A. Deuxième jour
Après une douche et un dernier baiser avec Monique, je m’étends dans ce grand lit, ancienne chambre de Marie. Elle semble encore habitée, quelques photos, beaucoup de livres, sur un peu tous les sujets… Un poster au mur me rappelle mes tendres années, James Dean, La fureur de vivre, tout un programme…
Le sommeil me ratt**** sans que je n’entende autre chose que le silence de la campagne…
Le lit est neuf, un 160, je me suis étalée… Puis rideau…
Mon rêve est érotique, James Dean appelle d’autres souvenirs, mes premiers émois dans les salles de cinéma le dimanche après-midi avec mes copains, mes premiers amants, puis tout se brouille…
Je sens une chaleur contre moi, je me laisse caresser, ma vulve s’ouvre, un doigt tourne sur mes trésors, je m’abandonne, appelant d’autres caresses…
Rêve érotique, après une nuit intense, de plaisirs, de sexe partagé, d’échanges avec Monique, puis avec Bruno et sa façon de me prendre, de me faire jouir, puis nos délires communs…
Ils me regardent, me caressent de nouveau, embrassent mes seins…
Je suis nue au milieu du lit, offerte… Ils sont partout, en moi, m’emportent, me font jouir encore, je gémis…
Une bouche adorable se rive à la mienne, mes doigts croisent les siens, je m’étire…
Le baiser est torride, mon corps réclame… Je le sens sur moi… J’écarte les cuisses…
Un sexe me pénètre délicatement, me transporte, me possède lentement, comme j’aime, comme une vague, qui me fait tanguer, je suis sur le rivage, portée par l’océan, pour un coït final merveilleux, intense, un échange amoureux si puissant, que l’orgasme qu’il génère m’emporte, me fait pleurer, mon corps tremblant de plaisir…
La nuit est calme, silencieuse… Un clocher tinte son heure… Neuf coups… Déjà !…
L’odeur du café… Je m’étire de tout mon long, comme une chatte…
Elle m’a déposé un peignoir…
Je passe par la salle de bain, puis décente, je trouve Monique seule dans la cuisine…
– Bonjour ! Bien dormi ?
– Extra, le lit est exceptionnel…
– Comme un bébé alors ?…
– Presque, il y avait des rêves pour plus grands…
– Ah ! Madame est perturbée par nos amours plurielles ?
– Pas que, j’ai nettement ressenti un sexe, un membre bien rigide, long, me prendre, me donner un plaisir divin… Un rêve… Bruno est sorti ?
– Oui, il est allé nous chercher du pain, on va déjeuner ici à midi, je n’ai pas de nouvelles des enfants…
– Vous avez…
– Non !… Il te l’a dit, il était crevé, je l’ai rarement vu comme ça… épuisé… On l’a eu… Je suis si heureuse de l’avoir partagé avec toi… Tu es si sensuelle, amorale aussi… Tu m’as emportée dans tes fantasmes… J’ai joui comme jamais… J’en ai encore les traces…
– Oh, dans mes rêves aussi, vous étiez tous les deux comme hier…
– Pas possible, je n’ai pas bougé…
– Et bien le mien, il bougeait, je te l’assure…
– Il a ronflé si fort cette nuit…
– Bah !… Un rêve… Je suis perturbée par tout ça, mais j’ai aimé…
– Tu es prête à recommencer alors, ce soir ?
– Oui… Je l’avoue… J’irai payer ma chambre avant midi, et puis c’est dimanche, je vous offre le dessert… Tu peux prendre la salle de bains, j’ai fini… Oh, j’oubliais, ça ne vous dérange pas que je reste pour la nuit ?
– Mais, non, je t’assure, tu as ta chambre, celle de Marie. Et Pierre ne reste jamais le week-end, il nous laisse tranquille, il fait sa vie, à 24 ans c’est normal…
– Mais Marie revient, non ?
– Elle a son appartement… Parfois je sais qu’elle le prête à Pierre…
Je me réjouis, ils sont gentils, accueillants, tendres… Je prends une longue douche, puis me refais une beauté, tout à l’air à sa place et je n’ai pas de traces de cette nuit magique…
J’entends du bruit, Bruno a dû rentrer… Je passe dans la chambre, m’habille, je me sens fraîche, il fait beau, je reste…
– Bonjour Marie !
– Bonjour Marika, tu as passé une bonne nuit ?
– Oh, oui… Et toi ? Tu es sortie avec tes copains ?
– Oui… Classique, on se réunit chez l’un ou l’autre, parfois on sort boire un verre, ou on va en boîte…
– Rentrée tard ?
– Non, 3 heures je crois…
– C’est bien tu n’habites pas très loin…
– C’est pratique. Pierre reste là tant qu’il n’est pas confirmé dans son job. Il vient chez moi, même que parfois, je le laisse seul avec sa copine et reviens dormir ici…
Ses yeux sont directs, francs, elle débarrasse la table…
– Marie, tu peux accompagner Marika, elle va payer sa chambre et aimerait nous acheter un dessert…
– Volontiers… C’est où ?
– A l’entrée du village, sur la route de Strasbourg…
– Ah, oui chez David et sa tante… Tu n’en n’as pas profité de ta chambre, tu étais mieux ici, na !
– Tu as raison… Je prends ma voiture, tu me piloteras ?
