Cela fait longtemps que nous n’étions plus sortis ensemble. Ces derniers mois ont été éprouvants pour nous. Le travail, les réunions tard le soir, les travaux… La vie de tous les jours nous avait installés dans une routine sans que l’on s’en rende compte. Depuis que nous avions acheté cette maison, nous cohabitions plus que nous habitions ensemble. Quelle ironie ! Nous voulions en faire un nid douillet pour notre couple et voilà que, finalement, nous étions chacun afféré à nos propres affaires sans réussir à faire plus attention à l’aute.
Chacun était fautif mais nous ne nous en parlions pas, comme si nous voulions éviter les brouilles, les engueulades… Non, la fatigue faisait que même ça c’était devenu impossible pour nous ! Mais cela avait des effets pervers sur notre vie de couple. Au début, nous faisiosn l’amour tous les jours, voire plusieurs fois par jour, sous prétexte qu’il fallait faire l’amour dans chaque pièce pièce de notre nouveau chez-nous. C’est ce qu’on avait appelé le feng shui sexuel. Ou comment découvrir la maison autrement !
Nous étions complices, tendres et coquins. Je trouvais un rai de lumière sous la fenêtre de la chambre, c’était joli, je t’invitais à venir le voir, je t’embrassais, content de la situation. Et sans aucune explication, ça dérapait. On se déshabillait, on s’embrassait, ons e léchait, caressait, on tentait de nouvelles positions… Jamais nous n’aviosn été si câlins…
Puis les mois passèrent, les premiers soucis sur les travaux de la maison arrivèrent. Quelques tracas qui se résolvaient finalement mais qui finissaient par miner notre moral et donc qui mettaient à mal notre libido de feu. Tu étais perturbée par ton nouveau boulot, ça te prenais du temps. Moi, si le boulot se passait bien, mes nouvelles responsabilités me demandaient de plus en plus de temps de présence là bas… Si à cela on rajoute les travaux le week-end, les obligations familiales… Bref, ce n’était plus la même osmose qu’à notre arrivée dans cette maison.
A tel point qu’un matin, en allant me brosser les dents, prêt à aller au boulot, je t’ai vu sous la douche. Tu te savonnais. Je connaissais par coeur ce corps, tant je l’avais vu, admiré, caressé, léché, excité ces dernières années. Oui mais quelle fut ma surprise quand, une fois sortie de ta douche, te séchant, j’ai vu que ta petite chatte était recouverte d’une épaisse toison noire ! Oui, depuis que je t’avais connu, tu avais toujours pris soin de t’épiler intégralement la chatte, parce que tu préférais me disais-tu, parce que moi aussi j’adorais ça, parce que manger ce minou était l’une de mes choses favorites…
Mais là, non, les poils recouvraient tout ce sexe. Cette toison était épaisse, fournie, et je ne pouvais pas voir tes lèvres glabres… Mon dieu, je ne t’ai donc même plus vue nue depuis si longtemps ! J’ai réalisé que je ne savais même plus quand nous avions fait l’amour pour la dernière fois. Je m’en suis voulu dès cet instant. tout notre passé a ressurgi dans ma tête en quelques secondes. Noter première rencontre, nos premiers baisers, nos premières caresses dans le parc derrière le lycée, notre première fois, chez tes parents un week-end où ils n’étaient pas là… oui, nous étions un vieux couple si l’on veut. 15 ans déjà que nosu étions ensemble. C’est en première que nous nous étions rencontrés.
Je suis resté un peu ébété en te regardant nue ce matin là. A tel point que tu t’es arrêtée, tu m’as regardé, intriguée.
« Qu’est-ce qu’il y a ? J’ai quelque chose de bizarre ? » me demanda-t-elle.
« Hein ? …euh rien… » répondis-je.
« Ben si, je vois bien qu’il y a quelque chose, tu me regardes comme si j’avais un truc. Dis moi ! »
« …Non rien. Je.. j’y vais, je vais être en retard. Bonne journée ma chérie. » J’esquivais cette discussion, l’embrassait rapidement sur son front comme j’en avais l’habitude chaque matin et je partis rejoindre ma voiture.
Toute cette journée, je n’arrêtais pas de penser à elle. Cette image de ma femme nue et poilue hantait mon esprit. Est-ce parce que je ne la regarde plus qu’elle ne s’épile plus ? Est-ce elle qui ne trouve plus le temps de le faire ? ‘M’aime t-elle encore ?!
