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Histoire d’une petite nymphe

Histoire d’une petite nymphe



Pour venir s’asseoir à mes côtés dans le canapé du salon, le grand-père de Luc attendit que sa femme monte se coucher, prenne ses médicaments et ne fasse plus de bruit au-dessus de nos têtes.
Luc dormait depuis un bon moment déjà. Il tenait moins bien l’alcool que moi, et ce soir-là son grand-père nous avait gâtés dans ce sens : trois verres à l’apéro, deux bouteilles de vin à table et un digestif. J’étais ivre, mais j’avais toute ma tête. Et le cognac était un petit régal.
Le grand-père m’en resservit un verre, puis s’assit en disant :
– Luc est une petite nature.
J’ai souri et nous avons trinqué.
Il ajouta :
– Contrairement à toi, ma mignonne.
C’était l’été et il faisait nuit depuis un bon moment déjà. Je sortais avec Luc depuis quatre mois et nous étions arrivés la veille chez ses grands-parents que je ne connaissais pas. J’avais trouvé la grand-mère distante, un peu froide, contrairement au grand-père qui souriait presque tout le temps.
J’ai dit :
– Je vais être ivre, vous savez…
– Mais non, tes yeux brillent à peine. Et puis ça ne fait pas de mal d’être ivre de temps en temps, non ?
J’ai de nouveau souri, puis repris une gorgée. Le vieux m’observait. Ses yeux à lui brillaient. Je le vis vider son verre de cognac d’un trait et se pencher vers la table basse pour reprendre la bouteille.
– Finis ton verre, dit-il.
– Je vais vraiment être bourrée…
– Et alors ? Où est le problème ?
J’ai fini mon verre et il m’a resservie.
– Le problème, c’est que je fais n’importe quoi quand je suis bourrée.
– Ah ! fit-il. Et que fais-tu ?
– Des choses que je ne fais pas en temps normal.
– Oh ! Quel genre de choses ?
J’ai souri et pris une gorgée en regardant droit devant moi. Ma tête s’était mise à tourner sérieusement et je me sentais bien. Le vieux m’observait toujours. Je portais un short qui résultait d’un vieux jean que j’avais découpé au début de l’été. Un t-shirt blanc et des tennis.
– N’importe quelles choses, dis-je.
– Vraiment ?
– Vraiment. J’ai toute ma tête, mais l’alcool me désinhibe.
– Tu me donnerais un exemple de choses ?
Je me suis tournée vers lui. Son visage était à cinquante centimètres du mien. Je l’aimais bien. Il me rappelait un professeur que j’avais eu au lycée. Un homme aimable, attentif, attachant.
– C’est compliqué, dis-je. Vous êtes le grand-père de mon copain.
– Oublie tout ça. Nous sommes tous les deux et je vais te dire quelque chose : tu n’es pas la première que Luc emmène ici.
– Je sais.
– Ni la dernière dit-il.
– Sans doute.
– Alors nous sommes d’accord, ma petite. Maintenant dis-moi ce que tu fais quand tu es ivre.
J’ai de nouveau souri, puis j’ai fini mon verre avant lui. Je le lui ai tendu et il s’est empressé de me resservir. J’ai bu et il s’est approché encore de moi pour répéter :
– De quoi tu as peur ?
– Je n’ai pas peur. Je vous aime bien.
– Tu m’en vois ravi, ma mignonne. Moi aussi, je t’aime bien. Tu es jolie comme un cœur. Dis-moi ce que tu fais quand tu es bourrée.
J’ai cessé de sourire et répondu :
– Je fais ce qu’on me demande.
– Tu veux dire : tout ce qu’on te demande ?
– Oui.
– Des câlins, ça t’arrive ?
– Oui.
– Des gros câlins ?
– De préférence.
– Des câlins coquins, ça t’arrive ?
– Je ne connais pas de câlins qui ne soient pas coquins.
Il a souri.
Puis il s’est resservi. Ses mains tremblaient. Je l’ai suivi des yeux jusqu’à ce que son dos retombe dans le dossier du canapé et que son visage vienne encore plus près du mien.
– Dans ce cas, défais le bouton de ton short et descends ta braguette.
J’ai obéi tout de suite. Le geste prit trois secondes. Sous mon short, je portais une culotte blanche, taille basse. Le vieux la regarda pendant un bon moment, sans bouger, sans rien dire. Puis il revint à mon visage.