Un baiser à Monique, heureuse de voir sa fille avec moi…
Nous arrivons à l’hôtel, Marie retrouve son copain David qui me tend la clé, surpris de voir sa cliente avec elle… La tante est de sortie, sans doute à la messe ?…
– Je vais me changer, tu m’attends Marie, puis je paierai mon dû…
– D’accord…
Je monte les escaliers, passe une robe plus légère, il fait chaud… Je garde une veste, puis fais ma valise…
Je redescends, personne en bas…
Je sors mettre mon bagage dans la voiture, puis reviens, entre dans la salle, curieuse de ne pas avoir profité de l’établissement…
J’entends du bruit dans la cuisine, pousse un battant…
Marie est appuyée contre une grande table en bois, le garçon caresse ses seins sous le tee-shirt, ils s’embrassent tendrement… Le spectacle est splendide, la jeune femme libère ses seins, tandis qu’une main glisse sous sa courte jupe, entre ses cuisses… Elle a du mal à les ouvrir, se relève…
– J’ai envie de faire l’amour… Allons au bureau, ta tante revient quand ?
– Elle est allée chez son amie depuis hier au soir et rentre en fin d’après-midi, je dois aller la chercher…
– Alors on va sur le canapé du bureau, c’est mieux…
– Et l’amie de tes parents ?
– Elle se change… Et puis elle est en âge d’apprendre…
Ils courent en riant vers l’accueil, entrent dans le bureau meublé d’un canapé que j’aperçois du couloir… Je me rapproche…
Elle embrasse son ami à pleine bouche. Ils se sont déshabillés rapidement, le sexe du garçon pointe son désir… Elle s’allonge, et elle écarte les cuisses… Il la caresse quelques instants, elle s’est ouverte pour recevoir sa langue… Elle commence à râler, ses soupirs emplissant la pièce me parviennent étouffés…
Puis il la prend lentement, elle râle, gémit… Il accélère…
Je sens que ce spectacle m’émeut…
– Oui… Doucement, attends un peu… Je veux te sentir…
– Je peux jouir en toi ?
– Oui je suis protégée… Viens en levrette…
– Tu as fait l’amour depuis ?
– Non, béta… Quand ?
Elle se tourne s’appuie sur un accoudoir et monte son bassin, il s’enfonce lentement en elle, elle se laisse aller, s’ouvre en râlant et il la possède d’un coup sec !…
– Oh !… Macho !… Doucement…
– Faudrait savoir…
– Allez viens ! Oui !… Comme ça… Encore !… Vas-y, prends-moi…
Il prend une bonne cadence en la tenant par les hanches, Marie replie ses bras, baisse la tête, soumise, feulant son plaisir comme une chatte en chaleur…
– Oui… Oh, oui !… Comme ça… Je sens que je vais jouir… Tu me remplis… Attends, assieds-toi, je veux m’empaler sur ta bite…
Il la guide, elle se pénètre doucement, puis se déchaîne…
Il enserre ses seins, les malaxe, elle s’envole, le vieux canapé grince, couine, gémit aussi…
Elle est magnifique, belle amazone se portant au plaisir, criant ses extases, le sexe va et vient en elle…
Je n’ai pas résisté et ma culotte est trempée, deux doigts coulissent profondément en moi…
Elle est prise d’un orgasme soudain, jouit en râlant, il va au bout et explose en elle…
– Oh, oui… Tu es bonne… J’adore te baiser… Suce-moi…
– J’avais trop envie, je te dirai… Oh, elle est grosse encore…
Elle obéit, prend le sexe dans sa bouche et avale goulûment les quelques gouttes, tandis que sa chatte libère le sperme sur le canapé…
Ils s’embrassent tendrement, elle se rhabille, lui aussi, puis ressortent du bureau… Je suis dehors…
– Ah, je vous cherchais…
– Oh, on a rangé un peu pour le retour de la tante…
– C’est bien de ranger et nettoyer, vous aidez votre tante ici ?
– Oui, elle a pris la suite de son mari, mon oncle… Alors je viens l’aider la journée, parfois la nuit…
– Hier soir tu étais là alors ?
– Oui, j’étais coincé, je n’ai pas pu vous rejoindre, il y avait un client qui n’est pas venu… Tu t’es ennuyée ?
– Un peu… Tu as vu… J’avais envie de…
Elle allait dire une bêtise devant moi, se tait et je demande la note…
Elle me pilote jusqu’à la boulangerie du village, où je trouve mon bonheur avec un magnifique gâteau aux fruits, des mirabelles que j’adore. Marie me conduit ensuite vers une épicerie générale, j’y trouve un bon champagne…
– Tu ne connais pas les bords du Rhin…
– Si, mais c’est la première fois que je reviens et ce village, je ne le connaissais pas……
– Prends la route à droite, puis à gauche, ce n’est pas loin….
Nous arrivons près du fleuve, il y a un charmant petit port, quelques barques, un sentier…
– Viens on va faire quelques pas…
Je la suis, c’est magnifique, et par ce temps… Nous avons une bonne heure devant nous, et donc, nous avançons. Un emplacement est aménagé pour le pique-nique, puis plus loin on entre dans une petite forêt. On aperçoit sur la rive allemande, un château, et pas mal de péniches et de bateaux de promenade.
On s’assoit sur un banc face au château, niché dans un bosquet, nous sommes seules au monde…
– Tu ne connaissais pas mon beau-père alors ?
– Ah, non, Marie, jamais vu, je ne suis pas revenue ici depuis 40 ans au moins…
– Et mon père, maman ne le connaissait par encore quand tu étais ici…
– On ne se fréquentait pas, sauf à l’usine. On a dû faire deux ou trois sorties entre filles, mais je n’ai pas de souvenirs…
– Tu es vraiment belle… Je les comprends…
Ses yeux plongent dans les miens…
– Tu n’es pas mal non plus… Tu es bronzée, à croquer…
– Tu es venue pour ça non ?
– Pour quoi ?
