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Marylou, mon amour de nièce.Ch. 3-4-5-6

Marylou, mon amour de nièce.Ch. 3-4-5-6



Comme il me semble que vous attendez la suite avec impatience voici les 4 derniers chapitres(Le chapitre 3 ayant été déjà diffusé dans la copie de elvis14000)

Chapitre 3 : Le bain de Marylou
Encore dans mon trip je dis spontanément :
– Tu veux que je te prépare ton bain ?
– OK je vais me déshabiller dans ma chambre.
Dans la salle de bain, entrain de faire couler l’eau, je m’imagine déjà la voir nue dans la baignoire et de lui laver sa petite chatte avant que Chantale rentre à la maison. Une odeur de sexe d’une ado qui traine dans l’air et s’est l’enfer !
Quelques minutes plus tard, le bain est prêt et j’appelle Marylou. Sans aucune gêne, ma nièce arrive toute nue et monte dans la baignoire.
– tu veux que je te fasse un shampooing ?
– oh oui tonton, j’ai transpiré de la tête, ça me fera du bien
Après le rinçage je regarde vicieusement le corps de ma jolie nièce. Mon dieu qu’elle est belle ! Ça me ramène 20 ans en arrière quand j’admirais ma jeune belle sœur.
On dirait son clone mais avec une beauté rayonnante. Sa peau de pèche est magnétique et attire le mâle que je suis. Sa poitrine est un peu plus ronde que celle de sa mère et plus bas sa petite chatte, maintenant fermée, avec des poils châtain clair, probablement épilée car on dirait une chatte de petite fille.
Cette beauté juvénile fait monter ma tension et surtout ma bite qui pointe le bout de son nez et comme elle est au même niveau que les yeux de Marylou, elle ne peut manquer de la voir. Elle rie quand le renflement prend de l’ampleur et tend sa main pour la caresser.
– Marylou ! Dis-je sévèrement. Tu as promis de bien te comporter !
– Pas exactement répond Marylou, et avec beaucoup de dignité elle ajoute :
– J’ai promis de ne rien dire à personne pour ce que nous avons fait. Mais je n’ai pas promis que nous ne le fassions pas de nouveau!
Je ne peux nier la vérité de ce qu’elle vient de dire, et alors que je pense à ma réponse la main de Marylou tire vers le bas mon jogging et laisse ma bite sortir comme un ressort.
Déplaçant son visage vers elle, elle rie et levant les yeux elle vers moi:
– Dis donc petit cochon de tonton, ta bite sent le con de jeune fille!
Malgré moi j’aime l’entendre utiliser des mots grossiers comme ça, et je me rends compte que la vision de films pornos lui à appris le langage cru utilisé souvent par les acteurs. Pendant que ma pensée décode le comportement de cette vilaine fille elle s’est encore rapproché de moi et aspire la tête de ma bite dans sa bouche.
– Doux Jésus… Oh dieu…que c’est bon…!
Sa technique n’est pas tres évoluée, mais elle y met tout son cœur à la façon d’aspirer bruyamment ma queue et balançant sa tête rapidement, elle imite ce qu’elle a vu dans les films pornos.
Pendant qu’elle me pompe ma bite, une de ses mains descend plus bas et s’empare de mes couilles en les pressant tendrement. Parfois, une dent accroche la chair sensible, me faisant légèrement mal et j’appuie avec la paume de ma main sur l’arrière de sa tête pour ralentir sa cadence.
– Doucement mon bébé d’amour, voila, comme ça, lentement et assure-toi que tes petites dents ne touche pas ta sucette. Il te suffit d’utiliser juste tes lèvres et ta langue et tu suce. »
Elle recul son visage avec un ‘plop’ et de la salive s’écoule sur les coins de sa bouche et goutte sur sa belle poitrine. Sa main n’a pas lâché mes couilles et elle sourit en me regardant et me demande,
– Alors pourquoi on appelle ça une pipe si je ne peux que sucer. Mon grand-père il mordille sa pipe lui !
– Là tu me la coupe ! Je n’en sais rien !
Et remettant ma bite bien tendue dans sa bouche, je lui dis :
– mais… suce et tait toi!
Mon amour de nièce fait du mieux qu’elle peut, lèche et suce mon sexe et je pense qu’elle va probablement me faire jouir si elle le garde assez longtemps en bouche. Cependant d’autres idées en tête car j’ai encore envie de revenir dans sa jeune chatte serrée et chaude.
Tirant doucement ma bite de sa bouche, je l’a regarde et dit:
– Loulou, ma petite salope, j’ai encore envie de te baiser.
Souriant avec bonheur, ma nièce sort rapidement du bain avec l’eau qui dégouline en cascade sur sa peau et dit :
– Okay. Tu me sèche et on va dans ta chambre à coucher !
Mes yeux parcoure sa peau d’ange et s’attarde sur son trou à foutre qui comme par magie commence à s’entrouvrir et je grogne,
– Pas du tout, bébé. Ici ce sera très bien.
je la prend dans mes bras et immédiatement, elle enroule ses bras autour de mon cou et ses jambes autour de sa taille. C’est exactement la même position qu’elle a eu quand elle m’a dit bonjours à mon arrivé. Mais cette fois je n’ai aucune réserve à soutenir son cul à deux mains et à mettre mes doigts dans sa chatte et égalent dans son trou du cul étroitement fermé.
Elle gémit à se contact et ferme les yeux quand, baissant légèrement mes hanches je place ma queue à l’entrée de son con. Comme elle est toujours humide avec son jus, je réussi à la pénétrer beaucoup plus facilement que sur le canapé du salon. Marylou pousse quand même un petit cri, mélange de douleur et de plaisir, mais je n’y prête aucune attention et faisant quelques pas en avant je la pousse contre le mur. L’eau sur son corps ruissèle et mon jogging est trempé, mais je m’en moque tellement je suis occupé à la pénétrer à fond.
Je prend ses fesses humides et glissantes a pleines mains et je commence à la baiser en projetant son dos contre le mur à chaque poussée. Je la baise tellement fort qu’elle ne peut pas garder ses jambes enroulés autour de ma taille et elle les écarte comme si elle faisait le grand écart. Abaissant ma bouche sur la sienne, je l’embrasse sauvagement, écartant ses lèvres je fouille sa bouche avec ma langue le plus profondément à l’intérieur.
