15 janvier 2017
Putain, j’ai acheté une nouvelle voiture – une audi – il me faut absolument une augmentation cette année. Je dois passer mon évaluation annuelle dans 3 jours, il faut que je sois au top, il faut que j’arrive à convaincre ce connard de manager que c’est par ma nouvelle stratégie qu’enfin la société devient rentable cette année…
16 janvier 2017
Mes tableaux sont prêts, c’est assez convaincant, sauf la branche « Gaypride », on est concurrencé par les chinois : les chiffres décollent pas. Pourtant il faut que je trouve une explication : c’est une idée du grand patron et je sais que Bobidicool, mon manager, s’est engagé à être presque à l’équilibre sur ce développement.
17 janvier 2017
J’ai croisé Bobidicool dans les couloirs ce matin. Il avait l’air de bonne humeur. S’il n’avait pas été mon manager, ça fait longtemps que j’aurais essayé de me le taper.
23h00 : une bonne branlette et il faut que je dorme : demain est une dure journée.
18 janvier 2017
06h00
Je saute du pieu. A poil, j’avale un bon café noir et je saute sous la douche : aujourd’hui est une grande journée : mon entretien annuel est ce soir à sept heures. Toujours les mêmes questions : quoi porter ? En tout cas, pour les grands événements, je mets toujours mon Jockstrap fétiche. Il est un peu usé, il faut dire qu’il en a vu…
D’ailleurs, il fait partie de la gamme « Gaypride », en fait c’est le nom donné à l’usine : c’est en réalité la collection HOMMBODY développé pour toucher le public Gay.
J’enfile une chemise bleu, un jean…et me voilà parti au boulot dans ma nouvelle Audi.
09h30
Point prod. Dans l’usine, RAS.
18h15
L’angoisse monte. je suis à mon dixième café. Je vais pisser.
18h30
Je vais pisser. Me toucher la bite doit me rassurer.
19h00
Je frappe au bureau de mon manager. J’entends « Entre ». Il est au téléphone. « Assis-toi ». Obéissant je prend je fauteuil et m’assois. Je veux pas me montrer indiscret mais j’assiste à la conversation. Il se lève brusquement de son fauteuil, consulte son calendrier… »ok » marmonne t-il. Il se rassoit. Est-ce que j ai bien vu ? Il avait une putain de gaule. Une bosse sous son costard. Un effet avec les plis du pantalon ? Il n’a pas l’air gêné. Ça me laisse perplexe. Il raccroche.
19h12
« J’étais avec Laurent (le grand boss). Il n est jamais à court de idées pour faire du fric : avec la collection HOMMBODY il vaut lancer en parallèle la vente d accessoires SM soft et chic. Ça m’à fait triquer son idée : t est pas choqué, on est entre hommes, on a rien à se cacher. Il enchaîna : A toi »
J’étais déstabilisé. Je ne savais plus pas où commencer.
– « Aller GO !! j ai pas que ça à foutre – ma femme a réservé dans un restaurant à 20h00. Il te reste une grosse demi heure.
De toute façon, tu es un bon élément : rien à dire les chiffres sont au rendez vous, tu mènes bien tes équipes. Un seul sujet te pénalise HOMMBODY. Tu t’es engagé à être à l’équilibre et ce n’est pas le cas ».
– « Quel salaud : c’est lui qui s’était engagé !! pas moi !! je lui avais déjà dit l’année dernière que ça ne décollerait pas si vite. Tout est bon pour refuser les augmentations – les managers sont tous les mêmes. J’attaque : tu veux que je te démontre pourquoi ça ne marche pas ? Tu prêt à entendre ? »
– « ne t’en prive pas ! »
– « Ok, commence par baisser ton pantalon, je baisse le mien »
– Il éclata de rire : « J’ai pas le temps de faire un concours de ‘Qui a la plus longue bite ? »
– « Allez, ça fait partie de la démo »
Je commence à défaire ma ceinture, puis je dégrafe les boutons de mon jean, un par un, lentement. Cela faisait penser à un strip-tease. »
Encouragé il enleva sa veste – je n’en croyais pas mes yeux – il rentrait dans mon jeu. A son tour il enleva la ceinture de son pantalon puis le descendit sur les genoux. Classique mais sexy : il portait un caleçon blanc CK en coton blanc.
