Histoires de sexe gratuites Histoires de sexe viol Premières histoires de sexe

Sortie en boite avec les copines

Sortie en boite avec les copines



Pour se remettre de notre aventure à la ferme où Sofia avait réalisée son fantasme de se faire pisser dessus pendant que Françoise et moi avions été agréablement abusées par des black et des arabes bien monté sous les yeux de Christian qui filmait tout, nous décidons avec toutes les trois de passer une soirée entre filles. Nous en profitons pour inviter Laurie se joindre à nous.
Après quelques libations, nous partons en boite pour nous éclater un peu sans nos Maîtres. Nous ne sommes pas les moins remarquées dans la boite alors que nous sirotions nos cocktail avachies dans les profondes banquette de la boite.
Un peu éméchées, j’entraîne mes copines à se tortiller sur le danse floor. La salle est bondée et les corps se touchent souvent. Dans nos déhanchements trop provocants, nous ne remarquons pas un groupe de black qui se frottent à nous plus qu’il ne faudrait.
Alors que l’un d’eux se colle plus ostensiblement à moi, émoustillée, je lui souris. Il prend ça pour une invitation et plaque ses mains sur mes fesses en se frottant contre moi. J’en fait autant et commençons à danser langoureusement. Amusée et excitée je lance un œil aux copines pour constater qu’elles ne sont pas en reste non plus. Électrisée, mes seins se pressent contre son torse. Nous sommes si collés l’un à l’autre que je peu sentir son sexe gonflé contre mon pubis. Désinhibée par l’alcool, je risque ma main sur son sexe en érection. A travers l’étoffe, je peux augurer qu’il de dimension généreuse. Je regarde autour de moi et voyant que personne ne nous prête attention, je glisse ma main dans son slip et le masturbe doucement. Son engin prend de tel proportion qu’il en sort de son pantalon. Là, il me prend par le bras et d’autorité m’entraîne dans les toilettes de la boite. Arrivés dans les toilettes des hommes, Sans se préoccuper des regards des hommes présents, il ouvre la porte d’un chiotte, m’assoit sur la cuvette, sort sa grosse bite du pantalon et en me la mettant sous le nez et me lance :
« Suce-moi ! »

Obéissante, je fais doucement courir mes mains le long de sa hampe dressée d’envie, soupèse ses bourses lourdes et prometteuses pour enfin poser mes lèvres sur son gland turgescent. Je suis de plus en plus excitée, et je sens ma chatte dégouliner de cyprine. Je le suces avec gourmandise quand j’entends des rires féminins dans le local. Se sont mes copines qui comme moi se font entreprendre par un groupe de black.
Les toilettes de la boite se transforme rapidement en orgie. Elles se font culbuter sur les lavabos sans pudeur et sans se soucier d’être vues par les clients de l’établissement, alors que mon partenaire maintenant me baise la bouche en me disant :
« Ta vu mes potes s’occupent bien de tes copines ! »
Sa grosses bite palpite sous ma langue ? J’adore ces instant. Plusieurs fois je l’engloutis toute entière, goulûment, jusqu’au fond de ma gorge. Je le pompe bien à fond comme je sais si bien le faire. Après un tel traitement, je sens les spasme annonciateurs de son éjaculation. En vraie salope, je le garde bien dans la bouche pour me délecter de sa semence. Mais ses projets pour moi sont différents en en me tirant par les cheveux, il me relève et me dit :
« Toi et tes salopes de copines, vous n’allez pas vous en tirer aussi facilement ! »
Ils nous embarquent fermement, nous jettent dans un fourgon et sans qu’on ai pu protester, nous voilà partis sur des chapeaux de roues. Un quart d’heure plus tard, nous sommes débarqué dans une cité où nous attendent une bande de racailles.
Avec un sourire lubrique, mon partenaire de la boite m’enlace, et m’embrassant fiévreusement, il s’emparent de mes seins les malaxant rudement tout en me déshabillant hardiment de l’autre. Rapidement, nous nous retrouvons toutes les trois à poils devant tout ces jeunes aux regards brillant de lubricité. Apeurée, honteuse, excitée, mais ravie, je ferme les yeux et m’abandonne totalement soumise et sachant parfaitement ce qui va suivre.
Je ne peu retenir mes gémissements et j’entends aussi mes copines qui couinent alors qu’elle commencent à être prises par plusieurs rebeu bien montés. Le mien doit être le chef car il est seul à s’occuper de moi. Il me retourne et me saisissant les hanche, il s’enfonce dans mon vagin comme un sauvage. Je pousse un cris de surprise et quand il se met à me bourrer ardemment, je le supplie de de me défoncer comme une chienne. Soumise, je me cambre pour mieux le recevoir. Mes seins se balancent dans le vide sous ses assaut vigoureux ; Je frissonnais de plaisir sous l’assaut vigoureux. Je ferme les yeux pour mieux savourer le moment en gémissant et miauler de plaisir. Les paupières closes, les lèvres entrouvertes, je ne vois pas un black présenter son gland devant mes lèvres. Je m’abandonnes totalement au plaisir, quand il s’enfourne dans ma bouche. Derrière moi, le mâle me ramone durement en malaxant mes seins comme pour en tirer du lait. Tout en me besognant, il m’insulte et me promet que toute la bande va nous passer dessus.
Je suis bien trop occuper à mon plaisir pour faire attention à mes trois copines qui doivent prendre chère de leurs côté. Tout mon corps est embrasé , en transe comme une cérémonie mystique vaudou ou je serais la victime innocente. Alors que je croyais être vraiment bien prise, je sens une troisième bite tenter un passage par ma rosette. Mon plaisir m’empêche d’exprimer autre chose que des râles de volupté. Mes amants m’enfilent allègrement en butant contre mes fesses bien offertes. Leurs coups de boutoirs deviennent plus violents. Malgré la bestialité qui règne, mon orgasme monte en moi tel une vague scélérate. Je pousse des cris étouffés. Mon corps tout entier est pris de spasme incontrôlable alors que les mecs se lâchent en moi aussitôt remplacé par d’autres. Les blacks et les Arabes se succèdent et me pilonnent et m’utilisent sans discontinuer.
Après une heur ou deux de ce régime, ils nous abandonnent comme ils nous avait prise. Nous mettons un moment à réagir et à redescendre sur terre. Nous somme infâme à voir. Loin des bourgeoise chicos, nous ne somme que des putes dépravées couverte de sperme et les trous douloureux dégoulinant de sperme. Pour une soirée entre filles sans nos Maîtres, c’était réussi….
Mes copines me diront après cette orgie digne de Sodome et Gomorrhe, qu’elle croyaient bien que toute la cité leurs étaient passés dessus.
Laurie plus choquée que nous ne souhaite que de rejoindre son homme pour se blottir et se faire cajoler auprès de lui, alors que Sofia et Françoise affichent un sourire béat de salopes comblées et satisfaites. Moi j’aspire ç une bonne douche et un bon lit pour me remettre de mes émotions.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire