Prostitution, rêves, fantasmes et ….
– J’étais à cette époque militaire dans le 78, et le weekend, je m’empressais, de sauter dans le car des cadres qui nous conduisait à la capitale. J’avais l’habitude d’arpenter les rues chaudes, le quartier des hales dont la rue St Denis, Pigale et bien sur le bois de Boulogne.
– Autant que je me souvienne je devais avoir 19 ans, dépucelée jeune, travestie depuis encore plus jeune, mais toujours en privé, ce fantasme m’est venu petit à petit au fil du temps. Pas vraiment celui de me prostituer, non bien sûr. Mais celui de me sentir comme une marchandise, une marchandise ou un objet que l’on regarde avec envies. Une marchandise convoitée désirée, un objet de désir et de plaisirs que l’on pourrait louer, acheter ou vendre.
– J’adore ce fantasme. Je l’adore, car il me permet d’imaginer une multitude de situations toutes plus invraisemblables, différentes et plus perverses les unes que les autres. Même et surtout parce qu’il est absolument impensable et complètement immoral. C’est un fantasme, dans un fantasme, on peut tout imaginer, même et surtout le pire. Rires… Grande, mince, (à l’époque) en nana j’étais très convoitée, mais bien moins expérimentée que maintenant. Bé oui on peux pas tout avoir, la jeunesse et l’expérience, même si de nos jours tout vas plus vite.
Du fantasme à la réalité.
– Je m’imagine en jolie jeune « femme » qui se prostitue par ennui, et par plaisir. Bien sûr, j’ai aussi remarqué ces jeunes femmes qui font le trottoir ou celles qui attendent les clients sur le bord de certaines routes. Je regarde leur tenue, leur visage, essayant d’imaginer leur parcours, leur détresse. Je sais, je suis bien consciente qu’elles ne le font pas par plaisir. Je suis aussi consciente des risques d’agressions et de maladie qu’elles peuvent avoir, ainsi que des horreurs qu’elles doivent endurer. Je sais tout cela. Mais, un fantasme ne tient pas compte de tout cela, il ne tient pas compte de la réalité. Un fantasme est toujours très excitant à élaborer, à imaginer, même le pire des fantasmes. Pour moi, la peur peut aussi faire partie intégrante d’un fantasme, c’est aussi quelque chose de très excitant.
– Alors, en secret j’élabore mon fantasme. Je l’imagine, je le vis. Je m’habille en prostituée. Très vite, j’ai acheté une tenue que je trouve appropriée à ce genre d’activités. Je prends aussi une perruque blonde, mi-longue, qui me change le visage d’une façon vraiment étonnante. Une paire de lunette neutre en accentue encore plus l’effet. Je me regarde dans le miroir, je prends des poses. Je me trouve très sexy. Je ressemble aux jolies prostituées que je vois dans les rues et au bois de Boulogne.
– L’idée de le faire réellement, m’a très vite traversé l’esprit. Mais, je n’ose pas aller dans une rue déserte, la nuit, habillée en pute, ou au bord d’une route. J’y pense. Petit à petit, c’est devenu une obsession. Juste me montrer cinq dix minutes, que des hommes des inconnus me voient dans cette tenue me suffirait. Seul le danger me retient, pour le moment. Je me trouve mille raisons de le faire et autant de ne pas y aller. Si un homme m’aborde, je ne sais pas ce que je dois lui dire, lui répondre. En vérité, je ne sais pas ce que je veux, le faire ou pas ? Jusque où je veux aller et surtout ce que je suis capable de faire.
– Ma décision a était très longuement réfléchie. Oui, je veux le faire, vivre cette expérience, au moins une fois. Je veux aller jusqu’au bout si l’occasion se présente en la personne d’un homme correct et bien. Je choisis le jour, l’heure, l’endroit. Cela doit se passer obligatoirement dans la nuit d’un vendredi à samedi. Au bois de Boulogne, un peu à l’écart des professionnelle. La décision prise, je compte les jours avec une certaine fébrilité.
– Ce vendredi d’été, le temps est au beau fixe. Nerveuse et plutôt anxieuse, je regarde ma montre, je trouve le temps inhabituellement long. Chaque minute me parait interminables. Plus l’heure avance, plus mon angoisse augmente, j’ai la frousse.
