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Sandra

Sandra



Sandra et moi avons été plus ou moins proches, mais toujours bons amis. Entre nous la question des sentiments s’était posée mais rien n’était venu. Je n’ai donc jamais véritablement posé mon regard sur elle, préférant son rire et ses blagues à son corps. Du reste, elle n’avait rien de particulier, me semblait-il.

Elle a 35 ans et est toujours célibataire. De longue date. Elle n’est pas vraiment très belle mais peut se montrer toute mimi et j’ai toujours trouvé dommage qu’elle ne se case pas. Je vis seul aussi mais notre amitié nous empêchait de considérer un plan cul, et donc la pauvre petite était vraiment en manque. Elle s’était mise sur un site de rencontres, mais rien n’y a fait : soit elle rencontrait des hommes à moitié tarés et de toutes façon trop laids, trop louches, ou bien elle ne recevait aucun message, pendant des semaines entières.

Un soir de déprime, elle vint prendre l’apéro. Elle qui ne buvait jamais, elle se laissa aller à un peu de champagne. Les vapeurs aidant, nous parlâmes chiffons mais très vite j’entamai la question de sa recherche du mâle parfait, et elle accepta d’en parler. Un second verre et la petite Sandra était tout à fait déridée et accepta même de me montrer sa page de profil.

Physiquement, elle ne doit pas faire plus d’un mètre 55. Un peu boulotte, mais pas trop, elle possède une poitrine assez grosse, un peu tombante semble-t-il, et de fortes jambes qu’elle met parfois en valeur avec des collants et une jupe. C’était le cas ce soir-là : gros pull blanc laissant deviner ses rondeurs, jupe et bottes hautes, ne laissant paraître que ses genoux et le bas de ses cuisses – assez pour attirer l’attention des hommes. Elle possède des cheveux très bruns mi-longs, une toute petite bouche pincée, et de beaux grands yeux noirs eux aussi qu’elle gâche parfois avec une frange tombante.

Mais ce n’est pas ce que je vois sur son profil. La pauvre ne montre que son visage, avec un rictus forcé, le front bien trop surexposé, le regard de travers. Je n’ose pas lui dire mais elle n’est pas du tout mise en valeur. Je la regarde brièvement, en me mettant dans la peau d’un homme qui voudrait la draguer : au naturel, à côté de moi, elle est dix fois plus jolie.

Côté texte, elle est sur la défensive. Elle se sait banale, et ne le cache pas, cependant je la trouve un peu trop humble.

– Tu as mis « forte / très forte » ? lui dis-je

– Regarde-moi, je fais cent trente kilos !

Je ris, mais pas elle. Non, elle doit faire dans les 70/72, soit trop pour sa taille, mais elle est loin d’être obèse? Elle a juste des cuisses bien rondes, ce que certains hommes aiment, de larges épaules, là aussi ça peut plaire, de belles hanches – ça revient à la mode, et un peu de ventre mais rien de moche. Et des seins lourds, ce qui est rarement boudé.

– Je t’en prie, mets « moyenne / ronde » si tu veux mais pas « très forte ».

– Tu es sûr ? Je ne veux pas que les hommes soient déçus au premier regard.

– D’abord, tu ne dirais que la vérité, et ensuite, tu n’as jamais été déçue par les mecs, toi ?

Elle acquiesce en silence, étouffant un rire intérieur. Si, elle a dû en voir des vertes et des pas mûres. Les filles pas très belles attirent souvent les morts-de-faim, et comme eux aussi parfois trichent un peu sur leurs profils…

Ma petite Sandra, elle mérite quelqu’un de bien. Pas forcément un play-boy mais un homme beau à ses yeux. Evidemment je ne rentre pas en ligne de compte, étant moi-même dôté d’un physique très passe-partout.

– Tu dois absolument refaire tes photos, refaire celle du profil et en rajouter d’autres, te mettre en valeur.

