Voilà un an que ma petite soeur a eu seizeans, c’est une petite bombasse blonde, son corps est comme un petit sablier, ses hanches sont bien creusées et qui fait ressortir son postérieur comme une pomme à croquer. Moi j’ai trois ans de plus qu’elle. Ma petite soeur a donc reçu son diplôme d’université dans une autre ville et cela faisait trois ans que je ne l’avais plus vue, sauf quelques coups de fils rapide comme frère et soeur ! Quand un mois après son diplôme, en juillet, la voilà au pied de mon appartement
En ouvrant ma porte, elle me faisait sursauter de joie, je l’étreignais en la soulevant du sol.
Dans mes bras, , elle avait une coupe au carré ,mes mains la maintenaient sur ses hanches nues car elle avait un court débardeur sans soutien gorge d’après ses épaules nues. Elle avait un short en jean’s coupait aux ciseaux et plutôt trop court qui laissait voir les trois quarts de ses cuisses bronzées avec une paire de sandalette blanche.
Je l’ai reposée au sol, je la dépassais d’une bonne tête, et je lui proposait d’entrée.
Je lui offrais une orangeade et me servais un panaché et on s’installait sur mon grand canapé.
Elle me rendait un peu tendu, elle avait ses jambes bronzées en s’affalant dans le canapé,cela lui formait un triangle entre ses cuisses qui tendait son short en jean’s.
Elle était encore vierge, cela se remarquait tout de suite et j’étais heureux qu’elle ne soit pas coincée!
J’avais un séminaire à Paris et je lui proposais une place dans ma voiture
On avait passé le reste de la matinée à discuter de chose et d’autres, et pour vous dire j’avais ressenti quelques palpitations devant sa beauté ingénue, mais je n’en étais pas trop fier car elle était ma petite soeur.
Mon séminaire était dans une semaine, j’étais ravi de l’amener avec moi car on n’avait plus promené ensemble depuis notre enfance.
La semaine était vite passée et à neuf heures le samedi en question, des coups à ma porte me faisait sortir de chez moi et en l’ouvrant, elle tenait une fourrure sur son avant-bras.
Ma petite soeur avait une longue robe rouge, sans brettelles, mais qui encerclait son coup en compressant sa poitrine à moitié dénudée, elle lui arrivait à mi-tibias, elle était fendue jusqu’à ses mi-cuisses et je pouvais distinguer des bas noir avec des talons aiguilles noir
Je n’osais pas l’étreindre …
On s’était fait la bise sans trop se rapprocher.
Elle me comprenait et nous avons rejoint ma voiture, elle était passée devant moi et en descendant les escaliers son postérieur ferme valsait sous sa robe qui dessinait vraiment son corps et je constatais sa robe ouverte jusqu’à ses omoplates. Je devais vous dire que j’avais un caleçon plutôt lâche qui n’empêchait pas mon sexe de valsait lui aussi et qu’il commençait à pointer automatiquement.
Ma veste cachait mon début d’érection et on rentrait dans ma voiture.
On avait fait la route en discutant de tout et de rien, elle était vraiment ouverte pour une jeune femme, elle avait engagé tous les sujets puis on s’était baladé dans un grand centre commercial avant le séminaire comme deux amis, les gens pensaient sûrement que l’on formait un couple et surtout quand elle me montrait du doigt une boutique de lingerie féminine afin que je note les dessous super sexy qui s’y trouvaient. Plusieurs fois mon sexe s’était tendu et détendu instinctivement sans qu’elle s’en aperçoive malgré qu’elle soit ma petite soeur mais elle était si sexy.
La soirée s’était passée sans aucun problème, nous avons un peu bu, et nous avons même essayé de danser du rock n’roll, sa robe se soulevait et laissait voir ses jambes gainées de bas noirs.
Elle me riait à pleine bouche en tapant des mains.
On quittait le séminaire en se faisant saluer par le gardien
Ma soeur lui avait répondu très sur d’elle en m’empoignant le bras par son coude.
