Deuxième rencontre bi (réel)
Ma deuxième rencontre à lieu avec Bernard qui a envie comme moi de baiser en toute sérénité sans besoin de protection. Nous nous retrouvons donc en ville à la terrasse d’un café de bonne heure un mercredi matin, face au laboratoire d’analyses. Nous buvons un petit café tranquillement puis nous allons faire notre prélèvement l’un après l’autre. Après nous décidons d’aller manger un bout avant d’avoir les résultats et quand nous revenons au labo nous pouvons avoir le précieux sésame. Aucun de nous deux n’a quoi que ce soit ce qui promet un moment ensemble des plus agréables.
Bernard m’invite jusque chez lui et à peine arrivé me demande si je vois un inconvénient de me changer. Je lui demande ce qui aimerait me voir porter et il me montre sur la table une jupette très courte, un string ficelle et un petit soutien-gorge triangle. Je souris et lui dit d’accord pour faire la pute tout en me déshabillant. Il me regarde faire tout content de me voir déjà bander car je suis excité à l’idée de jouer la salope. La jupette est même plus courte que je ne le pensais car elle m’arrive mi-cul mais je devine qu’il aime bien et comme je ne vais pas sortir habillé comme ça je fini de m’habiller en enfilant le soutien-gorge et enfin le string. Ma bite à du mal à tenir dedans tellement il est petit et mon gland dépasse au-dessus.
Bernard me regarde en souriant et s’approche de moi. Il me prend le bras et me fait me retourner pour mater mon cul et la ficelle dans ma raie et d’un seul coup me donne une petite claque sur le cul.
« Salope tu es belle comme ça ! Je vais m’occuper de ton fion de pute à sec ! Tu vas sentir passer ma bite ». Une seconde claque tombe sur mon cul pas un peu plus forte que la première. Il me fait me pencher sur la table, le corps allongé et les jambes écartées et passe devant moi pour se mettre à poils. Rapidement il retire ses habits et je vois sa grosse bite bien raide et bien droite.
« Hummm j’aime voir ta grosse queue. Viens me la mettre je veux que tu m’exploses le fion sans hésiter »
« Salope ne t’inquiète pas je ne vais pas me priver de te défoncer et je vais t’engrosser »
Toute en me parlant il passe derrière moi et quelques instants plus tard je sens son dard contre ma rondelle. Il me prend les hanches et se met à me tirer vers lui pendant qu’il force mon petit trou. Il me fait mal car je suis serré et pas encore habitué à me faire enculer comme ça et je crie sous la douleur. Mais il s’en moque et continue de s’enfoncer en moi me laissant crier et en un instant j’ai sa bite au fond de mon cul. Il commence alors à me ramoner sans tenir compte de ma douleur cherchant uniquement son plaisir.
Au bout d’un moment la douleur se calme un peu et mon cul est brulant quand il se retire entièrement. Il me donne à nouveau des claques sur les fesses puis revient de nouveau au plus profond de mes entrailles et recommence à me limer encore plus fort. Je ne peux pas me retenir de gémir autant de douleur que de plaisir même si j’ai l’impression d’avoir le cul feu.
De son côté Bernard commence à se crisper contre moi el sa respiration devient plus saccadée jusqu’au moment où il se met à jouir au plus profond de moi.
Je le sens se vider par de longs jets de foutre chaud qui provoquent ma jouissance et je me mets aussi à gicler. Je m’empresse de prendre ma bite dans ma main pour ne pas gaspiller mon jus. J’ai l’impression que Bernard n’arrête pas de jouir en moi et je me laisse faire trop heureux de me faire remplir de sa semence.
Il finit par s’arrêter et se retire de mon trou dilaté et place sa main dessous en m’ordonnant de pousser pour tout faire ressortir.
Je l’écoute et pousse et nos deux jus sortent de mon cul en faisant des bulles, lui remplissant le creux de la main.