Ma nièce répond avec enthousiasme et elle gémie et râle sous les coups de boutoir de ma queue qui pilonne sa jeune chatte qui n’a surement pas vu le loup souvent. Elle se sent surement baisée comme jamais elle ne l’aurait imaginé tellement je la prends violemment.
Je suis content d’avoir déjà baisé cette salope de nièce quelque temps auparavant car j’ai envie que cette baise dure un peu plus longtemps. Je sens bien mon gros pénis qui la pilonne comme un marteau piqueur et je savoure encore plus mon grand plaisir de baiser une petite chatte si étroite qui était surement vierge il y a peu de temps.
Marylou participe avec joie à cette baise, mais elle est impuissante à prendre une part active. Le carrelage de la salle de bain est, dans un premier temps, froid sur son dos nu mais maintenant il se réchauffe et elle est coincée entre le mur et mon corps en rut. Son petit clitoris dur il est continuellement stimulé par le frottement de ma grosse queue et je sens qu’elle va bientôt jouir de nouveau. Elle a surement déjà eu de nombreux orgasmes avant dans sa jeune vie, mais rien de comparable à ce que sa chatte subit maintenant, pleine d’une vraie et grosse bite qui va et vient dans son con avec une puissance qu’elle n’a probablement jamais connu. Elle a une montée d’adrénaline qui vient de son ventre, entre ses cuisses et elle tourne sa langue dans ma bouche pour bien sentir la mienne.
Je pense qu’elle se maitrise parfaitement quand elle joue elle-même avec son corps. Elle doit pouvoir se masturber longtemps, juste pour se sentir bien, mais j’ai déjà remarqué deux endroits particuliers qui très vite la font jouir. L’un est son clitoris quand il devient un peu dur et l’autre c’est l’intérieur de sa chatte au dessus de son trou à pisse.
Avec ma queue et mon gland qui frotte très souvent sur son clitoris, elle ne va pas tarder à atteindre son point culminant, et l’intensité du frottement de ma bite dans sa chatte augmente la pression sur ses points sensibles. Tout son corps frémit et elle est au bord d’un orgasme d’une telle intensité que sa jouissance naissante est devenue presque insupportable. Chaque tendon et nerf sont tendus comme les cordes d’un instrument de musique et ses narines évasées battent la cadence sous sa respiration saccadée.
Tout à coup, son orgasme explose à l’intérieur de sa chatte. Son corps se raidit au point qu’elle ne peut pas crier et une vague indescriptible de pur bonheur traverse son corps de jeune fille. Elle frémit et elle est bouleversée de cette baise rapide et sans préavis.
je sens tout ça et sais qu’elle apprécie car sa chatte écrase ma bite par des spasmes continus et mes couilles sont arrosées par sa chaude cyprine qui dégouline de son trou dilaté.
Marylou arrive finalement à se détendre et reprendre sa respiration. Elle s’exprime maintenant par des cris pendant que je maintiens sa jouissance en continuant de la labourer à fond.
– Ouuuuiiiiiiiiii…….. Aaaaaaaahhhhhhh…..
Sa tête bat de droite à gauche et les yeux fermés elle attend courageusement le moment ou elle sentira mon sperme chaud jaillir de ma queue.
Je sais que je ne peux retarder ma propre jouissance beaucoup plus longtemps et pourtant je serre les dents !
Mais je ne peux plus me retenir et je lâche tout mon foutre dans le sexe brulant de mon amour de nièce pendant qu’elle orgasme de nouveau.
Je l’a garde plusieurs minutes contre moi mon phallus palpitant dans sa chatte merveilleusement baisée et puis je la laisse tombée sur le sol avec un bruit de bouchon qui saute quand ma bite sort de son vagin.
Marylou à ses jambes qui flageoles et je dois la soutenir pour qu’elle se remette dans la baignoire. Elle n’arrête pas de m’étreindre pendant que je savonne son corps et efface toutes traces de sueur, de sperme et de cyprine sur elle.
J’ai vicieusement accordé une attention particulière à laver son trou d’amour et je m’assure en la rinçant minutieusement qu’aucune trace de foutre n’apparaisse.
Je ne peux faire quoi que ce soit sur les ecchymoses autour de sa chatte maltraité, mais je ne veux surtout pas que sa mère sente ou trouve des traces de sperme.
Une fois séchée je lui dis :
– Tu feras attention que ta maman ne voit pas ta petite chatte comme ça, mon bébé d’amour. Sinon elle saura que tu t’es fait baiser sauvagement !
– C’est bon oncle Dany, je vais essayer… mais je ne peux pas t’assurer qu’elle ne me voit pas nue, mais si elle le fait, je vais lui dire que je j’ai joué un peu fort avec son gode ! Elle sait que je le fais souvent!
Un peu estomaqué par cette révélation, je stock dans ma tête cet élément pour l’avenir, mais il y a plus urgent à faire.
Il était déjà un 9:45, et Chantale peut arriver dans quelques instants ! Un frénétique nettoyage me prend quelques minutes et quand Chantale ouvre la porte, Marylou est dans son lit et moi dans le salon à lire un journal.
Elle s’excuse d’arriver si tard, mais je l’assure que Marylou ne m’a posé aucun problème et qu’elle est bien sagement dans son lit.
Je suis néanmoins un peu inquiet lorsque Chantale va dans la chambre de sa fille pour lui dire bonne nuit et qu’elles passent un long moment à parler. Quand elle est de retour en bas, elle est tout sourire et me remercie à nouveau d’avoir pris soin de sa petite fille.
Je pense alors que les mamans ne voient pas grandir leurs enfants !

Chapitre 4 : Surpris en pleine action !

Le lendemain matin, je suis entrain de faire un beau rêve car je me fais sucer par une belle jeune fille, mais quand j’ouvre les yeux je vois que c’est la bouche de Marylou qui est collée sur le gland de ma bite bien dure.
Cette petite salope de nièce apprend vite car c’est avec vigueur et sans que je ne sente ses dents qu’elle suce ma bite qu’elle à prise en otage avec sa main. Sa langue tourbillonne autour de la petite fente de mon gland et quand elle sonde ce petit trou je ne peux que gémir en lui disant :
– Loulou… j’y suis presque ! Ouiiiii… làààà…Reste comme ça bébé. Tiens-la bien et je vais pulvériser ma liqueur d’amour dans la bouche. »
C’est ce que Marylou voulais juste entendre et elle gémit avec enthousiasme et continue de plus bel à stimuler mon gland.
