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L’assistante sociale

L’assistante sociale



Catherine Pilon conduisait sa petite Volvo nerveusement. Au moment de se stationner, elle percuta la voiture d’en face. Elle sortit et marcha à petit pas nerveux vers le 440 boulevard du Phare. En plein milieu du quartier pauvre de la ville.

Ce n’était certainement pas le voisinage qui stressait Catherine. Elle était assistante sociale depuis 3 ans et son travaille l’amenait quotidiennement dans des quartiers bien pire. À 26 ans, son travail représentait la plus grande réussite de sa vie. Depuis l’enfance, elle rêvait d’aider les enfants en difficultés. C’était un travail très difficile où on devait intervenir pour aider des enfants qui vivaient dans des conditions médiocres et où on devait négocier avec des gens parfois dangereux. Néanmoins, elle pratiquait son métier avec un enthousiasme sans failles, jusqu’au mois de mars dernier.

Elle ouvrit lentement la porte d’une maison miteuse qui abritait une demi douzaine d’appartements aussi petits que sordides. Elle se rendit au fond du corridor pour cogner à la porte de gauche. Ce faisant, elle fixait intensément ses souliers, son cœur battant la chamaille. Ses jambes bardées de nylon noir tranchaient dans la chaleur de cette chaude journée de Juin. Un grognement roque venu de l’autre côté du mur de plâtre lui indiquât qu’elle pouvait entrer.

Trois mois auparavant, son patron l’avait convoquée dans son bureau. Elle était jeune et dynamique. Elle était belle et compétente. Elle serait la candidate parfaite pour finaliser ce dossier difficile, le dossier Dobson.

Réal Dobson était un alcoolique notoire. À 45 ans, il vivait avec une femme et trois enfants dans des conditions très précaires. Suites à de nombreuses plaintes de négligences, les services sociaux on tenté à plusieurs reprises de sortir les enfants de 6, 4 et trois ans de leur misère, sans aucun succès. Le problème, c’est que Réal Dobson était un avocat de formation, un petit génie de la justice qui n’avait jamais pratiqué, mais néanmoins très au fait de la loi. Comme les services sociaux n’ont jamais pu prouver légalement l’étendu des négligences subies par les enfants et comme rien d’officiellement criminel ne pouvait lui être reproché, le père Dobson devait donner son autorisation écrite pour pouvoir placer les enfants en famille d’accueil. Évidemment, Réal Dobson refusait catégoriquement de signer quoi que ce soit.

C’est ainsi que Catherine Pilon s’est retrouvée avec le dossier Dobson dans les mains. Alors qu’elle tournait lentement la poignée ternie du minuscule appartement, tout ceci ne voulait plus rien dire.

Elle entra lentement, presque sur la pointe des pieds. La porte donnait sur une minuscule cuisine d’une saleté repoussante. Dans le petit salon adjacent, Catherine pouvait voir Mr Dobson, de dos, une bière à la main, qui écoutait religieusement la télé. Assise sur un petit canapé, Mélanie Dobson lui lança un regard éteins avant de retourner son attention vers l’émission. Silencieusement, Catherine referma la porte et entrepris de retirer sa jupe, son chemisier et son soutien-gorge. Tout ceci ne pris qu’une ou deux minutes, mais ce fut suffisant pour que Catherine voie défiler les événements des dernières semaines dans sa tête.

********

Quand l’assistante sociale s’est présentée pour la première fois chez les Dobson, elle fut surprise par l’accueil relativement poli qu’elle reçu. Ses trois collègues précédents avaient dû faire face à un habile résumée juridique sur les services sociaux agrémentée d’une bonne dose d’injures. Il faut dire que Catherine Pilon était une beauté. Pas trop grande, avec des seins de taille moyenne qu’elle savait très bien mettre en valeur et une taille coupée au couteau. Elle avait l’habitude de faire affaire avec des hommes qui ne la regardait pas toujours dans les yeux. C’est la carte qu’elle osa jouer pour convaincre le père de lui céder ses enfants. Les résultats n’étaient pas au rendez-vous, mais au moins il acceptait de lui parler.

Rien n’y fit. Malgré le ton poli, les différentes rencontres se finissaient toujours par un refus catégorique de négocier quoi que ce soit. Le gars possédait des arguments juridiques vraiment solides. Un jour, la petite fille de 6 ans eu un accident qui l’emmena à l’hôpital. Bien que les parents n’aient été en rien responsables de l’accident, ils étaient également incapables de s’occuper de sa convalescence. Il fallait absolument convaincre le père de laisser sa fille aller temporairement en maison d’accueil. L’affaire est devenue émotive pour Catherine quand la petite fille terrorisée avait fini par lui dire à travers ses sanglots qu’elle ne voulait pas retourner chez elle.

Un soir, alors que les deux plus jeunes était dans leur chambre, la discussion entre l’assistante sociale et le père était en train de tourner au vinaigre. Les arguments juridiques de Dobson se frappaient aux arguments médicaux de Catherine qui avait toujours le visage en pleur de l’enfant à l’esprit. Le ton commençait à monter sérieusement. Soudainement Réal Dobson se tu. Après un moment, il regarda Catherine dans les yeux et dit :

-OK. Tu me suce et je signe ton foutu papier.

-Quoi! Pardon!

-Tu as compris la Minette.

-NE M’APPELEZ PAS MINETTE!

Il reprit très calmement, avec une voix douce, comme si il parlait à un enfant.

-De un, je t’appelle comme je veut. De deux, tu m’énerves avec ta paperasse et de trois, j’ai le goût de me faire sucer. Alors, ou bien tu ramasse tes guenilles et Mélo s’occupe de moi, ou bien tu fais prendre l’air à tes tétons. Quand tu m’auras vidé les couilles, je signerai ton papier et tu pourras faire ce que tu veux de la petite pour 2 mois.

