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Pris par le cul (deuxième saison, premier épisode)

Pris par le cul (deuxième saison, premier épisode)



L’histoire qui va suivre est l’expression de faits réels, légèrement reformulés dans la mesure où certains détails m’échappent. Il s’agit de la suite (espacée de plusieurs mois) de mon premier récit qui a été rédigé de façon crue et abrupte, dans l’excitation du souvenir. Cette partie n’est pas moins stimulante, j’ai toutefois décidé, cette fois-ci, de l’étoffer davantage.

Un vendredi soir du mois de mai 2012, ma femme, Émilie dite « Emmy », et moi sommes sortis comme très souvent. Nous avons l’habitude d’aller très régulièrement au restaurant ou en soirée apéro avec des amis. Emmy travaille dans le domaine médical et a toutes sortes de collègues, masculins et féminins, ce soir-là, Élodie, sa meilleure amie, avec qui elle travaille et Paul, son copain, nous accompagnaient. Nous les voyons souvent et je suis assez proche de Paul que je considère comme un pote… Sa copine est une très jolie femme d’environ 1 m 70 aux yeux noisettes, la trentaine, dotée d’une cambrure et d’une croupe magnifiques, elle s’habille plutôt classe, tout en buisness, sourire enjôleur, yeux verts brillants, vous me suivez, la garce me plaît. Ma femme, elle aussi, mesure environ 1 m 70 mais elle a les cheveux châtains, un visage très mignon agrémenté de lèvres pulpeuses et d’un sourire ravageur, de beaux et gros seins, le cul haut et bien en chair… pas un top modèle, mais archi-séduisante. Paul et moi, en dehors du taf, lui dirige une concession auto et moi une entreprise BTP, sommes plutôt à la cool, sweat capuche, jean, rien à foutre de la classe… Tant qu’on a de ravissantes demoiselles à nos côtés c’est tout ce qui importe.

Ce vendredi soir donc s’annoncait bien, nous avions prévu, après notre dîner, de se rendre à notre appartement pour y finir la soirée en musique, fumant éventuellement quelques joints en refaisant le monde et par-dessus tout, pour se marrer. Mais les choses n’allèrent pas comme annoncées, après deux bouteilles de vins, nous étions tous assez joyeux et la bonne humeur pétillait mais, rapidement, Paul a commencé à faire la moue, il ne se sentait pas bien, un peu nauséeux, enfiévré et manifestement couvait quelque chose. Comme nous étions proches du dessert je lui proposais de le raccompagner chez lui pour qu’il se repose pendant que les filles termineraient, j’imaginais les rejoindre ensuite chez nous. Mais Paul était mal et a souhaité partir illico en taxi, je suis donc resté avec Emmy et Élo et ça m’emmerdait un peu de ne plus avoir mon pote pour rigoler. Mais peu importe, j’avais quelques grammes dans le sang et il y avait moyen de passer un bon moment malgré tout… Je ne croyais pas si bien penser.

Une fois la note réglée par mes soins, notre joyeux trio s’est engouffré dans ma voiture et, en l’espace de 10mn, nous étions à l’appart’. Et c’est là que j’ai commencé à avoir des pulsions, Élo m’avait toujours plu et mon esprit divaguait allégrement alors que je la voyais se trémousser sur une musique langoureuse que femme avait lancée sur l’ipod… Mais mes pulsions n’étaient pas de l’ordre de l’ordinaire (pour moi), elles rejoignaient celles que je relatais dans ma première aventure du genre (pour ceux qui ont suivi). J’avais envie d’être dominé et, de surcroît, humilié, mais autant avec ma femme cela était resté dans une certaine intimité autant cette fois, il y avait une tierce personne, de réputation plutôt sage, meilleure amie de ma femme, que je voyais plusieurs fois par semaine. Putain, qu’à cela ne tienne, j’allais tenter le coup, je voulais arriver à mes fins et la première expérience m’avait convaincu que ce rapport soumission puis domination me portait aux nues, au Nirvana. Cette présence supplémentaire ne pourrait qu’ajouter à l’excitation ! Alors qu’elles discutaient au salon, j’allais dans la chambre sous prétexte de m’allonger 5 mn, je savais que bientôt Emmy viendrait me chercher… Une fois tranquille je me déshabillais entièrement et me mettais dans la position qui me fut fatale la première fois, sur le lit, tête dans la couette, cul en l’air bien écarté, couilles et chibre pendants négligemment sous mon anus offert. La suite immédiate, je l’avais anticipée, Emmy entra dans la chambre et, cette fois, étouffa un cri de surprise et d’effroi :

« Mais tu es cinglé, l’autre fois, il n’y avait que nous mais là, il y a Élo, si elle arrive tu imagines la scène ! ».

