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Quand Margot devient chienne 11

Quand Margot devient chienne 11



De nouvelles sensations.

« BHV » l’avait laissée récupérer. Ils étaient maintenant assis tous les deux côte à côte sur le bord du lit. Margot semblait ailleurs, perdue dans ses pensées. Elle était toute molle. Les mains posées sur ses cuisses toujours ouvertes, le dos vouté, molle quoi. « BHV » lui s’était rhabillé. Il attendait patiemment qu’elle recouvre ses esprits.
Il comptait l’amener habilement à se dévoiler en la questionnant mine de rien sur ce qu’elle venait de vivre, afin d’orienter dans un sens où dans l’autre son dressage et d’en faire une soumise plutôt SM ou essentiellement sexuelle. Il se demandait comment amener le sujet. Quelle serait sa première question. Mais il ne s’attendait surement pas à ce que ce soit Margot qui aborde le sujet et en plus de façon direct.
– Bertrand, je voudrais vous remercier. Vous venez de me faire vivre des sensations dont je ne me doutais pas qu’elles puissent exister. Déjà hier, la main de Karim était extraordinaire. Mais aujourd’hui, j’ai joui comme jamais. Bon d’accord j’ai un peu mal à mon petit cul, mais franchement c’était génial, j’ai pris un pied d’enfer. J’ai adoré être attachée sur cette croix. Je n’avais jamais connu un truc pareil auparavant. Je vous soupçonne d’avoir un peu prémédité tout ça. Mais je ne vous en veux pas, soyez tranquille, j’ai vraiment aimé. Et ce gros gode, ouah !! Je n’en ai pas de si gros à la maison mais ça va changer. Vraiment Bertrand merci, merci beaucoup.
– Margot je suis ravi si vous êtes comblée. Je ne demandais que ça. Mais je vous dois la vérité Margot. Il est vrai que j’avais vu en vous ce potentiel érotique. Ce n’est effectivement pas par hasard si je vous ai proposé ces séances de pose. J’ai ce modeste talent de déceler chez certaines personnes les aptitudes à la sensualité. J’avais senti chez vous ce besoin de contact charnel. Je n’ai fait que mettre les outils nécessaires à votre disposition, finalement c’est vous qui avez tout fait. J’ai juste fait se croiser les circonstances, c’est tout.
– Oh, le modeste !!! Vous avez fait beaucoup plus oui. Merci encore.
– Et bien Margot, et maintenant, que voulez-vous faire ?
– Ce que je veux faire ? Comment ça ? Continuer à poser, c’est ça ?
– Oui, si on veut.
– Ah ! Je vois.
– Que voyez-vous Margot ?
– Cela vous ferait plaisir que l’on continue à essayer ces engins ? C’est bien ça non ?
– Comme je vous l’ai déjà dit je ne veux pas vous forcer. Tout ceci est à votre disposition. Je peux continuer à vous initier à leur utilisation et même d’avantage.
– Je suis d’accord.
– Vous … Vous êtes d’accord ?
– Oui, c’est ce que je viens de dire.
– Alors rendez-vous demain.
Cette fois-ci, le retour lui fut agréable. Elle se repassa le film de la séance dans sa tête et si d’autres automobilistes ou passants l’ont un peu observée, ils devaient tous se demander pourquoi elle avait se sourire au lèvres et même parfois pourquoi elle éclatait de rire comme une fada.
Quand elle y repensait, nom de dieu quel pied elle avait pris. Elle n’en revenait toujours pas que son trou du cul soit si élastique. Incroyable que si rapidement elle ait pu se faire défoncer l’oignon par une si grosse queue. Déjà il lui semblait que « BHV » lui avait inséré trois doigts pour la dilater afin d’y fourrer son mandrin boursouflé. Et se disant cela elle regardait sa main en joignant trois de ses doigts pour avoir une idée de se qui lui avait fendu le cul. Merde, quand même se dit-elle, c’est pas rien. Oh et puis ce gros gode noir, vraiment super. Que c’était bon aussi. Faudra que j’essaie un vrai. Mais qu’est-ce que je dis, ça va pas non, t’es folle ma vieille !! Mon Laurent me baise très bien, j’ai pas besoin d’une grosse queue de black. Mais quand même putain, c’était bon !!!
Elle rentra à la maison tout guillerette. Jeta son sac sur le bureau de l’entrée et se rua sur moi. Elle me sauta au cou les jambes autour de mes hanches. Je dus l’att****r par les fesses pour la soutenir même si elle n’est pas très lourde.
– Et bien dis-moi, tu as l’air heureuse. Que se passe-t-il ? T’as gagnée le gros lot ?
– Mais non gros béta, je suis juste contente de te retrouver, c’est tout.
– Ah bon, ben d’accord, c’est que d’habitude tu n’es pas autant expansive.
– Ah bon ? Et bien aujourd’hui je suis sans doute encore plus en forme que d’habitude. Tu veux voir ?……
– Je te vois venir grosse cochonne. Mais dis donc, si je ne m’abuse je ne sens pas de string sur ces grosses fesses de dévergondée, hein ?!
– Oh à quoi bon puisque tu me le retires toujours.
– C’est pas faux.
– Bon alors on fait quoi ? On baise et on prend l’apéro ou le contraire ?
– Et bien Margot, je te vois sous un nouveau jour ! Sont-ce tes séances de pose qui ont cette influence sur toi ? Tu commences à m’inquiéter.
– Mais non. C’est que je vais bien. Je suis heureuse, je t’aime et j’ai envie de toi, c’est tout. Tu n’as pas envie de moi, toi ? Je ne te plais plus ?
– Mais si, bien sur, que vas-tu chercher là. Je t’aime, je t’adore même. Je suis tellement heureux que tu sois épanouie et que tu sois une grosse cochonne. Allez, viens, on va baiser.