– Je ne crois pas… je suis pas…

Je lui prends le poignet fermement, puis beaucoup plus doucement. La douceur de sa peau m’a pris par surprise.

– Tu mérites bien mieux que ça. Tiens !

Je fais un L avec mon pouce et mon index de chaque main et les joins, créant un cadre photo de fortune, et je cible son visage. Elle reste impassible, sérieuse, pendant quelques secondes où elle est plutôt jolie, mais sans plus. Puis elle éclate de rire.

– Et clac ! fais-je. Là, c’était bien !

Elle remet ses cheveux en arrière tout en me regardant.

– Re-clac ! Là tu mets une photo comme ça et je te parie que tu trouves Bradley Cooper en 5 jours.

– Mais je suis pas faite pour poser…

– On est tous faits pour poser. Allez, debout !

– Quoi, maintenant ?

– Comme ça ce sera fait, et puis si des photos sont ratées moi j’aurai le courage de te le dire.

Elle hésite mais semble presque soulagée, comme si c’était le genre de coup de main dont elle avait besoin sans avoir le courage de demander.

– En plus, tu es toute jolie aujourd’hui avec ta minijupe.

Elle rougit.

– Elle te plait ?

– Ca te va très bien. Tu mets tes jambes en valeur, parfait, il faut. Tu vas donner envie à plein de mecs.

– Attends, tu prendras mon corps aussi ?

– Crois-moi, si tu en montres un peu plus, tu n’auras que l’embarras du choix.

– Mais ça fait pas un peu……

Le mot reste bloqué dans sa glotte. Je ne réponds pas et sors mon appareil photo. Je la cadre. Elle me regarde fixement d’un oeil qui se veut coquin mais est un peu torve. Je fais semblant d’appuyer et lorsque son visage se détend, je prends la photo.

– Eh !

– Tu étais parfaite là.

– Je crois pas non, je souris bêtement !

– Viens voir !

Je m’approche d’elle et colle ma joue contre la sienne pour lui montrer la photo dans mon tout petit viseur. Elle y a un visage doux, assez lumineux, charmante et toute fraîche.

– Tu vois, tu es très bien comme ça !

Elle se retire doucement et je me rends compte que ça me manque déjà, que j’étais très bien contre elle, son épaule large diffusant une douce chaleur contre mes biceps, et ses cheveux caressant ma joue.

– Tu… on va en refaire une autre. Allons dans ma chambre, la lumière est meilleure.

Nous entrons dans ma chambre de célibataire avec un grand lit, pour une fois pas trop mal fait. Elle se met à genoux dessus comme si elle avait capté de suite le meilleur endroit où prendre la lumière. Je remarque que malgré leur noir corbeau, ses cheveux ont quelques reflets roux très subtils lorsqu’elle est de profil.
– Reste là et tourne-toi vers moi.

– Je vais pas faire ma starlette !

– Fais-moi confiance.

Elle tourne la tête et je capte non seulement les reflets, mais aussi ceux de ses lèvres. Elle ne sont pas vraiment inoubliables, ces lèvres, mais d’un seul coup elles brillent et illuminent son pâle visage. Comme je suis presque dans son dos, elle doit tourner les yeux pour me voir et leur blanc magnifique rejaillit dans mon objectif. De jolis yeux en fait. Beaucoup plus grands que je pensais.

– Très bien, très très bien. Mets ton bras sur ta hanche.

Elle s’exécute en souriant. Belle photo.

– Bien, maintenant de face, tu vas croiser tes bras et mettre ton index sur ta bouche.

– Ca fait cliché non ?

– Ca fait joli surtout. Allez !

Elle le fait mais je sens qu’elle n’est pas à l’aise.

– Remonte un peu ta poitrine avec tes bras, avec ton pull ça fait de jolies rondeurs. Tiens, remonte-le assez pour qu’on voie un peu ta taille.

– Ca ne va pas ? Mon gros ventre, où tu vas là ?