– Ben… Pour baiser avec eux… Ils te mangeaient des yeux hier au soir… Pierre s’en est aperçu aussi… Et puis tu allumais grave…
– Oh, non… J’étais contente de retrouver Monique… Nous avions, des points communs alors et on s’entendait bien, mais ce fut trop court pour forger une réelle amitié…
– Ah…
– Et toi tu es malheureuse avec Bruno ?
– Non !…
– Alors pourquoi tu l’allumes depuis quelques temps ?
– Comment tu le sais ?
– Ta mère au téléphone…
– J’aime les hommes et les femmes… J’aime le sexe depuis toujours…
– J’ai vu !…
– Comment ? A l’hôtel ? Oh… Pardon…
– Ce n’est rien, le plaisir était pour moi…
– On sort ensemble, mais pas régulièrement… Il est gentil mais il ne fait pas de sexe coquin… je veux dire il baise et c’est fini… Moi j’aime plus…
– Et Bruno le fait mieux ?
– Je n’ai rien fait… Juste entendu… Bon, j’ai regardé un peu, là… Un soir ils recevaient un autre couple, je les ai entendus quand je suis entrée… Je ne devais pas revenir, Pierre était chez moi… Leur chambre était ouverte, Bruno baisait une femme plus âgée, maman suçait un homme chauve, avec une queue géante… J’en rêve depuis…
– Tu serais tentée par faire l’amour avec Bruno ?
– Ben… Depuis que j’ai vu sa grosse bite… Et puis Pierre avec son amie, je les ai vus aussi, ils ne se cachent pas trop chez moi… Les parents étaient partis… Il a voulu que je caresse sa copine…
– Tu l‘as fait ?
– Oui… On a fait l’amour, Pierre regardait… J’ai joui devant lui, puis elle aussi, on se léchait la chatte… Alors il est venu la prendre, il était énorme, long, incroyable, je ne l’avais jamais vu comme ça… J’ai connu ensuite plusieurs femmes… Je suis tombée amoureuse d’une que j’ai présentée à maman…
– C’est toi qui es venue dans ma chambre cette nuit et m’a caressée ?
– Oui… Tu dormais bien, mais tu as apprécié… J’ai eu tellement envie que j’ai craqué avec David… J’avais trop envie d’un mec…
– C’était bon, tu sais ?
– Ah… J’aime caresser les femmes, les sentir s’abandonner, les entendre soupirer de plaisir… Et moi, jouir par leurs caresses, mais tu ne m’as rien fait… Tu dormais…
– Tu veux ?
– Oui… Comme tu le fais à maman…
– Mais où ? Comment tu nous as vues aussi ?
– J’étais cachée dehors… Je voulais savoir… J’ai tout vu… Tu comprends pourquoi j’étais tant excitée à l’hôtel… Cette nuit j’ai attendu que tout soit silencieux et je t’ai rejointe, j’étais trempée, j’avais arraché ma culotte à vous voir vous butiner la chatte… Et puis Bruno qui vous a enfilées avec sa grosse bite… Je vais craquer un jour et la sucer… Mais j’ai envie de toi aussi… Cette nuit je t’ai pourléchée, caressée, je me suis masturbée comme si c’était toi qui me le faisais… En rentrant, j’ai croisé Pierre qui venait chez moi, il était seul… Je lui ai tout dit, que tu étais là pour baiser avec les parents… Il resté un moment, je l’ai entendu sortir…
– Il est entré aussi, c’est lui qui m’a fait l’amour après toi… Je n’ai donc pas rêvé !…
– Non, je n’ai pas revu Pierre… Mais si tu veux on a le temps d’aller chez moi… Tu pourras lui demander…
Sitôt dit, je fonce là où elle me guide…
Il est surpris de me voir avec sa sœur…
– Bonjour Marika…
– Re-bonjour, non ?
– Ah… Marie… Tu ne peux pas te taire !… Je sais ce qu’ils magouillent, les parties fines et tout et tout… Bruno est un baiseur né… Il saute sur tout ce qui bouge, maman tient à lui, il nous élevé… Elle est capable de tout pour le garder… Marie m’a raconté ce qu’elle a vu, j’avais raison… Mais j’avais craqué pour vous Marika… Alors je me suis glissé dans ma chambre, me suis allongé et quand je vous ai sentie si chaude, si ouverte après quelques caresses, je vous ai prise… Lentement, vous dormiez en jouissant, c’était magique…
– Tu m’as prise jusqu’au bout ?
– Oui, pas pu me retenir, c’était trop bon, vous êtes si belle, si parfaite… Et puis Marie venait de vous exciter aussi… J’ai failli vous réveiller pour continuer… Mais j’ai eu peur… En tous cas vous avez aimé…
– J’aime l’amour, le sexe, la vie… On est venues pour ça… Prends-moi de nouveau, mais après Marie, elle veut apprendre de moi et pareil que pour toi, je ne lui ai rien fait cette nuit… Ça ne te fait rien de voir ta sœur ?
– Non ; on a déjà baisouillé, elle a voulu que je la déflore…
– Pas possible !…
– Si, hein Marie ?
– C’est vrai, 14 ans, amoureuse à en crever d’un homme plus âgé, je ne voulais pas qu’il sache… J’ai demandé à Pierre de venir dans mon lit, on le faisait souvent, il me racontait des histoires… Je l’ai vampé, il avait dix-huit ans… Je lui ai demandé de me caresser comme avec ses amies, il ne voulait pas… Alors je me suis mise toute nue, il me voyait souvent, mais pas comme ça et me suis caressée… J’étais trempée de désir… Je l’ai supplié de continuer, que j’avais envie de jouir comme une femme, une vraie… Alors Pierre a pris ma main, et a posé un jouet, un ancien de ma mère… J’ai guidé le gode en moi doucement, j’ai senti comme une piqûre, un peu de sang, je lui ai demandé de me prendre comme un amant, que j’étais folle et que je l’aimais… Il s’est approché, m’a serré dans ses bras et m’a dit que ce n’était pas à lui de me prendre pour la première fois, alors je me suis masturbée vraiment, en jouissant devant lui, écartelée, avec l’appareil qui vibrait, qui se tordait en moi… Il se masturbait en regardant mon plaisir… Quand je me suis calmée, j’ai pris son sexe je l’ai sucé…
Il m’a appris les rudiments de la fellation, on parlait souvent de sexe ensemble… Maintenant je me défends…
– Et tu l’as eu le mec ?
