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Mes Maris

Mes Maris



Bonjour, je m’appelle Sophie, j’ai 28 ans, je vis avec Marc depuis 5 ans, qui a le même âge que moi, je l’ai connu chez des amis communs, j’ai couché avec lui dès le 1er jour, il est très bien monté, une queue énorme, et comme j’aime le sexe depuis longtemps, il m’a fait jouir comme jamais j’avais joui, les amants qui se sont succédé dans mon lit n’étaient pas assez endurants et je ne les gardais qu’une ou deux nuits pour calmer mes envies.
Cet été, nous sommes restés en France, où nous avons loué une petite maison à la campagne, dans le Sud, pour un mois ; après déjeuner Marc faisait tous les jours un grand tour à pied, il revenait environ deux heures après. En fin de semaine, Marc me proposa de l’accompagner ; nous sommes passés par la forêt, pour arriver vers un petit ruisseau ; comme cela faisait une bonne heure que nous marchions, (à vol d’oiseau une dizaine de minutes de la maison, mais nous avons fait pas mal de détours), nous nous sommes arrêtés pour faire une petite pose, avant de rentrer.
Nous nous sommes assis sur l’herbe, parlé un peu, et Marc commença à me passer la main sur mes cuisses et à me caresser sur mon pantalon de jogging ; je le repoussai, pas parce que je n’avais pas envie, mis de peur que quelqu’un nous voie ; alors Marc m’entraîna dans un buisson et là, je me laissai faire ; j’en avais envie et savais qu’il allait me prendre comme il le fait chaque jour, voire plusieurs fois. Nous avions baisé avant le déjeuner, mais nous aimons tellement ça que cela nous dérangea pas de recommencer.
A l’abri des regards, il passe sa main dans mon string, et commence des va-et-vient avec ses doigts, j’enlève le haut et mon soutien-gorge, et il m’embrasse les seins dont les tétins deviennent très durs puis, comme ma chatte est trempée et qu’elle n’attend que cela, il entre sa grosse queue en moi ; nous avons entendu du bruit, quelqu’un venait, nous nous sommes arrêté ; un couple, sensiblement du même âge que nous, est passé ; nous a-t-il vus ou entendus ? Dès qu’il s’est éloigné, nous avons repris comme si de rien n’était, et puis, même s’il nous avait vus, il le fait peut-être aussi de temps en temps ; je crois que cela m’a encore plus excitée de savoir que nous pouvions être vus ; il n’a pas fallu longtemps pour que nous jouissions l’un dans l’autre.
Épuisés, nous rentrons à la maison, je prends une douche pour évacuer le sperme et me sentir propre. Marc en prit une après.
Le lendemain, nous recommençons notre balade, mais en passant par le chemin le plus court. La balade n’était qu’un prétexte pour faire l’amour à l’extérieur, mais quand nous arrivons à l’endroit où nous sommes au calme, nous nous apercevons que l’endroit est déjà pris, qu’aux bruits, nous savons ce qui ce passe dans les fourrés ; comme le couple d’hier, nous passons notre chemin, et nous rentrons vite à la maison, notre envie de baiser est trop forte.
Les jours suivants, Marc me laisse faire un tour seule, prétextant un travail à finir. Je fais le grand tour, et me repose quelques instants comme nous l’avons fait, c’est alors qu’arrive un marcheur seul et, me voyant, me demande si cela va bien et il engage la conversation ; j’apprends qu’il est notre voisin et que, souvent, il vient avec sa femme faire un tour. Il est assez bel homme, environ mon âge ; je me demande si ce n’est pas lui qui baisait hier dans les fourrés ; c’est alors que j’aperçois une grosse bosse dans son short ; il bande en me regardant, et il doit être monté comme mon mari, voire plus ; puis il me dit au revoir et reprend son chemin.
Le lendemain, je demande à Marc de faire la promenade seule, et je prends le plus court chemin pour m’asseoir et attendre en espérant revoir mon inconnu. Dans ma tête, s’il me fait la cour, je le laisserai faire ; je n’ai pas encore trompé Marc, mais je crois que cela ne va pas tarder. Il y a cinq minutes que je me suis assise, que mon inconnu d’hier arrive ; il me dit bonjour puis, comme la veille, nous parlons de choses et d’autres. Il se rapproche de moi à quelques centimètres et il m’embrasse ; j’ouvre la bouche pour recevoir sa langue, qui trouve la mienne sans problème, sa main descend sur ma poitrine, je le laisse faire, ma culotte est toute mouillée, et je passe ma main sur son sexe à travers le short ; il est vraiment bien monté, comme Marc ; j’espère qu’il est aussi endurant.