– Déjà il n’est pas gros, et je te jure que ça va faire très beau.

Effectivement, elle me montre deux centimètres de peau et ainsi son ventre ne fait pas du tout rond. Je me rends compte qu’il n’est pas flasque non plus, ce que je pensais pourtant.

– C’est adorable.

Je prends quelques photos et oui, cette toute petite bande de peau nue est très excitante. Surtout que ses deux seins, gros et un peu tombants, sont ici réhaussés. Ca fait un peu oublier ses joues creuses et cette fois ce n’est pas son visage, mais son corps qui est tout à fait charmant. Je me recule un peu pour capter en même temps sa jupe et ses genoux. Elle a quand même de jolies cuisses. Des poteaux, comme on dit, mais moi j’aime les poteaux, surtout de ce genre-là.

J’essaie de ne pas y faire attention mais j’ai un début d’érection et j’espère qu’elle ne le voit pas.

– Tu es très bien comme ça. Les mecs vont se ruer sur toi.

– Tu parles.

– Tu es jolie Sandra, je te le dis, il faut juste le montrer un peu. Je te connais depuis longtemps maintenant, je te dis que tu es délicieuse.

Délicieuse, j’y ai peut-être été un peu fort ! Mais je ne regrette pas du tout ce mensonge, car elle en rougit, son corps se tord un peu, et elle en devient encore plus mignonne. Je capte la photo à la hâte de peur de perdre cette sensualité.

– Hmmmm très bien ! Très joli. Qu’est-ce que tu as en-dessous de ton pull ?

– Un chemisier blanc, pourquoi ? Tu ne veux pas retirer mon pull quand même ?

– Si. Et on va prendre les photos de l’autre côté. Ca fera un peu de diversité, ça donne l’impression que tu as fait plusieurs séances photos.

Elle fait la moue.

– Ouais, genre je suis un mannequin quoi !

– Et quel genre de fille attire le plus les mecs ?

Elle réfléchit en silence. Puis retire son pull, un peu maladroitement. Elle me montre du coup la moitié de son ventre, débraillée qu’elle est. Un ventre un petit peu mou, un peu rond, mais très acceptable. Quelques baisers dessus ne seraient pas désagréables du tout.
Elle remet ses cheveux en place, son chemisier, déboutonne le bouton du haut et met les deux mains sur ses cuisses. Un chemisier blanc, c’est typiquement la chose qui me fait craquer, même si je le trouve curieux, intriguant, sans vraiment comprendre pourquoi. Ma Sandra est très bien comme ça, elle va faire un carton si je réussis mes clichés.

– T’es top bébé !

Elle s’esclaffe, se plie en deux. Ce faisant, j’ai une vue imprenable sur une ouverture du chemisier laissant paraître le galbe de son sein droit. Vue imprenable mais je la prends quand même. Je m’arrête deux secondes pour vérifier ce dernier cliché. Très joli nichon, mademoiselle.

– Vraiment, on aurait dû faire ça plus tôt !

– Merci en tous cas, ça t’ennuie pas de faire ça ?

– Oh non, ça m’ennuie pas. Pas du tout, même.

Je la regarde à travers l’objectif, son sourire devenant plus doux, moins forcé.

– Pas du tout du tout du tout.

Elle lève les bras, les pose sur ses hanches, met ses fesses sur les talons pour mettre plus en valeur cuisses et genoux, et devient plus désirable à chaque cliché. Lorsqu’elle écarte les jambes, elle a beau être toute habillée et ne rien montrer, je sens que ma bite est gonflée à bloc. Elle regarde vers ma braguette… Oh oh, démasqué.

– Dis donc, c’est la joie de me voir là ?

– Je te l’ai dit que t’étais bien, désolé, je contrôle pas, fais pas attention.

Elle en rigole, un doigt entre les lèvres. Elle me regarde dans les yeux.

– Ca ne me gêne pas.

– De toutes façons on va arrêter là, tu as déjà des photos super, et un peu hot !

– Fais voir ?

Je me mets sur le lit et me colle à elle. Ma main effleure son gros sein gauche. Doux, chaud, rassurant.

– Eh je suis pas mal là !

– Je te l’ai dit ! Je serais un homme, là, j’aurais qu’une envie c’est te dévorer.

– Pourquoi, tu n’es pas un homme ?

Je ne réponds pas mais je sens que j’ai mal, que j’aurais bien besoin de dégrafer ma braguette. Je la dévore des yeux.

– Si tu retires les deux boutons du bas, tu peux faire une super photo avec ton nombril.

– Mais tu es obsédé par mon ventre toi !

– Non pas obsédé… mais bon, j’en connais plein qui aimeraient l’embrasser.

Son sourire est si doux qu’il me trouble. Elle retire les deux boutons délicatement en me regardant dans les yeux. Je n’en peux plus, j’ai un pylone dans mon slip. A la vue de son ventre, rond mais sûrement plus doux qu’une plume, la copine sympa est loin, je ne vois plus que la femme. Elle n’est toujours pas d’une beauté fatale, mais ma queue n’est pas d’accord avec ce point de vue.

– T’es vraiment top là, lève les bras ? Mets tes deux mains derrière ta nuque.

Elle sourit et dégrafe aussi un bouton du haut. Son décolleté apparait alors. Elle n’a pas les seins d’Ines Cudna mais la bougresse arrive à les mettre parfaitement en valeur. Je me demande jusqu’où cette hardiesse provient de l’alcool, ou plus pernicieusement de l’envie de m’exciter comme un taureau en rut.

– Wow…

Elle se penche vers moi. Ses deux seins retombent dans le chemisier et je comprends maintenant ce qui me tracassait : la démonesse n’a pas de soutien-gorge. Ses deux lourds nichons sont en parfaite liberté dans son chemisier et ça me rend encore plus fou.

– Je suis bien comme ça ?

– Délicieuse ma belle, délicieuse. Ils vont devenir cinglés en te voyant.

Elle se tourne de quart et cette fois un des seins se montre, presque dénudé. Elle le remarque et instinctivement met ses deux bras en croix dessus.

– Oh ne t’inquiète pas, on ne voyait pas. Tu étais très jolie comme ça tu sais.

– Mhhhh, tu es sûr ?

– Oui d’autant que là tu les fais grossir encore plus alors tu sais…

Elle regarde son décolleté et moi aussi. Superbe. Elle me donne tellement envie…

Son regard plonge dans le mien et son sourire s’écarte. Ses lèvres brillent. Elle redresse son buste et sort délicatement un sein du chemisier. Puis les deux mains posées à plat sur les cuisses, elle fixe l’objectif. Donc moi. Et je n’ai qu’une envie, c’est de prendre à deux mains ce sein en poire, à la mamelle large et au téton ardent.

– Putain…

Elle sourit. Sa main vient caresser le galbe de son sein, le soupeser, le réhausser un peu. Moi, je n’en peux plus, ma bite me fait mal, et ce qui me rend tout chose, c’est qu’au-delà de la fripponnerie de mon amie, qui me choque et me remplit de frissons, son sein droit est lui toujours caché dans le chemisier, dardé, le téton un peu durci, rendant les courbes de son torse phénoménalement bandantes.

– T’es belle, vraiment. J’en veux un peu plus, maintenant.

Elle ne dit rien, se contente de remonter un peu sa minijupe qui est désormais vraiment petite. Ses cuisses gainées sont ainsi plus grosses, plus visibles et plus désirables. Je suis sûr qu’elles brillent de mille feux sous ce collant.

Sa main revient porter son sein qu’elle remonte encore, puis elle se penche pour tenter de le lécher. Elle n’arrive pas à se têter, mais sa langue commence à tourner autour de son téton, et ce faisait elle me regarde dans les yeux. Une salope magnifique, avec beaucoup de classe. Je continue de prendre des photos, mais la bonne copine a fait place à un objet de convoitise. Machinalement, j’ai posé ma main gauche sur ma bosse douloureuse et commence à me frotter avec le tissu de mon jean devenu trop étroit.