– Oui, j’étais jeune femme… Et ça c’est bien passé la première fois… Je suis sortie avec lui deux mois… Jusqu’à l’été…
Pierre est nu devant nous, Marie aussi, j’enlève ma robe, mon string, mon soutien-gorge… Je m’allonge sur le lit, écarte les cuisses, ils viennent me lécher les seins, la chatte, Pierre m’embrasse tendrement, Marie frotte son ventre contre le mien, c’est délicieux, je fonds de désir… Marie m’a écartelée, Pierre regarde sa sœur me faire l’amour, et puis je la renverse et lui fait un 69 de folie, la faisant crier de plaisir, par mes doigts qui plongent et replongent dans son tendre minou…
Elle atteint vite des sommets, surtout que je titille son anus, jusqu’à enfiler une phalange… Elle pleure, crie, en redemande… Elle est folle et délire orgasme sur orgasme…
Pierre n’en peut plus et vient me pénétrer… Plus rudement que cette nuit il me possède réellement, pleinement, il a un dard de macho, dur, long et il m’emporte de nouveau sur mon océan, mon rivage en me possédant tendrement, alors que Marie est contre moi, caresse mes seins et me donne de merveilleux baisers tendres et humides… Il se libère en moi, un acte profond et tendre, une douce chaleur envahit mon ventre.
Je la pousse à un dernier orgasme, écartelée sur le lit, offerte…
Je sens que Pierre se retient, seules les inhibitions morales mettent un frein au cerveau…
Elle jouit sous mes caresses, impudique, échevelée, abandonnée…
Elle a envie d’un homme, d’un sexe dur et puissant qui la prenne à fond et la fasse jouir… Elle le crie… Nous le crie… Me supplie…
Je plonge ma main dans son vagin étroit, lentement je la pénètre, la possède, à son rythme… Elle feule, gémit, ferme les yeux, ondulant son bassin… Son ventre est secoué de spasmes, elle tient ma main, la pousse en elle, et jouit encore et encore…
– Oh que c’est bon, oh, je suis déflorée, mieux qu’un gode XXL… Comme si j’avais accouché… Tu es géniale… Je t’adore Marika… Je me sens femme !…
Pierre lui donne un baiser de frère, la prend contre lui, la berce… Je vois sa bite reprendre vigueur (La nature reprend ses droits…), Marie aussi, elle s’en saisit et le masturbe en m’embrassant…
Quand il commence à se raidir, je la prends dans ma bouche ouverte et il éjacule à grands jets, tandis que Marie vient sucer ma chatte…
Nous nous rhabillons, Marie est fraîche et gaie comme un pinson, Pierre me sourit sans cesse…
– Pardon pour cette nuit…
– De quoi ? J’ai fait un rêve un peu coquin, mais ce n’était personne…
Le repas…
Un repas de fête… Tout le monde est souriant, Bruno me regarde sans cesse, Pierre et Marie aident Monique à servir, nous bavardons de tout, de rien, et je me laisse bercer par les conversations, enivrée légèrement…
Marie raconte ses déboires avec un de ses clients, Pierre se souvient d’un spectacle qu’il est allé voir à Strasbourg, les Enfoirés, c’était magique…
Nous parlons jusqu’à cette fabuleuse tarte aux mirabelles, accompagnée d’un Crémant qui vient parfaire mon état second…
– Si on allait aux jardins ? Marika tu aimes les jardins ? Celui-ci est ravissant…
– J’adore la nature sous toutes ses formes…
C’est décidé…
– Je dois revenir vers 18H00, j’ai une amie que j’avais invitée…
– Dis-lui de venir avec nous, on pourrait aller au restaurant ce soir tous ensembles. Monique, moi, Pierre, Marie et sa copine, Marika…
– Heu… Moi aussi j’ai rencard…
– Pas possible, elle te veut encore ?
– Tu ne la connais pas… Et puis ce n’est pas pour ça, juste une copine pour le boulot, je dois lui passer des livres, il faut qu’elle choisisse dans ma chambre…
– Tu le lui as dit, elle n’a pas eu peur ?
– Ah ! Ah !
– Bon, si Marika est d’accord… Qui prend sa voiture ?
– Je peux prendre la mienne, Bruno… 5 places un peu étroit mais elle est confortable.
– Moi je peux conduire celle de maman… La neuve…
Allez, Bruno se décide pour laisser conduire son nouveau SUV 7 places par Marie… Aux anges…
Monique monte devant, Bruno et Pierre avec moi…
Le trajet est sympa le long du Rhin, il me semble que l’on se dirige vers le fameux château du matin, mais sur la rive droite… On a passé la frontière, le site est magnifique…
Parfois, je sens je sens la cuisse de l’un ou de l’autre contre moi, Bruno est nerveux, on aime pas prêter ses jouets… Monique se tourne souvent vers moi, me sourit, l’air heureux…
Moi, je repense à notre trio improvisé dans l’appartement de Marie, rapide, mais intense, que de passions dans ces jeunes gens… On croit les connaître…
La visite est sympathique, les jardins sont merveilleux et nous restons longtemps à regarder ces fleurs, ces massifs, cette verdure.
