Vous êtes une belle jeune femme blonde,d’une quarantaine d’année.
Très bien entretenue, attirante,votre apparence est très importante.
Mariée sans enfant,vous n’aimez pas ça, vous gérez une boutique de prêt à porter que votre mari vous à offert pour vous occuper.
Vous n’êtes pas très investie dans votre travail,vous préférez,les sorties entre copines, les cours de tennis avec votre moniteurs particuliers,le shopping et les brunchs.Que la boutique marche ou pas n’a pas une très grande importance,c’est une distraction,un lien social pour vous.
Vous y passez histoire de dire que vous travaillez mais surtout pour satisfaire votre mari qui lui travaille beaucoup.Vous en êtes la patronne et vous le faites bien comprendre à vos employées qui ne vous apprécient guère et vous trouvent hautaine.
La carte gold que vous a fourni votre époux est un élément fondateur de votre mariage. En effet vous n’envisagiez pas une minute de vivre avec un homme démuni de moyens. Cette situation vous rend un peu supérieure,prétentieuse, vous avez un peu perdu le sens des réalités et considérait que tout ce que vous avez est normal.
Chacun de vos désirs n’est qu’un projet en devenir,votre mari ne vous refusant rien financièrement.
Moi je suis votre mari, homme puissant,médecin chirurgien,professeur en médecine esthétique et reconstructrice. J’ai beaucoup de responsabilités dans mon domaine professionnel,je suis sollicité pour participer à beaucoup de colloques,ou parfois vous venez faire un peu de représentation sur ma demande. Je suis pour ma part très investit dans une loge proche de la franc-maçonnerie ou j’ai une fonction importante. Cette activité annexe me fait côtoyer énormément de gens extrêmement puissants,les femmes n’y sont pas admises,cela vous arrange bien.
Vous êtes tout à fait la femme que je recherchai ,obéissante à mes moindres désirs,mes moindre demandes sous réserve que vous puissiez faire ce que vous vouliez en dehors. Vous êtes belle à regarder,excessivement attirante,un peu trop peut être,mes relations m’envient d’avoir une femme comme vous.
Je sais que l’argent est le nerf de la guerre,vous êtes vénale,au moins en apparence vous êtes amoureuse de moi,c’est en tout cas ce que vous voulez me faire croire.
Je vous baise régulièrement sans originalité,souvent dans la même position,en levrette. Vous êtes une bonne simulatrice et vous savez que je n’apprécie pas les contrariétés,vous vous exécutez donc sans discussion.
Également je suis catholique pratiquant,la loge dans laquelle j’exerce mes fonctions est proche de mouvance chrétienne traditionaliste.Tous les dimanches je vous emmène à l’office,ici on ne badine pas avec les traditions.L’église dans laquelle nous allons,officie le père Paul,un proche de la famille mais également le représentant religieux de la loge…..
Vous n’êtes pas non plus une femme très fiable, je vous soupçonne d’infidélité mais je ne vous ai pas encore prise sur le fait.Vous côtoyez beaucoup d’hommes dans vos divers activités et vous plaisez beaucoup,cela me déplaît fortement.
Étant souvent absent ,je dus me résoudre à vous faire surveiller.Mon plus fidèle allié ne fût autre que le père Paul, officier de la loge dont je suis maître. Celui-ci homme de foi et de principe ne pouvait être meilleur juge de vos agissements. Étant également un homme d’église il ne pouvait être corrompu par vos charmes.
Il ne fallut pas très longtemps pour que celui-ci me rapporte certains de vos agissements. En effet vos cours de tennis semblaient durer aussi longtemps dans le vestiaire que sur le terrain ce qui intrigua notre homme d’église. Votre moniteur de quinze ans votre cadet n’était pas non plus du genre à rester insensible à votre anatomie,un visage d’ange avec un corps de pute.
Beaucoup d’éléments qui laissaient présager des choses peu avouables. Ayant identifiée mon indic vous fûtes de plus en plus vigilante à vos rendez vous,changeant de voiture,donnant des rendez vous dans des clubs privés difficile d’accès .Père Paul eu fort à faire pour réussir à vous démasquer, néanmoins armé de son courage,il réussit à vous prendre sur le fait au détour d’un vestiaire,ou vous étiez en train de vous faire sautez comme une traînée,collée sur un banc par votre sportif préférée. Prise au dépourvue vous tentâtes d’amadouer le religieux ,mais rien ne fût possible. Vous retrouvâtes à moitié défaite devant le sporting club,l’avenir s’assombrissait pour vous.
C’est depuis le Brésil ou je donnais un colloque sur la reconstruction maxillo-facial que je fût contacté par mon émissaire. Celui-ci n’avait de mots assez durs pour décrire ce qu’il venait de voir.
Il décortiqua chacun des subterfuges dont vous fîtes preuve pour échapper à sa vigilance. Me parlant de votre professeur de sport ,il me décrivit un envoyé du diable en personne. J’écoutais ce monologue incessant, vous comparant à une sorcière possédée dont seul l’exorcisme arriverait à sauver l’âme. Une heure durant le religieux libéra son fiel en détail,évoquant la bonté d’âme dont je faisais preuve ,comparé à la catin qui me servait d’épouse.
Je pris acte de ces révélations et rassura l’homme d’église. Des sanctions seraient prises et la justice divine serait rendue.
Une fois l’appel de père Paul terminé,je pris mon téléphone et vous appela. D’une voix fébrile vous me répondîtes, comme si vous ne saviez les raisons de mon appel.
Tu n’as rien à me dire ??
Non,non,pouquoi ?
Père Paul m’a appelé,je suis au courant.
Mais, je peux tout expliqué,crois moi.
Tu n’es qu’une traînée,attend que je rentre !
Je peux tout expliqué(sanglotante)
Attend toi à des moments difficiles ! Et je raccrochai.
Vous ne pouviez être que peu rassurée. Cette impression se confirma lorsque prise d’un moment d’angoisse vous tentâtes de prendre un billet de train pour vous éloignez de Paris et que votre carte fût refusée.
Les jours suivants rien ne se passa, ces moments de calme avant une éventuelle tempête vous minaient . Quelques jours passèrent sans que rien ne vint perturber votre quotidien. Cette vie trépidante dont vous aviez l’habitude, ne semblait pas pouvoir durer très longtemps. Ce soir là sortant de votre boutique deux hommes très bien habillés s’approchèrent vous demandant de les suivre. Apeurée vous refusèrent, mais rien n’y fit .Ils vous emmenèrent de force jusqu’à une camionnette dans laquelle ils vous attachèrent, les yeux bandés et vous mites dans la malle.
Malgré vos cris et et vos débattements le véhicule démarra vers une destination inconnue. Depuis votre position vous les entendiez parler entre eux.
Elle va manger cette salope.
Quelques dizaines de minutes plus tard les bruits se turent , la camionnette venait de s’arrêter.
Votre fête allait sans doute commencer.
Emmener immédiatement dans une salle dont vous n’ imaginiez le volume important que par la résonance de vos pas, vos angoisses ne firent que se décupler en entendant que plusieurs personnes était présentes.
Placé à un endroit,dont on vous ordonna de ne plus bouger,vous aviez l’impression d’être observée.
Soudain quelqu’un enleva le bâillon qui recouvrait vos yeux,vous laissant apercevoir votre environnement.
Une grande salle en pierre,coiffé d’un toit soutenu par des poutres vous donnait l’impression d’avoir changé de siècle. Vous qui étiez habitué au décor froid des intérieurs contemporains,vous retrouviez dans une bâtisse qui connut sans doute les grandes heures de l’inquisition.
Devant vous une dizaine d’homme attablés derrière une sorte de tribunal, vous observaient sans vous adressez la parole.
Vous me reconnûtes qu’ au bout de quelques minutes,ainsi que le père Paul. L’homme le plus au centre de l’assemblée pris la parole et demanda aux autres de faire silence.
– Madame, vous êtes ici devant ce tribunal en tant qu’accusée.
Père Paul ici présent a été témoin de vos agissements et les a rapportés aux oreilles de cette
juridiction.
Vous êtes clairement accusée d’adultère ,vous avez été prise en flagrant délit.
Avant que la cours ne prononce sa sentence,nous souhaitons vous entendre. Si vous souhaitez vous
défendre c’est maintenant,après il sera trop tard…….
Dans un brouhaha inaudible ,les juges commencèrent à débattre de votre cas.
L’attente fût interminable,vous ne saviez que penser,vos idées étaient embrouillées. L’impression étrange de n’être plus qu’une marchandise en cours de tractation vous envahit. Vos certitudes étaient mises à mal par cette étrange théâtre,vous qui ne viviez que pour l’apparence,il n’en restait plus rien.