– Tout es prêt dans mon sac de voyage, celui ci sous le bras, à 17 heures tapantes je saute dans le car, qui me dépose porte de Clignencourt, de la métro jusqu’au rond point d’auphine. Je flâne un peu, et tranquillement je m’aventure route de Suresnes, je me dirige vers la route des lacs, j’y avais repérée un coin tout à fait approprié. J’attend la tombée de la nuit pour changer de tenue. Ceci fait, je me trouve superbe, prête à vivre mon fantasme. – Je me suis préparée et parfumée comme pour un premier rendez-vous. Pour essayer de me détendre, J’imagine mille scénarios. Je ne suis plus très sûre de moi. Du moins, plus aussi sûre de vouloir aller jusqu’au bout. Me montrer, oui, je veux le faire, plus … ? Je ne sais plus, je ne sais pas. Je porte une paire de bas en voile noir très fin, sous un petit short en skaï rose qui enveloppe mes fesses. Une paire de botte noire a talon. Pour le haut, un petit soutien-gorge noir garni de coton en guise de seins, sous un petit blouson en skaï noir que je me suis offerte avec le short. Je laisse et laisserais le blouson ouvert. Coiffée de ma perruque blonde, Je suis enfin prête. Je deviens de plus en plus fébrile et morte de peur.
– La nuit est claire, l’air estival, il fait même encore chaud . J’ai un peu peur, je ne suis pas rassurée. Je regarde autour de moi. Je déboutonne le blouson. Je reste là debout un très long moment, Je réfléchis, essaie de reprendre confiance en moi. Je ne suis plus si rassurée que cela. Je m’encourage mentalement. Je pense à toutes ces filles, ces femmes qui ont dû elles aussi le faire pour la toute première fois par obligation. J’éprouve à mon égard de la honte vis-à-vis d’elles. Je ne recherche que le plaisir, que l’adrénaline dû au stress et à la peur de vivre une expérience dangereuse. Je regarde l’heure. Il est presque vingt trois heure. J’ai chaud. J’ai peur. Je suis décidée. Je suis excitée de ma décision. Il y a beaucoup de passage, quelques voitures, deux ou trois sont stationnées. Je reste un long moment en retrait de la route, au pied d’un arbre, à regarder les voitures qui passent. En grande majorité, je constate que les conducteurs sont seuls. Je n’ose pas m’avancer. Il me faut du courage. Je laisse passer dix, quinze, puis vingt voitures. Je regarde l’heure. Je dois le faire ou rentrer. Je ne peux pas passer la nuit ici à compter les voitures.
– Décidée je m’avance en bord de route. Je me sens devenir rouge de confusions. J’ai honte. La fermeture éclair du blouson est descendue. Je n’ose pas. J’ai si honte. Les sensations érotiques sont mitigées et commencent à peine pour l’instant. Les voitures passent à intervalles plus ou moins réguliers. Je n’ose pas croiser leur regard au début. Lorsqu’il y a un couple, ou une femme seule, je suis encore plus gênée, je baisse alors les yeux. Une trentaine de voiture ou plus passe. Aucune ne s’arrête, certaines ralentissent plus que d’autres. Je mords mes lèvres. Je regarde ma montre. Je me donne encore dix minutes, non-quinze puis, je rentre. L’expérience me plaît assez, le stress et l’adrénaline sont au rendez-vous. Mais, je ne dois pas prendre plus de risques.
– Une grosse voiture noire ralentit. Le type me regarde. Nos regards se croisent l’espace d’une seconde. Je me sens rougir. Il continue sa route sans accélérer comme les autres. Je remarque qu’il fait demi tours un peu plus loin. Je suis la voiture du regard. Mon cœur se met à battre plus fort, j’ai peur, je suis morte de trouille. Une boule d’angoisse me tord l’estomac. Il vient à petite vitesse et stoppe de l’autre côté de la route en face de moi. Je vais m’évanouir, j’en suis sûre. Je regarde, sa vitre est baissée, il me dit quelque chose que je ne comprends pas. Mon stress est au maximum. Je suis paralysée par la peur. J’avance en tenant les pans de mon blouson.