Je m’attarde sur des arbres majestueux, prisonnière de ce faisceau de branches, un vrai dédale…
Bruno est contre moi, il m’embrasse, me serre fortement…
– Je n’ai pas eu le temps de te remercier. Tu es magique avec nous, tu nous donnes de l’amour, de la joie… Je ne reconnais plus ni Marie, ni Pierre et Monique est amoureuse de toi, je le sens, ça se voit… je ne l’ai jamais vue comme cela si heureuse au milieu de ses enfants…
– Merci… Tu es gentil… J’ai aimé hier soir, partager, me donner à vous, à toi. Je suis bien et ne regrette pas mon voyage…
– C’est parfait.
– Tu sais que Marie t’adore…
– Ah ? Non… Je…
– Tu la regardes parfois, en train de bronzer dénudée…
– Elle est belle c’est vrai, mais Monique te l’a dit, j’aime les femmes mûres, comme notre amie, toi… Mais toi, tu es la cerise… J’ai envie de toi tout le temps maintenant…
– Elle aussi aimerait te connaître…
– Marie ? Non ? Je suis pratiquement son père…
– Si tu la regardes en douce, ce n’est pas pour lui réciter des histoires… Si tu en as l’occasion…
– Je… Sans doute, mais…
– Et tu savais que Pierre et elle étaient très proches et très libres ?
– Libres comment ?
– Elle a beaucoup appris sur le sexe grâce à vous, à Monique qui est infirmière, mais Pierre est jeune et fait référence pour elle, il la protège, elle a besoin de ce côté grand-frère… Avec lui, elle se sent libre et femme… Quand on est ado, il y a des périodes de doute, et on ne sait pas tout, on a peur de se trouver bête devant les garçons… Pierre l’a initié à quelques pratiques, tout en la respectant évidemment, j’ai trouvé ça très sain… Pour votre famille le sexe est très présent, alors ne soit pas choqué. Vos enfants, enfin ceux de ta femme, savent pour moi, ce que je suis venue faire. Ils connaissent vos soirées intimes où ils vous ont surpris, voire épiés… C’est normal, c’est la vie…
– Oh, je ne me fais pas d’illusion, ils sont grands, intelligents, ouverts, leur mère les a bien élevés, et les a avertis très tôt des dangers du sexe, des hommes pour Marie, des fréquentations pour Pierre…. Ils sont ouverts, je sais… Je pense même que Pierre, à le voir te regarder… et puis Marie nous présenté des copines, je me doute qu’elle papillonne…
– Tu as raison pour Pierre, on a fait l’amour ce matin…
– Quoi ?
– Il a craqué sur moi, je me suis laissée faire… C’est un homme… Gentil et affectueux, et à son âge, le sexe est très présent, ne l’oublie pas. Il ne faut pas les brimer… Marie aussi a besoin de libérer ses pulsions, elle était là… Il vaut mieux les guider que de les rejeter ou pire, fermer les yeux…
– Tu as sans doute raison, tu as élevé une fille, tu aimes le sexe aussi, tu as fait ta vie, tes expériences…
– Voilà, des expériences, ce que vous faites avec Monique, juste pour décupler votre désir l’un l’autre… J’ai senti combien elle t’aime, et toi tu vas chercher ailleurs pour partager ensemble des expériences et affirmer votre relation de couple et vos libidos. Elle, dans son métier est très stressée, le sexe la détend, et en ressentant ton désir, ton plaisir, avec une autre, te regarder jouir, elle se libère de ce stress et cela vous unit…
Je le vois pensif, il digère ces quelques réflexions… Il cherche ma bouche, je sens une bosse contre mon ventre… Il ne ment pas…
– Tu es une fée… Je t’adore… J’ai envie de toi maintenant…
– Dommage que je parte tout à l’heure, j’aime conduire de nuit…
– Non, ce n’est pas vrai ? Je…
– Non, ce n’est pas vrai, moi aussi j’ai encore envie de toi, de vous… Tous…
– Espèce de petite…
Je m’échappe sans entendre la suite, riant aux larmes, ils sont extras, mes hôtes…
Finalement, il y a beaucoup de restes, et personne n’a envie d’aller au restaurant. Si Marie invite son amie, Pierre, la sienne, nous serons 7…
Nous prenons l’apéritif au jardin, car le soleil s’est mis de la partie en ce mois d’avril, cela nous fait du bien au moral, en plus du reste…
– Et si je sortais le barbecue ? Qui aurait envie d’une cuisse de poulet et de canard ? Une côte de bœuf ? Des saucisses bien grillées ?
– Personne ? Bon… On aura droit aux restes…
– Je connais des restes qui font les beaux-jours de certains…
– Marie… Tu ne vises personne d’ici j’espère ?
– Non, maman, c’est une réflexion d’ordre général, une plaisanterie en fait…
– Alors je comprends mieux, je sais que tu es perturbée, mais tu peux tout me dire, tu le sais depuis longtemps. Nous sommes une famille reconstituée, et à ce titre je tiens à ce que le ciment soit le même pour tous.
– Bien dit Bruno !
– Merci Pierre. Tout va bien pour toi ?
– Parfait. Je me sens revivre lorsque vous invitez des personnes comme Marika, si ouverte et intelligente, à l’écoute de chacun ici, et dont le charme opère une résurrection chez chacun de nous…
– C’est vrai, je suis d’accord avec toi Pierre, Marika nous apporte son charme, s’intéresse à notre famille et vient nous parler sans détour…
– Je sais qu’elle est venue pour une autre raison, il est temps je crois d’être adulte et de nous traiter en tant que tels…
Nous ne sommes pas aveugles. Même si cela ne nous regarde pas, que vous êtes adultes et que vous souhaitez vous ouvrir à des pratiques plurielles au sein de votre couple, nous pourrions dans un cadre familial, être informés, du moins prévenus afin de choisir. Soit rester en dehors et éviter de vous déranger ou de nous ouvrir aussi à ces jeux, la jeune génération recherchant ce genre de pratique qui devient monnaie courante, ceci pour vous informer… Qu’en pensez-vous ?
