J’avais rendez-vous avec des amies à moi et nous avions l’intention d’aller faire un tour au parc. Il faisait beau ce jour-là. Quand elles sont arrivées, elles n’étaient pas seules. Il y avait aussi une jolie blonde que je ne connaissais pas et que Mona m’a présenté comme sa cousine venue passer quelque jours chez eux.
– Marina, m’a fait la fille en bégayant !
Je lui ai dit de ne pas avoir peur et nous sommes parties dans l’allée. Ce que j’aimais dans ce parc, c’était qu’il se terminait sur une terrasse haut perchée sur la rivière. Marina semblait timide et elle s’est assise sur le muret et pendant que les autres allaient cueillir des fleurs, je me suis approché d’elle.
– Alors, qu’est-ce que tu fais, lui ai-je demandé ? T’as quel âge ? Tu viens d’où ?
Elle restait coîte et ne disait rien et je me suis assise à côté d’elle.
– Je te fais peur, lui ai-je demandé ?
– Je ne suis pas lesbienne, a bafouillé Marina !
– Pourquoi tu dis ça, lui ai-je demandé ?
– Parce que c’est Mona qui me l’a dit !
– Que je suis lesbienne ? J’aime bien les femmes mais j’aime aussi la queue, ai-je ajouté !
La fille s’est mise à rougir.
– Je te choque ?
Elle ne m’a pas répondu mais elle me regardait bizarrement.
– Tu sais, presque toutes les femmes le sont, lesbiennes, ai-je ajouté ! C’est plus agréable de baiser entre nous que de se faire mettre par un homme !
Du coup, Marina a rougi encore plus.
– Tu es belle ! Tu es bien faite ! Tu dois avoir plein de prétendants ?
Son visage était aussi rouge qu’une tomate.
Je ne sais pas pourquoi j’ai posé la main sur sa cuisse. C’était plus fort que moi et ça me démangeait.
– Qu’est-ce que tu fais, a bégayé Marina !
Je lui ai répondu qu’il doit bien y avoir une raison si elle a mis une mini-jupe aussi courte et elle a rougi encore plus et j’ai poussé mon avantage jusqu’à toucher sa petite culotte. Un forêt de poils semblait s’en échapper.
– Tu es poilue, ai-je lancé à Marina !
La pauvre fille était écarlate.
J’ai poussé encore mon avantage jusqu’à glisser le bout de mes doigts dans ses poils sous la petite culotte et des larmes ont commencé à couler sur ses joues. Du coup, j’ai retiré ma main. Je me demandais ce que je pouvais faire. Il y avait bien les gros seins parce que cette fille devait faire au moins du bonnet G. Elle était plus petite que moi mais question poitrine, elle me battait à plate couture.
– Je peux, lui ai-je demandé ?
J’ai glissé la main sous son top et je me suis demandé quel genre de soutif elle peut avoir et j’ai gratté avec le bout de mon ongle et là, Marina m’a attrapé par le poignet et elle m’a écrasé la main sur son sein gauche et elle m’a dit d’une voix blanche que je peux et elle a ajouté qu’elle aime ça et j’ai caressé sa poitrine et j’ai fini par lui dire que je veux l’embrasser.
– Sur la bouche, m’a-t-elle demandé ?
– Oui, sur la bouche, lui ai-je répondu ! Tu aimerais ça ?
Je n’ai pas eu besoin de sa réponse. Elle me tendait les lèvres et j’en ai profité.
– J’ai l’impression que tu veux te taper ma cousine, m’a lancé Mona ! Bon, nous on s’en va !
Marina a semblé vouloir partir avec elles et je l’ai bloquée par le bras puis j’ai bloqué la fille sur le muret et je lui ai ouvert les cuisses après lui avoir retiré sa petite culotte et j’ai commencé à lécher. Putain, quelle chatte ! Il m’arrivait souvent d’en lécher mais la plupart étaient soit rasées, soient avec des poils courts et là, j’avais droit à une vraie toison.
J’avais du poil dans la bouche mais ça m’était égal. Le clitoris de la fille se dressait, monstrueux, comme une petite bite.
– Oui, n’arrête pas, m’a intimé Marina !
J’ai continué. La fille s’est mise à gémir et elle a bientôt ronronné puis, tout à coup, elle a joui et elle a explosé sur mon visage et je me suis redressé. Marina a tendu la main et elle m’a attrapée par le cou et elle m’a embrassée sur la bouche.
– Ça va les gouines, nous a lancé Mona quand nous sommes rentrées à la maison ?
– Ça peut te foutre, lui a répondu sa cousine ! Si tu l’avais voulu, tu m’aurais eu la première ! Vous faites quoi ce soir, a-t-elle ajouté ?
On avait prévu d’aller manger quelque chose au Macdo.
– Non, je reste, a ajouté Marina !
Je lui ai répondu que je reste aussi et nous sommes restées toutes les deux pour faire l’amour. Marina m’a dit que je suis vraiment bonne. J’en avais autant pour elle. Complètement nues toutes les deux, c’était plus agréable. Après le premier orgasme, je l’ai suivie à la salle de bains.
– Tu as vraiment de sacré nichons, lui ai-je lancé !
– C’est des vrais, m’a répondu la fille !
– C’est comme si tu avais deux ballons de foot, ai-je ajouté !
– Oh, n’exagère pas, m’a répondu Marina ! Deux ballons de handball tout au plus ! Dire que je n’ai jamais pu faire de la gym au lycée ! Dès que je cours, ça ballotte en tous les sens !
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