-C’EST DU HARCELLEMENT, J’APPELLE LA POLICE.

– Et tu vas leur dire quoi?

À ces mots, Catherine su ce qu’elle devait faire : quitter cette maison de fou et ne plus y revenir. En effet, il n’y avait pas de témoins. Elle jeta un coup d’œil à Mélanie Dobson. Comme toujours, elle avait le regard éteins et souriait bêtement en regardant son mari qui fixait intensément l’assistante sociale. Jamais elle ne témoignerait contre lui. Il lui vint alors un profond dégoût pour cette femme qui acceptait tout de cet homme et ne faisait rien pour aider ses propres enfants.

La colère, les émotions, le visage de l’enfant en pleur, les nuits blanches à songer au dossier et surtout un immense sentiment de supériorité face à ces minables se mélangèrent pour exploser entraînant alors une réaction des plus inattendues.

Catherine se leva en fixant Réal Dobson droit dans les yeux. Elle sortie l’autorisation du dossier, la plaça devant lui, porta les mains au premier bouton de sa blouse et le défit en disant :

– Signe.

– Suce d’abord.

L’assistante sociale était loin d’être une sainte. Bien que maintenant rangée, elle avait fait le bonheur de bien des jeunes hommes à l’université. Un homme est un homme. Une queue est une queue et cette queue n’est pas sûrement pas différente des autres. Elle mis de côté ses principes, son amant et son amour propre. Ce n’était plus un dossier comme les autres. Pour Catherine, c’était une guerre à finir avec ce minable qui manipule la loi et maltraite ses enfants. Elle allait lui montrer à ce salaud qu’elle n’avait pas froid aux yeux, qu’elle était plus forte que lui et que cette fois, il ne gagnerait pas.

Elle retira sa sage blouse blanche tout en fusillant Dobson du regard. Elle dégrafa d’un geste souple son soutien gorge, exposant fièrement sa poitrine à l’homme qui lui souriait à pleine dent. Catherine était plutôt satisfaite de sa poitrine. Un bon B de bonnet qui compensait son manque d’envergure par une fermeté spectaculaire. Ses aréoles roses étaient complétées par de superbes mamelons pointés. Le tout défiait la gravité et pointait légèrement vers le ciel. Son amant lui disait souvent qu’elle avait une poitrine de rêve.

-Pfioouuu… Pas mal tournée la Minette.

Catherine fixait durement le visage de l’homme. Ses cheveux sales et en batailles étaient striés de nombreux cheveux d’un blanc jauni par le tabac. Une barbe poivre et sel de plusieurs jours couvrait inégalement son visage. Son hygiène était douteuse. Il dégageait une forte odeur de sueur et de tabac qui se mélangeait à une haleine d’alcoolique. Son corps semblait maigre et décharné, mais le bonhomme avait néanmoins un ventre très dur caractéristique des buveurs de bière. Bref, Réal Dobson était dégueulasse.

-Allez la Minette. À genoux.

Sur ces mots, il recula sa chaise et baissa d’un geste vif son pantalon de jogging taché. Son sexe apparu aux yeux de Catherine et ce qu’elle vit lui fit un choc. Le membre de Dobson était en semi érection. Déjà, sa taille était supérieure à la moyenne, mais ce qui frappa la jeune femme, c’était sa laideur. Une queue mince et longue coiffée d’un gland violacé. Une queue usée, de couleur très foncé, zébrée de grosses veines mauves et parsemée de taches de décoloration blanches. Près de la base, il y avait une grosse tache brunâtre de laquelle sortaient de petits poils drus. Ses couilles étaient pendantes et très poilues.

-Hey Salope! Tu suces ou tu sors? J’ai assez perdu de temps avec toi.

Catherine reçu cette phrase comme une gifle. Elle songea à la petite fille, pris une respiration, ferma son esprit et se dirigea vers le salopard. C’est à peine si elle entendit les petits « hun hun hun » stupides poussés par Mélanie qui gloussait en regardant le spectacle.

Elle s’agenouilla devant cet homme qu’elle détestait tant. Elle pris l’hideux pénis dans sa main et sans même se permettre une respiration, elle l’emboucha. Le goût était immonde, mais Catherine le remarqua à peine. Elle entreprit de téter le gland du bonhomme en le branlant avec vigueur.

Subitement, Catherine reçu une violente claque sur le côté de la tête qui lui fit perdre l’équilibre.

-Mollo Salope, Si j’veux me faire arracher la queue, j’vais aller me faire sucer par une chèvre.

-Mets les mains derrières ton dos.

Catherine repris son va et viens. Dobson admirait la chevelure brune de la beauté qui s’activait sur son membre. Il ne croyait pas sa chance. Il avait fait son offre pour se débarrasser de l’omniprésente fonctionnaire. Il n’aurait jamais cru qu’elle accepterait. La pipe de la brunette était tout a fait extraordinaire malgré le peu d’enthousiasme qu’elle y mettait.

-Mélo, va me chercher une bière.

La femme s’exécuta. Dobson but sa bière à petites gorgée, la main gauche serrée autour de la queue de cheval de Catherine qui peinait à tenir le rythme imposé par son tortionnaire. À l’occasion, il poussait avec force sur la tête de la pauvre femme pour qu’elle prenne la totalité de son membre. Il la forçait à tenir cette position difficile tout en lui malaxant la poitrine et en lui étirant les mamelons. Catherine se mettait alors à gesticuler et à couiner jusqu’à ce que l’homme relâche la pression et lui redonne un rythme.

Combien de temps est-ce que ce manège a durée? Catherine ne pouvait le dire. Son esprit était complètement fermé. Une chose était certaine, elle avait perdu tout contrôle sur la situation. En dehors des efforts qu’elle faisait pour respirer et garder son équilibre tout en maintenant le rythme qui lui était imposé, elle n’avait conscience que de ses genoux endoloris. Soudainement, Dobson tira ses cheveux vers le haut, la forçant à se redresser pendant que lui se levait. Il pris la tête de Catherine à deux mains et se mis à la pilonner avec vigueur. Étouffant et incapable de maintenir son équilibre, Catherine commença à se débattre en essayant de repousser l’homme en le frappant au ventre.

-Mélo, tiens les bras de la petite chienne.

Mélanie se leva en vitesse prenant solidement les poignets de l’assistante sociale en les tirants vers l’arrière. La femme était corpulente et dans l’état de choc et de panique où elle était, Catherine se retrouva totalement à la merci de son agresseur. Celui-ci profita de sa position pour redoubler son ardeur en enfonçant brutalement sa queue gonflée et prête à éclater jusqu’au fond de la gorge de la suceuse qui croyait mourir tant ses épaules étaient douloureuses. Comme elle était incapable de respirer normalement, son visage devint de plus en plus empourpré.

-Slurghhh, ungfffff, arghrgffh!

Les bruits de succion et d’étouffements envahissaient l’appartement. La salive et les différentes autres sécrétions éclaboussaient Catherine de toute part. Le mascara qui maculait son visage était dilué par les larmes qui coulaient abondamment.

Finalement, Dobson se raidit, lâcha un râle et plongea profondément sa queue dans la gorge de sa victime en déversant son sperme chaud et visqueux dans son oesophage. Il repoussa alors violement Catherine qui s’effondra un sol, secouée par de violents hoquets. Prise de nausée, elle vomit littéralement le foutre sur le plancher. Puis, elle resta immobile et sanglotante.

Dobson passa par-dessus elle, pris un stylo, signa la feuille rapidement puis il ramassa son chemisier et son soutien gorge. Il se pencha vers elle. Essuya les dégâts avec ses vêtements. Il la prit par les cheveux, plaçant son visage défait près du sien. Brandit le formulaire signé et dit :

-Tu suces bien. Tu aurais dû faire pute. Ça aurait été plus utile que de devenir une conasse de fonctionnaire qui passe son temps à faire chier le monde.

-Prends ta maudite feuille et ne reviens plus.

-J’attends ma fille dans 2 mois.

Sur ce, il crachat au visage de Catherine. L’immonde déjection aveugla la femme qui ne pouvait se protéger. Dobson la traîna jusqu’à la porte et il la projeta dans le corridor en même temps que ses vêtements et le formulaire signé.

Au moment où la porte se refermait, Catherine entendit le ricanement stupide de la femme qui disait :

-Han, Han, Han. T’as ben fait mon homme. Han, Han.

*************

Catherine ne souvenait plus très bien comment elle avait fait pour rentrer chez elle. Le tout avait durée une douzaine de minutes environ, mais l’aventure semblait avoir durée des heures. En fait, elle ne souvenait pas de grand-chose. Pendant les semaines qui suivirent, elle se demanda souvent comment le contrôle de la situation avait pu lui échapper à ce point. Souvent, la nuit, elle se réveillait en sueur, le cœur battant la chamaille avec un goût horrible dans la bouche. Son expérience lui revenait par brides et elle faisait des efforts constants pour enfouir ses pensées au fond de son esprit.

Elle pris des vacances. À son retour au travail, la situation pris une autre tournure. Elle était bien décidée à mettre le cas Dobson derrière elle et à passer le dossier à un collègue. Cependant, la signature inattendue du formulaire avait propulsé Catherine au rang des stars de l’assistance sociale. Sa demande pour se retirer du dossier fut refusée. Au contraire, une promotion lui fut promise et elle reçu pour mission de négocier l’abandon définitive de tous les enfants du couple Dobson.

Grisée par l’attention et la promotion. Elle se rendit dans le foyer d’accueil où résidait la fillette. Ce qu’elle y vit la sidéra. La petite fille avait fait d’énormes progrès tant au niveau physique que sociale. Proprement habillée, elle rayonnait. Quand Catherine lui appris qu’elle devrait retourner chez ses parents, l’enfant éclatât en sanglot et dit :

-Non Madame Catherine, je ne veux pas retourner là-bas. Je veux rester ici.

Les pleurs et la crise qui suivirent durèrent des heures. À travers ses larmes, la fillette supplia Catherine de la laisser au foyer d’accueil et de sauver ses sœurs. Le cœur complètement retourné par l’enfant, l’ego et la confiance gonflés par sa position au travail, l’assistante sociale commis sa seconde et plus fatale erreur.

-Je te le promets. Je vais vous sauver. Tu ne retourneras pas chez tes parents.

C’est ainsi que Catherine se retrouva à la porte de l’appartement des Dobsons, bien décidée à ne plus s’en laisser imposer par le gougeât et la ridicule femelle qui lui servait de femme.

Prenant son courage à deux mains, elle frappa à la porte. Réal Dobson ouvrit et son visage poilu se fendit dans un large sourire.

-Hey Mélo! Devine Quoi? C’est la Minette du gouvernement.

-Tu ramènes la gamine?

-Heu, non. Je voudrais vous parler.

-Quoi? Moi qui croyait que tu venais pour me sucer!

Et au loin, toujours ce rire stupide.

-Han, Han, Han.

Catherine joua sa seule carte.

-Mr Dobson, laissons ce malheureux épisode derrière nous et n’en parlons plus. Je suis venu pour vous faire signer l’abandon définitif de tous les enfants. Écoutez, votre fille est resplendissante et ne veut pas revenir. Alors, agissons en adultes sérieux.

Réal Dobson ne broncha pas. La nervosité de Catherine se transforma lentement en panique.

-Voici ce que je vous propose.