Il fallait maintenant trouver un hôtel et pas trop cher car je n’avais pas trop de moyen
Nous avons marché quelques centaines de mètre et on apercevais une pancarte clignotante marqué hotel.
Je réglais la chambre qui avait heureusement deux lits une place et nous sommes rentrés en ôtant nos vestes et elle sautillait dans la chambre.
On s’asseyait sur nos lits en restant de dos et on hésitait à se déshabiller sans le montrer .
Et une fois qu’elle avait allumé la lampe, je revenais vers mon lit et ma petite soeur penchait sa tête vers l’avant et faisait glisser sa robe en se dénudant le haut du corps, ses nichons fermes et tendus par deux petits tétons marrons apparaissaient.
Moi j’avais enlevé mes chaussures et je lui lançais quelques regards furtifs en me demandant si elle allait carrément se foutre à poil, car moi et je débutais une érection dans mon caleçon. Je m’enlevais la chemise.
Ma soeur me gênait par cette réflexion et m’excitait à la fois par son sur d’elle-même et son naturelle car cela tendait encore plus mon sexe et lorsqu’elle avait saisit sa robe de ses pouces qui suspendait à sa taille fine, je voyais clairement dans la fine lumière du chevet l’apparition d’un porte-jartelle noir en dentelle et au fur et à mesure qu’elle démoulait tout délicatement sa robe ,elle stoppait juste avant l’apparition de son dessous car mon sexe avait formé un chapiteau dans sa direction.
Elle me disait cela en matant mon entre jambes et se mordant la lèvre inférieure, je m’exécutais inconsciemment en débouclant ma ceinture et je zippais ma braguette, je regardais mon pantalon glisser automatiquement à mes pieds. Mon gland suintait créant sa forme sur mon caleçon en coton rouge.
Et elle appuyait sèchement sur ses pouces qui faisaient chuter sa robe au sol, mes yeux en étaient sortis de leurs orbites en voyant ma petite soeur dans une tenue super sexy.
Elle passait par-dessus sa robe chiffonnée au sol et contournait son lit dans ma direction. Je l’a contemplais des pieds à la tête, elle avait toujours ses talons aiguilles noir, ses bas affinaient encore plus ses jambes et au milieu de son porte-jartelle en dentelle rouge et noir, un tout petit string rouge séparait sa chatte en deux et qui recouvrait la moitié de sa toison blonde à peine épilée. Elle continuait à avancer sereinement en lorgnant mon sexe sorti de mon caleçon qui avait décousu un bouton tellement je bandais dur.
Elle me branlais fermement la moitié du sexe que je contractais en la matant dans les yeux, elle s’appliquait à me décalotter le gland qui coulait sur son poignet.
J’avais glissé mes doigts dans son string et je l’ai frotté aussi fermement qu’elle me le faisait, elle m’avait aussi empoigné des deux mains mon sexe et continuais à me pomper, nos bouches se rencontraient pour un baiser profond et langoureux. Mon autre main passait dans son dos pour écarter la ficelle qu’elle avait entre les fesses et tracer de mes doigts sa fente comprimée par ses muscles fessier. Nos gémissements remplissaient le silence gênant i****tueux et ma soeur me guidait à m’asseoir sur le lit en me lâchant du baiser par un bruit de ventouse saliveuse.
J’étais assis sur le lit, sa tête balançait dans tous les sens, ses cheveux blonds aux carré voltigeaient, elle me suçait comme une folle, nos mains entrelacées étaient sur le lit, elle faisait buter parfois la tête de mon sexe dans sa gorge en essayant de faire des gorges profondes en salivant sur mes poils, elle léchait goulûment toute ma queue en se la tapant sur la figure et quand elle avait pressenti du goût spermatique elle se redressait t elle repartais à la conquête de ma verge en sortant sa langue, je m’étais affalais sur le lit pendant que ma petite soeur travaillait sur ses genoux mon axe avec ses mains et sa bouche qu’elle serrait de plus en plus.