« Vous prenez combien ?
– Combien je prends ? »
– Je ne comprends pas, je suis perdue. Je ne sais pas quoi lui répondre. Je suis trop stressée. Je dois dire quelque chose, donner un chiffre.
« Oui, combien vous prenez ?
– Cent francs. »
– Je bafouille, Je ne sais pas combien demander, quel sont les tarifs. Le type me regarde de bas en haut. Il me déshabille du regard. Je me trouve conne.
– Je ferme les pans du blouson. Je suis si gênée, je voudrais mourir, disparaître là maintenant.
« Tu fais quoi ? »
– Voyant qu’il a devant lui une prostituée, il la tutoie. Sa question me déconcerte, lui répondre quoi ?
– Je ne sais pas ce qu’il faut répondre. Personne ne m’a dit, ne m’a appris.
« Tout, je fais ce que vous voulez… Tout ce que vous voulez. »
– Je vais mourir de honte, c’est une certitude.
« Ici ? »
– Je ne sais absolument pas quoi répondre, comment me comporter.
« Oui. »
– Je crois que je suis au bord des larmes. Je dois lui dire que ce n’est qu’un jeu, qu’un fantasme. Il me regarde un moment avant de dire.
« Tu ne veux pas que l’on aille plus loin ? On pourrait trouver un endroit beaucoup plus discret ? »
– Sa demande a l’avantage de faire reculer l’échéance de plusieurs minutes. Et me laisse encore le choix et l’occasion de me sauver.
« Oui, je veux bien.
– Tu monte ? Tu connais un endroit ?
– je ne sais pas, je ne connais pas d’endroit.
– on trouvera, monte. »
– Il me regarde monter dans sa voiture. Je suis perdue. Je tremble. Ce n’est bien sur pas ma première relation sexuelle avec un homme, mais jamais dans de telles circonstances.
– Je tremble vraiment. Je dois me ressaisir. J’essaie de respirer calmement. Il m’a semblé avoir la cinquantaine. Il a la peau du visage assez pâle, blanche. Habillé d’une veste sombre sur un pull gris, il me fait un peu penser à un ecclésiastique. Même si je n’ai pas remarqué de croix sur sa veste. Je n’ai pas pensé à regarder s’il porte ou pas d’alliance. Le ton de sa voix était plutôt rassurant. Un cadre d’entreprise ou un voyageur de commerce est mon sentiment.
– Il met ses clignotants, tout va beaucoup trop vite. La nuit me semble beaucoup plus intense. Des nuages passent certainement devant la lune, ou les arbres. Il semble hésiter un moment sur la direction à prendre à l’intersection. Il prend celle de droite. Je ne sais pas ou mène cette route. J’ai chaud. J’ai du mal à respirer, même si je me sens moins stressée que tout à l’heure. Comment faire ? Aller jusque au bout ? Le faire vraiment, j’ai encore le choix. Je peux encore me sauver, rentrer à l’hôtel.
– Mais je sais, je comprends que c’est maintenant que je dois prendre ma décision. Après, il sera trop tard, je devrais assumer mon choix. Il continue à faible allure et s’engage sur une impasse. Je sais que maintenant, je ne peux plus reculer. Je respire profondément. Je ne regrette pas la décision que je viens de prendre, du moins pas encore, l’endroit est vraiment très isolé. Un doute, une pensée traverse mon esprit. Non, il ne va pas. Je ne dois pas penser à ça. Il arrête sa voiture sur la gauche, contre des arbres. De nouveau, la trouille, la peur revient. J’essaie de chasser de refouler les très mauvaises pensés qui me sont venues. Les quelques secondes dans la pénombre où il ne se passe rien me parurent interminables. Je me mets à trembler, j’ai chaud. Nous sortons ensemble de la voitures. J’ai réellement la frousse. Il vient vers moi, il a enlevé sa veste. Mes yeux s’habituent à la pénombre. La lune est revenue. Il tient quelque chose dans les mains.
« C’est bien cent francs que tu veux ?
– Oui, cent francs. »
– Je suis morte de honte. Il plie les billets qu’il tient dans sa main et me les tend. Je prends les billets et les mets dans la poche zippée supérieur de mon blouson. Il est près de moi. Je n’ose pas le regarder dans les yeux.
