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grand-père

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L’art d’être grand-père.

Bonjour je m’appelle Claude j’ai 58 ans retraité de la SNCF et je suis grand-père d’une petite Julie qui à 15 ans et d’un petit Marc qui lui n’a que dix ans. (Et oui j’ai eu mon fils à 22 ans et lui a été papa à 21 ans).
J’habite dans la même ville que mes enfants, et comme leur appartement est très petit, quand Marc à eu 5 ans j’ai fait dans les combles de ma maison une pièce que nous appelons le Boudoir qui est destinée à servir de refuge à ma petite Julie quand la promiscuité du petit appartement est trop pesante. Il faudra bientôt que je pense à en faire une seconde pour Marc.

Comme toutes les gamines (oh ! Pardon Julie), comme toutes les jeunes filles celle-ci est souvent amoureuse. Et vers 13 ans cela devenait de moins en moins platonique, aussi sa mère a-t-elle demandé au médecin de famille de la mettre sous pilule. Nous sommes une famille très unie et très ouverte. L’on parle de sexe comme l’on parle de son goût pour les fleurs ou les tableaux du 18ème siècle, simplement avec les mots de tous les jours et sans grossièretés. Aussi, je connais tous les petits problèmes de cœurs de Julie.

Celle-ci a des amies que je peux qualifier d’intimes. Le sexe n’y est pas étranger mais n’est pas l’élément d’importance. Ce sont plutôt des confidentes, elles mettent leurs secrets intimes en commun. Comme je suis dans la plupart des secrets de Julie, par contre coup je le suis aussi dans ceux de ses amies. Elles le savent, et ne s’en offusque pas, car je sais être le grand-père, le confident, le conseil de toute cette jeunesse.

Le mois dernier un samedi après midi je la vois arriver avec sa copine Marie. C’est presque l’été, elles portent des jupes mini, vraiment mini. Marie est en pleurs, vraiment décomposée, avec le hoquet du sanglot. Impossible de les faire parler, elles montent d’un trait dans le Boudoir.
Vers 16 heures elles ne sont toujours pas descendues. Je monte leur proposer un petit goûter, d’habitude Julie ne rate pas l’heure du thé. Je frappe à la porte, et fait ma proposition sans ouvrir, leur laissant le privilège de l’intimité. Julie me répond : « c’est une bonne idée, nous descendons ».

Elles descendent quelques minutes après. Malgré les compresses sur les yeux que Marie a visiblement mise, elle a les yeux rouges et la mine ravagée. « Papy, excuse Marie, elle a beaucoup de chagrin, son mec vient de la larguer. Elle n’avait pas prévu. » « Allez, allez, cela n’est pas trop grave, prenons le thé ! » La télé est en marche en sourdine, en bruit de fond. Une nouvelle émission commence, c’est un feuilleton que Julie suit parfois.

Une histoire d’amour à l’eau de rose entre adolescents. Julie dit à Marie « vient, on va regarder le feuilleton » « Papy vient avec nous sur la banquette ». Elles m’installent au milieu, Marie à droite Julie à gauche, se glisse sous mes bras pour avoir chacune la tête sur ma poitrine, leurs cheveux se touchant sous mon menton. Dans cette position je les serre dans mes bras. Je sens bien qu’elles ont besoin de réconfort, Marie pour le choc sentimental reçu, ! Julie par contre coup du désarroi de Marie.

Elles gigotent un peu pour arriver à se placer correctement pour voir l’écran. Je relâche un peu mes bras, je ne peux pas les serrer tous le temps. Ma main gauche glisse sur la banquette, la droite de même. Julie la reprend dans sa main puis l’abandonne sur sa hanche. Quelques minutes après elle se cale un peu différemment, elle se tourne un peu plus de face. Ma main inerte glisse vers son ventre. Au contact avec l’entrejambe je réagis, vite je retire ma main, (je ne vais quand même pas toucher une gamine). Marie me reprend la main, la pose sur son entrejambe, directement sur sa culotte. Elle la plaque dessus, la paume à plat sur la dentelle.

Dans le film, sur l’écran, le héros (un beau garçon très ados) embrasse goulûment une petite boulotte timide. Marie serre ma main sur sa culotte et murmure « caresse-moi, Claude, caresse-moi ». Je ne sais pas comment réagir, elle ne veut pas me lâcher la main. Alors je la laisse. Comme ma main ne bouge pas, c’est elle qui bouge sur ma main. Je fini par me laisser faire (j’y prends aussi mon pied) et je referme un peu les doigts pour caresser vraiment sur le fond de l’entrejambe. Marie apprécie cette initiative, et écarte les cuisses, pour me laisser le champ libre. Puis elle me libère la main, et je commence à la masser lentement, de haut en bas et de bas en haut, avec à chaque aller et venue une petite pause au fond. Marie commence à respirer plus vite.

Elle commence aussi à mouiller, son fond de culotte est trempé. Elle repousse le fin tissus sur le coté, et pousse ma main directement sur le duvet qui couvre son abricot. Dans un soupir elle me dit « dessous, dedans ».
Julie lève la tête et regarde Marie, puis me regarde, et dit « et moi alors je n’y ai pas droit ? ».
Vais-je caresser ma propre petite fille ? Comment vais-je pouvoir me sortir de ce mauvais pas ?
Hé ! Bien je n’ai pas pu, Julie à pris ma main gauche et la glissé sous l’entrejambe de sa culotte.

Durant tout le film et même longtemps après j’ai caressé la chatte et le clito de ces deux gamines. Elles haletaient fermaient les yeux. J’ai même eu peur un moment que Marie perde connaissance. Puis j’ai calmé le jeu. « Il commence à se faire tard ».

Elles se sont embrassées, sous mon nez, longuement sur la bouche, j’ai même vu les bout de langue se chercher. Puis elles se retournent vers moi « merci Papy m’a dit Julie » en me faisant un gros bisou sur la joue. « Oh ! Oui, merci beaucoup répète Marie » en me faisant aussi un bisou mais sur mes lèvres avec un petit bout de langue en plus. Elles se lèvent, libérant mes bras ankylosés.

Ostensiblement je porte mes mains à mon nez, je sens mes doigts pour mémoriser les odeurs de ces petites chattes. Ceux de droite avec l’odeur musquée de Marie. Ceux de gauche plus acide de Julie. Je les hume et discrètement je les goûte. Marie m’a vu. « Tu nous trouve bonne ? ». « Heu ! Heu ! Oui vous avez vraiment très bon goût ».

Elles remontent dans le boudoir pour récupérer les affaires de Marie, et elles redescendent tout de suite. Marie va mieux, beaucoup mieux, elle pouffe de rire avec Julie. C’est bon signe. Au moment de partir, elles me font la bise, Julie d’abord, une bise joue droite, une bise joue gauche, et une troisième sur les lèvres, avec un petit bout de langue qui chatouille et se sauve. Marie fait la même manœuvre, mais ne se sauve pas, elle me glisse furtivement la langue entre les lèvres, je caresse l’intruse avec le bout de la mienne, mais refuse une entrée plus importante. Je suis le grand-père.

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