Elle l’a remarqué et ne dit rien.

– Pourquoi tu fais ça ?

Je suis un crétin, ça a sorti la demoiselle de sa semi-torpeur.

– Les seins c’est plus joli quand ça pointe, non ? Tu n’aimes pas quand je fais ça ?

Elle recommence, sa jolie langue passant sur son téton.

– Attends, je vais t’aider pour l’autre.

Je m’approche d’elle et retire délicatement le pan droit de son chemisier. Son sein s’offre à moi telle une délicieuse pâtisserie. Je passe tout doucement ma langue dessus et le sens frémir, devenir dur. Il ne me faut pas dix secondes pour succomber et poser mes lèvres dessus, le gobant, le suçant. Elle a un délicieux goût de miel. Je la sens ramener sa tête en arrière, réprimant à grand peine un petit soupir.

Je dois bien rester trente seconde sur ce nichon rayonnant de chaleur, dardé de désir. Mes frottements dans le pantalon se font plus insistants. Je la regarde dans les yeux.

– Tu es très belle.

Je me penche et lui donne un petit baiser au-dessus du nombril avant de me retirer et de prendre quelques photos. Elle se laisse faire avec plaisir, elle n’a plus rien de la timide complexée qui refusait de se faire tirer le portrait. Elle joue avec son chemisier, son corps, se tourne, met en valeur son épaule, sa croupe, tire encore sur sa mini-jupe. Plus elle continue à m’exciter et plus sa jupe raccourcit, jusqu’à se retrouver cuisses écartées. Une culotte blanche en dentelle cache tout ou presque, mais la vision est immensément jouissive. Sandra n’est pas épilée et possède un sexe à la touffe très brune et plutôt fournie. Adorable en tous cas, cette ombre désirable sous la lingerie fine. Elle laisse ses doigts caresser son genou puis sa cuisse, et rit.

Consciente d’être allée trop loin, elle se remet vite dans une position plus sage. Je n’en suis même pas déçu, car elle m’a déjà donné bien plus que je n’aurais imaginé. En revanche, je dois absolument me branler, ou aller me branler ailleurs, très vite. J’en ai des pincements, des lancements dans le scrotum.

– T’es formidable… mais là tu m’as trop donné envie. Je dois… enfin tu vois ?

Elle hurle de rire. Puis me regarde et rougit silencieusement.

– Pas à ce point….

– Oh si, si si, tu t’imagines pas, t’as pas idée. Sandra, tu es une fille super, je te jure que tu es hyper-chaude si tu t’y mets. Et tu t’y es mise !

Un clin d’oeil.

– On n’a jamais su ce qui se passerait si on avait été ensemble, dit-elle.

– Non… mais là on n’a rien fait de mal, hein ? Ou un tout petit peu…

– Rien de mal du tout, fait-elle, et elle se laisse tomber de côté sur le lit, sa main gauche caressant délicatement sa cuisse.

– Je…

– Tu peux le faire devant moi tu sais, ça ne me gêne pas.

Et ce faisant, elle écarte lentement ses cuisses. Sa minijupe se relève totalement et j’ai une vue imprenable sur sa culotte. Elle glisse lentement sa main dedans, ses longs doigts grâciles, et commence un très lent mouvement circulaire. Lorsqu’elle se met à fermer les yeux sous le coup du plaisir, elle n’est plus ma meilleure amie, elle est une jeune femme remarquablement sensuelle que j’ai envie de peloter et de dévorer de partout. Je sors ma queue qui n’a aucun mal à s’extirper de mon caleçon, et commence à me caresser, honteux. Je ne devrai pas. Elle a l’air d’aimer me regarder. Sa main s’agite un peu plus, son chemisier s’ouvre à nouveau, dévoilant cette poitrine désormais gonflée de désir.