Il m’emmène dans le sous-bois où, quelques jours avant, j’avais fait l’amour avec Marc ; je sors sa queue et, sans attendre, je la mets dans ma bouche ; elle est vraiment grosse, puis il me demande de m’appuyer à un arbre, il désire me prendre en levrette ; je le laisse faire ; il appuie sa bite à l’entrée de mon vagin trempé, il la rentre doucement, je sens cette grosse bite en moi, il commence son va-et-vient, sort sa queue pour la rentrer à nouveau, je sens que je vais jouir, il me pilonne bien comme il faut, il est aussi endurant que Marc. Pour mon premier amant depuis quelques années, je suis servie, puis je jouis deux fois de suite, avant qu’il me prévienne qu’il va jouir, et je lui demande de rester en moi ; je veux sentir son foutre dans mon ventre. À peine ai-je eu le temps de le dire, que je sentis son foutre chaud emplir mes entrailles ; nous restons l’un dans l’autre pendant quelques minutes, puis nous nous rhabillons pour entrer.
En chemin, j’apprends qu’il s’appelle Pierre, que nous sommes voisins et qu’il est marié, sa femme s’appelle Catherine et me donne son numéro de téléphone pour que l’on se revoit et, avant la sortie du bois, je l’entraîne contre un arbre, m’agenouille devant lui pour lui faire une fellation et surtout avoir le goût de son sperme dans la bouche.
De retour à la maison, Marc m’attend, m’embrasse, j’ai peur qu’il sente l’odeur du sperme dans ma bouche, mais il ne s’aperçoit de rien, m’allonge sur le canapé, et entre sa queue dans ma chatte bien lubrifiée par le sperme de Pierre ; je jouis une nouvelle fois alors qu’il envoie tout son foutre dans mon ventre ; nous allons prendre une douche, pour recommencer à baiser après le dîner.
Le lendemain, Marc s’en va faire sa promenade quotidienne. J’en profite pour envoyer un SMS à Pierre pour lui dire de venir à la maison, que je suis seule ; il me répond instantanément : « J’arrive. Catherine est partie faire un tour, nous avons deux heures devant nous ».
Quelques minutes après, il arrive et je l’emmène dans la chambre ; nous n’avons pas de temps à perdre, il me baise comme la veille, et je lui raconte mon retour de la veille, il me raconte le sien qui est à peu près le même, mais il sentit une odeur de sperme dans la bouche de sa femme. Nous nous arrangeons pour nous voir tous les jours, soit chez moi ou dans le petit bois à côté de la rivière ; c’est un jour où nous faisions l’amour à l’extérieur qu’il m’avoua que c’est avec sa femme qu’il a connu cet endroit, qu’il baise là souvent avec elle ; alors qu’il était en moi et que je commençais à avoir un orgasme, le deuxième je crois, on entend quelqu’un qui vient ; nous ne bougeons plus, mais restons l’un dans l’autre ; nous regardons, en faisant attention de ne pas nous faire voir ; il me dit, c’est ma femme, surtout ne faisons pas de bruit ; elle passe et attendons quelques instants, et reprenons nos ébats, pour quelques minutes seulement. Nous entendons du bruit, ce n’est pas sa femme qui repasse, mais c’est Marc, se coup-ci.
Nous continuons après son passage, et nous rentrons chacun chez soi. A mon retour, Marc n’est pas encore rentré, j’ai le temps de prendre une douche, puis il rentre, prend à son tour une douche et, comme à chaque fois à notre retour, nous faisons l’amour.
A la fin de la deuxième semaine, alors que nous avons baisé tous les jours, je rentrais de ma promenade ; je croise Catherine, qui nous invite à dîner samedi soir avec Marc, mon ami. J’accepte avec joie. J’en parle à Marc et celui-ci me dit c’est une bonne chose. Pierre me dit : « Tu as bien fait d’accepter, cela n’éveillera pas les soupçons. »
Le samedi, nous nous présentons chez nos voisins, j’ai mis une robe longue, fendue sur le côté, avec un slip brésilien en dessous, Marc est en tenue de sport, chemisette et pantalon blanc, Catherine vient nous ouvrir ; elle a mis la même robe que moi, à part la couleur. Elle nous embrasse et nous fait entrer ; elle nous dit que, si nous voulons, nous pouvons nous tutoyer, ce sera plus simple et plus sympa. Bien évidemment cela m’arrange, comme cela je ne me couperai pas.
