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Doigt d’honneur 2-01

Doigt d’honneur 2-01



Un an a passé…
Mon épouse et moi avons repris une vie normale, ma fille, suite à ce viol est devenue lesbienne, elle a fait la connaissance de Justine, une jeunette qui a 22 ans, une véritable poupée tant par la taille que par les mensurations, nous l’aimons beaucoup.
Un samedi soir alors que nous regardons la télé, un flash information passe en boucle, trois prisonniers se sont évadés de la prison de Loos où ils étaient détenus suite à de nombreux cambriolages, nous avons la stupéfaction de reconnaître trois des motards qui nous avaient attaqués l’année précédente.

Nous allons nous coucher vraiment perturbés, ma femme qui n’arrive pas à s’endormir prend un somnifère, quant à moi je veille tard dans la nuit.

Je suis réveillé par une sensation de présence et j’ai à peine ouvert les yeux que je suis ébloui par une lampe de poche, avant que je ne puisse réagir, je me retrouve avec un chiffon dans la bouche, qui s’avérera être la culotte de mon épouse et je suis ligoté sur le lit les mains derrière le dos.

La lumière s’allume et je reconnais devant moi Jimmy, le chef des motards. A ses côtés se tient Robert celui qui a frappé ma fille, que tout le monde appelle Bob et derrière, Miguel, le grand costaud un peu demeuré.
Ils avaient gardé notre adresse et ne sachant où se réfugier après leur évasion, ils ont choisi notre maison où personne ne viendra les chercher.

– Comme on se retrouve !

Mon épouse dort toujours de l’autre côté du grand lit qui fait 180 de large ; Jimmy soulève la couette et sourit de plaisir en retrouvant le large derrière d’Annabelle qu’il a défloré l’année précédente.

Il faut dire qu’elle dort sur le ventre et qu’elle ne porte qu’une légère nuisette laquelle a remonté et découvre largement son cul magnifique.

– Ça fait plaisir de revoir une tête connue ! dit-il en commençant à se déshabiller.
– Elle avait un sacré tempérament ta bonne femme, je vais voir si elle en a toujours autant

Il me repousse sur le bord du lit et vient se coucher entre nous deux, il mouille ses doigts et glissant sa main entre les cuisses d’Annabelle, il commence délicatement à lui masser l’abricot.

Pendant longtemps il ne se passe rien, il remouille ses doigts, insiste arrive à les glisser dans l’entrée de la fente, ma femme dort toujours mais dans son sommeil, elle pousse des petits grognements, je connais ces manifestations, j’ai l’habitude de la réveiller de cette façon !

Les doigts se font plus insistants, elle doit commencer à lubrifier parce qu’ils sont maintenant complètement rentrés et il la masturbe carrément, les grognements se sont changés en petits jappements, il n’attend pas plus longtemps pour se coucher sur elle et la pénétrer, elle crie dans son orgasme, elle adore se faire réveiller ainsi et ses feulements me font toujours un effet monstre.
Personnellement je bande comme un taureau, que celui qui n’a jamais eu le fantasme de voir et d’entendre sa compagne se faire baiser à ses côtés me jette la première pierre !

Jimmy ne se retient pas longtemps, à peine mon épouse a-t-elle joui qu’il éclate de son côté la remplit des quantités de sperme qu’il a mis en réserve pendant son emprisonnement et qu’il s’écroule sur son dos.

Pas longtemps parce que Bob lui tape sur l’épaule et lui fait signe qu’il souhaite
prendre sa place ; il est vachement monté le Bob une vraie matraque !

Jimmy se retire et Bob pénètre d’un seul coup le vagin dilaté d’Annabelle qui ne doit pas en revenir que son mari ait récupéré en si peu de temps, la tête dans l’oreiller, elle ne se pose pas de question et repart immédiatement pour une série d’orgasmes de plus en plus violents, elle hurle, prononce des paroles indistinctes entrecoupées de « Ouiiiii » « Encore » « Pus fort »
Bob s’en donne à cœur joie, il la pilonne et trouvant qu’elle n’est pas assez serrée, il sort du vagin et lui perfore l’anus déclenchant un cri de douleur et de stupéfaction.

Bien que depuis notre aventure de l’année précédente, il m’arrive de pénétrer ses fesses, je n’ai pas l’habitude de la brusquer de cette façon.

La pénétration a été trop brutale, elle ne jouit plus, pendant ce temps Miguel bave de désir et quand je dis baver, c’est réel, même au niveau de son énorme sexe encore plus gros que celui de Bob, qui laisse échapper des filandres de liquide visqueux.

Soudain il me regarde, j’espère qu’il ne pense pas à ce que je crois qu’il pense !