« Salope tu es pleine ! Tournes toi et lèches moi la main pour avaler. Tu ne dois pas en perdre une goutte. Montres moi ta bouche remplie ma chienne »
Je lui obéis trop content de me faire insulter de la sorte et je nettoie sa main pour tout prendre en bouche et je joue avec sur ma langue pour lui montrer avant de tout avaler d’un coup.
J’aime le gout de ce mélange et je lui en fais part. Il me répond tant mieux car il compte bien recommencer plusieurs fois dans l’après-midi pour bien m’engrosser comme une putain. Je suis trop content de lui servir de vide-couilles et je lui demande de recommencer autant qu’il veut.
Pour le moment il veut souffler un peu et me demande de retirer mes sous vêtements pour ne garder que la jupette. Je fais ce qu’il demande et il empoigne ma bite, qui dépasse largement sous le petit bout de tissu. Il me tire vers lui et s’accroupi pour le sucer un peu et presque aussitôt je ne peux retenir ma jouissance et je lui gicle dans la bouche. Il garde ma bite en bouche et à peine ais-je fini de jouir qu’il avale tout. Cette petite pipe rapide lui a redonné vigueur et le voici prêt à m’enculer de nouveau. Mais cette fois iul s’allonge sur le dos par-terre et m’ordonne de m’empaler sur sa queue. Je me place face à lui et me laisse glisser sur son pieu tendu et sans résistance je m’enfile jusqu’aux couilles. Il ferme les yeux et je commence à bouger sur sa tige pour me caresser et contrairement à se que je pensais il ne met pas longtemps à jouir de nouveau sans que j’ai pu prendre mon pied.
Il me bascule sur le côté en restant dans mon cul et recommence à me limer et mon cul me brule un peu à nouveau mais c’est ce que j’aime et je finis par jouir à mon tour. En jouissant je me contracte sur sa bite se qui lui provoque encore une jouissance qui finie dans mon fion chaud et je pense dilaté au maximum.
Comme pour la première fois il se retire et récupère le contenu de mon cul qui coule de mon trou pour me l’offrir en cadeau. Je me délecte avec pendant qu’il s’allonge épuisé mais heureux d’être tombé sur une vicieux comme moi.
Au bout d’un moment nous sommes enfin reposés et il me propose de retourner en forêt comme lors de notre première rencontre. Mais il me demande de ne porter que la jupette qui ne cache vraiment pas grand-chose pour faire la salope en espérant que nous trouverons plusieurs mecs qui vondront se servir de moi comme d’un garage à bite.
Je ne sais pas quoi répondre et je finis par dire oui sans savoir pourquoi. Ce n’est pas de me faire défoncer par plusieurs mecs qui me dérange bien au contraire, mais cette tenue me gène un peu et m’excite en même temps.
A peine arrivés au parking qu’il me fait mettre ma tenue de pute et nous voici partir ensemble dans le bois. Il ne faut pas longtemps pour faire une rencontre et le premier type qui me voit dans cette tenue s’approche bite à l’air. Bernard lui propose de m’enculer sans attendre mais avec une capote lui seul ayant le droit de le faire sans.
Je suis alors retourné contre un arbre et à peine penché en avant que je sens le gland se frotter sur ma rondelle et s’insérer en moi. Je ne ressens plus la moindre douleur et rapidement mon cul est à nouveau remplit par une bite. Pendant que je me fais ramoner Beranrd me donne sa queue à pomper ce que je fais avec plaisir. Rapidement le mec qui m’encule se met à jouir et se retire trop content de s’être soulager. Bernard lui ne jouis pas encore et lui dit que si il voit d’autres mecs qui veulent se vider qu’il nous les envoie.
Je continue de le sucer sans m’occuper et d’un seul coup il inonde ma bouche de sa purée. Je laisse la bouche fermée pour ne pas en perdre une gouttte et j’avale sa semence gouluement.