Elle sortit un nouveau formulaire de son porte document tout en parlant rapidement.

-Vous signez cette décharge, je pars avec les filles et de mon côté je m’engage à ne pas vous faire arrêter pour l’agression que j’ai subie…

Réal Dobson éclatât d’un grand rire sonore qui résonna un long moment dans le corridor. Essuyant ses yeux, il répondit en riant.

-Toi, t’es vraiment conne. Je comprends pourquoi tu as décidé de devenir fonctionnaire. Tu entends Mélo, la salope veut me faire coffrer.

Son regard se durcit soudain et il parla d’une voix dure, mais très calme. Il avançait lentement vers elle tout en la fixant droit dans les yeux. Dobson était beaucoup plus grand que Catherine et celle-ci reculait lentement jusqu’à ce que son dos s’appuie sur le mur du corridor.

-Écoute la Minette. De un, tu était consentante. De deux, j’ai un témoin et de trois, je doute que la méthode que tu as utilisée pour soutirer ma signature soit jugée acceptable par une cour de justice.

-Alors écoute moi bien petite chienne.

-La petite doit être de retour Vendredi prochain sur le coup de midi. Si jamais elle n’est pas là à l’heure précise, c’est moi qui vais porter plainte contre toi.

Catherine était sans voix, de plus en plus pale et tremblait. Dobson se recula de deux pas, baissa son pantalon de jogging et ajouta:

-Alors, à moins que tu n’aille le goût d’honorer ma virilité, à Vendredi.

Sur ce, il rentra chez lui. Pétrifiée, Catherine pouvait entendre derrière la porte le gloussement stupide de la femelle Dobson.

***********

Décidée à tenir sa promesse, elle retourna chez les Dobson à chaque jour, parfois deux fois par jour. Elle essaya de convaincre le bonhomme de la recevoir pour discuter, mais elle ne réussie jamais à passer la porte. Au mieux, était-elle accueilli par un :

-Fout le camp!

Le mardi précédant le retour de l’enfant, Réal Dobson ouvrit la porte. Il était complètement bourré. Avec une rapidité surprenante pour un homme dans sa condition, il repoussa de nouveau Catherine et la coinça contre le mur du corridor. Le geste démonta immédiatement la confiance de l’assistante sociale qui se mit à trembler comme une feuille.

Il se mit à parler d’une voix douce et ferme. On pouvait presque voir la folie percer à travers ses paroles. Son haleine était terrible et son odeur, plus repoussante que jamais, était accentuée par la chaleur humide du vieux corridor pourri.

-J’ai fini de jouer avec toi. Alors voici ce qu’on va faire. Tu vas te présenter ici à 10 heures précises demain matin. Tu vas cogner à la porte. Tu vas entrer et te déshabiller. Tu vas garder que ta culotte, tes bas nylons et tes souliers. Assure toi d’être bandante. Tu vas me servir sans dire un mot jusqu’à 3h. Tu vas faire tout ce que je te dis sans piper un seul mot. Si je suis satisfait, je signe ton papier et on se revoit plus. Si tu te rebelles, si tu te défiles ou si je ne suis pas content de ta performance, je te fous dehors et c’est fini.

Sur ces mots, il passa une grande langue baveuse sur le visage de Catherine et retourna chez lui et sans rien dire.

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Cette journée fut la plus terrible de la vie de la jeune femme. Mille fois elle pris la décision d’abandonner les enfants Dobson à leur sort et mille fois elle se ravisa. L’image des supplications de la fillette la hantait constamment.

Sa dernière nuit de sommeil remontait à plus d’une semaine. Son dernier repas à plus de 24 heures. Catherine était affaiblie, et très instable psychologiquement. Elle n’arrivait pas à réfléchir normalement. À de nombreuses reprises, elle avait crue, et souhaitée, que son cœur arrête de battre.

Contre toute logique et sans réfléchir, elle mis l’ensemble de lingerie noir transparent que son dernier amant lui avait donné. Elle déroula une paire de bas nylons neuf sur ses jambes, mis ses souliers à talon, sa jupe et son chemisier le plus décolleté. Et en ce jour de canicule de début d’été, elle marcha d’un pas lent jusqu’à sa voiture et roula machinalement jusque sur le boulevard du Phare. Elle n’avait pas pris la peine de se maquillée. De toutes manière, depuis le lever du soleil, des larmes coulaient constamment des ses yeux gris.

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C’est ainsi que Catherine se retrouvait maintenant chez l’affreux couple. Elle était maintenant presque nue. Elle n’osait pas bouger et attendait en silence la suite des événements.

Sans même se retourner, Dobson lui lança :

-Il y a de la vaisselle à faire Minette. Ne met que de l’eau chaude, je veux que ça brille.

Catherine considéra l’imposante pile de vaisselle souillée qui couvrait le comptoir. Elle s’approcha lentement du lavabo.

-Allez fainéante, au boulot!

Sur ces mots, elle entendit un sifflement aigu et son cul explosa dans une douleur cuisante. Mélanie Dobson, s’était approchée sans bruit et venait de lui administrer un sévère coup avec la baquette de un mètre qu’elle tenait à la main.

-Aaiiie!

-Ta gueule! fit la voix sonore de Dobson. Si tu pensait venir ici pour jouer au fesses et prendre ton pied toute la journée, tu te trompe salope. Si tu veux te faire ramoner par ma queue, il va falloir que tu le mérites.

-Mélo, assure-toi que l’eau est bien chaude et que mademoiselle la putain de fonctionnaire travail. Ça va la changer un peu de la paperasse. Au boulot!

-Han, Han. fit Mélanie en touchant à l’eau brulante.

Catherine n’essaya même pas de retenir ses larmes quand la baquette de bois percuta de nouveau ses fesses. Elle plongea ses mains dans l’eau, poussa un petit gémissement de douleur en entrepris sa tâche.

La nouvelle bonne des Dobsons travailla sans relâche pendant près d’une heure sous les encouragements enthousiastes de la baguette de Mélanie. Les seuls sons qu’on pouvait entendre étaient la télé et les ricanements de sa tortionnaire. Jamais Réal Dobson ne jeta un seul regard à l’assistante sociale au corps ruisselant de sueurs et aux mains enflées par l’eau chaude.

Catherine laissa son esprit être absorbé par sa tâche. Elle n’entendit pas l’homme s’approcher. Elle détecta plutôt son odeur. Il était maintenant clair pour elle que Réal Dobson avait porté une attention particulière à son hygiène lors de leurs rencontres précédentes. C’était maintenant du passé. Il était évidant qu’il n’avait ni brosser ses dents, ni pris de douche depuis sa visite de la veille.

L’homme la pris par la taille, se collant contre elle en l’embrassant dans le cou, comme un amant attentionné. Ses mains remontèrent lentement vers ses seins qu’il se mit à serrer jusqu’à ce que Catherine grimace.

– T’as vraiment un corps d’enfer. Continue à travailler.

Ses mains explorèrent le corps de Catherine. Il s’attarda longuement sur ses seins, pinçant et étirant les tétons, malaxant avec force ses superbes globes. Il tata son ventre comme un médecin, impressionné par la fermeté de celui-ci. Il explora ses fesses et glissa sa main dans la culotte de l’assistante sociale qui tentait tant bien que mal de poursuivre sa tâche.

-Ha! Je l’savais. Tu te rases la touffe. Un vrai salope.

Il continua ainsi ses manipulations pendant un bon moment, s’attardant parfois aux seins, parfois au sexe de la femme. Il lui écarta brutalement les jambes pour avoir un meilleur accès à sa féminité. Il chercha maladroitement à lui insérer un doigt dans le vagin, puis revins derrière palper le cul de la belle qui essayait de ne pas trop gesticuler malgré son fort instinct de répulsion. Pendant tous ce temps, elle pouvait sentir la solide érection de Dobson qui faisait pression dans son dos.

-Embrasse moi.

Comme elle était lente à réagir, il tourna lui-même la tête de Catherine d’un geste brusque qui lui soutira une grimace.

-Embrasse moi avec la langue salope.

Catherine entrouvrit lentement les lèvres. Sans hésiter, Dobson plaqua sa bouche sur la sienne et sa langue se força un chemin entre ses lèvres. L’haleine de l’homme était tout simplement fétide. Ses mains puissantes emprisonnaient le visage de l’assistante sociale ce qui la privait de toute forme de défense. Dobson lui bavait littéralement dans la bouche. Après ce qui lui sembla être une éternité, il se recula d’un pas.

-À toi, maintenant.

Comme hypnotisée par l’ordre de son bourreau, elle emmena son visage vers ses joues poilus et commença à l’embrasser du mieux qu’elle pu. Dobson brisa le baiser, retira son chandail et lui ordonna:

-Encore. Cette fois mets-y du tient. Frotte toi sur moi comme une chatte en chaleur.

Comme dans un rêve, Catherine s’exécuta. Elle repris son baiser tout en frottant ses seins sur la poitrine velue de l’homme. Sans même s’en rendre compte, son genou alla taquiner l’érection grandissante que le dégoûtant pantalon taché de Dobson ne cachait en rien. Il souleva très haut sa jambe galbée de nylon. Il glissa une main jusqu’au sexe de Catherine et entrepris de fouiller le fond de sa culotte mouillé exclusivement de la sueur crée par cette journée torride. Il lui malaxa le vagin sans aucune délicatesse. La pauvre femme peinait à garder son équilibre et devait s’appuyer d’autant plus sur son bourreau pour ne pas tomber. Soudainement, il repoussa Catherine qui tomba vers l’arrière et se cogna durement contre le comptoir.

-Reprends ton boulot. Lui lança-t-il en se retournant vers sa femme.

La minuscule cuisine des Dobsons était dotée d’une petite table basse qui venait s’attacher au comptoir principale. La vue de la table maintenant libérée de sa vaisselle donna une idée au gougeât. Alors que Catherine se redressait et reprenait son travail de plonge, Réal Dobson agrippa sa femme par le bras et l’étendit sans ménagement sur la petite table. Ainsi, la tête de la femme se trouvait tout près de l’évier.

D’un geste rapide, Dobson baissa son pantalon, souleva les jambes de Mélanie haut dans les airs. Il retira d’un geste vif la vaste culotte de sa femme. Surprise par la tournure des événements, Catherine regardait sans bouger l’homme pénétrer sans ménagement sa partenaire qui poussa un long râle de plaisir.

Voyant l’assistante sociale ainsi figée, il lui lança à la figure la culotte rose décolorée et usée. Catherine l’attrapa par réflexe et eu un geste de dégoût. La vielle culotte sale était toute poisseuse des sécrétions de Mélanie. Dobson remarqua le geste.

-Vas-y, sent la, Mets ton nez dedans. Respire l’odeur d’une vraie femme qui mouille pour son homme. Ma Mélo, c’est pas une petite gouine frigide comme toi.

Machinalement, comme hypnotisée, Catherine porta le vêtement à son nez et respira l’odeur forte de la chatte de Mélanie. Pendant ce temps, Dobson allais et venais à grand coup de queue dans le con de sa femme qui se lamentait de plus en plus.

-Han! Han! Han! Oui! Ouiii! Han! Ouuu!

-Allez salope, arrête de te rincer l’oeil, au travail!

Catherine repris son boulot. Elle tentait en vain d’ignorer le couple qui baisait bruyamment tout près d’elle. Du coin de l’œil, elle observa Mélanie Dobson.