Elle pouffa légèrement, se souvenant de nos ébats et de notre jouissance atomique de la dernière fois, mais elle était contrariée et me somma de me rhabiller. Pas de bol (pour elle), Élo s’est pointée au même instant à l’entrée de la chambre et ses yeux se sont écarquillés en me voyant dans cette position humiliante sur le lit. Emmy ne savait plus ou se foutre, moi j’étais tranquille, je n’avais qu’à attendre, mon anus pulsait et je bandais comme un âne… Emmy essaya de fournir une explication vaseuse, comme quoi quand j’avais bu, je perdais parfois la tête et que, manifestement c’était le cas en ce moment. Élodie était choquée, mais du coin de l’œil je la voyais un peu émoustillée, je savais que je lui plaisais un petit peu aussi, et de me voir dans cette position a dû éveiller quelques instincts primaires en elle même si, comme Emmy, ce n’est pas une dominante (Paul me l’avait raconté), mais devant une occasion offerte et l’alcool aidant les profils psychologiques peuvent changer. Cela je le savais, je l’avais déjà constaté, hé, hé. Emmy commenca à tirer Élo hors de la chambre, mais je dis :

« Ça te plaît de me voir comme ça Élo, hein ? »

Je tentais le tout pour le tout… Quelle ne fut pas ma surprise lorsque elle répliqua :

« Enculer un homme est un de mes plus grands fantasmes… »

Ah, ah, là ma petite Emmy tu es coincée, je pensais. Emmy, très contrariée, marmonna quelque chose, vint vers moi, me chopa les testicules et sans prévenir m’enfonça deux doigts dans le cul, d’un coup, ouch, j’allais prendre cher et sous les yeux de sa meilleure amie ! Elle commenca à me travailler l’anus et chose qu’elle n’avait pas faite auparavant, plongea sa langue dans mon orifice, elle m’encula avec sa langue quelques minutes. Je surveillais Élo, qui était restée dans un coin, et guettait ses réactions… la salope avait légèrement retroussé sa robe et commencait à se masturber délicatement par-dessus ses collants et sa culotte. Emmy stoppa son manège de langue et me laissa comme ça, cul béant, ma queue dégoulinant de plaisir. Elle se dirigea vers son amie et lui dit :

« Tu peux en faire ce que tu veux, il est prêt à tout, mais tu dois me laisser te faire ce que j’ai envie de toi en échange. »

Fichtre de foutre, voilà que j’apprenais, à sec, que ma femme était bisexuelle et qu’elle profitait de l’occasion pour choper son amie de toujours. J’étais submergé par les infos. Ma queue a failli exploser lorsque j’ai entendu dire :

« D’accord Emmy, tu fais ce que tu veux de moi, je fais ce que je veux de lui, mais on ne reparle plus jamais de ça. »

Putain de marché conclu, je pensais intérieurement !
C’est alors que ma chère Emmy est devenue complétement sauvage, arrachant littérallement le collant d’Élo, elle lui tira sa culotte sur les cuisses révélant une petite chatte blonde bien serrée (je l’avais tant imaginée)… Elle ne resta pas serrée bien longtemps, Emmy, lui écarta les jambes et Élodie, toute docile, se laissait faire, je voyais son sexe luire et son clitoris enflammé, Emmy la brouta comme une lesbienne de premier ordre, tant et si bien qu’Elo jouit assez vite. Pendant ce temps, même si ma verge n’était toujours pas au repos, mon cul commencait à s’ennuyer.
(suite prochainement, ça va chauffer, si vous aimez n’hésitez pas à commenter ou mettre des likes).

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