Arrivé au domaine, je me dirige directement vers la cour et décide de la nettoyer. Cette salope empeste trop le sperme, ça devient intenable. Odette m’accueille sur le perron et reste stupéfaite quand elle me voit sortir Michèle nue du coffre de la voiture.
« Qu’est-ce que c’est encore que ça ? Encore une fantaisie à Monsieur ! Que va dire Madame ? »
« Odette ne commence pas, veux-tu ? Il faudrait la laver ! Elle put le stupre ! Elle s’est pris du foutre de tout les côtés la salope ! »
« Ne comptez pas sur moi Monsieur ! Demandez plutôt à Germain ! Il se fera un plaisir de la briqué votre femelle ! »
A notre service depuis de très de nombreuses années, Odette faisait son travail parfaitement sans même qu’on ait besoin de rien lui dire mais avait un caractère difficile à gérer. Pourtant, je n’aurai jamais voulu m’en séparer. Comme ma femme s’absentait régulièrement pour ses voyages d’affaires, plus jeune, il m’était arrivé bien sûr de la sauter.
Aujourd’hui, elle acceptait seulement, le matin au réveil, de me soulager en me masturbant ou en me suçant. Elle le faisait très bien mais il lui fallait toujours faire un commentaire.
« Odette ! Ca va fait pas mauvaise tête ! Tu vois, l’avantage avec Michèle c’est que n’auras plus à me sucer le matin ! Bon, je te la confie. »
Elle lui fit traverser la cour toute nue devant un groupe de cavaliers revenus de promenade à cheval.
Germain sort des écuries à ce moment. Odette lui explique :
« Monsieur veut décrasser cette pute ! Je te fais confiance tu le fera mieux que moi ! »
« Ok ! Huummm Monsieur a fait une belle acquisition avec cette jument ! »
Il lui met une longe et l’attache à la barrière à côté d’un jeune étalon de pure race qui s’agite au près d’une pouliche en chaleur en lui lançant :
« Viens ici toi ! J’va t’passer au jet, ça te fera de bien ma salope ! Odette va ouvrir le robinet s’il te plaît ! »
Quand l’eau froide jaillit du tuyaux, la femelle gesticule dans tout les sens faisant balancer ses grosses mamelles. Elle a la chaire de poule et l’eau qui ruisselle sur son corps est du plus bel effet.
Germain prend un malin plaisir à diriger le jet sur les seins ou à insister sur la chatte de la femelle qui se tortille en criant. Avec un regard lubrique, Germain dit à Michèle:
« T’as jamais vu la verge d’un che’va ? Diet-y-vé ! Va branler l’bestiaux ! »
Horrifiée celle-ci tire sur sa longe en reculant.
« Mais c’est qu’elle est rétive la jument ! Tu va by m’obéir salope de cochonne ! Ché mi qui décide quand m’sieur n’est pas là ! »
Comme il le ferait d’une jument rétive, il lui allonge plusieurs coups de cravache sur ses fesses et les seins. Michèle hurle de douleur en continuant de ruer dans les brancards et en tirant sur sa longe.
« Vas-tu l’branler fichue salope ? Ou tu veux encore goûter du fouet ? » Lui dit-il menaçant en faisant sifflet le fouet dans l’air.
Tremblante de peur, la femelle saisit la grosse queue de l’étalon et se met à la masturber doucement. Le canasson semble apprécier car l’engin grossit sous les hennissements de l’a****l.
Michèle masturbe docilement l’a****l d’un air dégouté de peur de recevoir d’autre coups de fouet du régisseur. Quand brusquement elle reçoit sur elle l’éjaculation de l’étalon. Surpris, elle lâche l’engin monstrueux et saute en arriére. Germain et Odette éclatent de rire.
Odette en rigolant lance à Germain :
« Ha ba c’est malin ! Il va falloir la repasser au jet si je veux la présenter à Madame. »
Ni une ni deux, Germain reprend le jet et Asperge la pauvre femelle pour qu’elle soit présentable.
Maintenant Michèle est propre, mouillée mais propre. Germain en a profité mais maintenant Odette devait la ramener la présenter à … madame. Elles retraversent la cour. Michèle est toujours nue et tenue en laisse. Elle doit suivre Odette, les mains derrière la tête sous le regard des clients du club équin.
Elle est ainsi conduise dans la chambre de Madame qui l’attendait.
« Laissez nous Odette ! Je vais m’occuper de la nouvelle pute de mon vicieux de mari ! »
Elles se retrouvent seules toutes les deux. Michèle attend nue, à genoux les mains dans le dos et les cuisses écartées. Madame assise dans son fauteuil l’examine silencieusement en tenant la longe.
Puis, après un moment qui lui semble une éternité, Madame lui demande :
« Alors c’est toi la nouvelle salope de mon mari ? Pas mal en effet, mais je n’aime pas les putes de ton genre qu’il me ramène ici ! Allonge-toi sur le dos sur le banc! »
Michèle regarde le long banc en bois muni d’ anneaux et d’attaches aux pieds. La femelle s’allonge sur le dos et Madame attache sa longe au banc de telle façon quelle ne puisse relever la tête.
Alors, Madame relève sa jupe et dévoile sa chatte à Michèle qui se doute de la suite. Madame ne porte pas de culotte. Elle se met à califourchon au-dessus du banc en regardant la tête que fait Michèle et s’assoit sur son visage en écrasant sa chatte odorante sur la bouche de la femelle soumise.
« Bouffe moi bien la chatte salope ! » Lui lance-t-elle.
Michèle hésite un instant mais Madame aussitôt la rappelle à l’ordre à coups de badine sur la chatte offerte de la femelle qui se met aussitôt à brouter la femme de son Maître.
Ajouter un commentaire