– Tu ne prends pas de photo ?

Sa voix malicieuse me fait bondir le coeur. Fébrilement, je prends quelques clichés de la main droite tandis que la gauche masse mon chibre. Je suis au paradis : j’ai une fille presque nue en train de se caresser dans l’objectif, et la même en vrai qui, je crois, commence à se caresser pour moi. Elle regarde avec insistance mon sexe et se rend bien compte qu’elle me fait l’effet escompté.

– Tu es trop belle, murmuré-je.

– Attends, on peut faire mieux.

Elle me tourne le dos, se met à quatre pattes sur le lit et très lascivement cambre les reins. Puis sa jolie main trouve le chemin de sa culotte qu’elle écarte doucement, laissant apparaître son mignon vagin et une touffe de poils noirs plus courts et plus soyeux que j’aurais cru.

– Magnifique. Ecarte un peu avec tes doigts ?

Elle obéit, se laisse faire, joue avec son clitoris que je peux parfois ent****rcevoir lorsqu’elle se cambre plus que de raison.

– C’est joli ?

– C’est super, t’imagines pas… Mais le top ce serait si tu étais un peu humide. Ca ressort vachement bien en photo.

Je m’attends à ce qu’elle humecte ses doigts mais elle ne bouge pas, reste totalement impassible. Mon Dieu… pense-t-elle à la même chose que moi ?

Je m’avance sur le lit et approche mon visage de ce sexe à demi-dévoilé, dont je peux déjà sentir le feu intérieur. J’approche ma langue et je ressens comme une décharge électrique. Elle aussi, qui pousse un petit cri. Elle est si bonne ! L’âcreté de son odeur disparait rapidement au profit d’une saveur moite et délicieuse. En quelques secondes sa petite chatte est gonflée, humide, trépignante de désir. Je n’en puis plus et colle ma bouche toute entière à ce con divin, glissant ma langue comme une petite verge, lui donnant des petits coups rapides alternés avec de lentes succions. Le bout de ma langue trouve son clito et je m’évertue à l’humecter et le titiller. J’ai de plus en plus de mal à me concentrer car toute boulotte qu’elle est, ma Sandra se tortille à qui mieux-mieux, sa voix ne cessant d’augmenter dans les aigus et le volume. Quelque part un fantôme de culpabilité tente de me rappeler que je suis en train de brouter ma meilleure amie, avec qui nous ne devons avoir que des relations chastes, mais le miel qui coule de ses lèvres dans les miennes le chasse bien vite. Elle aussi ne doit sûrement pas se poser de questions à l’heure actuelle.

Je la bouffe ainsi pendant plusieurs très longues minutes, et son humidité ne cesse de s’accroître. Je tente de lui glisser alors un doigt mais elle se recule, se retourne, les jambes écartées, la main sur la chatte, et me supplie de continuer à prendre des photos. Je ne reconnais presque plus son visage, des perles de sueur commencent à illuminer son joli front, ses lèvres sont plus détendues, ses yeux fiévreux, ses lourds seins commencent à balotter et je la mitraille avec mon objectif, ne perdant pas un seul détail. Je continue ce faisant à me caresser, tant bien que mal.

Une bonne vingtaine de photos plus tard, elle se jette sur ma queue et l’avale goûlument, avec un amour et une passion immodérées. Tout en me prodiguant une pipe des plus merveilleuses, elle me jette des regards coquins, autant qu’elle le peut. Je cède à son désir muet et prend des photos de ma copine la bouche remplie de mom membre raidi. Elle me suce si vite et si bien que je sens le désir monter encore.