La femme était beaucoup plus jeune qu’elle en avait l’air. Pas plus propre que son mari, les cheveux bouclés, gras et sales. Elle avait une très petite bouche qui restait toujours un peu entrouverte. Ses dents jaunies était croches et avançaient vers l’avant. Ses traits étaient lourds. Sans être obèse, Mélanie était grasse. Elle arborait un gros ventre mou qui bougeait comme de la gélatine sous les coups de queue de son amant. Dobson avait repoussé sa chemise de nuit pour libérer ses seins. Ils étaient mous, sans aucun tonus, les mamelons constamment en érection. À voir comment l’homme les maltraitait, ce n’était pas surprenant. Il pinçait littéralement les tétines de sa femme pour les tirer vers lui au point où Mélanie devait arquer son dos pour suivre le mouvement. Elle ne semblait cependant pas ressentir de douleur de ces mauvais traitements, l’habitude peut-être. La femme avait une pilosité étonnante. Ses jambes n’avaient probablement jamais été rasées et son sexe était complètement recouvert d’un poil noir et raide qui remontait haut sur son ventre. Une chose était certaine, elle semblait prendre beaucoup de plaisir dans ce brutal coït.

-Hey la fainéante! Tant qu’à nous reluquer, approche.

Catherine franchit les trois pas qui la séparaient du couple. Dobson lui agrippa le mamelon gauche et l’attira jusqu’à lui. Une main maltraitant le sein de sa femme qui se lamentait, l’autre pinçant et étirant le téton de l’assistante sociale, il dit :

-Avoue qu’elle est belle ma Mélo.

Comme elle tardait à répondre, Dobson tira d’un coup sec sur le mamelon sensible.

-Aie!! Oui, elle est belle. Dit-elle d’une petite voix.

-Je l’savais. Les jeunes, vous êtes toutes des gouines. Ca t’excite de la voir jouir? T’es jalouse de ne pas avoir ma queue dans ta touffe?

Sur ce, il resserra sa prise sur le sein de Catherine qui répondit d’une voix éteinte ce que son bourreau voulait entendre.

-Oui.

-Oui quoi?

-Oui ca m’excite.

-Alors ne te gêne pas salope. Branle-toi. Mets la main dans ta culotte. Montre moi comment tu te fais plaisir.

Catherine était pétrifiée. Alors que Mélanie manifestait son plaisir de manière très bruyante, elle glissa la main dans sa jolie culotte et massa lentement son sexe qui restait totalement sec. Ce geste sembla satisfaire Dobson qui retourna son attention sur sa femme et accentua la force des ses coups de queue. Ils restèrent tous trois ainsi pendant un long moment. Puis, l’homme ralenti son rythme, pris Catherine par les cheveux et l’attira près de son visage.

-Toutes des gouines… Vas-y. Montre-moi comment tu fais ça avec tes copines. Vas-y! Embrasse Mélo.

Les plaintes infinies de la mère Dobson cessèrent aussitôt. À son air interloqué, on devinait qu’elle était aussi surprise que Catherine et pas plus à l’aise avec la chose.

-Mais…

-Ne viens pas me faire croire qu’une petite chienne dans ton genre ne s’est jamais gouinée avec une autre fille. Embrassez-vous et faites ça sensuelle.

Il poussa durement Catherine vers la tête de Mélanie qui, bien que mal à l’aise, ferma les yeux, entrouvrit les lèvres et sorti le bout de sa langue dans un rictus qui aurait été comique dans d’autres circonstances. Dobson repris son pistonnage alors que Catherine, repoussant sa nausée, approcha ses lèvres de celles de Mélanie jusqu’à ce qu’elles les touchent chastement. Dobson, visiblement insatisfait, poussa un grognement.

-SHLACK

Il avait pris le bâton de 1 mètre et venait de frapper durement le cul de l’assistante sociale. Renversant son mouvement, il assena un second coup tout aussi fort sur le cul de sa femme.

-Allez espèces de fainéantes, mettez-y du cœur.

Les deux femmes s’activèrent simultanément. Leurs langues se mirent à danser pour le plus grand plaisir de Dobson qui redoubla de fureur, se projetant avec force au plus profond du con de sa femme. Mélanie sursautait à chaque coup de boutoirs. Plus pour garder son équilibre que par pur désir lesbien, Catherine planta ses doigts dans le sein droit de Catherine dont la grimace apparu comme un signe de jouissance aux yeux de Dobson.

-Han! Han! Han! Haaaaa!!!!!

Mélanie s’abandonna à nouveau. Elle cria son plaisir dans la bouche de Catherine Son cris résonna dans le petit appartement. N’y tenant plus, Dobson explosa profondément dans le vagin de sa femme en poussant un grognement rauque. Il se retira subitement pour s’asseoir sur une chaise, la queue luisante et le souffle court. Mélanie avait porté la main à sa chatte et se branlait furieusement tandis que Catherine, la main gauche toujours dans sa culotte, n’osait briser le baiser de peur de déplaire à Dobson.

-Bon. C’est assez les gouines. Gardez-en pour plus tard. La Minette, nettoie la touffe de Mélo avec ta culotte et retourne finir tes chaudrons.

Hésitante, Catherine enleva sa précieuse culotte et essuya délicatement le vagin de Mélanie qui dégoulinait de sperme et de sécrétion. Elle avait toujours su que certaine femme pouvait dégager des odeurs fortes, mais jamais elle n’aurait cru que quelqu’un puisse dégager des effluves aussi nauséabondes. Elle regarda sa culotte maculée et songea un instant à l’amant qui lui avait offert.