– Ooohhh, ma salope ! Tu me fais jouir ! Aaaaahhhhh… ouiiiii …tiens prends tout mon foutre ! Tu en veux… alors avale !
Mon amour de nièce avale rapidement les deux premiers jets puissants de foutre et ensuite elle recueille le reste de mon éjaculation dans sa bouche. Après qu’elle est sure d’avoir extrait la dernière goutte de mes couilles, elle sort ma bite de sa bouche et elle touille le sperme dans sa bouche avec sa langue. Finalement elle avale le tout et me sourit.
Je ne peux imaginer de meilleures façons pour se réveiller et il je lui retourne son sourire avant qu’elle ne saute du lit et sort de ma chambre.
Quand je descends prendre mon café, Chantale et Marylou ont presque terminé le leur. Une fois servi et assit, Marylou me fait un petit sourire et Chantale dit :
– Dany, je suis vraiment désolée, mais on m’a encore demandé de travailler tard ce soir. Pour être honnête, je vais me faire des heures sup. Je peux encore te demander de t’occuper de ta nièce ?
– No problème, et je t’assure que ça ne me dérange pas du tout ! J’aime bien m’occuper de ma nièce…
– Ouais, renchérie Marylou, oncle Dany est cool ! Il s’amuse bien avec moi et il m’apprend des choses ! Il est génial.
Elle me regarde avec son visage de jeune fille innocente et elle poursuit :
– Dis oncle Dany… Ce soir… on pourra faire la même partie qu’hier soir ?
J’avale ma salive et je réponds :
– Bien sur ma puce, si tu veux on fera le même jeu et tu ne vas peut être pas gagner !
Le reste de la journée, je me promène autour de la maison avec une bite souvent raide, en pensant à Marylou et dans l’attente qu’elle rentre de ses cours. Chaque fois que je pense à son corps et à sa belle petite chatte, j’en ai mal aux couilles.
Le temps me semble long tout l’après-midi jusqu’à ce que, enfin, la porte s’ouvre et que Marylou se précipite à l’intérieur comme un tourbillon. Elle jette son sac sur le plancher et me saute dans les bras. Et sans préambule, elle rit en me demandant :
– j’espère que t’es fin prêt pour me baiser maintenant car, rien que d’y penser dans le bus, ma culotte est trempée !
– Comment as-tu fais, jeune fille, pour mouiller comme ça !
– Avec mes doigts, idiot !
Et elle m’agite ses doigts sous mon nez pour que je sente son jus de chatte
– J’étais déjà bien humide et gluante de mon jus parce que je me suis branlé la chatte et je me suis fais jouir dans les toilettes à la pause. Et dans le bus j’ai entretenu mon conduit pour qu’il soit très juteux pour toi.
Embrassant ma jolie cochonne de nièce je la prends a bras le corps et je la bascule sur le divan.
Elle lève son cul quand je lui retire sa culotte et je vois nettement une belle auréole de cyprine dans l’entrejambe. Elle garde son cul en l’air, pendant que je dégrafe mon pantalon, avant de le reposer et de soulever ses jambes en l’air.
J’ai sa chatte exposée devant mes yeux ! Mon dieu qu’elle est belle ! Je n’ai pas le temps de retirer mon pantalon qui reste sur mes chevilles que J’en tombe à genoux et prenant en main ses mollets, j’écarte ses jambes pour admirer la splendeur de son sexe entrouvert. L’intérieur de ses lèvres est tout rose et brille avec le jus qui s’écoule de sa chatte.
Pendant quelque secondes j’admire cette beauté de la nature avant d’abaisser mon visage entre ses jambes. L’odeur de sa chatte chaude envahit mes narines et ma langue glisse sur toute la longueur de son sexe avant que je l’a pousse à l’intérieur.
Marylou halète déjà à son contact et ferme les yeux en même temps qu’elle écrase sa chatte sur ma langue et mes lèvres. Sous la pression la chair autour de sa chatte change de couleur et j’aperçois, en reculant momentanément, les traces de notre baise d’hier. Mais cela n’arrête pas mon excitation et la sienne qui est plus forte que toute douleur. Elle ne bronche pas lorsque j’utilise mes doigts pour ouvrir son trou d’amour et que je commence à lécher son jus qui s’oindre.
Volontairement j’évite son clitoris sensible et je me concentre sur le bas et le haut de l’entrée de son vagin. Je lèche, je suce et aspire ses petites lèvres. Cependant, ma langue stimule l’entrée du trou à pipi de Marylou, et elle commence à se sentir très bien.
Ma langue enfoncée au plus profond que je peux et elle poussant fortement sa chatte sur mon visage, je sens les premiers frémissements entre ses cuisses qui s’intensifient rapidement.
Ces chairs sont de plus en plus rouges et sa respiration est rapide et peu profonde, et je connais bien ses signes.
Je me décide à donner le coup de grâce à ma nièce et j’att**** son clitoris tendu et dur et je le suce et le titille avec le bout de ma langue.
C’est comme si sa chatte reçoit une décharge électrique. Son corps se tend puis elle se met presque en boule pour gémir et pleurer en même temps ! Marylou est en pleine jouissance, son corps vibre sous l’orgasme et moi je me régale du plus délicieux des jus de jeunes fille. Je continu de lécher et de laper tout se qui sort de son adorable vagin en attendant que Marylou récupère ses sens pour ouvrir à nouveau les yeux et me regarder.
Éloignant mon visage de ce puits des félicités, Marylou peut voir son jus, partout dans ma bouche et sur mon menton que j’essuie avec le dos de ma main.
Se mettant debout, Marylou me surveille de près quand je fini de me déshabiller en retirant mon tee-shirt au-dessus de sa tête et retire mon pantalon coincé sur mes pieds. Pour la première fois, c’est moi qui suis nu devant cette belle fille, ma nièce, qui me regarde la bite en l’air avec des yeux brillant d’envie !
– As toi Marylou… enlève tes vêtements que j’admire ta beauté de petite chatte dévergondée.
