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Cochons et épris en même temps.

Cochons et épris en même temps.



N. et J. sont de fameux coquins. Ce sont des amants que nous apprécions pour la qualité de leurs êtres plus que pour les prouesses que nous réalisons sous la couette, pourtant question prouesses, ils ne sont pas à la traîne. Je me dois vous rappeler une chose capitale dans notre relation à tous les quatre, nous nous sentons proches au point d’être tels qu’en nous-mêmes. Le regard de chacun n’influe pas nos manières d’être et nous nous sentons tous très libres. Cela pour autant ne nous dispense pas, comme le montre la suite de cette histoire, d’être parfois surpris par le comportement des uns ou des autres. Surpris et tellement excités.
Un jour qu’ils nous recevaient chez eux, je remarquais le regard très coquin de N. et celui complice de J. Je mis ce point sur le compte de l’excitation mutuelle de nous retrouver, puisqu’à chaque fois que nous nous voyons, immanquablement, nous mangeons des mets délicieux, nous avons d’enrichissantes conversations et nous nous offrons des parties de sexe absolument cochonnes. C’est après le repas, quand ils nous ont prié de passer dans le salon que je remarquais pour la seconde fois ces échanges de regard entre nos hôtes. Leurs sourires promettaient une surprise. Ils nous ont, M. et moi, installés face à la cheminée, tandis qu’ils se plaçaient entre l’âtre et nos sièges. N. a déshabillé J. et l’a fait se positionner à quatre pattes devant elle. Personnellement je m’attendait à ce qu’elle le sodomise avec un godemichet ou qu’elle le dilate à la main, comme d’habitude en somme. Mais c’est alors qu’elle a sorti un tube d’une cinquantaine de centimètre de longueur surmonté d’un entonnoir et qu’elle l’a enfoncé, avec une délicatesse pleine d’amour, dans le cul de J. . Le regard de J. s’était empli de reconnaissance, il devenait manifeste que la tournure des événements lui plaisait, et même l’excitait ; forcément, lui connaissait son sort à l’avance et y avait souscrit. En revanche, avec M. nous étions dubitatifs, nous savons que J. est très anal et a de grandes capacités, mais nous ne comprenions pas vraiment à quoi nous assistions. Nous avons vu N. écarter sa jupe (ho ! Elle n’avait pas de culotte!) et se coller la vulve à l’entonnoir. Les quelques gouttes qui tombaient par terre ont vite fait la lumière sur ce qui se tramait : elle lui pissait dans le cul, si le visage de N. était des plus concentrés, celui de J. se détendait au fur et à mesure que le liquide chaud lui emplissait les boyaux. Rarement dans mon existence je me suis senti autant complice de mes partenaires. C’était si inhabituel et pourtant pratiqué dans un naturel total.
Une fois la miction achevée, N. s’est redressée, a retiré le tuyau du fondement de son compagnon qui s’est relevé lui aussi. Avec M. nous étions dingues de désirs pour ces deux amis qui se mettaient tant à nu dans leur libido devant nous. Nous sommes tous montés à l’étage pour que J. exonère et prenne une douche et c’est là que les choses ont totalement dérapé. Il a à peine eu le temps d’atteindre la baignoire que les filles l’embrassaient, lui tordaient les tétons, lui malaxaient la bite. De mon côté, je m’étais désapé, avais enfilé une capote et directement j’ai enculé J. dans la baignoire. Son cul palpitait d’excitation, je le sentais me masser la queue avec son rectum. Je pouvais viser sa prostate et à chaque aller-retour en lui, je voyais son anus chercher à m’engloutir. Il me dévorait par le cul, tant qu’il me fallut rapidement cesser la manœuvre afin qu’il ne m’emportât pas si tôt dans l’orgasme.
Après avoir lavé J. , nous sommes allés tous les quatre dans le lit, les filles ont fisté J. à tour de rôle tout en offrant leurs orifices à mon sexe, ma langue et mes doigts. Je passais de la chatte de M. à la bouche de J. pour lui donner le goût du sexe de ma compagne, pendant que la sienne lui dilatait le cul. Puis je léchais N. tout en la fistant à son tour dans le vagin. Quand elle m’a douché de son éjaculation nous formions un magnifique petit train, tous reliés anatomiquement les uns aux autres : ma main dans N. , N. léchant M. , M. plongeant son poing dans le cul de J. . Je me suis fini en me branlant sur les filles, mon éjaculation tombant en crachin blanchâtre sur leur peau en sueur. Nous avons tous bien joui ce soir là et le câlin qui s’ensuivit fut d’une douceur, d’une complicité et d’une tendresse telle, qu’on aurait pu appeler ça de l’amour.

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