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Dans le train de nuit avec un inconnu..

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Le mois de juin se terminait, la soirée était douce, enfin la semaine était finie, j’étais en week-end. Je prenais un train de nuit pour aller rejoindre mon ami me détendre quelques jours, je me sentais bien, j’étais heureuse et détendue.

Le train arrive en gare, bien sûr c’est un peu le désordre, des gens descendent, d’autres sont pressés de rejoindre leur place ; c’était encore un de ces trains avec compartiment, je m’oriente pour trouver ma réservation. Par chance je me trouve près de la fenêtre, c’est plus agréable. Pas trop de monde, juste un couple de personnes âgées et en face de moi un grand monsieur absorbé par son journal.

Je m’installe, je suis bien. Doucement le train se met en marche, nous quittons la gare et le paysage défile de plus en plus rapidement, le soir tombe. Le compartiment s’assombrit, il faut dire que la veilleuse ne fonctionne plus. Je rêve, mes pensées s’éparpillent, doucement je sens le pied de mon voisin. Je bouge un peu, il est vrai que c’est assez étroit entre nous, je m’aperçois que son pied devient plus insistant. Il y a longtemps que l’on ne m’a pas fait des avances, par jeu je laisse faire, c’est plaisant.

Doucement je sens la caresse le long de ma jambe, c’est plus doux. Oh, il a retiré sa chaussure et moi, étonnamment, je le laisse faire. Je regarde furtivement mes voisins, ils sommeillent, et ce pied qui monte toujours plus haut. Moi, si sage, voire prude, je m’alanguis allant jusqu’à m’avancer sur mon siège et écarter un peu plus mes jambes afin d’aider ce gentil assaillant. Voilà, il a atteint son but et commence à me titiller tendrement à travers ma petite culotte. Je n’en reviens pas, je me laisse faire et, mieux, je ferme les yeux, laissant doucement le plaisir m’inonder.

Ne sachant plus exactement ou j’en suis, délicatement je retire ma culotte (et oui j’ai fait ça) ; lui, opportuniste, a compris mon émoi, en a profité pour retirer sa chaussette ;, là sentant son orteil pénétrer dans mon intimité, je sentis la jouissance m’envahir et j’ouvris encore plus mes jambes. Ses orteils allaient de plus en plus profondément, j’étais obligé de me mordre les doigts pour ne pas gémir, pour ne pas crier. J’étais toute mouillée, tous mes repères avaient disparu à part cette envie de plaisir et lui, me sentant dépendante, en profitait pour agiter son pied de plus en plus vite, de plus en plus profond.

Je n’en pouvais plus, je me tortillais de plaisir, je sentais ma petite jupe toute humide. Pourtant je ne voulais pas que cela cesse. Puis sa jambe se retira, j’en profitais pour me redresser, il fallait que je bouge. Je me levais comme je pus, sortit du compartiment pour m’isoler un peu entre deux wagons, mais il était déjà près de moi. Il me prit dans ses bras, je n’arrivais pas à lui résister, sa bouche se colla sur la mienne sa langue ouvrit sans difficulté mes lèvres, sa main furtive avait soulevé ma jupe, me caressait le clitoris instantanément et je me remis à jouir violemment.

Soudain, très facilement, je le sentis en moi, elle était si ferme, si grosse, je pensais défaillir mais ses coups de butoirs me redressaient à chaque fois pour une salve de plaisir supplémentaire. Nous étions tellement excités qu’il jouit rapidement une grosse salve chaude que je reçus entre mes reins.

Rapidement je m’éclipsais dans les toilettes qui jouxtaient nos ébats. Je me rafraîchis comme je pus, essayant de retrouver mes esprits. Puis je retournai avec un peu d’appréhension dans mon wagon, mais là tout le monde avait l’air de sommeiller, même lui cet hypocrite. Je m’assis lascivement, un peu épuisée par tant d’excitation, mais rapidement je sentis à nouveau son pied me caresser tendrement la jambe.

Puis tout alla très vite, le train ralentit, j’étais arrivée à destination. Je pris mon bagage, sentant son regard interrogatif mais que faire, que dire ?

Mon ami m’attendait sur le quai, il était ravi de me voir et m’embrassait tendrement ; doucement le train se remit en route, je le vis à travers la glace faire un petit signe de la main.

Je suis mariée à présent et fidèle, pourtant quelquefois dans mes nuits d’insomnie je me dis que j’embarquerais bien encore une fois dans ce train de nuit…

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