La soumission
Deux semaine passèrent sans que Eric eut le moindre désir sur ma personne. Un consortium japonais désirait travailler avec nous, et je fis tout mon possible pour remporter le contrat. Je ne sais si se fut grâce à mon intelligence, ou bien à mes tenus sexy, mais on gagna le contrat.
Eric décida de nous inviter tous dans un hôtel particulier afin de fêter cela. En voyant ses yeux briller, lorsqu’il discutait avec le patron japonais, je devinais que j’allais être la cerise sur le gâteau. Il me demanda d’appeler Jeff, afin qu’il participe à la fête. Ce fut Eric qui lui donna l’adresse de l’hôtel. Je ne savait pas où il pouvait bien se trouver.
Une fois assise dans sa voiture, les jambes suffisamment hautes pour qu’ils ne perdent pas une miette de mes charmes, il sortit un foulard de sa poche et me banda les yeux. La voiture démarra, moi dans l’inconnu totale.
Une fois à destination, on m’aida à descendre et on me guida dans uns hall. J’entendis Eric parler en Anglais avec quelqu’un et une main plus puissante me pris par la main. On monta dans un ascenseur et on finit par entrer dans une pièce. Je me laissais faire, excitée par la suite des événements. Je n’aurais jamais été aussi consentante il y a trois mois de cela, mais depuis ma rencontre avec Eric, je me pliais à tous ses caprices sachant que j’allais tirer un maximum de plaisir.
L’homme aux mains puissantes commença à me dévêtir. Je sentais que nous n’étions pas seuls dans la pièce. Je sentais des yeux sur ma peau nue. Il ne me laissa que mes bas et mon porte-jarretelles. Il m’aida ensuite à grimper sur une sorte de grande table basse et me fit allonger sur le dos. Il plaça mes mains en arrières et les entrava dans des sangles. Il en fit de même avec mes chevilles. J’étais écartelée, offerte aux personnes présentes dans la pièce. Mon intimité n’avait plus de secret pour eux. Il y avait trois voix distinct dans la pièce, parlant le japonais. J’entendais la voix d’Eric dans une pièce à côté. Un bruit de tissus me fit comprendre que quelqu’un d’autre se déshabillait. Je sentis la table sous moi qui commençait à tourner. Bien que la température fut élevée, je tremblais, plus d’excitation que de froid. Je sentais mes liqueurs perler à la sortie de mon sexe. La pointe de mes seins dardait, lançant leur pointe vers le plafond.
J’entendis mon mari saluer Eric et la personne qui se trouvait avec eux. Ce devait être le patron de la société japonaise. Je ne compris pas se que voulait dire mon patron en parlant de « glace à la vanille » recouvert de « chocolat ». J’entendis frapper dans des mains et la table arrêta de bouger. La table trembla comme ci quelqu’un s’était assis dessus. Je fus prise d’appréhension et cherchais à me dégager des sangles. Je reconnus la main de la personne qui m’avait conduite, déshabillée et attachée. Cette main se posa sur ma poitrine et pinça mes mamelon. Je gémis aussitôt. Une bouche vorace s’attaqua ensuite à eux. Je gémissais de plus en plus. J’entendis les personnes dans la pièce qui râlaient un peu. Mon partenaire se déplaça sans abandonner ma poitrine. Il me lécha l’oreille droite ce qui me fit frissonner et lentement l’une des main glissa vers mon entre cuisse. Je devait sûrement me trouver face au trois hommes. Deux doigts écartèrent mes lèvres intimes humides, dévoilant ainsi mes charmes et mon excitation. Je sentis glisser contre moi visage quelque chose que je connaissais très bien. C’était un phallus en mi érection, mais déjà d’une taille impressionnante. Je voulais en savoir plus, le toucher pour l’apprécier un peu plus. Je lui demandais de libérer au moins l’une de mes mains afin que je puisse le caresser. Il ne m’écouta pas continuant à me taquiner la vulve, ce qui commença à me rapprocher de l’orgasme.
