ce premier texte que j’édite est dédié à deux personnes : Cello qui m’a fait découvrir les plaisirs de la soumission féminine et felanfab dont les personnages de la saga « Hélène » ont largement inspiré le caractère des 4 héros de ce récit. Seule différence, Bernadette n’est pas vraiment obèse comme Hélène, elle est ronde, comme on dit maintenant, ce qui m’a permis de lui imposer des activités sportives qu’Hélène n’aurait pas pu assumer.
contexte
pour mieux comprendre la situation,
Par candaulisme, Thierry a entraîné sa femme Bernadette dans les bras de Pablo, mâle manipulateur et dominateur, elle est devenue sa soumise. la situation s’est compliquée pour Thierry lorsque Pablo a décidé qu’il n’était qu’un soumis en puissance et a confié son éducation à Florent. Le résultat est que le couple devient esclave sexuel des deux. Au début, Bernadette ignore que Thierry est l’esclave sexuel de Florent puis finit par l’apprendre. elle lui en veut énormément, Pablo finit par la convaincre que c’est leur orientation sexuelle à tous les deux que leur statut d’esclaves n’est pas un problème dans un couple moderne qui s’aime et que comme Thierry a bien accepté qu’elle soit sa vide-couilles, elle doit aussi accepter qu’il soit le jouet de Florent. Alors Bernadette finit par accepter la situation et assumer son devoir conjugal vis à vis de Thierry, elle n’est pas vraiment perdante puisqu’elle continuera à prendre son pied avec Pablo chaque fois qu’ils en auront envie. Mais elle a acquis une certaine autorité sur Thierry et n’hésite plus maintenant à le chambrer et à lui imposer sa volonté.
Récit
si cette partie vous rappelle le texte « l’éducation d’Hélène » ce n’est ni un hasard, ni un plagiat, juste la reprise d’un ballon d’essai que felanfab a bien voulu lancer pour moi.
Pablo et Florent ont décidé de s’amuser aux dépends de Bernadette et Thierry. Ils les convoquent séparément dans des lieux différents pour qu’ils ne se doutent de rien.
Puis le briefing, Florent emploie systématiquement le masculin pour que Thierry n’ait pas de doute, tout comme Pablo emploie le féminin auprès de Bernadette
Florent : aujourd’hui on fait un concours de chien, j’espère qu’on va le gagner, tu devras absolument obéir à tous mes ordres, te comporter comme un chien et interdiction d’émettre des sons autres que des aboiements, sinon tu vas dérouiller grave. Autre chose, quand moi, je parle de toi, tu devras interpréter et t’y conformer, par exemple, si je dis, il est pénible, il aboie tout le temps, tu devras te mettre à aboyer jusqu’à ce que je dise « stop », compris ?
Thierry : oui, je pense, quand vous dites quelque chose qui me concerne je dois m’y conformer même si ce n’est pas un ordre strict,
Florent : oui, comme ça, je pourrai adapter ton comportement en fonction des circonstances, On va répéter, d’abord, questions comportementales
Florent : un chien qui rencontre un autre chien, il fait quoi ?
Thierry : il lui tourne autour, il lui renifle le cul ?
Florent : oui pas que, il lui lèche aussi,
Florent : maintenant fout toi à poils qu’on révise, il prend un collier avec une laisse et une petite badine,
Thierry est à poils,
Florent : à quatre pattes comme un chien, sur les genoux, écarte plus les genoux qu’on voit tes couilles entre les cuisses
il en profite pour donner un petit coup de badine sur les couilles, Thierry pousse un petit cri,
Florent : j’ai dit « rien que des aboiements », tu n’es plus qu’un chien
il lui redonne un coup plus fort
Thierry, plaintif : ouaff, ouaff,
Florent : bien tu comprends vite,
Florent : assis,
Thierry pose ses fesses sur ses pieds et les mains au sol, bras tendus,
Florent en donnant des petits coups de badine sur les cuisses : écartes les genoux, plus, les bras à l’extérieur des cuisse
Thierry fait ce qu’il peut pour faire plaisir à son maître, il écarte bien sur les genoux, écarte les bras
Florent : au pieds,
Florian vient se placer à coté de son maître, celui-ci tient la laisse droite, puis il commence à avancer à pas mesurés, Thierry suit,
Florent : redresse toi, cambre toi, il faut que tu sois beau, que tu aies fière allure,
Thierry fait ce qu’il peut, Florent donne des coups de badine là où il faut qu’il corrige la position, chaque coup de badine est pointé d’un ouaff plaintif,
Florent : remonte ton cul, creuse le dos, voilà c’est mieux
puis Florent allonge le pas, Thierry a plus de mal à suivre, il coure, commence à s’essouffler,
Florent : pas trop sportif la lopette, va falloir faire un effort tout à l’heure (il se dit en lui même que l’autre chien étant la grosse Bernadette, il n’aura pas vraiment de mal à être plus rapide mais bon, faut bien faire durer la surprise)
Florent : plus calme maintenant, fait le beau,
Thierry prend une posture qui pourrait passer mais Florent le corrige, à chaque fois la badine vient ponctuer ses dires
Florent : ça ne ressemble à rien, les genoux plus écartés, redresse le torse, les bras repliés, les mains à hauteur des seins, tire la langue, voilà, c’est mieux,
il en profite pour faire une photo qu’il envoie à Pablo, en réponse il reçoit une photo de Bernadette à quatre pattes le cul en l’air, on voit bien sa rosette et la mouille qui coule sur les cuisses, Pablo doit bien rigoler.