Je sentais vraiment un gargouillement de foutre dans mes boules qui n’allait pas tarder à exploser comme un volcan et ma petite coquine de frangine se relevait.
Elle me montait dessus en s’agenouillant sur mes cuisses et en faisant cogner mon sexe très dur sur son bas ventre.
Et on constatait ensemble le bout de mon pénis lui toucher le nombril et elle chuchotait.
On se souriait et elle s’écartait le string et de l’autre main elle pointait mon gland sur sa chatte, ses lèvres commençaient à recouvrir le champignon de ma queue, je voyais entièrement sa toison blonde très belle et je lui pinçais les tétons en massant ses seins tout dur, ma soeur perdait la commande car elle se frottait à moi au lieu de s’empaler sur mon poteau.
Alors je lui attrapais les hanches et l’abaissais délicatement sur mon sexe, je palpitais en même temps qu’elle se détendait.
Je lui répondais d’un signe de la tête et continuais à empaler son bassin qui se tortillait et enfin nos poils pubiens touffus se rencontraient et j’envoyais ma tête en arrière.
Elle me faisait un mouvement de tête affirmatif et elle entamait une chevauchée gémissante en se basculant en arrière, ses cheveux dansaient, la base de sa toison s’était légèrement ouverte en deux et elle se ramonait sur ma queue qui lui touchait des confins inexplorés.
Elle s’emboîtait en claquant ses fesses sur mes cuisses durant dix minutes insatiable et elle se penchait en avant afin que je gobe ses tétons.
Ma petite frangine était montée sur lit en déroulant son string rouge qui s’accrochait à une de ses chevilles pour se poser sur les coudes et les genoux au bord du pieu avec ses pointes de pieds et son petit cul en pomme tendus au plafond, son porte-jarretelles se raidissait davantage et je me positionnais debout derrière elle, en restant au sol, nos sexes furent à la même hauteur et on se clignait de l’oeil.
Tout son sexe agitait dans les airs car elle se tortillait en gémissant de me dépêcher.
J’avançais vers elle en tenant ma queue, au passage je me confirmais que son trou cul était vierge car on aurait dit une mini étoile et je l’enfonçais jusqu’à la moitié et elle avait reculé sur moi jusqu’à sentir son fessier toucher ma ceinture abdominal.
Je lui avais empoigné les hanches et je m’étais mis à la pistonner de toutes mes forces comme si il n’y avait jamais de prochaine fois. On avait tenu de la sorte jusqu’à essoufflements car on avait trouvé une cadence impeccable même avec ses refoulements sur moi. A chaque fois que nos corps se butaient, ses fesses en pomme se déformaient en claquant, ses cheveux explosaient et ses seins vibraient.
J’expulsais ma verge en acier de son fourreau, ma soeur s’effondrait sur le lit en jouissant par des longs jets liquide qui sortaient de sa chatte et je m’astiquais violement la queue en giclant de puissantes rafales de sperme sur ses fesses qui s’éclaboussaient comme une grosse pierre que l’on jette à l’eau.
Elle était étendue en travers du lit, souillée de foutre, sans bouger et en rigolant.
On avait joint nos lits pour en faire en grand matelas de baise jusqu’à l’aube sans qu’elle accepte que je lui dépucelle son anneau étoilé malgré mon insistance. Et finalement, lorsque le soleil matinal illuminait la pièce par les rideaux, nous étions assoupis cote à cote après avoir tenu un soixante neuf jouissif, ma soeur s’était posée sur son coude, le visage maquillé de sperme et en palpant mes couilles vidées.
Et quand nous avons repris la route dans le début d’après-midi, ma petite soeur s’était plainte en ricanant durant tout le trajet d’avoir mal aux reins…
Depuis elle est toujours ma ptite soeur et on a jamais reparler de notre nuit i****tueuse.
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