Après avoir pris l’apéritif, nous passons à table. Catherine m’installe à côté de Pierre, et elle installe Marc à côté d’elle, je suis toute mouillée. Ni Pierre ni moi ne faisons le moindre geste qui pourrait nous trahir. En fin de repas, Catherine m’invite à me remaquiller et m’emmène dans la salle de bains ; une fois arrivées, elle me dit : « Je sais que tu baises avec Pierre, mais ce que tu ne sais pas c’est que je baise avec Marc et que l’endroit, au bord de la rivière, je l’ai découvert avec Marc, et que nous nous sommes arrangés pour que vous vous rencontriez. Marc s’est aperçu que tu avais fait une pipe à Pierre, ta bouche sentait le sperme avec la même odeur que quand j’en fais une à Pierre avant la visite de Marc ; nos deux hommes sont d’extraordinaires baiseurs et, l’une comme l’autre, nous ne pouvons nous en passer alors, ce soir, nous allons baiser tous les quatre, et tu vas devenir ma maîtresse ; je n’ai jamais fait l’amour avec une femme et, d’après Marc, toi non plus. Comme tu aimes te faire enculer, et moi aussi, ce soir nous allons aussi goûter à la double pénétration ». Elle se serre contre moi, m’embrasse sur la bouche, j’ouvre la mienne pour répondre à son baiser, mes seins deviennent très durs ; rien que l’effet du baiser me fait commencer à mouiller ; je n’aurais jamais pensé qu’une femme pouvait me faire autant d’effets.
Nous retournons dans le salon, la main dans la main, où nos hommes nous attendaient ; quand ils nous voient arriver, ils ont compris ce que nous venions de faire ; Catherine met de la musique, puis baisse la lumière pour que ce soit plus intime. Je danse avec Marc, je suis serrée contre lui, et je sens son sexe devenir très dur et très gros ; Catherine fait la même chose avec Pierre et, quand nos hommes ne tiennent plus, Catherine nous propose de changer de partenaire.
Pierre se serre contre moi, je sens contre mon ventre la préparation de Catherine, mon slip est trempé et je n’ai qu’une seule hâte, celle de le retirer. Catherine est dans le même état que moi, et elle est la première à sortir l’engin de Marc, qu’elle met dans sa bouche aussitôt ; je l’imite en prenant moi aussi la grosse queue de Pierre dans ma bouche. Puis Catherine nous propose d’aller tous dans la chambre et, sans attendre, nous la suivons. Catherine commence à m’embrasser, puis retire ma robe et la sienne ; nous sommes toutes les deux nues, nos « maris » nous regardent, ils ont sorti leurs gros sexes de leur pantalon et commencent à se masturber ; très vite Catherine m’embrasse les seins puis mon ventre et arrive sur ma fente toute gluante de mon jus, et commence à me lécher le clitoris et ma fente ; je passe mon visage entre ses jambes pour l’embrasser à mon tour, nous sommes en 69 et je lâche de petits gémissements ; c’est alors que je vois la queue de Marc prête à entrer dans le cul de Catherine, son gland est au bord de son anus ; Catherine lâche mon clitoris pour dire à Marc d’entrer et reprend sa tâche à me faire jouir, je sens moi aussi que Pierre est derrière moi et il est prêt à investir mon petit trou. Jamais je n’ai autant joui ; quand Pierre se retirait de moi après avoir inondé mon cul de son sperme, c’est Marc qui prenait le relais ; Catherine, de son côté, jouissait sans retenue et, comme elle me l’avait dit, nous prenions l’une comme l’autre les deux grosses bites en même temps ; c’était pour elle comme pour moi la première double pénétration.
Depuis cette soirée, nos balades pédestres ne se faisaient plus à deux mais à quatre ; nous nous arrêtions au bord de la rivière pour baiser, peu importe avec qui.
Nos vacances se terminèrent, et il nous fallut rentrer à Paris. Nous habitions dans deux arrondissements différents, mais toutes les semaines nous nous retrouvions.
Un jour, je téléphonai à Catherine, pour lui dire que j’étais enceinte ; elle me dit qu’elle aussi, et ni l’une ni l’autre ne savions qui était le père. Depuis ce jour, nous sommes inséparables, et nos « maris » sont ravis d’être pères.

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