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Belle mère, 3° partie

Belle mère, 3° partie



L’automne venu, Michel est mort, emporté par une soudaine crise cardiaque au moment où il a joui dans la bouche de Rose, après deux mois de frustration dans une cage pénienne. Le médecin a diagnostiqué une épectase, c’est-à-dire le décès pendant l’acte sexuel. Il est parti heureux, enterré nu avec son habituelle prison d’inox autour de son sexe. Claire et moi sommes allés assister à ses obsèques pendant les vacances de Toussaint.

Rose était profondément malheureuse d’avoir perdu son soumis chéri. Ma douce compagne et moi l’avons consolée comme nous avons pu, c’est-à-dire à grands coups de bite et de gode-ceinture – Claire ne quittait quasiment plus jamais la sienne. Nous avons même copulé au funérarium, puis au cimetière, sur la tombe de mon beau-père, sous la pleine Lune. L’air était doux. C’était hautement romantique. Mais ensuite, il nous a fallu rentrer chez nous, car le travail nous attendait. Rose a tenu à nous accompagner, avec force promesses de tenir notre appartement d’une manière impeccable, et d’être une fée du logis en plus de se tenir sexuellement à disposition de notre couple. Pourquoi pas ?

Elle s’est donc installée dans la chambre d’amis, et nous préparait, nue sous son tablier de cuisine, de bons petits plats que nous trouvions tout fumants le soir, en rentant. Claire, en apercevant son joli cul de cochonne, la coinçait souvent contre l’évier et la sodomisait avec son gode. Ou bien, c’était moi qui procédais ainsi, avec mon engin naturel. Il fallait juste retirer les boules de Geisha vibrantes qu’elle gardait à longueur de journée.

Un soir, Rose a troqué son tablier contre une robe de chambre afin de ne pas trop se faire remarquer dans la rue en marchant jusqu’à la voiture. Nous sommes allés, comme chaque semaine, au manoir du Faune Noir, et, pour la première fois, ma belle-mère nous accompagnait.

Le Faune Noir était un étonnant personnage qui donnait de fabuleuses soirées dans le sous-sol de son habitation située en rase campagne. Extérieurement, la bâtisse était lugubre, comme si elle était abandonnée, avec un jardin couvert de ronces et d’orties. Mais à l’intérieur, les décorations étaient de toute splendeur, en particulier le sous-sol dont le haut plafond était peint comme à Versailles, mais avec des sujets nettement plus libertins, voire obscènes. Des statues d’albâtre aux poses lubriques signalaient l’entrée de l’escalier qui descendait vers le lieu de la réception.
Notre hôte, comme à l’accoutumée, était vêtu d’un justaucorps et de bottes, tout de cuir, de la couleur qui justifiait son pseudonyme. Il était en outre masqué – nous n’avons jamais vu son visage. Ses vêtements ne laissaient voir que ses yeux, sa bouche et son sexe, car le pantalon était fendu à l’entrejambe. Le gaillard mesurait bien deux mètres, avec des muscles à l’avenant et des génitoires très grand format. Nous ne l’avons jamais vu autrement qu’en pleine érection, le gland sphérique comme un boulet de canon dégoulinant de rosée et tourné vers son plafond artistique. Voilà pourquoi il se faisait nommer le Faune Noir. Mais, comme tous ses invités, nous l’appelions Maître, tout simplement.
Il prétendait être âgé de plus de deux mille ans, et avoir connu personnellement Jésus afin de le tenter, au désert. Car il se disait une incarnation du Diable. Son rire était aussi énorme que son sexe. Chez lui, le champagne coulait à flots. Mais si nous nous grisions volontiers, il valait mieux éviter de trop s’enivrer afin de profiter pleinement de la partie fine. Pas d’électricité : tout était éclairé à la bougie. De toute manière, nous n’étions pas venus là pour recharger nos téléphones, mais pour d’autres genres de branchements nettement plus charnels.

Parfois, il réalisait d’authentiques miracles. Je me souviens d’une femme mûre qui avait une grosse tumeur à l’intérieur d’un sein. Elle avait des métastases partout et les médecins avaient renoncé à la soigner en lui avouant que son cas était incurable. Le Faune Noir l’a allongée sur son autel – un authentique autel d’église, en pierre blanche, ancien et très décoré, qu’il avait acheté à un curé. Il a prononcé des phrases dans une langue étrange et ses yeux se sont mis à briller de rouge. Il l’a pénétrée en vaginal, puis en anal, très profondément. Elle a joui d’une manière tellement intense qu’elle est entrée en transe, après avoir poussé des hurlements. Puis elle s’est évanouie. Le lendemain, la boule avait disparu. Elle était guérie. Elle est d’ailleurs toujours en vie. C’était environ un an auparavant.

