vulve, avec des mouvements de va-et-vient, je plongeais dans un abîme de plaisir..

«Vi…viens maintenant… viens… baise moi…prends moi…défonce moi…éjacule en moi… mélange ton sperme avec celui de Gérald… ! Éjacule dans ma chatte… Déverse-toi en moi…»

Il me prit plus que sauvagement, il s’enfonça en moi, ses ongles s’incrustèrent dans la chair de ma taille, il me martela avec une fougue à la limite du supportable. J’étais arrivée à mes fins… J’avais voulu une étreinte fougueuse, elle avait été plus que déchaînée… Un torrent de lave déferla dans mes veines. L’orgasme jusqu’à maintenant contenu s’abattit sur moi, une jouissance plus que diabolique me transperça le corps… Je sentis les soubresauts de sa bite que mes parois vaginales enserraient comme un étau et il éjacula. Je me tordis et me cambrais en hurlant pour enfoncer sa queue plus profondément…

A suivre…..

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