Un grand silence remplit la pièce, Marie à la bouche ouverte, Monique regarde son fils, essayant de comprendre ce qu’il a voulu dire et si elle a bien compris le sens de ses paroles…
C’est Bruno qui rompt le silence…
– Il est vrai que nous sommes recomposés, mais il est aussi de fait que je ne suis pas votre père. Si nous entretenons des relations avec d’autres adultes pour distraction et goût, pour améliorer nos libidos cela n’entre en rien contre vous. Pierre tu as raison, nous avons agi dans votre dos, pensant vous protéger, et n’étant pas fiers de devoir nous cacher pour cela. Si vous nous demandez plus de transparence, pourquoi pas ?
Vous êtes des adultes et seuls Marie et toi Pierre pourriez être mal à l’aise devant votre maman… Pour ma part, je ne désire qu’une relation étrangère, partagée avec Monique, dans le but de nous évader du quotidien et éviter de sombrer dans d’autres pratiques, ou travers que beaucoup de couples rencontrent en se cachant l’un de l’autre. Cela mène au divorce, à la séparation. Ici rien de tout cela, nous avons pris notre décision ensemble et après plusieurs essais, nous avons opté pour un trio, plus en rapport avec nos goûts, nos moyens, le but recherché.
Maintenant, le hasard nous met devant un dilemme… Marika est belle et Pierre, tu n’y es pas resté insensible. Marie tu as eu quelques expériences bisexuelles, c’est de ton âge de goûter à tout, et Marika se révèle à ton goût. J’ajoute pour créer un tableau complet que toi, Marie tu t’es comportée parfois en femme devant moi. Tu aiguises tes griffes et je le comprends, mais je suis un homme et derrière le père remplaçant, il y a un amant passionné, aimant les femmes, même si mes goûts vont vers plus d’expérience je suis loin de rester insensible à tes charmes. Pour maman, elle aime toutes les situations, en tant qu’infirmière elle est parfois trop stressée pour se contrôler. Nous ne voulons pas de relations pouvant heurter la morale, et je suis clair, personne ici ne pensera à pratiquer des amours i****tueuses ou perverses, sales, dépravantes ou dégradantes. Votre période ado est terminée, on vous a parlé, on vous a mis en garde, maintenant on vous parle à cœur ouvert.
Oui, on aime baiser, parfois avec d’autres gens, dans d’autres conditions, mais pas entre fils, fille. Ici, on a une exception puisque je ne suis pas parent de sang avec Marie. Si elle accepte ou crée une relation intime c’est entre deux adultes, mais validée par sa mère. Voilà ce que je voulais vous dire pour rester en accord avec mes convictions, mon éducation, mes pensées profondes et mon rôle dans cette famille.
Vous les enfants, vous ne me devez rien. Vous m’avez accepté tel quel, vous m’avez obéi les rares fois où j’ai dû vous montrer le chemin. Je vous remercie pour ces années, maintenant nos relations évoluent les oisillons sortent du nid, au grand dam de la maman, mais c’est la vie…
Pierre prend la parole et remercie son père pour cette franchise. Oui, ils savent avec sa sœur ce vous faisiez. Oui, ils vous ont surpris, regardés mais pas espionnés. Oui Marika est venue perturber tout ça, nos libidos, nos testostérones ont réagi…
– Marie vous a observés, nous n’étions pas dupes. Merci pour ces mots, je t’aime et continue à t’appeler papa, même si je dis Bruno parfois. Maman est une femme adorable et surtout admirable qui se sacrifie pour toi, veux t’offrir plus, pour être une épouse moderne, accomplie, ouverte aux nouvelles pratiques. Comme elle a été une mère magnifique.
– Oui, maman tu es adorable, plus que toute autre femme ou mère, tu sacrifies tout pour tes enfants et puis tu suis ton mari dans une voie qui ne t’était pas coutumière à mon sens… Oui, j’aspire à faire partie de ce clan, disons élargi, avec d’autres membres choisis, nous aussi avons besoin d’évasion mais aussi de sécurité dans nos rapports avec les autres et dans nos expérience sexuelles. Oui, nous faisons partie de cette génération que rien ne rebute, même franchir quelques barrières… Oui, Bruno j’ai pensé à toi au fond de mon lit, tu es l’amant père, l’amant Adam, on ne peut qu’être amoureuse ou du moins t’espérer. Je dois confesser, puisque nous sommes dans les secrets, oui, je suis bisexuelle et j’aime cela, oui j’ai eu des rapports mais pas trop intimes avec Pierre dans mon adolescence, il m’a initiée aux pratiques avec les hommes à ma demande… Il m’a respectée, je lui en ai voulu…
Marika ? Oui, on a fait l’amour avec elle, avec mon frère, j’ai joui, j’ai apprécié, j’aimerais recommencer sans devoir le cacher, dans l’esprit que Bruno vient d’édicter…
– Bien mes enfants, je suis heureuse de voir que tout le monde s’entend bien avec tout le monde ici.
D’abord, oui, je me suis ouverte à des pratiques pour lesquelles je n’étais pas fondamentalement préparée, bien que j’aie connu des situations très proches, par jeu, par inconscience, ou par dépit. Bruno a remis tout ça en ordre et pour le remercier, nous avons décidé d’étendre nos pratiques, comme pas mal de couples modernes, à des jeux sexuels.