Il dut le ressentir car il arrêta sa torture. Une plainte profonde sortit de ma gorge. Je revivais ma première aventure avec Eric et mon mari. Je sentais, pendant ce temps là, son pénis prendre plus de puissance et je me doutais que sa taille devait être impressionnante.
Il ne pouvait me laisser ainsi sur ma faim. Je me tordais sur la table espérant ma libérer afin de calmer le feu entre mes jambes. Je le suppliais de revenir, de me prendre. J’utilisais des mots de véritable nymphomane en chaleur, chose que j’étais devenue.
Pour mon plus grand soulagement, je sentis un corps musclé entre mes jambes écartelées. Il repris sa caresse mais cet fois avec le bout de son pénis. Ma liqueur devait lubrifier son sexe puissant. Il ne fallait pas qu’il ne tarde, j’étais on ne peut plus prête. Il le savait et il libéra mes chevilles.
Aussitôt, je les précipitais dans son dos, les croisant sur ses hanches. Il plaça ses main sous mes fesses et commença à faire pénétrer son énorme sexe en moi.
Pendant qu’il m’embrochait, je criais de douleurs et de désirs. Le sexe entrait lentement en moi déchirant mes chairs intimes. Ce ne pouvait être qu’un noir pour être aussi bien monté. Je compris alors les paroles d’Eric. Je travaillais des jambes afin de l’emmener le plus loin au fond de moi. J’étais à la limite de l’orgasme et je hurlais de plus en plus. Jamais dans mes fantasmes les plus fous, je n’avais imaginé être prise par un inconnu, les yeux bandées.
Il commença alors son travail de va et vient entre mes cuisses. J’essayais tant bien que mal, malgré mes poignées toujours entravés, à précipiter mon bassin à sa rencontre. Je n’étais plus que stupre et désir sexuelle. Je criais, je hurlais. J’eus deux violents orgasmes, mais continuais à en vouloir plus. Son sexe me tourmentais, mon clitoris, bandant, était soumis à rude épreuve à chaque fois que son scrotum le touchait.
Je sentis qu’il allait venir. Je le suppliais de m’inonder la chatte. Il ne m’écouta pas. Il sortit son engin et cracha son sperme sur mon corps, mon ventre, mes seins. Malgré cela j’eus quand même mon troisième orgasme de la soirée. J’entendis des applaudissements. Pendant que j’essayais de récupérer de mon étreinte de folie, je fus enfin libérer. Retirant le bandeau, je découvrais enfin mon amant. C’était un superbe noir, musclé avec un sexe énorme bien qu’au repos. Je découvris aussi les autres personne ainsi que mon mari dans la pièce à côté.
Mon amant s’empara de moi et me souleva de la table dans ses bras. Instinctivement, je l’embrassais sur la bouche pour le remercier. Il m’emmena dans la salle de bain afin que je fasse un brin de toilette. Je me lavais encore tremblante de mon étreinte.
Lorsque je ressortis, je constatais que mon mari était parti. J’étais encore nue et toutes les autres personnes étaient encore là discutant entre elle. Le noir était également nu. Je m’approchais de lui, m’agenouillais et lui prodiguais une fellation d’enfer. Je ne voulais pas que la soirée se termine comme cela, et je fis signe aux autres d’approcher. Je les masturbais, les léchais et les suçais un à un recueillant le résultat de mon travail dans ma bouche et sur mon corps. J’avais envi à nouveau du sexe noir en moi. Je ne suppliais pas longtemps pour qu’il me reprenne à nouveau. C’était divin et j’en rêverais longtemps. Eric ne pouvait être que satisfait de moi. Il me fit d’ailleurs l’amour une fois que tout le monde fut parti et après un brin de toilette, il me laissa rentrer à la maison me promettant de me donner l’adresse de l’athlète noir. Je fus soulagée de voir que mon mari dormait à poing fermé. Je n’aurais pas eu le courage de remettre ça. J’étais repus, comblée et tous mes membres, surtout mon vagin, me faisaient mal.
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