Eh bien si ! La prison lui a donné des idées homos, il se jette sur moi, m’ouvre les fesses, crache dedans et l’enfoiré me baise, il m’enfonce son pieu dans le trou du cul, je ne peux même pas hurler avec le bâillon improvisé qui m’obture la bouche ; la première sensation est une brûlure atroce, ensuite ça se calme un peu ; cependant la douleur ne me fait pas débander, au contraire ! En même temps qu’il me baise, il att**** ma queue raidie et il me branle avec ardeur.

Il m’envoie une énorme giclée de foutre entre les fesses. Je n’en peux plus, j’ai un orgasme et j’envoie un jet de sperme directement sur la figure de mon épouse qui vient de sortir la tête des oreillers pour comprendre d’où venaient les ahanements sur sa droite alors que j’étais censé être sur son dos en train de lui fourrer le cul.

Réalisant la situation elle se tourne et se débarrasse de Bob qui avait également éclaté entre ses fesses et qui était maintenant totalement avachi sur son dos.

Je vois que son anus ne s’est pas refermé et que des bulles se forment les gaz repoussant le sperme, c’est franchement dégoûtant et j’imagine que le mien va faire de même quand Miguel m’aura libéré…

– regarde ce que j’ai trouvé ! dit Jimmy
– le masque de la minouchette , tu vas le remettre et ne plus le quitter, ça nous rappellera des bons souvenirs !

En disant cela il accroche le masque sur le visage d’Annabelle

– maintenant je veux te voir toujours avec !
– Bon, je vais prendre une douche avec Bob dit Jimmy
– Miguel tu restes pour les surveiller !

Après leurs douches, Miguel me prend sous son bras et nous emmène tous deux dans la salle de bain, il me fait asseoir près du radiateur auquel il m’attache.

Ensuite il demande à Annabelle de le nettoyer avec sa langue, elle commence par refuser, mais quand il la menace de son battoir, elle entreprend avec des hauts le cœur de lécher sa grosse bite; il récupère vite le Miguel parce qu’à chaque coup de langue, je vois sa massue s’ériger un peu plus.

Quand il est complètement net, il lui dit

– fais pareil à ton mari !

et il m’enlève enfin le bâillon qui m’étouffait depuis le début ; c’est avec plaisir que je recrache la petite culotte d’Annabelle…

Dans la position où je suis, elle doit se mettre à quatre pattes pour prendre dans sa bouche mon sexe ramolli. Elle est à peine dans cette position que Miguel profitant de la situation entre d’un seul coup dans l’anus toujours dilaté ; Annabelle a la bouche pleine, elle émet cependant un grognement de surprise et faillit me mordre.

Miguel rit de plaisir, il fait comme à moi, en même temps qu’il encule ma femme, sa main s’active dans le vagin, quand je vois les yeux de mon épouse s’agrandir et quand elle se met à me pomper avec plus d’ardeur, je sais qu’il a trouvé le clitoris et qu’elle ne va plus tarder à avoir un orgasme.

En effet, elle se met à grogner, à me branler à me faire mal ; nous jouissons tous les trois en même temps, elle en a eu plein la bouche et plein le cul et nos trois cris simultanés font que Jimmy ouvre la porte en se demandant ce qu’il se passe.

Ensuite ils entrent dans la douche ensemble, Miguel prend soin de la propreté de mon épouse, il met ses doigts partout…

L’enfoiré commence déjà à revenir en forme et Annabelle doit le sucer sous la douche.
Il se met ensuite derrière elle et pendant qu’elle est appuyée sur la paroi de la douche, il l’a prend par derrière, pendant que d’une main il lui pétrit les seins et que de l’autre il lui excite le clitoris ; Annabelle ne peut pas résister à cette invasion simultanée, elle gueule de nouveau emportée par la jouissance.

Après la douche et s’être rhabillés, ils ont demandé à Annabelle de leur préparer le petit déjeuner ; Jimmy est allé chercher dans un placard un vieux tablier sur lequel était écrit
« Je suis le chef » qu’il lui a imposé de porter ; ce tablier se passait par le cou, il n’était pas très large dans sa partie supérieure, ce qui fait qu’il y avait toujours suivant les mouvements, un sein qui pointait son téton à l’extérieur ; quant à la partie basse, elle ne couvrait que le devant lui laissant les fesses exposées à toutes les caresses.

Ils se sont ainsi fait servir une tarte aux fraises prévue pour le midi

Tout le monde avait très faim et notre stock de pain y a également passé.
Nestor, notre con de chien, un bullmastiff, a fait surface à 9h, il a commencé par faire la fête à tout le monde, il ne s’était même pas réveillé quand ils sont rentrés, nous sommes protégés avec un clebs pareil !

à suivre…

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