Allongé sur le canapé je caresse ma queue bandée comme jamais et regarde cette belle jeune fille se dénuder. La fente de son sexe me parait petite pour absorber une bite comme la mienne, mais je suis toujours surpris quand elle s’étire et élargie pour absorber mon pieu. Marylou m’a confié qu’elle aussi est très fière de sa capacité à prendre ma queue dans son vagin.
Elle est nue, impudique devant moi et prête à baiser avec son tonton d’amour !
Dans l’immédiat je ne fais rien et je décide de la laisser faire à sa guise. Marylou prends son temps et commence par branler ma bite en me fixant dans les yeux. Je goute patiemment à cette douce caresse jusqu’à ce qu’elle me chevauche et commence à frotter sa cramouille crémeuse sur toute la longueur de mon phallus avant de se décider à se l’enfoncer.
La progression est lente, mais la pression est constante, jusqu’à ce que ma bite atteigne le fond de son vagin et bute sur l’utérus. Elle semble profiter de cet envahissement de son tunnel, puis elle commence à rebondir de haut en bas sur mon sexe.
Je regarde son renflement pubien déformé par cette masse qui déforme ses chairs et commence à malaxer ses seins qui me narguent devant mes yeux.
Ses mamelons sont d’une couleur rosée et les tétons qui pointent appellent la caresse. Entre deux doigts je les roule ce qui la fait gémir bruyamment.
Marylou ne va pas tarder à monté au 7eme ciel avec son clitoris stimulé par ses ondulations et sa chatte remplie de ma bite brulante. Dans un grand cri, elle laisse son orgasme éclater et son vagin se resserrer sur ma queue qu’elle martyrise en tordant son corps sous le coup de sa forte jouissance. J’aime voir sa jouissance car elle rayonne de bonheur juste après les derniers soubresauts de son vagin et je suis heureux qu’elle a jouis avant moi car maintenant c’est mon tour de profiter de cette magnifique jeune fille.
Je la soulève ma bite toujours ancrée dans sa chatte et faisant demi tour je la pose sur le canapé et je commence à la baiser quand une voix crie :
– Merde ! Qu’est ce qui se passe ici ! Ce n’est pas vrai ! Tu baise ma fille !

Marylou et moi nous figeons instantanément et j’ai l’impression qu’une main glacée serre mon cœur. J’ai reconnu la voix de ma belle sœur et je la sens maintenant debout derrière nous. Même la connaissant bien, je retarde le face à face qui risque d’être orageux. Avec ma bite encore dans la chatte de sa fille je cherche une explication ‘raisonnable’ à cette situation très’ particulière’ pour un oncle et sa nièce.
Je retire rapidement ma queue ramollie par son arrivée intempestive et je me retourne vers ma belle sœur.
– Chantale… heuuu… Chantale… je…
En fait je ne peux rien sortir comme explication et je reste planté là comme un gamin pris en faute !

Chapitre 5 : Explications et abandon

Chantale est debout les bras croisés sur sa poitrine et son pied droit frappe le sol. Je suis toujours sans voix quand Marylou se lève du canapé et me rejoint en me prenant par la taille.
Devant mon air terrifié elle éclate de rire au point que des larmes de rire roulent sur ses joues et chaque fois qu’elle me regarde elle est prise d’une convulsion de rire.
Je ne peux que supposer que ma nièce est en état de choc, mais lorsque je regard Chantale, elle est toute souriante et essaye, elle aussi, de ne pas éclater de rire.
Je ne comprends pas très bien ce qui se passe :
– Qu’est qui se passe ici ? Je ne……
Je ne fini pas ma phrase et Chantale arrête de rire et rapidement elle me prend dans ses bras !
– Dany… Je suis désolé de t’avoir fait peur, mais je n’ai pas pu résister…
– Alors, tu n’es pas fâchée ?……
– Non, dit-elle, en m’embrassant sur une joue.
– Je ne suis pas en colère, » dit-elle encore en embrassant l’autre joue.
– Et je ne suis pas fâché du tout, termina-t-elle en m’embrassant sur la bouche.
Tout ce temps là, je suis resté raide comme un piquet, les bras le long du corps. Cinq minutes plus tôt, je me voyais en prison après un dépôt de plainte, et maintenant Chantale me traitait comme une sorte de héros. Et pour parfaire cette mascarade je l’entends dire :
– Je suis juste surprise qu’il ait fallu autant de temps à ma petite salope pour que tu lui enfile ta bite au fond de sa chatte.
Réalisation maintenant ce qui se passe je lui demande :
– Tu savais ce qui se passait entre ta fille et moi… n’est ce pas?
– Bien sûr que je suis au courant… Marylou m’a tout raconté hier soir.
Elle regarde par-dessus mon épaule sa fille complètement nue et ajoute :
– Et avec beaucoup de détails, si je puis dire !
– Dany…pour tout t’avouer, hier soir j’ai effectivement du travailler tard et nous avons pensé toutes les deux que c’était l’occasion rêvée pour Marylou de te séduire. Quand elle m’a dit qu’elle avait réussi, je t’ai menti en te disant que ce soir je rentrerais également tard, parce que je voulais vous surprendre tous les deux entrains de faire l’amour.
Assis sur le canapé avec Marylou à coté de moi, je devais avoir le visage très pale car inquiète elle me dit :
– Doux Jésus, tu ne vas pas avoir une crise cardiaque ou t’évanouir, dis-moi?
– Écoute je reste estomaqué par ce que viens de découvrir. Tu peux peut être me donner quelques explication supplémentaires…
– Tu ferais mieux de te d’étendre, déclare Chantale, en agitant sa main vers sa fille pour se faire une place elle se met à côté de moi et me prend ma main. Elle pose ma main sur ses genoux avant de prendre une grande respiration.
– Bon… C’est une longue histoire, donc je vais te donner la version raccourcie.
Les yeux dans les miens, elle commence :
– Marylou était très jeune quand j’ai divorcé de David.
Je réalisé que c’est la première fois que j’entends Chantale utiliser le nom de son ex-mari.
Elle haussa les épaules quand je lui dis et elle continue :
– Ce n’était aucunement un problème car je ne l’ai vraiment jamais aimé.
Ne sachant quoi répondre je reste silencieux et Chantale continue :
– en fait, j’ai n’a jamais aimé qu’un seul homme dans ma vie, et je suis encore folle de lui maintenant.