Je remercie Bruno de me faire confiance et pour son aide dans notre couple et à la maison, avec vous deux… Merci enfin de poser une base pour ces dérives.
Pour nous ce fut petit à petit, mais c’est vrai que nous vous avons un peu caché nos desseins, par crainte de vous décevoir, et en voulant vous protéger, mais nous aussi… Voilà, oui j’ai rencontré Marika sur le web, dans un site de rencontres. Elle m’a plu, correspondait aux désirs de Bruno, j’ai osé et elle a accepté. Nous avons eu de la chance, son intelligence, sa compassion pour nous 4, cette joie qu’elle transmet et dotée d’une beauté à faire damner un saint, je suis tombée sous son charme, bien que nous avions interdit tout sentiment, Bruno ne l’ayant pas précisé, nos échanges restant purement sexuels…
Donc si Marika est d’accord, je serais ravie de créer les bases d’un club, avec vous, mais comme l’a exprimé Bruno, en respect de la morale, avec mon accord pour Marie et Pierre, je suis la seule à être impactée d’un risque de dérapage… Donc Pierre et Marie vous êtes interdits de Monique, mais vous pouvez participer à nos ébats dans le cadre de nos jeux sexuels, et y adjoindre amies et copains, adultes et consentants…
Le reste je vous l’accorde. Dès que nous aurons d’autres rendez-vous, nous le dirons et à vous de voir si vous voulez participer ou non à la soirée. Je dois vous dire que pour l’instant nous n’avons que peu de pratiquantes, Marika est la seconde…
Juste un détail, nous pouvons prendre la liberté de vous interdire l’accès à nos jeux si nous sommes d’accord Bruno et moi, et en cas de raison exceptionnelle.
Je remercie tout le monde d’avoir fait mes éloges que je ne mérite pas…
– Je suis en effet une repentie du sexe ; Après une séparation, j’ai tenté de sauver la libido. Je suis tombée dans des travers inavouables, risqués, voire pire. Une femme m’a sortie de là. Elle m’a initiée et j’ai vécu plusieurs mois avec elle. Puis j’ai pratiqué un sexe lesbien avec des femmes de mon entourage, voisines, mariées en mal de sexe, etc… Sous le couvert de ventes privées, pour mes amies matures, j’ai formé un club ou les ventes passaient au second plan… Le sexe devint ma passion, j’organisais des ventes de jouets, puis des orgies…
Récemment, mon ex, qui habitait un studio en bas de chez moi et croisait parfois mes conquêtes sans se douter de ma perversion, voulut prendre sa liberté totale et demanda un divorce légal…
Je me sentis seule, abandonnée, car s’il était interdit de séjour dans mon salon, je le sentais proche, et parfois, je lui accordais une nuit après un dîner trop arrosé entre amis, il faut bien que libido se passe…
En fin d’année, nous donnions un dernier repas avec un couple de ses amis. Lui ancien collègue, elle femme au foyer mais étrangère à mon club…
Dérive, le mari m’a draguée, mon ex a dragué sa femme… Un échangisme de premier niveau, non programmé. Ils n’étaient pas au courant de nos accords, ni de notre divorce. Eux aussi étaient en train de se séparer… Je devins la maîtresse de Romain, elle devint celle de mon ex… Qui ne s’arrêta pas là d’ailleurs…
Ce retour à la vie sage d’épouse, de copine, me satisfaisait. Mais je donnais un premier coup de canif, et compris que je n’étais pas encore à ranger dans la classe retraitée, à jeter.
Nous sortîmes plusieurs fois tous les 4, en testant des établissements coquins, nous furent aussi pris en main par des coaches, afin que nos partenaires se libèrent de leurs principes. Ils y arrivèrent rapidement, miracle du sexe, et je repris lecture de mon profil et des messages. Je tombais sur vous, Monique et Bruno, et voilà, la vérité toute nue.
Bruno sort une bouteille de Crémant que nous vidons d’un trait, et nous proposons de commencer notre soirée club…
Les yeux brillants, après une collation rapide et d’autres bouteilles, je me lance dans le canapé…
Cette séance m’a fait du bien. Je me sens comme nettoyée, lavée… La tête plus claire…
Bruno vient s’asseoir à mon côté…
– Je tiens à toi… Tu es parfaite et je t’assure, je n’ai jamais dit ça à une femme…
– Monique ?
– Oui, sans doute elle le mériterait…
– Je vous aime tous les deux. Je t’avais mal jugé. Macho, égoïste, un brin étroit… Non, tu es un homme, un vrai, droit, sensé, sensible, tu aimes Monique, ses enfants, les gens, la vie… Je suis bien tombée pour ma première aventure…
– Nous aussi, tu es un véritable révélateur et cette mise au point a éclairci pas mal de choses.
On se regarde, sa main vient sur ma poitrine, je l’embrasse… Pleinement, un baiser de tendresse, d’amour presque…
Marie nous regarde, Pierre me sourit. Monique va les embrasser tous les deux, puis revient contre moi…
– Quelqu’un peut baisser les lumières ?
– La porte d’entrée est fermée ?