Puis elle prend mon appareil et le jette sur le lit, avant de se retourner et de se mettre dans la position parfaite d’un 69 délicieux. Sa petite taille fait que tout en me suçant comme une reine, elle donne à mon visage le spectacle magnifique de son entrejambe trempé de sensualité. Je plonge mon nez dans son petit minou brûlant et nous nous dévorons l’un l’autre avec une passion que je n’ai jamais connue. La pauvre petite chérie avait faim, cela faisait des mois, voire des années qu’elle n’avait pas connu un homme; quant à moi, j’avais quelques plans cul réguliers mais désespérément banals, avec des filles grandes, minces, plutôt jolies et qui ne me faisaient plus aucun effet. Sandra n’était pas moche, mais comparé à mes pétasses quotidiennes, elle avait un charme radicalement différent.

Et je la désirais comme jamais dans ma vie.

Quelques minutes plus tard, nous arrivâmes à l’extase absolue ensemble. Elle hurla à m’en déchirer les tympans tandis que ses jolies lèvres inférieures se mirent à trembler comme une feuille. De mon côté, je lançai un râle suivi d’une monumentale explosion de foutre qui vint éclabousser ses grandes lèvres. Je sentis qu’elle n’aimait pas outre mesure la texture et l’odeur de ma semence mais, transportée par son orgasme qui continuait de plus belle, elle ravala mon sexe pour le nettoyer entièrement, goutte après goutte.

Il nous fallut un bon moment avant de reprendre nos esprits. Elle, machinalement, caressait ma cuisse, tandis qu’avant de me redresser je déposai un dernier baiser plein de tendresse sur sa petite chatte. Nous nous regardâmes dans les yeux, longuement, sans rien dire. Puis elle commença à se rhabiller, très délicatement. La voir remettre ses vêtements ainsi, cacher ses parties les plus intimes pour les remettre en valeur avec malice et sensualité, était peut-être encore plus bandant que de la voir se deshabiller.

Nous bûmes un dernier verre et finissâmes notre soirée en parlant de choses et d’autres, en riant comme les deux copains que nous sommes. Sur la fin, elle me reparla du site de rencontres, sans à aucun moment mentionner notre coup de folie. Je lui promis de lui envoyer les photos et de ne jamais les utiliser ou publier, ni même de les montrer ou d’en parler à qui que ce soit, et aujourd’hui encore c’est une promesse que j’ai tenue.

Au moment de nous dire au revoir, mes lèvres rencontrèrent sa douce joue, et ce qui n’était qu’un geste amical habituel sembla se prolonger. L’odeur de sa peau, la douceur de son regard, le fait qu’elle se soit presque blottie contre moi pour m’embrasser, m’enivrèrent et je déposai un doux et délicat baiser sur ses lèvres que je trouvai désormais foutrement adorables. Un baiser chaste mais pur et gorgé d’amour. Elle me le rendit doucement puis se retira. Sans rien dire, elle me fit comprendre que nous devions rester amis.

Je la vis s’en aller, monter dans sa voiture, et en la regardant de dos avec sa minijupe moulante et ses belles cuisses dodues que j’avais dévorées deux heures plus tôt, je me demandai quel effet cela nous ferait de la pénétrer avec tendresse, de fourrer cette petite chatte soyeuse qui semblait n’attendre que moi.

Après cette soirée, il semble que nous nous voyons moins. On s’appelle, on s’adore toujours, mais on ne se voit plus beaucoup. Chaque fois que nos regards se croisent, elle rougit, toujours plus fort.

Tant pis. J’ai trop envie de recommencer. J’ai laissé tomber mes blondasses habituelles pour m’inscrire sur un site de rencontres. Et pour l’instant, sans qu’elle connaisse mon visage, nous avons tous les deux les plus intimes et délicieuses conversations coquines, les seules que nous n’aurions jamais eu les yeux dans les yeux. Elle semble désormais sûre d’elle et de sa sexualité, et a l’air parfaitement épanouie. Et il semblerait que grâce aux clichés que j’ai pris, elle n’ait désormais plus aucun souci pour engager la conversation avec les hommes.

C’est donc maintenant que je la désire plus que tout.

FIN

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