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Une jolie voisine

Une jolie voisine



La voisine s’était installée avec son mari quelques mois auparavant. C’était en hiver mais le printemps est arrivé. En mai, il faisait vraiment beau et un jour que je récupérais un RTT, je l’ai vue allongée sur sa pelouse. De la chambre à l’étage, je pouvais la voir par dessus le mur mitoyen. Je n’avais pas encore eu l’occasion de lui parler à cause de mes horaires et le samedi, j’étais tellement fatigué que je passais la moitié de mon temps à dormir. J’avais eu une aventure avec une collègue. J’avais vite compris qu’elle était folle mais c’était de sexe. Un jour, elle m’avait montré ses seins en passant dans le couloir devant mon bureau. Je m’étais levé de ma chaise et je lui avais couru après. C’était la première fois que je faisais ça pour une femme. Je l’ai rattrapée un peu plus loin mais tout ce qu’elle m’a dit est qu’elle baise que quand c’est sérieux. Du coup, je l’avais invitée à dîner. Tout ce qu’elle voulait savoir, c’était si j’aime son cul et ses seins. Elle avait un petit cul et de gros seins. Je lui ai avoué que je n’avais jamais mis ma bite entre des seins et ça l’avait fait rire. J’avais ajouté que je ne l’avais pas non plus mise dans un trou du cul et elle m’avait répondu qu’elle ne fait pas ça. En sortant du restaurant, je l’avais raccompagnée chez elle et, sur le boulevard, elle m’avait reparlé de sodomie en me disant qu’elle se demandait ce que ça fait et j’avais offert mes services. « D’accord, m’avait répondu ma collègue ! Mais juste ça car en ce moment, j’ai mes règles. »
Je l’avais suivie chez elle. Après m’être enfoncé dans son anus, elle m’avait dit d’arrêter et je lui avais reparlé de la cravate de notaire. Elle ne connaissait pas cette expression. « Ma bite entre tes seins, lui avais-je répondu ! » Elle m’avait répondu que c’est bizarre de faire ça et j’ai dû tout lui expliquer. Elle avait serré ses seins sur ma bite. Pour une femme, c’est juste de sentir la bite qui coulisse mais pour un homme, c’est beaucoup plus excitant et je regardais ma bite apparaître et disparaître entre ses seins et puis c’est venu sans prévenir et le premier jet s’est écrasé sur le menton de ma collègue. Je me suis relevé et j’ai guidé ma bite sur sa bouche et elle a tout pris dans les dents et je l’avais forcée à avaler. Tout ce que m’avait dit ma collègue c’était que c’est dégoûtant et elle m’avait foutu dehors. On avait recommencé, mais de façon plus classique, mais j’allais toujours trop vite et elle n’arrêtait pas de me demander de la faire jouir.

Je matais ma voisine qui se faisait bronzer sur sa pelouse. Elle était en bikini et, tout à coup, elle a retiré le bas et j’ai pu voir qu’elle était entièrement épilée puis elle a retiré le haut et ses seins se sont étalés de chaque côté de son torse tellement ils étaient mous, mais ce n’était pas fini. La voisine n’était pas seule parce qu’elle avait un sac à côté d’elle et elle en a sorti un godemiché qui s’est vite révélé être un vibromasseur et elle a commencé à se caresser. Elle en a fait courir le bout sur ses mamelons mais ça n’a pas changé grand chose puis elle s’en est servi sur sa chatte. Au bout d’un moment, elle a commencé à ressembler à une grenouille. Ses jambes pratiquaient la brasse. Je n’entendais que les oiseaux qui s’égaillaient dans le cerisier mais la femme se masturbait puis j’ai eu l’impression qu’elle avait joui. Elle est restée sans bouger un bon moment puis elle a fouillé à nouveau dans son sac et elle en a ressorti un godemiché de belle taille qu’elle s’est enfoncé dans la chatte puis elle s’est mis sur le côté et elle a enfoncé l’objet dans son anus. Il n’y avait aucun doute qu’elle aimait ça et ça a duré un bon moment puis son portable a sonné et la voisine a remballé ses jouets, renfilé son bikini et pris la pose pour bronzer et son mari est venu la rejoindre. Elle s’est levée, a ramassé son sac et la couverture et ils sont rentrés dans la maison.
Je me suis demandé si son mari savait que sa femme avait de ces pratiques mais comment aurais-je pu le découvrir. Le hasard a fait que quelques semaines plus tard, j’ai rencontré ma voisine au centre commercial. Elle trainaît des sacs et elle se dirigeait vers l’arrêt du bus. Je me suis arrêté et je lui ai proposé de la ramener et elle m’a dit qu’elle ne me connaît pas mais je lui ai parlé de nos adresses et elle a bien voulu rentrer avec moi.
J’ai rentré ma voiture dans mon garage et j’ai laissé partir la femme avec ses paquets et n’ai rien fait cette première fois. Le lendemain matin, elle a frappé à ma porte pour me dire que son mari a oublié ses clés. Qu’est-ce que j’en avais à faire ? Elle m’a ensuite demandé si elle peut me confier les siennes parce qu’elle doit sortir. Je les ai prises. Deux heures après, la femme est revenue les récupérer et comme elle était dans la cuisine, elle a commencé à me dire que c’est mieux aménagé que la sienne et du coup, je lui ai fait visiter la maison puis elle a voulu voir à l’étage. Elle a monté l’escalier et je l’ai suivie et elle n’a pas manqué de voir que de ma chambre on voyait très bien dans son jardin.
Elle s’est retournée vers moi et elle m’a demandé si je l’avais vue. Je lui ai répondu que je travaille toute la semaine. Elle n’a pas semblé convaincue.
– Vous m’avez vue, a insisté la femme ! Je n’ai pas l’habitude de faire ça !
– Et tous ces beaux objets que vous avez dans votre sac, ai-je insisté ?
La femme n’a pas rougi.
– C’est mon mari, a-t-elle ajouté ! Il y a bien longtemps qu’il ne me touche plus !
– Et pourquoi ça, lui ai-je demandé ?
– C’est que quand on s’est rencontrés, j’étais jeune et j’avais de petits seins et c’était ça qui lui plaisait.
Je lui ai répondu que je la préfère maintenant.
-Ah, vous aimez les gros seins, m’a demandé la femme, qui les a soulevés dans ses mains avant de les reposer.
– Oui, surtout s’ils sont très gros comme les vôtres, ai-je ajouté !
Là, elle a rougi puis il y a eu un silence et elle a ajouté que c’est parfois très encombrant et j’ai démenti.
– Vous me feriez l’amour, a ajouté la femme ?
– Quoi, maintenant ?
– Oui, c’est sans doute d’être dans votre chambre, a ajouté la femme, mais j’ai vraiment envie !
– Et vous êtes ouverte à quoi, lui ai-je demandé ?
– Je ne suis plus vierge, si c’est ça que vous voulez savoir, m’a répondu la femme ! Ah ! Peut-être que vous voulez savoir pour mon autre trou ? Je ne l’ai jamais fait mais peut-être que ça me plaira ?
Nous nous sommes mis au travail. Elle, au moins, elle savait ce qu’elle voulait. Après l’avoir prise dans la chatte, elle m’a demandé de m’enfoncer dans son anus mais elle m’a demandé d’arrêter presque aussitôt en se plaignant que ça fait mal et je lui ai répondu qu’elle finira par s’habituer puis nous avons continué dans sa chatte jusqu’à ce qu’elle me dise qu’elle va jouir mais j’ai fini avant elle et elle l’a regretté.
En repartant de chez moi, la voisine m’a confié qu’on recommencera. Je ne pensais qu’à ça. Quand elle est revenue chez moi, j’ai fait des photos de nous mais j’en ai fait bien plus d’elle puis on s’est filmés. J’avais une caméra et des cassettes vierges en pagaille. J’ai fait un montage avec les meilleures vues et la fois suivante, j’ai passé tout ça sur la télé dans la chambre pendant qu’on s’accouplait et croyez-moi, ça nous a donné du peps. Je prenais la voisine en levrette et nous étions face à l’écran. Je n’aurais jamais imaginé que ça l’aurait autant excité.
– Baise-moi ! Va plus profond ! Tire ton coup et baise la pute !
Elle n’arrêtait pas de s’insulter.
– Ah, putain ! Oui ! Oui ! Ça vient, m’a hurlé la voisine !
J’ai compris qu’elle avait joui quand ma bite s’est retrouvée dans un pot de confiture. Je n’avais jamais fait ça mais j’avais l’impression que ça devait être comme ça. Je pataugeais sans pouvoir reprendre pied et je me suis retrouvé dans l’anus de la voisine qui ne s’est pas plainte mais j’étais encore en train de limer dans son trou du cul quand elle m’a demandé ce que je fais. C’était trop tard. J’ai joui.
Tout en se lavant dans le bidet, elle m’a dit que je devrais avoir honte. Elle a ajouté que je suis un vieux cochon.
– Touche-moi les seins, m’a alors demandé la voisine ! J’en ai besoin !
Elle était assise sur le bidet. Je me suis penché pour att****r ses seins mais elle a posé ses mains sur mes fesses et elle a gobé ma bite. Quand elle a fait une pause, la voisine m’a dit qu’elle aime ça puis elle a ajouté que c’est moi qu’elle aurait dû épouser. Elle me caressait aussi les couilles et elle m’enfonçait ses ongles dans les chairs.
– On est pareils, a ajouté la voisine quand elle s’est arrêtée ! On aime le sexe ! J’aurai pu faire la putain si les circonstances s’étaient… Je n’ai jamais su rien faire, a-t-elle encore ajouté ! Et si j’étais tombée sur un homme qui aurait voulu que je fasse ça…
Je lui ai répondu qu’il n’est pas trop tard et c’est comme ça que j’ai su qu’elle n’avait que vingt sept ans. Elle m’a dit aussi que je ne m’attendais pas à baiser avec une femme deux fois plus jeune que moi. Je l’ai regardée renfiler son soutien-gorge et manifestement, elle avait du mal à remballer sa poitrine mais elle a fini par y arriver.
Nous avons continué à nous fréquenter. Six mois après, elle m’a appris que son mari l’a mise enceinte. Ça m’a étonné mais je n’ai rien répondu. Elle a continué à venir chez moi. Son ventre prenait de l’embonpoint et la femme était devenue très excitante. J’avais droit à ses trois trous mais je voyais venir la date de l’accouchement et j’ai vu l’ambulance arrêtée devant chez elle.
Quand j’ai revu la voisine, elle poussait son bébé dans son landau et moi j’ai demandé si elle allaite. Elle m’a regardé puis elle m’a demandé pourquoi je pose la question vu qu’elle avait d’énormes nichons. Et j’ai compris que pour nous deux, c’était fini.

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