– Tu es souvent ivre ? dit-il.
– De temps en temps.
– Et tu fais ce qu’on te demande à chaque fois ?
– Oui, je crois.
Il s’est de nouveau tourné vers ma culotte, puis son regard a glissé le long de mes cuisses, lentement, jusqu’à mes genoux, pour remonter ensuite vers mes seins qui pointaient sous mon t-shirt. Puis mes yeux qui le fixaient.
– Raconte-moi la dernière fois que tu as fait ce qu’on te demandait.
– Avant, servez-moi un autre verre, s’il vous plait.
Je lui ai répondu pendant qu’il obtempérait :
– C’était il y a deux semaines, chez Luc. Il m’a demandé d’aller dans la chambre avec un ami à lui.
– Et tu l’as fait ? dit le vieux en me tendant mon verre.
– Oui.
– Tu veux dire que tu as couché avec son ami, pendant que Luc était dans la pièce à côté ?
– C’est ça.
– Toute nue ?
– Non, j’ai gardé le haut.
Une grande pendule poussait des « clong-clong » dans la pièce. Je voyais son cadran d’où j’étais. Il était minuit passé. Sur la gauche, sur un gros buffet, des photos de familles étaient alignées, mais je n’y voyais pas assez pour identifier qui que ce soit. Ni le vieux, ni Luc. À l’étage, il sembla que la vieille se tourna dans son lit.
Puis le vieux s’est levé du canapé. Il a défait sa ceinture en disant :
– Enlève le bas, petite salope.
J’ai bu mon verre cul sec et baissé mon short et ma culotte en même temps. Je les ai balancés sur le sol, tandis que le vieux ôtait son pantalon et son caleçon en veillant à ne pas perdre l’équilibre.
Ensuite, j’ai ouvert les cuisses au bord du canapé.
Ce n’était pas un mensonge : j’avais couché avec un ami de Luc deux semaines auparavant. Ce n’était pas le premier. Nous avions aussi fait des partouzes avec des couples d’amis et passé quelques heures dans des saunas où Luc m’avait regardée me faire prendre par des dizaines d’hommes. En quatre mois, j’avais aussi couché avec d’autres personnes sans qu’il le sache. Un ex, deux inconnus qui m’avaient payé des verres en pleine journée, et une amie de la fac. Je n’attendais pas toujours d’être ivre pour faire ce qu’on me demandait. J’aimais ça. C’est tout. Il n’y a rien d’humiliant à faire ce que l’on aime. J’en connais qui aiment le foot, d’autres le cinéma ou l’équitation. La natation, la littérature, la musculation ou la peinture. Moi, c’est le sexe.
J’ai senti la queue du vieux glisser en moi, comme dans un pot de miel. Elle était dure, je n’en revenais pas. Plus dure que celle d’un homme qui devait avoir à peu près son âge, qui m’avait pénétrée dans le sous-bois d’un jardin public, un matin, quelque temps avant de rencontrer Luc. Moins dure cependant que celle du dernier mec en date de ma mère. À peu près aussi dure que celle du père de ma meilleure amie, Laura.
Il y en a qui collectionnent les timbres-poste, les papillons ou les figurines de ceci ou cela. Les voitures en modèle réduit, les vieux bouquins ou les paires de chaussures. Moi, je collectionne les expériences qui me procurent du plaisir. Et le vieux m’en donna cette nuit-là. Je l’aimais bien, c’était sincère. Je lui ai même demandé de m’embrasser sur la bouche pendant qu’il me pénétrait. Je lui ai caressé la joue, puis le dos, et même une fesse à un moment donné. Il ne disait plus rien. Il était à l’ouest. Il poussait des petits gémissements tandis que sa queue allait et venait dans ma chatte.
Il me fallut un petit moment pour m’apercevoir que Luc se tenait à l’entrée de la pièce, dans le dos de son grand-père. Il était tout nu et il se branlait en nous regardant. Il attendit que je lui adresse un grand sourire pour asperger la moquette de longs jets de sperme silencieux.

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