Il y a de ça quelques années, invités un samedi soir chez un autre couple plus âgé que nous, nous hésitions à nous décider sur le choix de notre sortie.
Je ne sais plus comment ma copine de l’époque, une sainte ni touche, s’est retrouvée bien innocemment assise sur les cuisses de mon ami qui était ainsi ravi d’avoir ainsi une nouvelle et jeune compagne, j’en faisais de même, collé contre sa femme, une brune incendiaire d’origine italienne, vulgaire à souhait, bronzée et maquillée outrageusement que l’on appelait « La Pintade »
Après avoir partagé quelques verres d’apéritif, mon copain avait pris le premier l’initiative de jouer avec le pull léger en « V » de ma compagne, il s’amusait à tirer l’encolure pour regarder à l’intérieur son soutien-gorge ou ses petits seins, j’avais un peu honte, car à cette époque elle était étudiante et portait de tristes sous-vêtements usés peu bandants, sauf ce qui se trouvait à l’intérieur.
Cela semblait l’amuser et je la voyais sourire de ces petits attouchements anodins, après le pull, il commença discrètement à tirer sur son soutien-gorge pour regarder à l’intérieur et lui poser quelques bises amicales sur la base du cou, elle lui répondit en l’embrassant timidement derrière son oreille, dans l’action sans qu’elle ne s’en rende compte, ses cuisses se sont entre ouverte, laissant voir le triangle blanc de son slip d’où sortait de l’échancrure de longs poils bruns…
La femme de mon ami regardait interloqué tout comme moi les détails de la scène qui se déroulait devant nous et elle me susurra :
‘’Ta copine ne se rase pas la chatte ?’’ Je lui répondais que j’aimais sentir l’odeur de son tapis de poils.
Tout en pelotant cette femme qui se trouvait à mes côté, je ne perdais pas une miette du spectacle.
Les doux bisous de surface se sont portés sur la bouche, pendant que le pull se retrouvait remonté sur sa poitrine, il en profitait maintenant pour lui peloter les seins, laissant même échapper un petit nichon pointu.
Les baisers sur la bouche sont devenus progressivement des roulages de pelles et des échanges copieux de salives, ses cuisses étaient de plus en plus ouvertes et sa jupe retroussée comme si elle avait envie de se faire mettre.
C’est elle la première qui lui porta sa main droite sur sa braguette pour lui tâter copieusement ses parties génitales, faisant ainsi le tour du propriétaire de bas en haut.
Entre deux doux baisers entre nous, ma voisine ne tarda pas de me lancer le commentaire suivant :
« Dis donc ta copine à l’air d’être une belle et grosse salope »
Je confirmais et que c’était la toute première fois que je la voyais flirter et plus juste devant moi avec un autre.
En réponse à ses palpations, il lança sa main gauche en direction de son slip, longeant et caressant ses cuisses blanches qui se sont ouvertes un peu plus, qui signifiait que le feu était passé au vert.
Il lui palpa abondamment sa vulve, il écarta ensuite l’échancrure de son slip pour atteindre ses chairs, nous étions à environ 2 mètre d’eux, ma voisine qui ne manquait rien de leurs préliminaires me fit remarquer que mon amie avait une grosse moule, ses commentaires n’avaient fait de m’émoustiller.
Une fois le slip ouvert, ses doigts se sont attaqués à tripoter sa vulve, sous l’effet produit, une partie de ses lèvres brunes et généreuses ont commencé à déborder.
A l’instant présent, son pull était entièrement remonté sur le haut de sa poitrine, ses deux petits nichons sortis de son soutien-gorge, dont les tétons entouré de quelques poils, pointaient.
Malgré que sa chatte fût copieusement fouillée, c’est elle qui prit la direction des opérations, ses mains libérées se sont attardés sur la braguette de mon copain, et tout comme elle j’allais découvrir pour la première fois sa bite.
La fermeture zippée rapidement en bas, elle ouvrit sans ménagement le haut de son slip pour laisser s’échapper le bout de sa queue qui pointait droite et entièrement décalottée, elle tirant dessus pour faire sortir le maximum de sa verge et commencer l’astiquer, seules ses couilles restaient prisonnières de son slip et pantalon.
Après un moment, elle décida de tout lui baisser sous les genoux, me laissant ainsi tout comme elle d’apprécier cette nouvelle bite toute glabre, longue et beaucoup plus grosse que la mienne.
C’est alors qu’elle le chevaucha pour se frotter d’avant et en arrière sur ses parties génitales, on voyait sa bite glisser dans l’entrecuisse et sur le slip de mon amie, c’est toujours elle qui écarta son échancrure pour s’enfiler cette nouvelle queue, de sa main experte et excitée, elle guida son nœud à l’entrée de son vagin, l’engin lubrifié par son abondante cyprine, rentra entièrement jusqu’à la garde de ses couilles.
Toujours en donnant de nombreux coups fesses et de reins sur l’heureux supplicié qui ne semblait pas pouvoir bouger dans son fauteuil, elle se releva pour laisser cette belle bite s’échapper toute maculée de mouille.
Cette fois-ci changement de lieu, elle guida adroitement son gland en direction de sa rondelle, elle adorait se faire mettre par derrière et son anus doux était très accueillant, ma compagne me confiant dans son langage :
« Pour ma part, je n’aime pas me faire enculer ! J’en connais un qui va prendre son pied !»
En plus elle mouillait souvent du sphincter, une fois le gland rentré facilement, elle n’avait plus qu’à s’assoir de nouveau sur la grosse bite de son dada.
Malgré tous les mouvements lascifs qu’elle provoquait, elle sentait et retardait comme elle le faisait avec moi le moment de l’éjaculation…
A notre plus grande surprise, elle se retira, la bite toujours en érection, il n’avait pas encore craché sa semence, seuls des filets de sperme s’écoulaient, pour la première fois, elle se tourna vers nous en souriant en nous annonçant :
« Mesdames, Messieurs, regardez bien maintenant, le 14 juillet avant l’heure »
De sa main la plus experte, elle se saisit de son pénis gonflé de désirs, pour le branler énergiquement, voire même avec v******e, après quelques allers et retours, elle orienta ses jets courts, nombreux et crémeux à souhait dans notre direction, souillant ainsi le tapis, fauteuil et autres, pour terminer son forfait, elle lécha tout le sperme restés sur ses doigts.
J’ai été étonné, qu’elle ne lui taille pas une bonne pipe bien baveuse comme elle en avait le secret, me réservant peut être à moi seul, ce doux plaisir.
Pour ma part je n’ai fait que peloter la petite chatte un peu sèche de ma voisine, et pendant la fin de ces ébats, j’avais quelque peu éjaculé à la vue des parties intimes de ma copine, et surtout de l’excitation non retenue provoquée par la belle et grosse bite de mon copain.
PS) Merci de me faire savoir si vous avez été dans la même situation.
J’espère que cela convient, ou sont les fautes d’horographes ?!
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