– Vas-y Marika, il a envie de toi, si tu veux être tranquille allez dans la chambre dans la chambre, je reste avec mes petits… Ils sont si adorables, j’ai apprécié leurs commentaires… Tu nous as révélés…
– Je vais chercher ma copine Sue, je vais lui expliquer, on est proches et on a déjà flirté avec des garçons ensembles…
– OK, vas-y chérie…
– Marie, je ne peux pas inviter Danielle dans ces conditions… Et puis je ne la connais pas assez…
– Attends, amène-là chez moi, on se fera un film…
– On va dans ta chambre, rejoint-nous pendant qu’on est seuls tous les trois
Je me lève, et je fais signe à Bruno. Je dis au-revoir à Pierre et Marie qui reviendront plus tard…
Je me déshabille en le regardant, il s’approche et m’embrasse tendrement en me serrant dans ses bras, une chose a changé, il est plus tendre, plus câlin…
Je défais sa ceinture, il fait le reste, ma robe s’envole, mon soutif, la culotte, je suis nue devant lui…
– Viens…
Je m’allonge, il caresse mes seins, longuement, puis ses lèvres viennent exciter mes tétons, lécher les aréoles, puis les malaxer, deux globes tendrement choyés entre ses larges mains d’homme… Sa verge est contre moi, je m’en saisis, la caresse, elle s’étend, en redemande… Je me plie vers elle, puis la minaude, la lèche, caresse les bourses, il soupire, je la prends en bouche et la berce, puis je la coulisse, décalottant le gland rouge de désir humectant toute cette hampe de chair, serre mes lèvres, elle devient énorme, il râle, me freine…
– Viens !…
Je m’écartèle, lui offre mon abricot, et il me rend ma caresse… je commence à jouir, il est délicat, attentif, m’attend, suce mes pétales ouvertes par le désir, délicates lèvres rougies, mon clitoris durci de bonheur, sa langue va et vient lentement, partout, au bord de mon puis d’amour…
Je masse mes seins, prends sa tête entre mes mains, l’accompagne, puis ses doigts se joignent au repas…
Je fonds de plaisir, je gémis doucement, m’ouvre encore, monte mon bassin vers lui, en cadence, suivant le rythme de ses doigts qui me possèdent, vont et viennent, me liquéfiant… Je remonte un peu, puis écarte mes cuisses, m’offrant à son plaisir…
Il comprend et s’installe… Prêt à me pénétrer, à me posséder…
Son pieu durci par le désir, cogne contre ma chatte, il glisse, trouve, s’enfonce…
– Oh… Oui… Viens !….
Je n’ai pu me retenir… J’ai donné un grand coup de reins vers lui… Il m’empale, réveillant mes chairs tendres, je suis trempée de plaisir…
Il me possède en cadence, à fond, me prenant lentement, faisant monter mes délires, je me donne à lui…
– Oui !… Prends-moi… Oui… Encore !… Fais-moi l’amour ! Je suis à toi, j’ai envie de toi…
Il continue, je savoure sa puissance, je le ressens contre mon utérus…
– Oui…. Oh !… Oui !… Heu !… Heu !… Heu…
Il m’emporte encore plus loin, je bouge mon bassin, il accélère, je laisse monter l’orgasme qui m’enveloppe…
Il m’attend, doux, caressant mes seins, tandis que je reviens sur terre, puis il glisse une main entre mes cuisses et caresse mon clitoris, et recommençant ses va et vient…
J’explose de plaisir, je le veux, je l’aime…
– Viens !… Oui !… Prends-moi… Oh !… Viens en moi…
Je jouis de lui, tremblant de partout, les jambes en grand écart, offerte, il me prend et me reprend… Puis arrête…
J’explose d’un orgasme si puissant que je me libère d’un jet de liquide, ce je ne l’avais plus fait depuis 30 ans, je croyais à un accident, mais non… Je deviens fontaine, tant c’était intense…
Il me caresse, se colle à moi, m’embrasse, me prends dans ses bras, vient lécher mes sucs, il est toujours dur, droit, pointé en l’air…
Mes vocalises sont parvenues à Monique qui pointe sa tête dans l’encadrement de la porte…
– Viens ma belle, il est fin prêt pour toi, regarde…
– Ça a été long…
– Bruno m’a montré ses talents cachés, ceux qu’il te réserve…
Elle est nue en quelques secondes et très excitée… J’ai juste le temps de tremper mes doigts… Elle s’empale sur le sexe de son mari, et part dans une cavalcade inouïe… Je pense qu’elle ne lisait pas le journal…
Je monte à califourchon sur la tête de Bruno, face à Monique et je partage ainsi son plaisir, grâce à la langue qui s’active dans mon intimité, sa douceur me donne le vertige.
Je me penche sur sa poitrine et elle partage son plaisir par de longs baisers, redoublant ses mouvements sur le pieu de son mari, offrant ses seins à mes lèvres, et mes mains…
Sa main glisse sur mon intimité, qu’elle arrive à partager avec Bruno, mon clitoris devient la cible de cette intrusion, je pars en vocalises, ils vont me tuer…
– Oh !… Ouiiiii !… Oh !… J’en peux plus !…
Je jouis pleinement, au moment où elle est emportée aussi par nos caresses, ses tétons rougis, énormes, elle sent Bruno expulser sa semence, comme dans leurs plus intenses ébats, elle se retire et je peux minauder le sexe encore actif pendant quelques instants, me délectant de leurs sucs mêlés, rivière de plaisir…
Ecartelée au milieu du lit, Bruno d’un côté, Monique de l’autre, nous soupirons en nous caressant. Caresses de tendresse, venant témoigner de cette intensité, de notre fusion maintenant que nous nous connaissons…
Je pense à Michèle, leur ami qui vient les rejoindre, elle doit jouir autant que moi… Elle doit se démonter sur ce membre que je suis en train de bercer dans ma main, provisoirement épuisé… Mais…
Ils sont adorables, Bruno est parfait et très généreux, je l’embrasse sous les yeux de Monique qui se colle contre nous, partageant étroitement ces instants…
Après un break avec jus de fruits et whisky, nous bavardons étalés impudiquement dans ce grand lit, je vois une tête passer la porte…
– Coucou, on peut venir ?
– Avec plaisir Pierre…
– Je vous présente une amie…
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