Pour une simple toison, je prenais panique et je m’imaginais des scénarios les plus incongrus. Par contre, cela avait réactivé en moi mes émotions sexuelles. Je réalisais que j’aimais ma femme et que je la désirais mais que tout ce qui nous entourait nous avait éloignés l’un de l’autre. Ma femme non plus ne s’en était pas rendue compte. Il fallait que je fasse quelque chose bordel ! Je l’aime et je veux retrouver tous ces moments câlins avec elle.
Je savais désormais que ce soir là, en rentrant, je devais agir. A 20h, après une journée bizarre pour moi, je rentrais enfin chez moi. Elle était déjà rentrée et regardait sûrement la tv dans notre salon.
« Coucou ! Je suis rentré ! » lançais je en entrant dans la maison.
Mais pas de réponse. Je m’approchais du salon et découvrais qu’elle était bien là, allongée sur le canapé, face à la tv, mais qu’elle était endormie. Il faut dire que ce nouveau boulot lui prenait tant d’énergie qu’elle était crevée chaque soir. Elle avait encore les cheveux mouillés, signe qu’elle était passée sous la douche comme chaque soir. Elle ne portait que sa robe de chambre.
De la voir comme ça, suite à toutes mes pensées de la journée, j’ai voulu apprécier de la regarder dormir. Elle était encore très jolie et j’en avais presque oublié cette chance qu’une femme comme elle soit avec moi. A l’époque, beaucoup de mes potes étaient jaloux de moi car il faut dire qu’elle faisait partie des plus jolies filles du lycée. Et même si les années ont passées depuis, elle a gardé cette beauté.
Alors que j’admirai avec de nouveaux yeux ma chérie, elle s’étira, toujours dans son sommeil. Sa robe de chambre était mal lacée et ces étirements ont fait lâcher ce noeud qui la tenait. Son corps était alors partiellement dénudé. Je voyais l’un de ses seins sortir du pan de la robe de chambre. Quelques poils de sa toison apparaissaient également. Je m’assis près d’elle. Je commencais à caresser son corps. Sa cuisse nue était chaude. Sa respiration était très sereine et elle ne semblait pas du tout avoir entendu ma présence.
Cela m’a alors excité. De regarder ma femme comme si c’était la première fois, cela m’a ramené à mes excitations de jeune puceau. Je poussais cette robe de chambre et la pesanteur faisant son effet, c’est tout un pan qui tombait par terre. Je voyais donc toute la partie gauche de son corps totalement nu. Elle était allongée sur le dos. Son sein gauche montait et descendait au rythme de sa respiration. Son téton était beau, droit, fier de culminer si haut. Il faut dire que ma femme avait de jolis seins, lourds mais si fermes qu’ils tenaient merveilleusement sur son buste.
Je n’en pouvais plus. Ma main est monté de sa cuisse à ce sein. Délicatement, je le caressais comme si je le redécouvrais. Son téton n’était apparemment pas si endormi que ça puisque dès mes premières caresses il se dressa fièrement. Il devenait dur et je le roulais entre mes doigts. Malgré ces caresses, ma femme ne se réveillait pas. Cela m’enhardit dans mon excitation et je regardais maintenant cette fameuse toison plus bas. Tant de poils que je n’avais pas vu pousser ces derniers temps. Ils avaient recouverts mon jouet favori. Comme un signe, ce jouet étant boudé par moi, il s’était réfugié derrière une barrière de poils. Je le devinais à peine.
Je voulais me faire pardonner, ratt****r toutes ces semaines sans être venu le voir, m’occuper de lui… Mon index est alors venu se frotter à ces poils. Je n’arrivais pas à atteindre sa peau tant il y avait de poils devant ce sexe. Mes autres doigt sont venus les écarter un peu pour enfin ouvrir ce sexe, l’écarter délicatement pour retrouver enfin ce rose si distinct de l’intérieur de sa chatte.
J’avais oublié combien cela était beau à voir. En plus, entouré d’une telle toison brune, ce rose ressortait magnifiquement. Je devinais son petit bouton tout en haut. Endormi comme sa propriétaire. Elle restait d’ailleurs totalement endormie malgré mes caresses. Cela m’excitait terriblement. Je redécouvrais mes sensations de coquin, quand je la caressais, quand j’allais à la rencontre de son intimité…
Mon majeur s’est alors mis à caresser de tout son long ce sexe qui s’offrait à moi. Ce simple geste a fait réagir ma femme, sans pour autant la réveiller. Cela m’invitait à continuer. Je chatouillais maintenant son clitoris. J’avais oublié combien il était jouissif de le titiller… De tous mes doigts maintenant, j’ouvrais ce sexe pour en admirer l’intérieur. Comme s’il se souvenait de mes doigts, ce sexe s’est alors mis à s’humidifier. Je le sentais se gonfler sous mes timides caresses. Je m’étais penché en avant pour mieux voir ce spectacle. Je sentais d’ailleurs l’odeur si caractéristique de son sexe, ça enivrait mes narines. Je me rappelais maintenant comment j’adorais cette odeur émaner de son corps.