– « Tant qu’il n’y a que les gays qui portent les jockstraps, strings…de la collection HOMMBODY, on ne pourra pas produire plus en France. On est concurrencé par la Chine. Il faut que les hétéros comme toi franchissent le pas et portent des dessous sexy et pas que des caleçons blancs en coton ».
Pendant un instant…le silence …puis il reprit la parole
– « Hétéro, hétéro, je n’ai rien contre une petite pipe par un mec de temps en temps. Bon, trêve de plaisanterie : ce que tu portes est de notre collection ? »
Je voyais sa bite se regonflait. Le visage devenait lubrique. Fallait que je passe à autre chose et absolument parler d mon augmentation. J’étais quand même là pour ça. Je remonta mon jean, lui non.
– « Bobidicool, je sais que le temps n’est pas propice aux augmentations mais il faut que tu fasses un effort. Je travaille 12 heures par jour, je trouve que je le mérite ».
– « Ah mais mon petit, tu l’as dit : il faut que tu mérites. J’ai bien envie d’attendre l’année prochaine pour voir si ta théorie fonctionne. Tu comprends ? »
– « Non je ne comprends pas, je suis vraiment prêt à tout mais j’ai besoin de ce fric ».
– « Il faut prouver que tu as de la valeur. Il y a plusieurs façons de le prouver ». Là il baissa son regard sur sa bite, puis me regarda, puis rebaissa son regard puis me regarda à nouveau. Le message était limpide.
Je me mis à genoux et avança dans sa direction, tel un chien soumis. Arrivé à ses pieds, avec ma langue je remonta sensuellement du mollet jusqu’en haut des cuisses. L’effet était mesurable visuellement, la bosse sous le caleçon n’avait pas encore ce soir été à ce point proéminente. Il devait une belle queue longue et épaisse. En temps normal je me serais jeté dessus pour l’avaler mais là, pas question : il me tenait en haleine avec mon augmentation, je ferai de même avec la sienne. D’une main, je le poussa : il se laissa tomber sur son fauteuil. Il écarta les cuisses me laissant le champ libre. Je pris l’élastique de son caleçon, et le coinça derrière ses couilles. Un monstre de bite se présentait à moi, des couilles lourdes et bien remplies…je pencha ma tête et commença à téter cet objet de désir. A peine les coupes de langue autour du prépuce que Bobidicool commençait à gémir et à en demander davantage. J’engouffrait ce pieu au fond de ma gorge.
Préparant le coup d’après, je dégrafa mon jean, et commençais, pendant que je le suçait à lubrifier mon trou. Nous n’avions rien sous la main, je devais faire avec ma salive. Bobidicool fut coopératif en crachant dans ma main. Je me massais doucement avant d’élargir mon anus avec les doigts. Il en avait vu passer des bites, il ne fallait pas longtemps pour le détendre et l’ouvrir.
Quand il gémit « je vais jouir, continue, mmm » : je stoppa tout. Il était hors de question de ne pas remplir mon fion avec sa grosse queue, de la sentir aller et venir en moi. Je me leva, descendit mon jean sur les chevilles et me plaqua contre le bureau, cul offert : le message ne pouvait pas être plus clair.
Il sa leva et quitta sa position de sucé heureux et se mit derrière moi : je pouvais sentir sa queue à l’orée de mon trou. Il attrapa sa bite et força le chemin vers le plaisir. Je la sentais rentrer, une légère douleur me fit serrer les dents. Une fois complètement en moi, il attendit puis commençait à aller et venir. Il me bourra comme un hétéro. Il ne fallut pas longtemps pour sentir des jets de sperme chaud m’envahir le cul. Il ne devait pas avoir baiser depuis des semaines.
Le plus surprenant dans ce jour là c’est qu’il me retourna, et n’hésita pas à engouffrer ma queue et me fit jouir dans sa bouche. Moi aussi j’ai un sperme abondant. La pauvre en avait partout il n’avait pas réussi à tout contenir et avaler.
Il était 20h20, il était en retard, nous nous rhabillâmes en quatrième vitesse. Avant de claquer la porte, il me lâcha juste :
« Il faut que je te présente ma femme, elle cherche un deuxième homme. T’as déjà bouffé une chatte ? »
Je suis resté là, quelques minutes, pensif : « Est-ce que j’avais obtenu mon augmentation ? »
Ajouter un commentaire