Après cette séance d’humiliation à la plage, Ben me remmène chez lui.
Arrivés au manoir, Ben invite des amis à venir m’utiliser le lendemain. Une foi de plus, je pique mon fard mais ne dis rien. Il leurs dit au téléphone :
« J’ai une femelle à dresser. Venez demain vous vous amuserez bien avec elle ! »
Puis il se retourne vers moi et me lance :
« Va te doucher ! Tu pus le sperme à plein nez. Ensuite tu ira te couche avec les animaux dans l’étable et on verra ce qu’on peut faire de toi demain ! »
Je file sans oublier de le remercier de sa bonté.
Le lendemain, l’heure de la réception arrive. Je ne suis pas plus surprise que ça de voir Christian et mon mari accompagnés de deux autres personnes plutôt âgés.Ben annonce :
« Ha voilà notre femelle. Tu fais très pute comme ça ! Allez, trinquons à notre vide couilles !! »
Rougissantes de honte, je déguste le cocktail qui me fait un tourner la tête. Les deux vieux me regardent les yeux exorbités. A peine leurs verres fini que Ben déclare :
« Tu vois Michèle ! Mes vieux amis n’attende que ça pour te sauter. Ils te déshabillent du regard ! Enfin…Si il y a quelque chose à déshabiller vu la tenue de pute que tu porte ! »
Je sens que l’alcool commence à me faire de l’effet. Ben me ressert un verre et j’ai conscience qu’il veut me saouler.
« Vous avez vu les amis ? Elle sait se mettre en valeur la salopes ! »
Alain répond :
« Oui en effet, elle est bien roulée ma femme. »
Christian reprend :
« Elle peut se permettre de s’habiller ainsi, avec le corps qu’elle a ! »
«Les vieux reprennent en cœur :
« C’est une réelle invitation au viol ta femme Alain ! »
Ben s’écarte et dit aux deux vieux :
« Allez les amis faites vous plaisir ! Venez tâter la marchandise ! »
Il ne faut pas leurs dire deux fois. Ils se mettent à me malaxer rudement mes seins et pince mes tétons sans ménagement pour me faire grimacer.
Je tente de leurs dire :
« Non, arrêtez, laiss… »
Avant de pouvoir terminer ma phrase, une queue investit ma bouche. Je me met à le sucer en ondulant sous les mains de l’autre vieux. Ben me demande :
« Ca te plaît de te faire mettre devant ton mari par deux vieux salope ? »
Je ne peux lui répondre avec la bouche rempli par ce membre turgescent. Mais je commence à feuler de plaisir.
« Je pense qu’elle est prête à être tringlées ! » Dit Christian.
Aussitôt, Ben m’attache pour que tout mes orifices soient disponible et que je ne puisse m’en défendre.
A cet instant, quand j’entends sonner à la porte, je crains le pire. Deux autres hommes entrent.
« Vous avez commencé sans nous. ! »
L’orgie commence. Je suis prise par tout les trous sans ménagement et parfois même, je suis fouettée. Les mecs ont de l’endurance et me baisent durant une bonne demi-heure avant d’éjaculer.
Ils me détachent et je dois les servir à quatre pattes. Après cette accalmie humiliante, ils décident de voir combien de bites je suis capable de prendre dans ma chatte. Je regarde sans y croire ces mecs qui s’évertuent à rentrer leurs machins dans ma chatte dégoulinante. Après quelques effort et mes cris, deux queues s’activent dans mon vagin distendu.
Ben en rigolant dit :
« Il reste un trou dispo ! Faut le remplir ! »
Ni une ni deux un des vieux s’y colle. Il pousse sur ma rosette. J’ouvre grand la bouche pour hurler mais rien ne sort. Une queue en profite pour s’y engouffrer pendant que La queue du vieux dilater mon anus de femelle soumise. Le spectacle est effarant et Alain n’arrête pas de prendre des photos.
Ils se mettent à ramoner mes trous distendus. J’en ai les yeux révulsés. Je ne suis plus pour eux qu’une femelle utilisée comme vulgaire jouet sexuel et vide couilles. Les cinq mecs ne se préoccupent que de leurs plaisirs et me fourrent vigoureusement et maltraitant mes nichons. Je subis cette saillie durant un temps qui me semble interminable, même si, malgré la v******e des assauts, un orgasme me submerge. Puis c’est apothéose. Les mecs crachent leurs venin tour à tour dans mes différente cavités. En reprenant un pot au comptoir, Ben leurs lance en pinçant mes tétons :
« Alors petite chienne ? Bien rempli ? Ca vous t’as plut ? »
Je ne réponds pas et baisse la tête épuisée, honteuse, anéantie. Puis, les amis de Ben partent. Alain me dit :
« T’es vraiment une belle chienne ! Tu pues le stupre ! Vas prendre une douche, pendant que je diffuse tes excès de sexe sur le net. Je pense que nous allons avoir des tonnes de folowers ! »
Ajouter un commentaire