Le Faune Noir n’acceptait jamais de cadeaux pour les services qu’il rendait. Seul l’intéressait le corps des femmes ; c’était pour lui une véritable passion. La semaine suivante, la femme qu’il avait guérie était venue accompagnée de sa fille de dix-huit ans, prénommée Lisa. Celle-ci était pucelle et acceptait de perdre son pucelage entre les bras du Faune Noir, afin de le remercier d’avoir sauvé sa maman. Mais, une fois nue, allongée sur l’autel et à la croisée des regards d’une vingtaine d’invités, dont Claire et moi, la jeune fille qu’aucun garçon n’avait jamais touchée tremblait comme une feuille aux vents d’automne. Elle trouvait la bite du Faune vraiment gigantesque pour sa petite chatte vierge surmontée de quelques poils bruns. Mais notre Lucifer s’est abondamment lubrifié, et il a défoncé l’abricot sans difficulté.

Quelques gouttes de sang ont coulé sur la surface blanche de l’autel. On voyait le sceptre déformer le ventre à chaque coup de boutoir. Quand il a éjaculé en poussant un hurlement de loup, le foutre débordait du vagin jusqu’à ruisseler sur l’autel. Devant lui, le Christ en bois verni, grandeur nature nous regardait en souriant depuis sa croix. Contrairement à ce que l’on voit dans la plupart des églises normales, il n’était pas vêtu d’un page, et bandait autant que notre ami le Faune Noir. La mère de Lise, celle qui venait de retrouver la santé, assistait à la scène pendant que je lui pelotais les seins et que Claire lui fourrait ses doigts dans la fente.

Revenons à Rose, qui pour la première fois entrait dans le manoir du Faune Noir. Pour l’occasion, nous l’avons couverte de lourdes chaînes : des fers entravaient ses chevilles, ses poignets et son cou, reliés entre eux d’une manière qui l’obligeait à marcher à petits pas et courbée en avant. Sur notre ordre, elle s’est humblement agenouillée devant le Maître et lui a bécoté les bottes. Il lui a demandé ce qu’elle désirait le plus au monde, et elle a répondu qu’elle voulait revoir son mari Michel, qu’elle l’avait toujours aimé malgré les sévices sexuels qu’elle n’avait pas cessé de lui faire subir, qu’elle regrattait de n’avoir pas su ménager le pauvre cœur fragile de son chéri, et qu’elle était prête à tout pour qu’il ressuscite. Pendant qu’elle parlait, Claire et moi avons défait les chaînes d’acier.

Le Faune Noir s’est contenté de l’att****r par les hanches, comme si elle ne pesait rien au lieu de soixante-dix kilos, afin de la poser délicatement sur l’autel, à genoux et penchée en avant, avant de l’enculer d’un grand coup de bite. Rose a poussé un Ha ! de surprise – Mesdames, vous n’en diriez pas moins en recevant ce diabolique hommage – elle avait le troufignon tout écartelé à cause de l’épaisseur du cylindre qui la transperçait. Elle était proche de l’orgasme anal quand notre hôte a changé d’avis en faveur de l’irrumation : il a inséré son braquemart droit dans la gorge de ma belle-mère qui, malgré les haut-le-cœur, s’appliquait à prodiguer la fellation du mieux qu’elle pouvait, avant de boire le sperme qui jaillissait avec l’abondance d’une source vive.

Ensuite, Rose a été mise à la disposition des invités. Chacun ainsi que chacune, car il se trouvait des lesbiennes et des bisexuelles parmi l’assemblée, a pu profiter des charmes et des rondeurs de notre fleur coquine et hautement cochonne. Enfin, le Faune a de nouveau attrapé Rose par les hanches afin de l’empaler sur le vit toujours dur du Ressuscité en bois vernis. Avec des la corde, il lui a attaché les pieds sur le stripes vertical et les poignets sur le patibulum horizontal, comme une vraie crucifiée. Il lui a posé une couronne de glaïeuls noirs sur la tête, afin de parfaire le résultat qui était saisissant de splendeur. Nous étions tous émerveillés par la beauté de Rose dans cette posture, certes inconfortable pour elle, mais tellement excitante que le Faune s’est agenouillé devant elle et lui a baisé les pieds entravés. Nous tous l’avons imité, chacun à notre tour. Elle était, incontestablement, la reine de la soirée.

La suite s’est déroulée comme d’habitude, c’est-à-dire dans des flots de sperme et de mouille, jusqu’au petit matin. Le Faune Noir nous a paru encore plus en forme que d’habitude, comme s’il venait de réaliser un nouvel exploit. Puis nous sommes rentrés chez nous, épuisés et en quête d’un bon lit. Surtout Rose, qui n’en pouvait plus de jouir sur la croix ; elle n’avait plus de voix à force de crier sa volupté.

Complètement nu, assis sur le canapé en train de se branler et de regarder du porno sur XHamster à l’aide de son téléphone, Michel nous attendait, comme si rien ne lui était arrivé. Il avait enfin réussi à se débarrasser de sa cage pénienne.

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