Cette pensée lui donna le vertige. Elle s’était préparée à être violée, baisée par ce grotesque personnage. Elle était décidée et aurais pu vivre avec ces actes immondes tant elle voulait sauver ces enfants. Elle savait que Dobson allait prendre son corps. Elle croyait pouvoir garder le contrôle, avoir le dessus sur lui, du moins mentalement. Mais Catherine n’était pas prête à ce qui s’est passé. Il ne lui avait pratiquement pas touché. Elle avait certainement déjà été plotée plus hardiment sur des pistes de danse. Elle le réalisait maintenant, Dobson avait gagné. Il l’avait détruite. Pas en la baisant, mais en l’humiliant. En l’humiliant d’une manière telle qu’elle n’aurait pu l’imaginer. À cette pensée quelque chose se brisa en elle. Elle ne pouvait plus lui résister.

N’ayant rien avalé depuis plus de 24h, elle prit conscience de la faim que la tenaillait. Du coin de l’œil, elle remarqua un muffin qui trainait sur la table. Désespérée, elle osa demandée avec une petite voix, presqu’une voix de gamine.

– Mr Dobson, j’ai très faim. Pourrais-je avoir quelque chose à manger SVP.

Et l’homme de répondre en riant.

-Tu veux ma queue… Quelle salope. C’est dommage pour toi, mais elle a besoin de récupérer un peu. Prends plutôt ce gâteau.

Il prit le gâteau sec qui traînait là depuis des jours et l’émietta sur la table. Il en prit une partie dans sa main et la porta à sa bouche. Après l’avoir mastiqué pendant quelques secondes, il recracha la pâte devenue gluante dans sa main et s’approcha de Catherine. Il mit sa main libre sur son épaule et appliqua une pression. Immédiatement, sans résistance, l’assistante sociale se mit à genoux, le visage à quelques centimètres de sa queue flasque. Dobson avança la main et lui ordonnât :

-Mange

Sans dire un mot, elle se pencha vers la main ouverte. Elle mangea l’immonde bouillie directement de la main de l’homme. Exactement comme l’aurait fait un a****l dans une ferme pour enfants. Il lui fit nettoyer ses doigts sales et jaunis au tabac. Quand il fut satisfait, il l’agrippa par les cheveux, la redressa et la retourna à ses chaudrons en lui expédiant une claque sonore sur les fesses.

Catherine se remis à l’ouvrage dans un silence complet. Ni Mélanie, ni Dobson ne dirent un mot pendant de longues minutes. Les seuls bruits provenaient de la gorge de Dobson qui buvait sa bière à grandes lampées.

Il se leva soudain. Il s’approcha du comptoir, toujours nu, et pris un grand verre resté sale et taché malgré tous les efforts de Catherine. Sa queue à la main, il urina par petits jets dans le verre. Une fois le contenant rempli, il le tendit à Catherine qui regardait le plancher. Elle prit le verre tout chaud dans ses mains.

-Bois

Lentement, très lentement, elle porta le verre à ses lèvres. C’est à peine si elle remarqua l’odeur fétide qui s’échappait de l’urine encore chaude. Elle versa le liquide dans sa bouche en grimaçant et l’avala à petites gorgées sous les regards amusés du couple fou. Elle vida le verre sans broncher. Son cerveau ne semblait plus fonctionner. Elle ne gouta pas plus la déjection de Dobson qu’elle la senti. Il l’avait brisée psychologiquement. Elle n’habitait plus son corps. L’énormité de son geste s’inscrit néanmoins dans son esprit d’une manière telle qu’elle ne put plus jamais fréquenter une toilette publique et resta allergique à l’odeur de l’urine.

Elle réprima une forte nausée et repris son travail sans dire un mot. Dobson sorti en ricanant une bouteille de whisky bon marché et en pris une longue gorgée. Il s’approcha de Catherine, la prit par la taille et fit mine de l’embrasser.

-Beuuurk! Tu pus de la gueule.

Il tira la tête de Catherine vers l’arrière et versa une bonne rasade de whisky directement dans sa gorge. Frapper par la force du breuvage, le jeune femme s’étouffa et régurgitât une partie du liquide, puis elle tomba à genoux. L’agrippant de nouveau par les cheveux, il tira la pauvre assistance encore au sol jusqu’à sa chambre.

-Moi et la Minette, on va faire une sieste.

Il lança Catherine sur le lit aux draps souillés. Celle-ci se roula instinctivement en boule. Dobson la rejoignit aussitôt et l’enlaça en cuillère. Il passa son bras gauche sous elle et agrippa un de ses seins. Il écart largement les jambes de la belle afin d’avoir un meilleur accès à sa féminité. Sans hésitation ou précautions, il enfouit maladroitement deux doigts dans sa chatte sèche. Il lui marmonnait des choses incompréhensibles dans l’oreille tout en lui léchant le cou. Ainsi immobilisée, Catherine se laissa aller. Après un moment, les maladroites manipulations de Dobson firent place à un ronflement sonore.

Catherine dormit d’un sommeil fiévreux où les images des ses tourments se bousculaient. Elle se réveilla en sursaut, une douleur cuisante lui déchirant les jambes. Elle était maintenant sur le dos, Dobson lui écartait les cuisses au maximum et frottait son pénis durci sur son sexe. Il l’empala sans avertissement, lui tirant un long râle de douleur que Dobson confondit avec du plaisir. Il se laissa tomber sur elle et approcha son visage tout près du sien.

-Tu jouis sale chienne.

-Ça t’as excité de nous voir baiser salope. Je sais que depuis que tu es arrivée que tu veux ma queue. Tiens! Prend là!

Sur ce, il donna un violent coup de bassin qui fit cogner la tête de Catherine contre le mur.

