« Encore la tête dans ce bouquin ? Tu dois le connaître par cœur à force ! »
Alice lève les yeux en direction de sa sœur, soupire et se replonge dans sa lecture. Ça venait peut-être du prénom qu’on lui avait donné, mais elle ne se lassait jamais de l’histoire d’Alice au pays des merveilles. A l’ombre d’un arbre, allongée dans l’herbe, elle se concentre à nouveau sur son roman. Elle sent ses paupières s’alourdir peu à peu dans la douche chaleur de ce mois de juin.
Un bruit la fait sursauter près d’elle. Un froissement d’herbe sur sa droite… un lapin ! Il file à toute vitesse. C’est trop beau : Alice se redresse vivement et court à sa poursuite. Il plonge dans son terrier, et elle s’y jette sans hésitation derrière lui, rampe à l’intérieur. Soudain, elle ne sent plus le sol sous ses mains : elle plonge la tête la première dans un puits qui semble sans fond. La chute libre lui semble interminable ; elle a le temps de compter les secondes, et de contempler les parois lisses, humides et sombres qui l’entourent.
Elle atterrit pourtant sans douleur au milieu d’une pièce étrange. Les murs sont faits de terre tassée, et elle ne distingue rien d’autre autour d’elle qu’une table en bois, une statue de marbre qui semble représenter un homme debout, et une porte minuscule, par laquelle seule une poupée pourrait passer.
Alice s’approche de la table. Sur celle-ci sont posés deux morceaux de papier, sur lesquels on peut lire « mange-moi » et « bois-moi ». A côté du second se trouve un tout petit verre, vide. « Mais qu’est-ce que ça veut dire ? » Au moins, dans l’histoire, son homonyme avait droit à un gâteau et un verre d’eau. Cela dit, celle-ci n’était qu’une fillette ; Alice se dit que son goûter à elle, femme de trente ans, était peut-être d’un autre genre…
Elle se rapproche de la statue pour l’examiner. Il possède d’ailleurs une particularité assez visible et étonnante : il est nu, et présente une très forte érection ! Alice estime la taille de son pénis à vingt-cinq centimètres environ. « Pas mal… et puisqu’apparemment c’est la solution pour sortir de cette pièce… » Elle s’agenouille devant la statue, prend son membre en main, et le lèche sur toute sa longueur. Le contact est froid, comme elle s’y attendait, mais elle est surprise de sentir la bite de marbre palpiter contre sa langue. Elle la prend en entier dans sa bouche, et commence à sucer l’homme de pierre tout en le branlant de la main. Alice entend des craquements, et sent une pression derrière sa tête : la statue a bougé, et sa main guide la tête d’Alice, l’appuie contre son bas-ventre pour qu’elle avale son membre plus profondément. Alice s’exécute : elle n’a jamais été timide en la matière, et se réjouit de cette expérience inédite ! Elle déploie tous ses talents pour lui faire plaisir. De son autre main, elle vient délicatement caresser les testicules de l’homme pour le faire durcir encore ; ce dont il n’a en vérité nul besoin. Elle aime ressentir cette impression de diriger les choses, d’être maître du corps d’un autre.
La main sur la tête d’Alice relâche sa pression, et soudain elle se sent prise au niveau de la taille : la statue la soulève sans difficulté, et la fait pivoter. Alice se retrouve la tête en bas, les jambes en direction du visage de la statue. Sa robe s’est complètement retournée au niveau de la ceinture, exposant sa culotte au regard fixe de marbre. Elle crochète les jambes autour du cou de la statue pour raffermir sa position, et se remet à l’ouvrage : sa bouche est toujours au niveau du membre de la statue, et sa nouvelle position lui permet d’exécuter sa spécialité. Elle donne une bonne gorge profonde à cette bite de marbre. Alice sent qu’elle avale complètement son partenaire, elle adore ça. Visiblement la statue apprécie également, elle donne des coups de rein pour forcer le passage dans sa bouche. Alice tousse, s’étouffe un peu mais persiste. Et l’homme de pierre n’est pas égoïste : peut-être pour la remercier, il glisse une langue dure et froide à l’intérieur d’elle. Alice gémit et continue de sucer son étrange partenaire. La langue de celui-ci vient caresser son clitoris, et se fait alors à la fois douce et râpeuse ; puis il la pénètre à nouveau, sa langue redevenue rigide et lisse. Il alterne les deux mouvements rapidement ; Alice prend vraiment son pied et le suce goulûment. La queue de pierre se raidit soudainement. Reprenant ses esprits, Alice retire sa bouche et continue de le masturber vigoureusement en tenant le verre vide au-dessous. Après quelques secondes, la statue se cambre et envoie un jet de sperme tiède. Le visage d’Alice est aspergé, mais elle réussit néanmoins à recueillir la semence dans le petit verre, qui se remplit à ras-bord. Alice se sent alors ****tisser, ****tisser encore ; elle a désormais la taille idéale pour passer la petite porte.
La statue repose délicatement Alice à terre, et reprend instantanément son immobilité initiale, comme si rien ne s’était passé. Alice se dirige vers la porte, tenant précautionneusement le verre rempli du précieux liquide tout contre elle. Elle se retourne pour jeter un dernier regard à son compagnon inerte, et avance…
Elle est toute étonnée en passant de l’autre côté de découvrir un immense jardin, à perte de vue. Tout y est disproportionné, le moindre brin d’herbe semble de la taille d’un immeuble de trente étages. « Évidemment… Je sais bien ce que j’ai à faire ! » Un sourire aux lèvres, Alice porte le verre à sa bouche, et le vide d’un trait, avec gourmandise. Elle a toujours aimé goûter au résultat de ses manipulations, et avoir réussi à faire jouir une statue ne la rend pas peu fière ! Le goût n’est pourtant pas différent de celui dont elle a l’habitude. A peine a-t-elle fini la dernière goûte qu’elle sent le changement s’opérer en elle : elle grandit rapidement, et le jardin reprend une taille normale.
Alice entend des rires au loin, et ce qu’elle identifie comme des bruits de vaisselle. Quelle est la suite déjà ? Elle pense avec curiosité à l’épisode du chapelier fou… et se dirige rapidement vers la source du bruit.
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