– Qui est-ce ?…
Mais levant sa main elle dit:
– je vais te le dire dans quelques minutes, mais il y a autre chose que tu dois savoir d’abord.
Je hoche la tête et elle continue :
– Il y a 2 ans quand Marylou m’a avoué qu’elle jouait à touche pipi avec ses copines et parfois ses copains, j’ai commencé moi aussi à jouer avec elle ! C’est venu comme çà… parce qu’elle voulait des conseils… et que moi j’étais en manque de sexe depuis pas mal de temps !
Depuis, nous avons fait tout ce que deux femelles peuvent se faire avec chacun de leurs organes sexuels.
Elle me fixe avec un regard vide et ajoute :
– Je ne te donne pas plus de détails mais tout ce que n’importe quelles dépravées ou pervers peuvent faire… nous l’avons fait !
Je suis sous le choc, totalement pris au dépourvu par cette confession et ce n’est rien avant ce qui suit :
-Tu m’as demandé qui j’ai aimé et que j’aime toujours ?
Et sans attendre ma réponse elle m’assomme :
– Eh bien, c’est toi … mon cher frère. Je t’aime depuis le premier jour ou tu as commencé à jouer avec mon corps. Il ne se passait pas un jour ou je rêvais d’avoir ta belle bite dans ma chatte. Tu ne l’as jamais fait et nous avons grandit sans que tu me baises ! Tu ne peux pas savoir combien je voulais le faire !
Complètement abasourdi je réussis à dire :
– Pourquoi tu ne m’as rien dis ?
– Je ne voulais pas prendre de risque. Si tu ne partageais pas mes sentiments, tu aurais peut être arrêté de flirter avec moi et… j’ai toujours espéré, toutes ses années, qu’un jour nous serions ensemble à nouveau.
Je suis complètement stupéfait de ce que vient de me dire ma sœur et me regardant elle ajoute :
– ET j’espère toujours ! Alors qu’en est-il pour mon frère que j’aime…. Tu veux juste baiser une jeune fille comme ta nièce ou tu as aussi envie de baiser ta sœur qui se pâme d’amour pour toi?…….
Pivotant ses fesses hors du canapé et se mettant sur ses genoux, Chantale écarte les miens et penche son visage entre mes cuisses. Ma bite à moitié bandée et encore enduite du jus de la chatte de sa fille est avidement gobée dans sa bouche. Après quelques secondes de travail sur celle-ci elle se met rapidement à gonflée, puis à durcir et s’allonger dans sa bouche ce qui rend sa fellation plus difficile. Sa bouche doit être pleine des saveurs du trou à bite de Marylou et même si elle a déjà gouté aux sécrétions de sa salope de fille, retrouver son odeur sur la bite de son frère la fait frissonner d’excitation.
Je suis totalement et irrémédiablement perdu.
Il y a quelques jours j’étais un homme hétérosexuel normal et maintenant après avoir commis un i****te avec ma nièce, je m’apprête à faire la même chose avec ma sœur et j’ai découvert que ma sœur et sa fille adolescente ont jouées les perverses amatrices.
Si j’avais lu une histoire comme ça, dans l’un des magazines adultes que j’achète occasionnellement, je l’aurais jeté à la poubelle parce qu’il n’était tout simplement pas crédible.
Je pensais que cela n’arrive pas dans la vie réelle mais je suis entrain de constater que c’est possible car je ne rêve pas !
Ma sœur me fait en ce moment une gorge profonde et sa fille, ma perverse nièce, est entrain de se masturber en regardant sa mère absorber entièrement ma longue et grosse bite complètement en érection à m’en faire mal.
La situation dans son ensemble est extraordinaire et si mes pensées sont un peu confuses, ma queue, elle, ne l’ai pas !
– Je crois que ta queue est maintenant prête à baiser une chatte en chaleur… bien dure et bien droite !
Et me regardant en souriant avec envie :
– Mike… tu ne réponds pas… dis… tu veux sauter ta sœur qui brule d’envie d’avoir ta belle queue dans son ventre ?
– Oooh ouais, putain que oui ! Je vais te fourrer comme jamais tu l’as été !
Elle enlève la veste de son tailleur et j’aperçois à travers son chemisier les grandes lignes de son soutien-gorge, pendant qu’elle déboutonne lentement celui-ci. Ses hanches se balancent au rythme d’une musique qui n’existe que dans sa tête, et jouant la stripteaseuse, les yeux dans les miens elle continue à se déboutonner. elle tire son chemisier ouvert hors de la ceinture de sa jupe Je m’apprête à le retirer, mais elle l’ouvre au maximum et j’ai sous les yeux une poitrine aguichante sous un soutien-gorge assez mini. Passant ses mains derrière elle, elle tire sur la fermeture à glissière de sa jupe et celle-ci tombe sur ses chevilles avec un doux bruissement. Puis dans un mouvement érotique elle l’a lance sur le côté.
Sa bouche et ses yeux sont parfaitement maquillés et je ne pense pas que ma sœur porte normalement cette lingerie pour son travail. C’est la confirmation qu’elle a manigancé pour me surprendre ce soir.
elle sourit à sa réaction et compresse ses deux seins en remuant des fesses… Dieu qu’ils sont beaux, rond, fermes, avec une grosse auréole sombre qui dépasse du soutiens gorge minimaliste. Sa culotte est assortie, avec une coupe très haute sur les côtés et juste un mince ruban couvrant sa chatte et disparaissant dans son cul… huuuummm….
Autour de sa taille un porte-jarretelles blanc qui maintient par de fines dentelles des bas transparents. C’est rare maintenant de voir des femmes porter ses dessous affriolants !
Admirant sa mère entrain d’exciter son oncle, Marylou se glisse sur le coussin à côté de lui mais, malgré que sa nièce saisisse sa bite tendue pour le branler doucement, il ne peut quitter des yeux le magnifique corps de sa sœur.
Chantale hôte son chemisier et fait un petit tour sur elle-même pour que je puisse admirer furtivement sa belle paire de fesse et le sillon entre celle-ci. Elle portait toujours ses chaussures et elle se penche en avant sur ses genoux pour les enlever. Elle aussi doit s’exciter car je vois sur le devant de sa culotte une tache humide qui n’était pas là il y a quelques secondes. Au tour des bas maintenant, qu’elle commence à rouler sur ses cuisses.