Ma langue aurait voulu s’introduire dans ce sexe mais je n’osais pas. Je pensais même arrêter ces caresses tant je me sentais coupable de le faire alors qu’elle était endormie.
Oui mais voilà, j’étais tellement obnubilé par ce que je faisais à son sexe que je n’avais pas remarqué que sa respiration avait changé. Ce n’est qu’en entendant le son de sa voix encore toute endormie que je compris qu’elle s’était réveillée.
« Mon coeur, depuis le temps que je rêve de te voir m’offrir ce plaisir… Lèche moi, j’en rêve… »
Incroyable ! Elle n’attendait que ça ! M’avait-elle lancé des signes avant aujourd’hui ? S’était elle rapprochée de moi ces derniers jours ? L’aurais-je repoussé ? Ou est-ce l’effet de mes caresses qui lui donne envie aussi ?
Peut importe, je la regarde, ses yeux sont petits de sommeil mais je devine cette étincelle coquine dans son regard dès que je croise son regard. Ce même regard qui a le don de m’exciter, comme s’il me disait « donne moi du plaisir mon homme ».
Je ne veux pas casser ce moment en lui demandant confirmation, je plonge alors ma tête entre ses jambes et, tout en soutenant son regard, je passe ma langue sur ce sexe. C’est la première fois que je lèche un sexe touffu. Pourtant, ça m’excite, et j’aime sentir la chaleur de son sexe se dégager entre ces poils. Je m’enhardis et je laisse mes doigts rejoindre ma langue pour redécouvrir cette chatte. Elle me regarde lui prodiguer ce cunni, ses yeux soutiennent mon regard et semblent approuver ma démarche.
Elle caresse mes cheveux, imprime inconsciemment le rythme de cette caresse buccale. Puis sa main droite vient faire tomber l’autre pan de sa robe de chambre, pour libérer son deuxième sein. Cette fois, ces deux tétons sont fièrement dressés et, comme si elle avait lu dans mes pensées, elle att**** ses seins avec ses mains pour les caresser. Je suis excité comme rarement je l’ai été. Elle commence à lâcher de petits râles.
« Oui… continue, mange moi la chatte… » Ces quelques mots un peu osés me rappellent combien ma femme peut être bien coquine quand elle est excitée. Trois de mes doigts viennent maintenant s’enfoncer en elle en de rapides allers-retours. Ma langue s’attarde sur son clitoris.
« Oh… Oui…. Mmm ». Autant d’onomatopées qui traduisent son bien être.
Mais je ne veux pas qu’elle jouisse tout de suite. C’est trop tôt. Alors je m’arrête, me lève et je me mets à me déshabiller sans mot dire, tout en la regardant droit dans les yeux. Elle comprend mon jeu et ne dit rien non plus. Je me retrouve donc rapidement nu comme un ver, ma queue fièrement dressée et gonflée comme jamais. Je me sens renaitre en tant que coquin et je me positionne à quatre pattes, au-dessus d’elle. Mon regard plonge dans le sien. Nous ne parlons toujours pas. Je sens ma coquine avancer sa main pour rejoindre mon sexe. Mais je souris en la regardant, et de ma main droite, je viens gentiment arrêter son geste. Je ne veux pas qu’elle me touche avec sa main.
Non, je veux que nous soyons joueurs ce soir. retrouver toute l’intensité des premières soirées où tout était nouveau sur le plan des relations sexuelles. Alors, sans le lui demander, je remonte son corps et je viens me mettre à genoux au dessus d’elle. Mon sexe se retrouve au-dessus de ses seins, mon gland à quelques centimètres de sa bouche.
Elle a souvent honoré ma queue de sa langue mais cela faisait maintenant longtemps que ça n’était plus arrivé.
J’ai pris mon sexe pour venir le positionner entre ses seins. J’ai commencé à me frotter contre elle, tendrement. Elle a compris mon message. En un sourire, elle prit ses seins entre ses mains pour venir coincer mon sexe entre ses deux globes d’amour. Cette branlette m’excitait. J’aimais ce contact. De son côté, elle continuait à maintenir son regard dans le mien, comme pour me défier et me signifier qu’elle sera prête à tout ce soir.