« Enlève ton blouson. »
– J’enlève le blouson. Il m’aide un peu, le prend et le met sur le toit de sa voiture. Il me pousse doucement contre la portière. Je me laisse faire. Il vient contre moi, son corps contre le mien, son visage dans mon cou.
« Tu sens bon. »
– Je ne réponds pas, ne dis rien. Ses mains courent sur mon corps. Les bras, les hanches, la taille. Il respire, s’enivre de mon odeur, de mon parfum. Sa bouche court dans mon cou, sur mes épaules. Je le tiens pas les épaules. Il cherche mes lèvres ma bouche.
– Il se rapproche de moi et se recolle contre moi. Il cherche de nouveau ma bouche. D’une main avant d’essayer de la glisser dans mon short. Il le déboutonne et en descend la fermeture éclair. Il essaie de descendre le short en le poussant vers le bas.
« Suce-moi, fait moi bander. »
– Il se relève, déboutonne son pantalon et descend la fermeture éclair. Je m’accroupis devant lui. Son pantalon tombe sur ses chevilles. Il porte un boxer noir. Il sort son sexe qui est déjà en petite érection. Je le tiens d’abord par les hanches puis, le prends dans la main. Il est chaud, doux. J’avance le visage, ouvre la bouche, en le tenant d’une main. Ses mains sont sur ma tête. Il est long. Je le sens durcir dans ma main, dans ma bouche. Je m’applique le mieux possible, aspirant l’enveloppant de mes lèvres, allant le plus loin possible. Combien de temps cela dure ? Je ne sais pas, ne sais plus.
« C’est bon, viens lève-toi. Enlève ton short. »
– Je me relève, fasse contre la voiture. Il me regarde enlever mon short que je baisse jusque sur mes bottes. Je prend dans mon sac le tube de vaseline et m’en enduit l’anus. (A cette époque personne n’utilisait de préservatif) Je suis prête. Je ne me reconnais pas. Ce n’est pas moi, c’est impossible. Il me pousse contre la voiture et se colle à mes fesses. Je le laisse faire. Il essaie de me pénétrer debout. Il y arrive un peu, mais la position n’est pas idéale.
« Penche-toi sur le capot. »
– Je m’exécute sans protester. Les mains posées sur le capot. Il a payé pour m’avoir, pour profiter pleinement de mon corps. Je me penche. Il pose une main sur mes hanches, de l’autre, il me touche, ses doigts me fouillent le ventre sans ménagement. Je ferme les yeux en sentant qu’il se présente. Je tourne la tête, je veux le voir. Cela va très vite, il vient, s’enfonce dans mon ventre, je retiens ma respiration. Le stress, la peur, l’excitation, la tension, tout depuis deux heures est si intense que je suis sur le point d’avoir un orgasme anal presque immédiatement. Je dois faire un effort pour le retenir. Il commence à bouger, au troisième ou quatrième coup de reins, je ne peux me retenir, je prend très vite du plaisir, en silence en fermant les yeux et en serrant les dents, les points.
– Un plaisir très rapide qui ne me soulage aucunement. Il continue de me faire l’amour. Je me sens si fragile contre lui. Il serre avec force mes hanches, me pénètre profondément. Ces vas et viens sont plus rapide, il respire très fort, je gémis de bonheurs de douleurs de plaisirs mélangés. Puis, il se raidit et jouit dans mon ventre, de le sentir venir provoque presque immédiatement un nouveau plaisir plus profond, plus intense que j’essaie de lui cacher. Je me mets à trembler. Il reste quelques secondes sans bouger. Puis il se relève.
« Dommage que je ne puisse pas rester, ou t’emmener ailleurs. J’aimerais m’occuper
un peu plus de toi. Tu dois aimer ça toi. »
– Je me relève, sans lui répondre. Je prends des mouchoirs en papier dans la poche de mon blouson. Je lui en donne un pour qu’il s’essuie. Il se rhabille en vitesse. Je m’essuie et me rhabille en lui tournant le dos. Il semble hésiter un moment.
« Pourquoi tu fais la pute ? »
– Je ne réponds pas, je n’ai pas envie de lui répondre.