Il s’écrasa de tous son poids sur sa proie. Il la baisa ainsi, lentement et longuement. Sa langue envahissait la bouche de Catherine. Elle avait du mal à respirer coincée sous l’imposant mâle. Ainsi écartelée, ses cuisses étaient douloureuses, ses jambes tremblantes. À chaque fois qu’elle tentait de les baisser, Dobson les relevait violemment. Bientôt, des crampes commencèrent à torturer Catherine. Elle gesticulait pour échapper à la douleur, mais elle restait toujours bloquée sous la masse de l’homme qui voyait dans ces mouvements involontaires des signes de jouissance.

Catherine s’abandonna à nouveau. Elle repris conscience au moment où Dobson, dégoulinant de sueur, se vidait en elle. Ses grognements cessèrent et il s’écrasa de tout son poids sur Catherine. Rapidement, il se mit à ronfler.

Catherine ne su jamais vraiment combien de temps elle resta au lit, mais quand Dobson la libéra, elle dû rapidement reprendre ses tâches ménagères. Les cuisses et la chatte collés de foutre, elle du récurer la salle de bain du couple et laver à la main les sous vêtements tachées de Mélanie et de Dobson.

Elle travaillait en silence quand Dobson s’approcha d’elle.

-Viens la Minette, il te reste un travail à faire et il est presque 3 heures.

Ces mots résonnèrent comme un coup de tonnerre. Pour la première fois depuis le matin, Catherine pris conscience que son tourment aurait peut-être une fin. Elle repris espoir.

Dobson la pris par les épaules et la tourna face à la table. Les yeux de Catherine s’ouvrirent au point de sortir de leurs orbites. Le formulaire de libération des enfants était proprement ouvert à la page de la signature, un stylo posé à sa gauche. Les battements de cœur de l’assistante sociale s’accélérèrent. Au moins, elle aura réussi à sauver les enfants.

L’homme la pris doucement par la taille. Son pénis de nouveau en érection faisait pression dans son dos. Il lui glissa à l’oreille.

-Un dernier coup pour la route Minette. Penche toi sur la table et écartes les jambes.

Catherine obéit doucement. Les seins écrasés sur la table collante, elle écarta les jambes. Son vagin obstinément sec fut de nouveau envahie par ce sexe tant haie. La position était inconfortable, mais Dobson la limait en douceur.

Soudainement, Catherine senti un gel froid et visqueux se répandre entre ses fesses. Du pouce, Dobson se mit à étendre le gel sur son anus. Les sens soudainement en alerte, elle comprit bien vite où il voulait en venir.

La sodomie avait toujours été son ultime tabou. Elle n’avait jamais accepté de caresses anales. Elle avait toujours été claire avec ses partenaires. Son anus était interdit. Son plus grand cauchemar était que son amant la pénètre accidentellement. C’est pourquoi elle n’avait jamais été à l’aise avec la levrette et les positions où l’homme se retrouvait derrière elle.

Catherine se mit à se débattre furieusement. Dobson faillit perdre l’équilibre. Il attrapa les poignets de la belle et les ramena brutalement derrière son dos.

-Mélo, aide moi

Mélanie s’avança et mis tout son poids sur les épaules de Catherine, la clouant littéralement à la table, pendant que son mari lui attachait les poignets. Après s’être débattu avec l’énergie du désespoir, Catherine se mis à sangloter, puis à pleurer. Dobson lui assena 4 magistrales claques sur les fesses et il plaça son gland directement sur l’anus vierge.

-Vas-y doucement Ré, la petite a peur.

La voix de Mélanie se voulait réconfortante. Les quelques fois où son mari l’avait enculée, elle avait toujours ressentit beaucoup de douleur. Rien n’y fit, Dobson poussa avec force, mais l’entrée était difficile à pénétrer. Il dû se reprendre à trois reprises avant de faire passer la couronne de son glands dans l’œillet de Catherine.

-AAAAAAAAAH!!!!!!

Le crie strident fit trembler les murs. Dobsons s’enfonça profondément en elle et sans dire un mot. Il commença à pistonner sans ménagement son anus vierge.

– NON!!! NON!!! PAS CA!

-Tu croyais t’en tirer si facilement?

-AAAAH!

-D’habitude, j’aime pas trop l’enculade, mais tu as tout un cul la Minette.

-PITIÉ! J’en peu plus!

-Ta gueule.

-ARRETEZ! Je vous en pris!

-T’as vraiment le boyau serré toi.

– SVP!

– J’ai dit TA GUEULE! Prends ma queue et arrête de te lamenter salope.

-AAAHHHHH!!!

-Quand je pense que je t’ai graissé le cul. J’aurais dû te casser l’anneau à sec.

Le reste des supplications de l’assistante sociale se perdirent dans ses pleurs. Le formulaire d’abandon était trempé de larmes et de salive. Dobson était sans merci et cognait de plus en plus durement sur le cul de la pauvre femme dont le ventre frappait le bord de la table à chaque fois. Dobson se retira complètement à plusieurs reprises pour replonger au plus profond de Catherine en grognant. Une fois les couilles vidées, il repoussa Mélanie et s’écrasa de touts son long sur la femme sanglotante. Il pris le stylo et signa le formulaire.

*******

ÉPILOGUE

Catherine ne su jamais très bien comment elle s’était retrouvée dans sa voiture. Quand les policiers l’on trouvée, elle était simplement vêtu d’une vielle chemise de nuit sale. Elle dû être interner pendant un an et ne repris jamais son travail.

Quelques semaines après les événements, l’enquête policière aboutie à l’arrestation de Dobson. Après un dur procès marqué par les confessions de Mélanie et le témoignage troublant de Catherine, il fut condamné à 15 ans de prison pour chantage, viol et séquestration. À la sortie du palais de justice, Dobson croisa sa victime devant l’ascenseur. Il la regarda droit dans les yeux et lui dit :

-J’aurais jamais cru que tu boirais ma pisse. Tu es vraiment un bon coup la Minette.

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