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La déchéance d’une étudiante…

La déchéance d’une étudiante…



Cela faisait quelques temps que je n’avais plus les moyens de manger à ma faim et il me fallait trouver un job étudiant très vite si je voulais poursuivre mes études et assurer ma voiture. En attendant, je devais trouver un moyen pour retourner chez moi. Cette fête organisée dans la maison de campagne du père de Sofia, la fille la plus populaire de l’université, avait beau avoir été très cool, elle s’était déroulée à plus de 150 kilomètres de chez moi et le garçon qui devait me raccompagner était parti au petit matin.
J’agitai donc mon bras en direction des voitures en priant pour qu’une d’elles s’arrête au plus vite. En effet, ma robe de soirée n’était pas vraiment utile pour me protéger de la brise glaciale du mois de janvier et mes talons étaient très inconfortables pour marcher de longues distances. Après quelques klaxons et sifflements, un camion se rangea sur le bas-côté et son propriétaire me fit signe de monter. C’était un homme d’une cinquantaine d’années, les cheveux courts et gris et la barbe assortie.
– Bonjour, lui dis-je avec le sourire, merci beaucoup de vous être arrêté.
– Ne me remercie pas, me répond-il en me regardant dans les yeux. Où vas-tu, jeune demoiselle ? Je vais faire ma livraison à Anvers.
– Je rentre sur Bruxelles, c’est parfait. Vous pourrez me déposer sur une aire du ring si cela vous convient.
Il me fit un signe de la tête, j’en déduis qu’il était d’accord et je refermais la porte de la cabine. Le camionneur regagna la route en silence, j’en profitais pour le détailler. Il était vêtu d’un t-shirt noir qui laissait apercevoir ses poils et qui ne mettait pas vraiment en valeur son ventre, d’un jogging et de basket. Il avait la figure rougie par l’alcool et dégageait une odeur assez acre mais étonnamment pas si dérangeante.
– Que fait donc une demoiselle à moitié dévêtue et d’autant plus désirable sur la route si tôt ? me surprend-il dans ma contemplation.
– En fait, je rentre d’une soirée bien arrosée et ma voiture n’est plus assurée, je ne peux plus la conduire. Les finances ne sont pas au top en ce moment. Entre les études, le loyer, la voiture, je ne sais plus vraiment suivre.
Il garda le silence, les yeux fixés sur la route. Je tentai d’engager la conversation en le remerciant encore une fois de s’être arrêté.
– Ne me remercie pas, me répéta-t-il, toujours concentré sur la route.
Après cet échec, je me résolu à garder le silence. Après quelques minutes, alors que je somnolais dans mon siège, l’homme posa sa main sur ma cuisse nue pour attirer mon attention. A ce contact, je sentis que je mouillais déjà rapidement.
– Tu peux aller te reposer sur la couchette si tu veux, me dit-il en me tendant une bouteille. Tiens, bois, c’est un remède contre la gueule de bois.
Je pris la bouteille, en bu quelques gorgées et me dirigea vers le matelas. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que je rejoigne les bras de Morphée.
Une douleur dans le bas du ventre me réveilla. Je tentais d’ouvrir les yeux mais l’effort était trop important. Je me concentrais alors sur mes sensations : une brûlure intense se faisait sentir au niveau de mon anus. Je voulais me défendre en y ramenant mes mains mais je compris qu’elles étaient immobilisées. Prise de panique, je tentais de me libérer avant de me rendre à l’évidence : j’étais maintenue par des liens.
– Eh, on se réveille la belle… tu fais bien, c’est le meilleur moment… tu es toute serrée… je n’ai pas voulu te prendre par la chatte, je laisserai Monsieur Charles le faire pour moi…
Je voulu me débattre et crier mais ma bouche était obstruée par un bâillon de tissu.
– Inutile de te défendre, tu m’as provoqué, avec ta robe et tes escarpins de putain. Tu as des seins superbes ! Ils sont lourds et imposants, s’extasia mon bourreau en les pinçant violemment. Je ne m’en suis pas rendu compte tout de suite mais tu as vraiment beaucoup de potentiel. Voilà le programme, vide-couilles, je vais me servir de ton cul pour me vider, ensuite j’irai te présenter à quelqu’un qui pourrait être très intéressé et qui pourrait arranger tous tes soucis d’argent. Compris ?
Mes seins et mon cul me faisaient souffrir mais je sentais que je mouillais sous les sévices infligés. J’étais traumatisée mais je devais me rendre à l’évidence : j’étais prise au piège. Je laissais donc l’homme me pilonner le cul sans rechigner mais en sanglotant. Pourtant, même si les coups de butoir étaient très violents, je ressentais une certaine excitation à être utilisée comme une simple poupée gonflable, un vulgaire sextoy.
– Hum oui, pleurs, tu m’excites, me dit-il entre ses dents en accélérant son assaut. Vas-y, tu vas me faire jouir connasse !
Il se retire alors de mon anus douloureux et jouit sur moi. De longues giclées de sperme viennent se perdre sur mes gros seins, dans mes cheveux et sur mon visage déjà barbouillé de larmes.
– Hum, t’es vraiment une grosse salope toi hein, tu aimes la bite et le sperme, chienne, me gratifie-t-il avant de me gifler. Je reprends la route, je vais t’amener à ta nouvelle maison. Tu vas voir, les putes comme toi s’y plaisent bien. Sois gentille et ne fais aucun bruit d’accord ? J’aime quand tu fermes ta gueule, au cas où tu ne l’aurais pas compris.
Le routier regagna sa place, derrière son volant, alluma la radio et une cigarette, me laissant seule, uniquement vêtue de mes talons, recouverte de sperme, de bave qui s’échappait du bâillon et de ma mouille.

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