Se faisant elle a du serrer les muscles de sa chatte aussi fort qu’elle peut, car je vois nettement son jus transpercer la mince bande de tissu de son slip plaqué sur sa fente.
Elle finit d’enlever ses bas et maintenant, assise sur ses genoux écartés, je vois son entrejambe vraiment mouillé pendant que je retire son soutient gorge.
Ma bouche est sèche quand je regarde cette beauté… là… devant moi… ma sœur qui me faisait déjà bander il y a 20 ans !
Pressant ses seins dans ses mains, elle me fixe et :
– Tu aime mes seins, Mike…
Au lieu de répondre, je gémis doucement et j’avance ma bouche pour sucer l’un des mamelons dressé et dur et je fais rouler ma langue autour de ce téton excité.
Chantale jette sa tête en arrière, gémit à mon contact et regarde sa fille en souriant. Mon amour de nièce n’en perd pas une miette et nous regarde avec ses doigts enfoncés dans sa chatte gonflée. Elle sourit aussi à sa mère attendant patiemment d’être invitée à participer.
Je tète goulument comme un bébé les mamelons en passant de l’un à l’autre avant de mordiller très légèrement les tétons.
Chantale s’écrie puis, en riant et avec des yeux coquins, elle retire son bout de sein de ma bouche pour, debout devant moi, descendre très lentement son slip brésilien.
Son entrejambe est tellement mouillé que le tissu reste collé dans sa fente alors qu’elle tire la ceinture du slip et il faut qu’elle atteigne ses genoux pour que le reste suive !
Je dégluti devant cette vision très érotique et je vois enfin sa chatte… complètement rasée, les lèvres rouges et gonflés.
Assise à cheval sur mes jambes, elle enroule ses bras autour de mon cou et m’embrasse passionnément sur la bouche.
Sans quitter mes lèvres elle baisse ma bite et s’approche d’elle en écartant ses cuisses. Balançant son bassin en avant, mon gland trouve immédiatement sa chatte en feu et glisse à l’intérieur.
Ce n’est pas la meilleure position pour la pénétration, mais c’est la première fois que ma queue est à l’intérieur de sa chatte et Chantale frissonne de convoitise.
Lentement en me poussant la poitrine pour m’allonger sur le canapé, elle s’enfile de plus en plus ma bite dans son vagin, et, quand complètement allongé sur le dos elle lâche mes lèvres, elle se redresse et d’un coup de rein elle s’empale complètement sur ma grosse queue.
Avec un soupir de satisfaction, elle savoure cette sensation d’être remplit complètement par cette masse de chair qui gonfle son tunnel d’amour avant de se lancer dans une baise endiablée sur mon pieu tendu à mort.
Regardant sa fille, elle voit Marylou qui a pris son slip taché de sa mouille et qui suce le jus resté collé tout en continuant à jouer avec sa chatte gonflée.
Voyant que sa mère la regarde, Marylou sourit et ouvre largement ses cuisses pour qu’elle voit sa petite chatte enflammée.
Elle peut nettement voir que la chatte de sa fille est grande ouverte, avec, autour de son trou rouge, une zone enflée :
– Doux Jésus, Il t’a salement baisé ma chérie, n’est ce pas?
Puis tournant ses yeux vers moi :
– Vas-y frangin ! Baise-moi violemment, fais-moi mal…. Rend ma chatte comme celle de Marylou !
Je ne fais pas remarquer à ma sœur complètement excitée que c’est elle qui est au dessus et que je n’ai peu de contrôle sur mes mouvements.
Chantale regarde en arrière entre les jambes de sa fille tout en soulevant et redescendant son cul sur ma longue queue qui commence sacrément à souffrir. Elle va de plus en plus rapidement et son cul claque sur ma peau.
Pendant de nombreuses années elle a espéré et prié pour connaitre se moment là ! Elle a tellement eu envie de prendre la bite de son frère dans sa chatte que la présence de sa fille près d’elle, ne la dérange pas le moins du monde.
Elle est devenue une salope et elle a fait en sorte que ma nièce Marylou, sa fille… en soit une aussi. Maintenant que son rêve et ses désirs sont entrain de se réaliser, que la belle bite de son frère est profondément dans sa chatte et elle veut désespérément jouir !
Pour rebondir plus rapidement sur moi elle se penche en avant et amène son clitoris vibrant au contact de mon pieu et elle gémit bruyamment quand il frotte sur toute la surface de ma bite chaude.
Elle était tellement excitée que des frissonnements familiers, annonceurs de spasmes laissent prévoir un orgasme éminent.
Haletante et les yeux fermés, elle continue de s’enfoncer le plus loin possible sur mon sexe qui résiste encore à la folie de son vagin et… comme une chienne en chaleur elle pousse un cri strident quand son orgasme explose dans tout son corps. Elle entre vraiment en convulsion, collée sur mon corps, nos deux pubis écrasé l’un contre l’autre et je sens ses spasmes de plaisir sur ma queue surchauffée.
Je ne peux que regarder ma sœur pendant qu’elle ondule sur ma bite toujours bien raide en attendant que les vibrations de sa chatte diminuent et qu’elle redescende sur terre.
Enfin, se redressant, elle retire sa chatte en profitant de chaque millimètre de ma queue pour finalement l’extraire de son trou béant et dégoulinant. Chantale à un dernier frisson au moment de sa libération mais remet vite ma bite au chaud.
Marylou riait et tapait des mains quand sa mère jouissait avec des spasmes incontrôlables et je vois qu’elle est toujours en train de se branler furieusement, les doigts complètements enfoncés dans sa chatte.

Chapitre 6 : Marylou et sa mère : Mes amours pour la vie

Je profite de cette vision plus qu’érotique avec sa mère qui récupère, mais, avec son cul qui se tortille toujours et sa chatte brulante enveloppe encore ma bite.
– Dany … Putain ça fait du bien ! J’en avais besoin. Je n’ai pensé qu’a ça toute la journée et prier pour que notre plan marche et qu’enfin je te ferais l’amour et que tu mettrais ta belle bite dans ma chatte.
