Elle n’a pas arrêté de me branler et à regarder le sperme jaillir par saccades
Vendredi 2 Aout, diner entre couples chez nous. Murielle, ma femme, désirait discuter d’un projet avec un de ses collègues Jos. Aussi l’a t’elle invité avec sa femme Estelle. Estelle me fait fantasmer grave depuis que je l’ai rencontrée il y a trois ans lors d’une soirée similaire, mais chez eux. Nous venions d’emménager dans la région. Nous avons été accueilli par Jos, Estelle s’est présentée quelques minutes plus tard. Bises de bien venue comme le veut la tradition et la le choc: les bises, mouillées, sur les coins de la bouche. Ca m’était arrivé déjà plusieurs fois, mais avec des connaissances. Là, une parfaite inconnue. « C’est quoi cette nana, on ne se connait même pas”. Mais mon ventre a réagi sur le champ. Toute la soirée je l’ai guettée, essayé de plonger le plus possible dans son regard mais surtout dans son décolleté. Elle est toute mignonne, blonde, petite, des petits seins fermes, des jambes et un cul à damner un saint. Enfin, c’est ce que son jeans serré laissait deviner. Toute la soirée j’ai eu l’impression qu’elle jouait à m’exciter, tantôt retenant le haut de sa chemise pour que le décolleté ne s’ouvre pas de trop quand elle se penchait pour servir, tantôt laissant voir ses seins qu’elle avait laissé libres.
La soirée a été chaude pour moi, et une fois partis, j’ai fantasmé pendant des jours et des jours. J’imaginais que j’allais chez elle ramener un livre (nous lui en avions empruntés deux) et que le jeu qu’elle avait joué reprenait pour se terminer par une partie de jambes en l’aire tant désirée.
Mais je n’ai jamais eu le culot d’aller chez elle.
Il y a un an, nous les avons invités à notre tour avec un autre couple. Je m’imaginais le même scenario, j’étais impatient de la revoir, de sentir ses bises mouillées, de pouvoir la reluquer. Quand ils sont arrivés, je ne tenais pas en place, je me suis mis à bander dès que je l’ai vue, mais déception énorme….bises froides, détachées et toute la soirée elle ne m’a pas regardé une seule fois. Adieu fantasme. Aussi ce vendredi dernier je ne me faisais pas trop d’illusions, j’avais pris mon parti de revivre la même chose que lors de notre dernière soirée, il y a un an.
Toujours aussi mignonne, elle portait une petite chemise blanche et un jeans (dommage, au moins j’aurais aimé voir ses jambes) et… la première bise prenait le quart de ma bouche, la deuxième, mouillée, toute ma bouche ; encore un peu, elle m’aurait roulé un patin. Je portais un bermuda court, sans slip (et oui j’aime souvent me sentir libre ainsi) et m’étant mis à bander sec, je craignais que cela ne se voie trop.
Nous avons diné sur la terrasse qui donne sur le jardin. Comme le but était que Murielle discute avec Jos, je me suis occupé de la plancha et de l’intendance servant et desservant la table. Estelle était assise en face de moi. Nous avons connu de bons moments de complicité, des sourires et éclats de rire (à quatre), des regards profonds. Je n’ai pas eu souvent l’occasion de regarder son décolleté (lors de mes déplacements, je m’efforçais à passer derrière sa chaise), mais le peu que j’ai pu voir (ou qu’elle m’a laissé voir) m’a fait découvrir les deux petites perles nichées dans un soutien blanc à balconnets. Je n’ai pas cessé de bander malgré cela, c’était trop bon. Pendant ce temps, ni Jos ni Murielle ne se sont aperçus de rien. Lorsque j’ai commencé à débarrasser pour servir le dessert, Estelle s’est proposée de m’aider.
La cuisine où nous devions aller, est à l’étage juste au dessus de la terrasse; la fenêtre qui donne sur celle-ci était ouverte et on entendait clairement Jos et Murielle discuter. Un certain moment, Estelle était si près de moi que je sentais l’odeur de ses cheveux, l’odeur légère de sa transpiration; mon cœur s’est mis à battre la chamade. Ma main s’est placée d’elle même sur ses fesses. Estelle s’est légèrement tournée vers moi, m’a fait un petit sourire énigmatique, mais n’a rien dit. J’ai commencé à caresser ses fesses, à les palper tout en la regardant droit dans les yeux. Elle a regardé ma bouche et comme attirée par un aimant elle m’a embrassé, que dis-je, elle m’a roulé un patin de dieu. J’étais vachement excité, trop peut-être. J’ai dégrafé son soutien. Estelle continuait à m’embrasser; j’ai glissé une main sous sa chemise et peloté avec délectation ses petits seins libérés. Ils étaient fermes, bien ronds, doux, les tétons érigés, bien durs. Quel plaisir de les caresser. J’ai soudain senti sa main caresser mon sexe à travers mon bermuda. J’ai laissé faire, me suis placé pour lui faciliter la tâche. Elle a ouvert ma braguette et sorti mon sexe, dur, en érection (ça ne lui était plus arrivé depuis longtemps le pauvre). Elle s’est mise à me branler. Elle a arrêté de m’embrasser pour regarder mon sexe avec lequel elle jouait des deux mains ; ça m’a excité de plus belle. J’ai à mon tour ouvert son jeans (elle m’a un peu aidé) et glissé une main dans sa culotte (pas de string). Sentir ses fesses bien fermes était un vrai régal. Je les palpais, les caressais, glissais un doigt dans sa raie. Et Estelle continuait à jouer avec mon dard. J’étais près à exploser mais n’osais pas lui demander d’arrêter (fierté de mâle). J’ai glissé ma main sur son sexe et fait quelques va et vient avec un doigt dans sa fente, effleurant son clito au passage. Elle était trempée; mes doigts étaient gluants. Quand j’ai voulu introduire un doigt en elle, mon excitation était telle que j’ai éjaculé dans un grognement. Estelle a posé alors sa tête sur mon épaule. Elle n’a pas arrêté de me branler et à regarder le sperme jaillir par saccades. J’ai tout pris sur moi. J’ai entendu un léger soupir ; peut-être a-t-elle joui à ce moment précis. Je l’ignore. Quand enfin elle a arrêté de me masturber (je n’osais lui demander d’arrêter malgré la douleur que je commençais à ressentir), elle m’a de nouveau embrassé et puis elle m’a dit : « Beau spectacle ».
Elle s’est lavée les mains et remis de l’ordre dans ses vêtements et pendant que j’allais changer de chemise, elle est redescendue avec les desserts.
Quand ils sont partis, j’ai eu droit à un dernier bisou mouillé. Promesse ?
Cette incartade m’a réconcilié avec moi-même. J’avais perdu confiance en moi depuis les dernières frasques de Murielle (que je dois encore raconter – cela date de début juin) et j’étais persuadé qu’à mon âge, je ne saurais plus attirer une femme.
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