Le grand maître imposa à nouveau le silence ,le jugement allait être rendu.
Madame avancé vous !
Au regard des preuves avancées devant cette session et de la reconnaissance de votre responsabilité.
Le tribunal de la loge du « grand ouest » à rendu sa décision.
Vous serez répudiée par votre mari qui ne souhaite pas vous garder,vous n’aurez plus accès à votre logement,ni au compte commun. De plus votre boutique sera fermée,vous n’aurez plus le droit d’exercer.
Au regard de la gravité des faits qui vous sont reprochés,les sanctions précédentes seront complétées de l’application de châtiments corporels et physiques.
Le tribunal vous condamne à recevoir trente coups de fouet .
Le jugement est applicable immédiatement. Emmenez là ! Le tribunal peut se retirer.
A ce moment vous vacillâtes, comme si vous alliez perdre connaissance,le ciel venait de s’effondrer sur votre tète . Deux hommes coiffés d’une étrange cagoule colorée vous emmenèrent vos jambes ne vous tenaient plus.
Un petit escalier conduisait directement dans une salle qui sans nul doute devait servir à l’époque de salle de torture. Là les deux hommes vous ordonnèrent de vous déshabiller.
Totalement nu on vous fit rentrée dans une grande salle bien éclairée ou se trouvait une sorte de chevalet digne des plus sombres heures de l’inquisition. Trois hommes étaient présents.
Le premier relut face à vous le jugement et la sanction prévue,les deux autres préparaient consciencieusement les lanières de cuirs qui allaient servir à votre immobilisation.
Une fois cette étrange cérémonie terminée,les deux hommes cagoulés vous amenèrent et attachèrent fermement au chevalet. L’un d’eux saisie un long fouet de cuir et se positionna à bonne distance pendant que l’autre remonta assez brutalement votre chevelure pour la faire passer devant votre épaule.Le même vous proposa un petit morceau de bois à caler entre vos dents.
Le premier coup claqua comme une détonation ,tellement sa v******e fût improbable eut égard au gabarit de votre bourreau. Cela vous coupa le souffle net,pas un bruit ne sortit de votre bouche.Il n’en fût pas de même lors de l’arrivée du second,tout aussi violent.Un énorme râlement se fit entendre. Le troisième fût lui complété de gémissements et des premières pleurs. Aucune retenue ne vous était maintenant possible,même votre fierté n’arriverait à endiguer les cris et les suppliques. Vos fesses,votre dos,vos cuisses qui étaient d’un blanc immaculé jusque là commençaient à se couvrir de dessins rectilignes. Votre bourreau maîtrisait à la perfection la technique de la flagellation ,il n’y eut deux coups donnés au même endroit. Votre magnifique postérieur,votre cambrure, se transformèrent en un rien de temps en un chefs d’œuvre d’art graphique, sous les coups précis de notre artiste,le tout accompagné de vos geignements de plus en plus présent . Les dix premiers étaient enfin passés, votre nouveau meilleur ennemi repris son souffle quelques instants.
N’est pas bourreau qui veut,il faut avoir du physique. Seul le bruit de vos pleurs restait audible à cet instant,une sorte de calme avant la tempête. Il ne fallut très longtemps à notre athlète pour reprendre le cours de son œuvre . Vos plaintes et cris multiples n’en furent que plus bruyants,votre seuil de tolérance à la douleur était très largement atteint. La deuxième série fût je pense encore plus brutale que la première,le bruit des coups était presque inaudible couvert de vos lamentations.
La troisième série fût exécutée par le deuxième homme, qui semblait frustré de n’avoir participer au deux premières. Son énergie n’en était que décuplée, vos cris étaient audible à l’autre bout de la bâtisse. Cette douce musique eut sûr moi un effet très excitant,ma queue en était tout revigoré.
Le fouets se tut et nos artistes rangèrent leur matériel.
La punition avait été appliquée,ne restait que vos pleurs et les bruits de pas de nos deux praticiens qui s’affairaient.
Je m’approchai de vous et commençai à scruter de mes mains les traces de torture marquant votre dos. Je descendis ma main jusqu’à votre entre-cuisse,votre souffle était court. Fourrant mes doigts dans ton sexe je constatai que celui-ci était baveux.
Et en plus, tu a aimé ça ,salope !!
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