Elle se lève lentement sur ses genoux, regardant vers le bas pour admirer ma bite gluante émergeant de sa chatte en laissant des filets de jus accrochés aux lèvres rougies de son sexe.
Debout devant moi, impudique mais tellement belle dans sa nudité, elle me fixe avec un sourire :
– A toi maintenant. Comment veux-tu me prendre ? Quelle est ta position préférée pour gicler ton foutre dans ma chatte assoiffée?
Sortant du canapé:
– Couche-toi là ! Je veux te faire face quand tu vas hurler et que je vais te remplir ton vagin avec ma crème.
Désireuse d’accéder à tous mes désirs, Chantale se jette sur le canapé avec ses jambes grandes écartées :
– Vas-y prends moi ! Redonne-moi ta belle bite. Fais moi l’amour et prend ton pied !
Marylou me regarde prendre les jambes bronzées de sa mère et bien les écarter en les remontant. Je regarde le sexe de ma sœur bien ouvert, brillant et humide, qui frémit d’impatience devant ma bite qui s’approche.
A coté, Marylou, plus salope que jamais, se penche et introduit sa tête entre ma bite et la chatte de sa mère et glisse sa langue dans la chaude cavité.
Chantale gémit de plaisir sous cette caresse et dit:
– Bébé… que fais-tu ? Tu bouffe la chatte de ta mère devant ton oncle…. Huummm… c’est boooonnnn !
Mon amour de petite salope de nièce, évidemment, sait très bien ce que sa mère aime car elle a immédiatement ouvert la chatte de Chantale avec ses doigts jusqu’à ce qu’elle voit son petit trou de pisse et qu’elle colle ensuite sa bouche dessus.
Sa mère grogne et halète en même temps et elle a siffle :
– Ouiiiiii… là c’est bieeeen… Ouiiiii, c’est bon bébé. C’est le point sensible de ta maman. Suce mon trou à pisse comme une bonne fille et donne du plaisir à ta maman.
Je regarde, incrédule un spectacle qui, il y a moins d’une heure, j’aurais cru impossible. Ma jeune nièce suce la chatte de sa mère comme une pute expérimentée, et cette mère, c’est ma propre sœur, qui m’a fait tant bander il y a une vingtaine d’année.
Je ne réalise pas vraiment mais par contre, ma queue, elle, n’a aucun doute sur ce qui se passe. Elle pointe son gland vers le ciel, dure comme une barre de fer et elle commence à avoir des fuites !
Je veux désespérément revenir dans le trou à bite de Chantale, mais je ne peux arracher mes yeux de la bouche suceuse de Marylou.
Chantale a les yeux fermés, et pousse sa chatte sur la langue de sa fille, et, elle n’a aucune réaction quand je lâche une de ses jambes et que ma main glisse dans le dos de Marylou pour atteindre sa raie des fesses. Je caresse son trou du cul mais j’ai un peu de mal à atteindre sa chatte sans bouger. Sentant mon problème, Marylou déplace ses fesses sans pour autant que sa bouche quitte la chatte de sa mère, et elle gémi de plaisir quand mon doigt pénètre dans sa petite chatte.
Elle est chaude et humide et je n’ai aucun mal à ajouter un deuxième doigt avant de commencer à baiser sa chatte avec ma main. Pendant quelques secondes j’oublie ma sœur et je m’apprête à enfiler ma bite dans le vagin de Marylou mais je sais que Chantale veut vraiment baiser avec moi et surtout que j’envoie mon sperme dans sa chatte.
Marylou pousse des gémissements de plaisir sous la caresses de mes doigts, légèrement étouffés par la chatte de ma sœur, mais Chantale les entends aussi :
– qu’est ce que tu lui fais pour qu’elle couine comme çc ? Dis-moi ce que tu fais.
– Je lui doigte la chatte, j’ai deux doigts dans son trou brulant, je la baise comme avec une petite bite et elle ronronne comme une fille vicieuse.
– Je parie que cette petite salope doit aimer ça ! Est-ce qu’elle mouille ?
– Elle est trempée. Écoute!
Et je fais aller mes doigts aussi vite que je peu dans la chatte de ma nièce qui émet des bruit de succion des plus infâmes.
– Vas-y branle lui la chatte, le cul !
A-t-elle déclaré et s’apprêtait à dire quelque chose d’autre mais elle n’a pas réussi à prendre la parole parce que la chaude petite bouche de Marylou a repris ses aspirations de son clitoris et elle eu un frisson incontrôlable. Elle gémit quand son corps est parcouru de violents spasmes et qu’elle joui sous l’orgasme.
Marylou quitte sa chatte et me regarde par-dessus son épaule.
En frottant sa chatte serrée avec ses doigts, ma nièce sourit et annonce :
– tu vois comment je sais bien la faire jouir !
– Je vois ça mon bébé, tu es une bonne petite salope !
Et je la doigte plus rapidement.
Très heureuse d’elle, Marylou se met plus loin et saisi ses chevilles avec ses mains pour les mettre sous ses cuisses, comme je l’ai fait précédemment. Elle écarte ses cuisses et avec ses doigts remplis de mouille de sa mère elle se branle sa chatte qui elle aussi ruisselle de cyprine.
Je vois bien qu’elle cherche sa propre jouissance.
Haletante et gémissante, la jeune fille enfile ses doigts dans sa chatte une pute aveugle car elle sent venir la délivrance.
Chantale remise de son orgasme regarde sa fille qui tout d’un coup pousse un cri. Son jeune corps tremble et frissonna sauvagement quand elle atteint le point culminant de son plaisir et je la retiens quand elle tombe en avant. Je retire sa main enfoncée dans sa chatte en attentant que Marylou, dans les vapes, reprenne ses esprits.
Des que j’ai retirer les doigts de la chatte de Marylou, Chantale me les a arraché des mains pour les mettre dans sa bouche et sucer et lécher jusqu’à la dernière goutte son jus d’adolescente.
Ses yeux brillaient quand elle a lâché les doigts de sa fille maintenant propres et me regardant :
– Maintenant, baise-moi !
Je soulève ses jambes et l’attire vers moi. De ses deux mains, Chantale caresse amoureusement ma queue et la guide jusqu’à l’entrée de son trou béant et dégoulinant de jus. Elle se mord sa lèvre inférieure en prévision du plaisir qui l’attend. Elle avance ses hanches et ferme ses yeux quand ma queue écarte ses lèvres et pénètre doucement dans son tunnel rougit.
