Le passage
Ma femme et moi sommes mariés depuis plus de 10 ans, après des péripéties, elle a pris en main ma sexualité, c’est elle qui décide quand je peux jouir et comment je le fais. Notre sexualité est riche de diversité, je la fais jouir avec mes doigts, ma langue ou mon sexe et de son côté sa bouche, ses mains ou son gode ceinture me procurent ma jouissance mais c’est elle qui décide…
Elle jouit régulièrement mais quand à moi, elle peut me donner une jouissance quotidienne comme me faire attendre plusieurs semaines, ce qui me rend très attentif à elle et son plaisir, son plus grand jeu est de m’amener au bord de la jouissance et de me laisser en rade pour la nuit…..Frustré de ma jouissance, je me colle à elle et m’endors nu, le sexe en érection.
Soumis à elle, je lui donne ma fidélité et ma sexualité mais la laisse libre d’avoir des aventures si elle me les raconte, elle n’avait pas encore franchi le pas.
Dernièrement, elle a dû partir une semaine en déplacement pour une formation dans le cadre de son boulot, avant de partir, elle m’a fait mettre ma cage de chasteté. Je la porte à chaque fois qu’elle sort avec ses copines mais jusqu’à présent, je ne l’avais jamais portée une semaine entière.
Equipé de la sorte, elle est sûre que je ne me livrerai pas à la masturbation et je lui garderai toute ma jouissance pour son retour.
Le dimanche soir, elle me branla et me fis jouir sur ses seins, je la léchais avec application pour la nettoyer de ma semence en lui répétant encore une fois que si elle avait l’occasion de prendre du plaisir pendant sa formation, qu’elle ne se gêne pas.
Le lundi soir, elle me raconta sa journée remplie de formation en insistant fortement sur le contenu fourni de travail à fournir……
Le mardi soir, elle n’avait pas beaucoup de temps à me consacrer, le groupe avait prévu d’aller boire un verre dans un bar branché, je l’ai titillé en lui demandant s’il y avait un gars à son goût, elle n’était pas là pour cela, le boulot avant tout….
La soirée du mardi s’était prolongée très tard, elle avait sympathisé avec un collègue au cours de la soirée, le mercredi en sortant de formation, elle avait eu peu de temps à me consacrer, son collègue et elle devait se faire un resto pour discuter boulot. Je la sentais bien branchée par ce collègue, mon sexe emprisonné dans ma cage gonflait et la remplissait au maximum mais sans pouvoir bander.
Excité par cette situation, je lui ai suggéré d’en profiter mais elle n’en était pas là. Je l’ai alors mis au défi de sortir sans culotte et sans soutien-gorge, nue sous sa robe, pour m’exciter et par défi.
Elle me répondit que c’était n’importe quoi et elle rigola en disant que j’étais bête.
Je me suis endormi le soir avec plein d’images de ma femme faisant l’amour avec un inconnu, pendant que moi, je devais attendre son retour.
Le jeudi matin, sa voie était douce et calme, elle me raconta sa soirée commencée par un resto et continuée dans un bar très fréquenté. Comme je lui avais demandé, elle avait passé la soirée nue sous sa robe, au restaurant, cela était passé inaperçu mais au bar, pour trouver une place, il avait fallu fendre la foule et son collègue l’avait pris par les épaule puis sa main avait glissé sur ses hanches. Son sourire lui avait fait comprendre qu’il avait remarqué l’absence de sous-vêtements, ce qu’il avait pris pour une autorisation à aller plus loin.
Assis au bar, au 2ème verre, la main de son collègue s’était posée sur sa cuisse et dans l’ambiance était remonté doucement sous sa robe. Ne voulant pas se faire remarquer, elle ne dit rien, regardant juste inquiète si personne ne les observait.
Dans la semi obscurité et le bruit, personne ne faisait attention à eux, le bout des doigts atteindre son pubis rasé, son collègue sourit en portant un toast. En buvant son verre, elle sentit un doigt arriver sur sa fente trempée d’inquiétude, d’appréhension et d’excitation devant la situation. Sans réfléchir, elle écarta les jambes pour lui faciliter l’accès. Ses seins pointaient sous sa robe, le doigt passait le long de sa fente trempée de désir.
La soirée dans le bar n’alla pas plus loin, ils rentrèrent se coucher tous les deux, avant de se séparer. Il l’embrassa à pleine bouche en lui caressant les fesses sous sa robe. Il lui donna rendez-vous le lendemain avec la même robe mais pour boire un verre dans sa chambre.
A l’évocation de son récit, ma queue cherchait à exploser ma cage mais celle-ci tenait bon. Ma femme semblait avoir honte de sa conduite mais je la sentais prête à franchir le pas avec mon accord.
La journée fut longue.
Le jeudi soir, le téléphone sonna, d’une voix calme elle me dit :
– Chéri, c’est moi, je suis dans sa chambre, nue sur son lit. Lui aussi est nu, il bande et aimerait mettre son sexe dans le mien, es tu d’accord….
– …..
J’en restais muet, mon sexe pris toute la place dans sa prison. Et me reposa la question
– Chéri, es tu d’accord pour qu’il mette son sexe dans le mien, je suis à quatre patte sur son lit, il attend ta réponse….
– Euh……oui !
D’une voix presque inaudible, j’avais répondu.
– Je sens son gland qui frotte ma fente, hum…. c’est bon, il va me la mettre….
– Ca rentre mon chéri, ta femme se fait mettre par une autre queue que la tienne….
Ses gémissements entrecoupaient ses phrases, ma femme me faisait cocu en direct.
– Ca y est, elle est complètement entrée, je la sens bien, elle me remplit.
– Ouh, c’est bon quand elle passe, tu aimes mon chéri ?
L’audace de ma femme et mon excitation me rendaient aphone.
– Il n’a pas mis de capote, tu veux qu’il se vide en moi ou qu’il sorte ? Hum, c’est bon…..
– En toi ma chéri, en toi….
Ma réponse était sortie naturellement, au rythme des gémissements de ma femme.
J’entendis sa jouissance suivi de celle de son amant.
– Ca y est, il m’a rempli, tu es heureux mon chéri ?
Je ne répondis pas….
– La prochaine fois, j’aimerais que tu sois la….
– …..
– que tu nous regardes,
– …..
– que tu amènes toi-même son sexe dans ma fente
– ….
– Que tu lèches tout le sperme qui souille ma chatte
– ….
– Tu veux bien mon chéri ?
– Oui
Ma femme m’avait offert mon fantasme, je l’aimais plus que tout…
A suivre….
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