J’étais début trentaine travaillant en soirée dans un poste de radio. Ayant un sideline de livreur en journée mon père propriétaire d’une petite épicerie. J’étais appelé à me rendre à deux ou trois endroits réguliers dont un foyer d’accueil pour personnes âgées. Y allant habituellement à pieds vivant près du lieu. Faisant affaire depuis 2 mois avec Denise âgée de 81 ans. Paraissant toujours bien avec les cheveux coupés courts blancs et les yeux noisettes mesurant 5 pieds 4. Elle avait de gros seins pendant et gardait quand même la forme pour son âge. Une femme très sympathique et gentille discutant toujours un peu avec celle ci. Lui amenant toujours du pain, du lait, des bananes et une cigarette et autres. L’accueillant un matin d’hiver pendant qu’elle était toujours dans sa robe de chambre. Discutant voulant visiblement éterniser la conversation. Me dirigeant ensuite vers la porte pour remettre mes souliers. Remarquant sur son porte manteau des clés et un objet particulier ressemblant à un petit vibrateur en forme de cochon rose. La regardant accroupie de sa cuisine elle debout ouvrant furtivement l’ouverture de sa robe pour me montrer un de ses seins en angle. Me disant seulement être un mouvement accidentel n’en faisant trop de cas pour le moment. Sur le chemin du retour me remémorant son sein dénudé. Remarquant une femme bronzé depuis peu ayant fort probablement fréquentée un salon de bronzage.
Une autre livraison pour la semaine suivante la période des fêtes approchant à grand pas. Discutant toujours avec Denise s’ayant habillée avec goût cette fois ci portant un chandail avec des motifs de couleurs bronzes semblant onéreux puis une jupe longue noire. Elle voulait toujours éterniser la conversation flirtant sur des sujets un peu plus personnels à présent. Me demandant si j’avais de l’attirance pour les femmes mûres car il y avait de la demande au foyer composé à 90 pourcents de femmes. Lui disant un peu ne sachant pas où elle voulait bien en venir. Me demandant qu’elle serait mon prix pour faire l’amour à une femme de 60 ans et plus. N’en sachant plutôt rien lui disant 50 dollars s’en pour autant emboîter le pas. Me sachant célibataire et aussi peu fortuné. Elle n’avait pas beaucoup d’atout monétaire elle aussi la sentant songeuse. Elle faisait des gestes rythmés de sa main droite sur la table de façon involontaire et intrigante. Caressant ses cheveux par moment sentant la madame pensive. Retournant la conversation terminée remettre mes souliers. Le petit cochonnet rose toujours bien en vu sur le porte manteau.
La période des fêtes terminées depuis peu rendant visite à Denise un 3 janvier. La contactant de l’interphone à l’entrée la porte principale s’ouvrant me demandant de l’attendre dans son appartement une quinzaine de minutes sans sa présence. M’assoyant à sa table l’émission les feux de l’amour jouant à la télévision. Les minutes s’allongeant entendant des gémissements de sa chambre. Sachant le petit cochonnet disparu du porte manteau la dame s’en servant probablement. J’étais à court d’argent me remémorant l’offre passé me disant que de fourrer une vieille çà ne devait pas être si terrible que cela. Me dirigeant vers sa chambre cognant à sa porte entrouverte lui demandant si elle avait besoin d’aide et si je pouvais mettre sa pinte de lait au frigidaire. S’exprimant d’un Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii entrant tout en l’observant ses deux jambes bien ouvertes en train de se masturber nue. Une vue quand même assez spectaculaire la madame se stimulant avec ferveur. Me demandant d’attendre un instant se stimulant toujours voulant se finir jouissant une nouvelle fois dans son lit. Ouiiiiiiiiiiiii Ouiiiiiiiiiii Hummmmmmmmmmm. Une odeur de vieille chatte se propageant dans toute la pièce mon coeur battant à tout rompre. Ne sachant comment réagir figeant comme une statue tout en l’observant se donner du plaisir. Arrêtant sa stimulation vaginale après dix minutes remarquant que son cochonnet rose était bel et bien un petit vibrateur. Prenant une brève pause dans l’accalmie me suggérant de mettre le lait au froid et de m’attendre encore un peu. Trouvant la situation particulière ma tige tendue ne sachant plus se contenir. M’assoyant à sa table de cuisine Denise revenant habillée de sa robe de chambre le sourire en coin. Apparemment fière de son coup et radieuse. Elle avait bougée une pièce de l’échiquier vers son peut-être futur assouvissement.
Me regardant sans dire un mot le corps humide faisant son chèque pour payer son due. Me signifiant un bref à la prochaine ne sachant trop comment réagir. M’attendant à revenir dans les semaines suivantes et subir de nouveaux événements de sa part. M’attendant à toutes éventualités revenant un dimanche matin une semaine plus tard me demandant toujours de l’attendre à la table. Mettant dorénavant le lait au frigo à l’avance. Elle gémissait toujours attendant mon approche observant du même coup une enveloppe sur le comptoir désignée de mon nom. Un message à l’intérieur m’indiquant Voilà vingt dollars, je ne peux t’en donner davantage. Réfléchissant allumé des conséquences d’un tel acte. J’étais quand même abstinent depuis deux ans me disant pourquoi pas. Allant du même coup la rejoindre Denise me disant que çà m’avait pris du temps. Enlevant t-shirt, pantalon et sous vêtement pour venir l’enfourner de ma verge. Elle était ultra chaude le lit brassant passablement dans la position du missionnaire. Y allant de quelques vocalisent les voisins nous entendant fort probablement. Mon jeune corps de trentenaire s’exprimant avec aplomb dans sa chatte chaude et mouillée. Mesurant 5 pieds 6 avec un physique musclé avec les yeux pers et les cheveux châtains. La madame devait sûrement être contente du résultat empoignant mes fesses de ses mains jouissant. Éjaculant au bout de dix minutes Denise apposant ses jambes autour de ma taille lors de la dernière poussé. Sachant qu’elle avait aimée çà voulant sûrement recommencer. Mais pour la prochaine fois un vingt dollars étant quand même peu pour une situation à mon désavantage. S’allumant une cigarette tout en m’observant me rhabiller le regard cochon et calme. Son passé sexuel devait être quand même assez vaste prenant ainsi goût à fourrer cette vieille en manque.
Revenant à la table la madame toujours en robe de chambre. Me disant à la prochaine et merci du service car elle en avait grandement besoin.
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