Je vais pour me redresser mais il m’oblige à rester en position car je vais avoir de la visite. Je devine qu’un autre type arrive mais je ne le vois pas et Bernard lui dit que la place est libre. Je sens alors une bite se poser sur mon fion et qui rentre en moi. Elle est très épaisse, la plus épaisse de l’après-midi mais elle me pénètre sans trop de difficultés. Par contre elle est bien plus longue et j’ai l’impression qu’il va me perforer les intestins. Sans rien dire je me laisse faire et le mec se met à me ramoner sur toute sa longueur. Je gémis sous ses coups de bite qui j’en suis sur est énorme et qui me déchire le cul jusqu’au moment ou je jouis encore. Mon cul dégoulilne de mouille et mon jus de couilles est éjecté en petits jets peu puissants mais répétés.
Le mec se fini dans mon cul et jouis à son tour. Malgré la capote je sens les giclées au fond de mon fion. Des quantités de foutre incroyable remplissent la capote et me font jouir de nouveau du cul. Dans un bruit de sucion le mec se retire etje dégouline du cul le long de mes jambes. Je ne peux retenir ce jus, mon cul restant grand ouvert. Bernard passe derrière moi et lèche mes cuisses pour déguster mon jus alors que le type est déjà reparti. (dommage. J’aurais bien aimé au moins le voir pour le reconnaitre une prochaine fois)
L’après-midi touche à sa fin et Bernard me fait retourner avec lui à la voiture en m’obligeant à garder la jupette. Une fois à la voiture il pose une serviette sur le siège et me dit de garder la jupette jusque chez lui. Je suis mal à l’aise car si quelqu’un me vois je vais passer pour je ne sais quoi, mais après tout je fais la salope donc il faut que j’assume.
En arrivant chez mui il gare sa voiture dans la cour mais en descendant je peux être vu de la rue par ceux qui pourraient passer à ce moment là. Et bien sur Bernard fait tout pour que je soit vu, mais heureusement pour moi ce n’est pas pour ce coup ci et je peux rentrer à la maison sans être repéré. Une fois chez lui il me bloque de nouveau contre la table et me dit :
« Allez grosse pute une dernière fois pour la route »
Et aussitôt il m’encule encore. Mon cul était à peine refermé que le voici qui me ramone de nouveau. Je commence à ne plus en pouvoir et je ressens un peu de de douleur. Je lui dis et il accélère pour se finir dans mon cul. Depuis le temps ses réserves sont presque épuisées mais il se vide quand même en moi pour la dernière fois de la journée. Il reste planté en moi un instant et se retire, mais cette fois ne me touche pas. Il regarde mon cul grand ouvert et je ressens d’un coup une douleur intense. Il m’enfile un plug dans le cul et le maintien un moment le temps que ma rondelle l’accepte. Je me sens rempli par se plug qui doit être énorme et quand je lui demande la taille il me répond en rigolant 15*8. Je comprends mieux pourquoi il m’a fait mal en rentrant.
Je me relève et il me demande de me rhabiller sans retirer le plug. Il veut que je le garde jusque chez moi et j’ai peur car j’ai quand même 20 minutes de route à faire. Va-t-il ressortir facilement ou je risque de me déchirer le cul pour de bon ? Il rigole et me dit que dans cinq minutes je n’y penserai plus et que je pourrai rentrer chez moi tranquillement.
Puis il m’embrasse à pleine bouche, le premier baiser de la journée en me faisant promettre de bien garder le gode et de revenir le voir régulièrement pour être sa pute.
J’ai bien gardé le gode jusque chez moi, mais j’ai eu bien du mal à le retirer sans me faire trop mal. Mais je suis prêt à le revoir car j’ai vraiment aprécier cette journée avec lui.
Pendant presque deux ans nous nous sommes vus très régulièrement, puis un jour il a disparu sans donner de nouvelles. Je ne sais pas ce qu’il est devenu mais il m’a fait devenir une véritable salope qui aime les bites de toutes les tailles, toutes les longueurs. Par contre jamais personne d’autre ne m’a enculé sans capote car il faut rester prudent.
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