« Tu as un numéro, je peux te revoir ? Je passe souvent dans ce coin du bois.
– Je suis désolée, je ne peux pas.
– Je comprends. »
– Nous remontons dans la voiture, et il démarre sans un mot de plus. Il me reconduit la ou il m’a prise. Je reste seule, presque nue dans la nuit, Je reste un très long moment à réfléchir. Je suis plus détendue, le stress et la peur ont disparu. Je me sens bien, mais j’ai envie de rentrer à l’hôtel, de prendre une douche. Oui, je ne suis pas trop fière de moi. Le tout a dû durer huit à dix minutes, à peine. Des jours à y penser, à me préparer. Puis des heures de stress, de doute, de peur pour seulement six, huit petites minutes de délire, de plaisir et d’actions. Je ne regrette rien. Le plus agréable, a été sans conteste avant ses huit minutes. Je suis consciente d’avoir pris un très, très gros risque.
– Arrivée à l’hôtel, je prends une longue et bonne douche. Je me couche et ne me réveille qu’à dix heures. En retournant dans la salle de bain, et en voyant mes affaires sur le sol, je me rappelle des frasques de ma nuit, je les ai oubliées en dormant. Je reprends une autre longue douche, me regarde longuement dans le miroir. Cette nuit, cette aventure n’a jamais existé. Il ne sait jamais rien passé.
– Deux mois plus tard ou plus, à la table d’un café. Je reporte pour la première fois le blouson en question sur un jean. Au moment de payer, je viens de me rappeler que j’ai de l’argent dans la poche du blouson, je ne l’ai même pas touché. Je regarde dans ma poche. Il y a bien deux billets de cinquante francs. Je me souviens que je n’ai pas vérifié les billets. Je garde secret au fond de moi ce beaux souvenirs.
– Alors, s’il y a des lecteurs qui se reconnaissent dans mes textes !! Rires, c’est probable, mais qui sait ? Après-tout !
– Fantasme, réalité ? Où s’arrête le fantasme, où commence la réalité ? De toute façon, cela n’a aucune importance. Ni pour vous, ni pour moi.
– Ce qui est important, c’est que vous ayez pris autant de plaisir à me lire, que j’en ai pris à vous l’écrire. Le reste …… à vous de voir en passant ou non me voir.
Texte arrangé pour la circonstance par Claudia de Saint Amant.
– À bientôt pour d’ autres aventure ou vous en serais peut être un participant, car depuis j’ai bien évoluée et c’est aussi souvent que me le permet mon emploie du temps, que je vais jouer la pute gratuite en bien des lieux.
– J’y prend souvent beaucoup de plaisir, en une nuit les « passes » sont multiples, de soft à très hot avec beaucoup d’adeptes du no capote, ou encore des propositions zoo.
– De prude je suis passée au fil des sortie à très expérimentée. Je dirais plus tôt au stade de très salope, de chienne à saillir, de cul à remplir de foutre ou de pisse, de vide couille en série, de trou à jus, de garage à bites, d’avaleuse de sperme. Quelque soit le qualificatif que vous pourriez me donner, hésitez pas à passer vous soulager, seul ou à plusieurs, pour moi toutes les queues propres sont bonnes, petites, grosses, longues, courtes, quel qu’en soit l’origine, leur jus est toujours le bien venu dans mon cul ou ma bouche.
– Les bites en tout genre et le sperme c’est ça que j’aime !
– Un news fantasme que je veux réaliser: Sucer la queue de 5 à 6 mâles, prendre en même temps dans la bouche leur sperme, le faire tourner dans la bouche devant eux, en apprécier ainsi le goût, et l’avaler.
– Certes je suis pas aussi séduisante qu’à l’époque mais combien plus expérimentée !
– Je mesure combien il en coûte de courage aux copines pour se lancer une première fois à l’aventure, sur un lieu de rencontre, aussi il m’arrive d’en accepter la compagnie sur un lieu de drague, ou particulièrement plus sécurisé et sexuellement beaucoup mieux, je leur organiser des soirées privées. (Prostitution exclue, j’y suis farouchement opposée.)
Claudia
Ajouter un commentaire