Le lendemain au château, c’est ainsi que Margot et moi nous appelions la demeure de « BHV », elle arriva avec dix minutes d’avance. « BHV » qui l’avait vue se garer devant le perron avait eu un grand sourire. Décidément se dit-il, je crois que ça va aller plus vite que je ne le pensais. Cette petite salope en redemande. Et bien elle va être servie. Il la laissa seule aller dans l’atelier se déshabiller. Il la guettait et la vit redescendre rapidement dans son antre moyenâgeux. On dirait qu’elle n’a plus peur de l’escalier de pierres pensa-t-il. Karim ne devrait plus tarder, ni Romain d’ailleurs.
Eh oui ! La petite salope allait avoir une petite surprise aujourd’hui. Elle disait avoir pris son pied hier, et bien elle allait voir aujourd’hui ce qu’était la jouissance avec deux pieux dans le ventre. Et pas des petits gabarits.
Le temps de régler quelques détails avec ses deux acolytes et il descendit, avec Karim, retrouver Margot.
– Vous êtes déjà là ma chère Margot ? Quel empressement dites-moi.
– Oh, c’est un hasard, ça roulait beaucoup mieux aujourd’hui.
– Très bien, très bien. Alors nous allons pouvoir commencer si vous le voulez bien, Karim est avec nous aujourd’hui, ça ne vous dérange pas au moins ?
– Pas du tout, bien au contraire.
– Ah ! Parfait alors. Dites-moi que voudriez-vous tester comme engin aujourd’hui alors ?
– Je ne sais pas trop. Il y en a certain dont je n’ai pas vraiment d’idée précise sur leur utilisation.
– Que diriez-vous dans un premier temps de vous retrouver dans la peau d’une suppliciée du moyen âge ?
– Pourquoi pas, ça consiste en quoi ?
– Oh, c’est tout bête, vous serez entravée dans ce carcan c’est tout.
– C’est tout vraiment ?
– Oui enfin, peut-être que Karim votre bourreau vous fera subir quelque châtiment. Mais je vois dans vos yeux que cette éventualité ne doit pas vous déplaire, je me trompe ?
– Oh ! Maître ! Vous me faites rougir.