Quand je m’enfonce au plus profond de sa chatte, Marylou gémit bruyamment et transporte son corps épuisé prés de nous et elle se met à genoux, les yeux à quelques centimètres seulement de la jonction de nos deux corps.
Marylou regarde ma bite disparaitre entièrement dans la chatte de sa mère et le visage de Chantale qui respire le bonheur absolu quand son vagin est rempli. Elle rouvre les yeux et me regardant amoureusement :
– Vas-y Dany. Baise-moi. Baise ta salope de sœur qui t’aime !
Les yeux fixées sur nos corps Marylou se branle de nouveau la chatte. Son souffle est rauque et elle se pince ses petits tétons à s’en faire mal. Elle est complètement surexcitée.
Sur le canapé, je baise durement ma sœur et j’aime la façon qu’a Chantale de gémir et de s’agiter sous moi.
Elle gémit et se tord sous moi chaque fois que ma bite s’enfonce profondément dans son trou saturé de jus. Ses chevilles sur mes épaules et le cul en l’air je m’enfonce d’une poussée presque rectiligne dans sa chatte qui ruisselle de jus et me permet une pénétration maximum.
Marylou imagine que c’est sa chatte qui est baisée si vigoureusement par ma queue et les délirants gémissements de sa mère ne peuvent étouffer ses propre gémissements qu’elle se procure elle-même avec ses doigts. Sa jeune chatte bave de son jus car elle est assise sur ses talons, les cuisses largement ouvertes et quatre doigts enfoncés dans sa chatte lui font venir des picotements à l’intérieur de son corps.
– Oh Dieu, oui, ouiiiiii…
Chantale gémi a chaque poussée de mon pieu dans sa chatte serrée.
– Baise-moi bien Dany. Continu comme ça, je vais peut être encore jouir mais continu de me baiser jusqu’à ce que tu m’envoie ton sperme au fond de ma chatte.
Ses hanches tremblent mais elle résiste sauvagement et ses gémissements deviennent plus forts jusqu’à ce qu’elle en pleure.
– je vais jouir, Danyyyyyy, Oh Ouiiiii, je vais jouiiiirrrrrr !
En quelques secondes, son corps devient rigide et puis elle crie en vrillant sauvagement ma queue avec une brutale contraction de son vagin. Puis sous les coups de piston que je lui donne, sa chatte vomit son jus et elle crie comme une folle hystérique quand son orgasme explose dans tout son corps.
Je suis au bord de l’explosion et je pistonne durement cette chatte frémissante en clouant son cul sur le canapé à chacune de mes poussées verticale.
Je grogne et j’explose dans la chatte de ma sœur toujours en train de jouir et j’entends aussi Marylou crier quand elle coince tous ses doigts dans sa chatte et qu’elle a un orgasme bruyant.
Maintenant nous sommes trois à gémir et à râler sous la force de nos orgasmes en essayant ensuite de reprendre notre souffle.
Les couilles vides je me retire de la chatte de ma sœur, ma bite recouverte de son jus vraiment abondant quand elle jouit aussi fort.
Chantale encore un peu dans les vapes me sourit :
– Waouhhh, ça c’est une baise magistrale ! Tu ne peux pas savoir combien de fois j’ai rêvé à cette baise. Je savais que ce serait magique !
– Merci du compliment. J’espère que ton rêve c’est réalisé comme tu l’espérais.
– Ooohhh, mieux ! Beaucoup, mieux !
Après que nous avons récupéré et assis tous les trois sur le canapé, nus et baignant dans la brillance de nos foutre, Chantale me donne plus de détails sur son mariage voué à l’échec, et puis Marylou me dit :
– Et voila le résultat ! Maman à tout fait pour me rendre heureuse et elle en même temps et au fil du temps nous sommes devenues de parfaite petite salopes.
A l’entendre ma bite se redresse de nouveau et ma sœur nous invite à monter dans sa chambre pour finir agréablement cette journée familiale.
Lorsque nous nous endormons dans un enchevêtrement de corps, j’ai encore baisé ma sœur et mon amour de nièce à subit les outrages de ma bite et les caresses profondes et humides de sa mère.
Le lendemain matin, je me décide à aller chercher un boulot dans le coin afin de ne pas m’éloigner de ma sœur et de mon adorable nièce. Le midi, au resto, rien que de penser à nos relations intimes je suis allé aux toilettes pour me branler !
Sur le chemin du retour, mon cœur cogne fort dans ma poitrine et je me demande comment elles vont me recevoir après cette orgie de sexe d’hier soir. J’espère en tout cas qu’elles n’ont aucun regret.
J’entre dans la maison étonnamment calme et monte directement dans ma chambre.
Je suis surpris de la trouver vide de tous mes effets personnels. Pris d’une subite intuition, je vais dans la chambre de Chantale et je constate que tous mes vêtements sont là et soigneusement disposés dans une armoire séparée. Je souri intérieurement et redescend dans la salle de séjour. La vision que j’ai devant mes yeux me bloque devant la porte et ma tension grimpe en flèche.
Chantale et Marylou sont nues et à genoux sur le sol. Leurs culs pointent vers moi et leurs chattes et leurs trous du cul sont en pleine lumière !
Elles ont du jouer avec car leurs fentes brillent de leur jus et quand j’ai poussé la porte elles se mettent à tortiller des fesses.
Chantale regarde par-dessus son épaule et dit :
– nous t’avons attendu, Dany. Nous avons pensé que tu aurais soif et que tu aimerais quelque chose de chaud lorsque tu rentrerais à la maison !
La bite palpitante entre mes jambes et avant que je ne puisse répondre, Marylou m’a également regardé et dit :
– Ma petite chatte doit être aussi très agréable car elle est chaude, oncle Dany. S’il te plaît tu veux bien nous faire plaisir et t’occuper d’elles !
Je déglutis ma salive, arrache mes vêtements et je remercie tous les dieux du ciel pour m’avoir donné une sœur et une nièce aussi belles l’une que l’autre et surtout avides de sexe !
Je les aime toute les deux, ce sont mes amours et croyez moi, je vais m’en occuper et surtout les baiser jusqu’à ce qu’elles demandent grâce !
FIN

A propos de l'auteur

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