Cela m’enhardis et je pousse encore plus loin mon bassin pour que mon gland se retrouve à l’entrée de sa bouche. Pas besoin de forcer, elle entrouvre ses lèvres pour que mon gland sente cette chaleur buccale si agréable. Je prends cela pour un oui et je commence donc à venir de tout mon long dans la bouche de ma belle. J’y vais très tranquillement et sensuellement. Je ne veux pas qu’elle subisse cette caresse mais que ce soit partagé entre nous deux. Il n’y a que mon gland qui se retrouve avalé par sa bouche. Mes yeux ne ratent pas une miette de ce spectacle. Elle est belle et de la voir me sucer de cette manière, je la trouve terriblement coquine.
Alors que j’allais m’arrêter et me retirer de sa bouche, ce sont ces mains qui se sont posées sur mes fesses et elle a commencé à m’imprimer un rythme dans cette pénétration buccale. Jamais je ne l’avais vu si chienne et chaude. Elle me faisait entrer mon sexe de plus en plus profondément dans sa bouche. Elle fermait les yeux comme si elle profitait de ce moment. C’était divin. Je sentais maintenant le fond de sa gorge et je butais contre. Elle continuait à me presser le fessier pour ne pas que j’arrête.
J’ai du user d’un peu de force pour me dégager car j’allais exploser en elle sinon. Elle a ouvert les yeux, m’a souri et je me suis pressé pour m’allonger contre elle afin de l’embrasser à pleine bouche. Son corps était en chaleur et le mien n’était pas en reste. Nos langues se caressaient, s’enlaçaient. Je la ragardais, elle était belle. Dire que pendant de longues semaines, je n’ai même plus eu le soin de la regarder, de l’admirer alors que sa beauté n’en est que plus forte au fil des années…
Mais notre moment semblait loin d’être fini tant le plaisir était encore palpable. Je la regardais dans les yeux et je lui dis
« Je veux te faire l’amour comme si c’était notre première fois »….
« Oui, baise moi comme avant. Je veux jouir comme une folle. » me répond-t-elle.
« Ton corps m’a manqué. Tu m’as manqué mon coeur » je lui glisse à l’oreille.
Ces quelques mots attisent nos envies et mon sexe se met à toquer à l’entrée du sien. Je sens ce sexe si humide, trempé de désir et prêt à m’accueillir. Je me suis relevé, elle a écarté les jambes. Je profitais de voir sa chatte s’ouvrir et de revoir cette intimité toute rose et chaude jaillir de cette toison, à l’origine de mon excitation du jour.
Je tiens ses jambes pour mieux entrer en elle. Je glisse tellement c’est mouillé. Cela me laisse tout le loisirs d’entrer tout mon sexe en elle en un seul mouvement.Elle crie sans retenue dès ma première entrée en elle. Je sens que ce moment sera court tant nous sommes excités. Alors je n’hésite pas et je passe en mode plus bestial, plus brut. Je vais et je viens en elle rapidement. Je sais qu’elle aime ça et j’en profite. De l’entendre crier son plaisir de cette manière m’excite. Je vois ses seins se balancer sous mes coups de butoir. Elle les caresse, j’admire ma femme pendant que je la pénètre.
Alors que je sens ma jouissance monter rapidement, je l’avertit de cela.
« Contrôle toi 2 minutes et je jouis comme jamais mon amour ! »…
Comme jamais ? Je prends cela pour un défi et je gère tant bien que mal mon désir ultime pour l’emmener à la jouissance. Elle ne s’arrete plus de crier. Elle rougit, s’essoufle sous la jouissance. Puis je sens ses muscles se serrer, se contracter de manière incontrôlée. Elle hurle de plaisir et la jouissance se donne vie.
« Oui ! Oui ! C’est si bon…! »
Sa jouissance est énorme et j’adore voir cela. Sachant que je m’étais contrôlé pour lui offrir cette jouissance, elle tient maintenant à me rendre la pareille. Elle att**** alors mon sexe, m’ordonne de le retirer du sien et commence à me branler frénétiquement. Je suis au-dessus d’elle. Elle alterne mouvements rapides, caresses sur ses tétons, léchouilles du bout de la langue. Le tout en me regardant de son regard à la fois aimant et coquin…
Je n’en puis plus et je lui dit que je vais jouir. Elle guide alors mon sexe vers ses seins pour que mon sperme vienne asperger cette magnifique poitrine. Je suis si excité que les jets sont lourds et nombreux. Au comble du plaisir, elle se permet même de venir lécher mon sexe pour recueillir ce sperme encore présent dessus. C’est la première fois qu’elle m’offre cela.
Je suis vidé,comblé et heureux. Je me rallonge près d’elle pour l’embrasser tendrement. Nous sommes en sueur, haletants mais heureux. Pas de doute, nous sommes faits pour continuer à vivre ces moments ensemble..
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