« BHV » ne pris pas la peine de répondre et l’empoigna par un bras, Karim saisissant l’autre. Ils la courbèrent afin que son cou repose dans l’échancrure destinée à cet effet, ainsi que les poignets de part et d’autre. Le carcan se referma et fut claveté.
Ainsi courbée mais retenue par le support de bois, elle n’avait pas le poids de son corps à soutenir et ne souffrait pas trop des reins. « BHV » vint derrière elle et lui écarta les pieds un peu plus. Au passage il glissa sa main dans la raie et pu constater que cette petite mijaurée avait déjà sa moule baveuse. Voilà qui est de bon augure se dit-il, on va pouvoir faire une belle séance.
Karim remplaça Bertrand et pelota la croupe tendue de Margot. Il lui semblait que celle-ci se cambrait d’avantage sous sa main caressante. Karim se dit lui aussi que cette petite pouliche promettait bien. En plus un cul pareil ce n’était pas une contrainte pour lui. Il en avait baisé des plus moches. Margot était sympa, gentille, elle avait des nibards bien durs, des fesses fermes, une chatte qui appelait la bite et un trou du cul accueillant alors que demander de plus ? Ma foi, rien se disait-il en fourrant deux doigts dans sa chatte luisante. Quelques va et vient plus loin il lui enfonce le pouce dans la rondelle. Du coup son érection devient complète et il se dit qu’il se ferait bien sucer par cette petite salope. Il fait le tour et présente sa queue dressée. Margot n’hésite pas un instant et ouvre la bouche afin de laisser Karim investir sa gorge.
Comme la prisonnière ne peut pas bouger, Karim lui baise la bouche comme il le ferait de l’autre côté. Il se tient au bois du carcan et donne de grand coups de rein entre les lèvres de la suppliciée qui semble avoir quelque peine à respirer. « BHV » le voit et freine un peu les ardeurs de l’étalon marocain.
– Du calme mon ami. Je comprends bien qu’elle te fasse de l’effet mais il faut savoir te contenir. Vas-y doucement, laisse la respirer tout de même. Tu oublis un peu la taille de ton engin on dirait.
– Oui, pardon Maître, mais elle m’excite tellement.
– Je comprends, je comprends, mais vas-y mollo. D’ailleurs maintenant tu devrais plutôt aller lui enfiler sa petite chatte qui doit ruisseler. Moi je m’occupe de devant, allez, vas-y.
Alors que Karim retirait sa pine de la bouche de Margot pour retourner derrière, « BHV » achevait de se déshabiller à son tour. Il se branla un peu afin de fortifier son début d’érection et profita que Margot ouvrait grand sa bouche au moment où Karim lui enfilait ses bons vingt centimètres dans le con, pour à son tour lui foutre sa queue dans la gorge.
Prise de chaque côté, Margot respirait tant bien que mal par le nez et malgré tout, de petits cris sourds de plaisir sortaient de sa bouche, ponctués par les coups de reins de Karim dans son arrière train.
Vu de profil le trio devait être assez cocasse. Margot pliée en deux et prise dans un étau alors que deux bites lui emplissaient les orifices dans un ballet alternatif et régulier.
« BHV » devenait cramoisi et les veines de son cou proéminentes. Il ahanait comme un bûcheron et déchargea le premier au fond de la bouche de Margot, dans un bruit de gorge venu d’on ne sait où. Il fit quelques derniers allers et retours et sa bite ressortit toute molle entre ses cuisses. De son côté, Karim limait toujours avec acharnement. Margot ne touchait plus terre. Il lui avait pris les jambes et la tenait, telle un brouette. Il se mit à son tour à pousser des cris rauques, sa respiration devenait rapide et saccadée. Il accéléra le rythme de ses coups de rein pendant quelques instants puis stoppa complètement, poussa lui aussi un son venu du fond de ses entrailles, et remit quelques coups de bite au ralenti correspondants à chaque jet de foutre qu’il déversait au fond du vagin de Margot. Il lui reposa les jambes au sol et retira sa bite encore un peu raide d’entre les lèvres rougies par les assauts successifs.
Karim s’est assis pour récupérer alors que « BHV » libérait Margot de sa prison de bois. Elle aussi avait besoin de récupérer. D’abord à cause de la position qu’elle avait eu pendant tout cet épisode et puis bien sur, à cause des coups de queues qu’elle venait de se prendre de part et d’autre. Il lui restait du sperme sur le coin de la bouche. Karim lui en fit la remarque et « BHV » lui suggéra d’aller prendre une douche afin qu’elle soit plus fraiche pour la suite.
– La suite ?!
– Ben oui la suite ! Vous m’avez bien dit que vous vouliez essayer ces engins, non ?
– Euh … Oui, bien sur c’est ce que j’ai dit en effet. Mais laissez-moi le temps de récupérer.
– Mais je vous le laisse, c’est pour ça que je vous dis d’aller prendre une douche. Cela vous fera le plus grand bien vous verrez. Et après vous serez de nouveau en grande forme. Allez, oust !!!

Pendant que Margot s’était absentée, « BHV » et Karim préparèrent le matériel nécessaire à la prochaine séance de baise qu’à priori, elle n’oublierait pas de sitôt.
A suivre…….

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