Florent : ça bande mou, j’espérais mieux de ta part,
Thierry : ouaff,
Florent : bon, maintenant, rapport d’objets,
il détache la laisse du collier, prend une balle, la fait rouler
Florent : rapporte la balle,
Thierry va chercher la balle, la rapporte dans la bouche,
Florent : ça ne va pas, tu dois courir après la balle, tout à l’heure quand on va lancer la balle tous les chiens vont courir après, seul le plus rapide marquera des points et j’espère bien que ce sera toi, on recommence,
Florent renvoie la balle, Thierry court derrière, il la ramène,
Florent : c’est mieux mais pas encore ça, encore une fois,
il relance la balle, et il suit Thierry en lui donnant des coups de badine sur les fesses pour le faire accélérer, celui-ci laisse échapper des petits cris plaintifs à chaque fois mais Florent ne relève pas, puis il revient à la position initiale en courant et attend Thierry, celui-ci lui tend la balle, il souffle beaucoup,
Florent : tu as soif ?
Thierry : ouaffff, ouafff,
Florent : bon petit chien vient boire,
il lui apporte une gamelle qu’il remplit d’eau,
Florent : allez boit, on va passer à quelque chose de plus calme pour que tu puisses récupérer
Thierry boit comme il peut dans la gamelle, Florent en profite pour lui plonger la tête dedans, Thierry se relève en toussant tout ce qu’il peut,
Florent en riant : excuse, je n’ai pas pu me retenir, bon on passe à autre chose, quand il est content un chien fait quoi ?
Thierry l’air content : ouaff, ouaff,
Florent : oui, mais ça ne suffit pas, un chien content, il remue la queue, mais toi avec le petit truc qui te sert à pisser, ça ne va pas suffire et comme je ne vais pas te mettre une queue dans le cul, on va se contenter de plus simple, tu vas remuer du cul mais bien, allez, montre moi
Thierry remue du cul, mais Florent n’est pas satisfait du tout, les coups de badine pleuvent sur les fesses de Thierry,
Thierry, plaintif : ouaff, ouaff, ouaff,
Florent : plus vite, le cul, plus gracieux, allez recommence,
Thierry recommence mais il n’est pas très doué alors la badine entre encore en action pour donner le rythme,
Florent : lève ton cul au max et maintenant, tu remues sur le coté, plus vite, allez recommence
Thierry essaie de faire plaisir à son maître, il fait le maximum mais il se prend encore quelques coups de badine dans la raie,
Florent : ce n’est pas le pied mais on devra s’en contenter, tant pis, on va bientôt aller rejoindre le lieu du concours, encore quelques exercices pour voir si tu as bien retenu,
Florent attend juste un SMS de Pablo, lui signifiant que tout est prêt et qu’il peut venir, mais il faut faire passer le temps et quoi de mieux que de s’amuser avec son jouet
Florent : fais le beau,
Thierry prend la pose, petit coup de badine sur les couilles,
Florent : mieux que ça,
Thierry se redresse du mieux qu’il peut, réajuste la position des mains,
Florent : remue du cul,
Thierry s’applique du mieux qu’il peut,
Florent : encore,
Thierry recommence,
Florent : bon, j’ai vu pire, au pieds,
il commence à faire le tour de la pièce doucement, Thierry suit sans trop de peine,
le téléphone sonne, SMS de Pablo, « tu es prêt ? » Florent répond « on arrive, à de suite »
il remet la laisse à Thierry,
Florent : au pieds,
il se dirige vers le garage, un gros SUV est garé là, le siège arrière est rabattu, Florent ouvre le coffre,
Florent : allez monte,
Thierry se dit qu’il va traverser la ville à poils dans le coffre de ce véhicule, il monte, il se couche en chien de fusil essayant de se cacher sous une couverture mais Florent la retire,
Florent : la couverture c’est pour s’allonger dessus comme un bon chien
Thierry se relève, Florent étale la couverture et Thierry doit se coucher dessus,
Florent : un chien quand ça se couche, ça gratte le tapis avant, tu as vraiment tout à apprendre
alors comble de l’humiliation, Thierry doit gratter le tapis puis s’allonge dessus, Florent prend place au volant et en avant, ils font quelques kilomètres, puis Florent pénètre dans une cour, stoppe le véhicule, en descend et vient chercher Thierry, il tire sur la laisse pour le faire descendre,
Florent : au pieds,
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