Nous arrivons au camping ! Après une journée de marche. Je suis contente, je vais pouvoir me reposer un peu ,je suis crevée.
L’intérêt avec le trafic que mon mari a aménagé c’est qu’on est vite installé .Il y a juste à sortir les fauteuils , la table pliante et aller brancher la rallonge électrique.
La borne se situe derrière la tente voisine. En passant devant l’entrée de la tente, je vois une jeune femme, la bonne trentaine en petite culotte.Elle est penchée en avant et cherche apparemment des vêtements dans une valise. Elle est grande, très fine, des cheveux bruns coupés courts, de tout petits seins pointus. Je branche ma rallonge discrètement, elle ne me voit pas.
Mon mari a déjà sorti le matériel photo, un appareil muni d’un imposant zoom posé sur un pied …
Je vois passer la jeune femme d’à côté vêtue d’un grand teeshirt, serviette et trousse de toilette à la main. Je vais aller moi aussi prendre une douche.
Lorsque je reviens mon mari est en pleine discussion avec un homme d’une soixantaine d’années, la jeune femme à leur côté.
Mon mari « Ellen, ma femme, Jean et Stéphanie son épouse, Jean est aussi un passionné de photo……… ».
Deux heures plus tard, nous avons diné ensemble, les hommes ont vite sympathisé. Stéphanie et moi aussi. Elle m’a raconté sa dépression lorsqu’ elle a appris qu’elle était stérile, le soutien et l’attention de Jean, son voisin à l’époque, leur mariage en toute discrétion et le fait que leur relation tenait plus de l’amitié, que Jean était presque comme un grand frère protecteur.
Mon mari « Nous serions bien allé au pic de Cassini demain dès l’aube avec Jean ! Ça vous tente ? »
« Non là ça va faire beaucoup ! Il va encore falloir se lever à 5 heures, Je me reposerais bien un peu »
Stéphanie « Allez y tous les deux ! Je resterais avec Ellen «
Mon mari « Le problème c’est que je pensais prendre le camion, tout mon matériel est dedans ……. »
Stéphanie « Notre tente est grande, si Ellen veux venir dormir après votre départ … Enfin si tu veux Ellen »
Moi « Bon je vois bien que vous en mourrez d’envie, ok ! ».
5 Heures mon mari est déjà debout, je ne l’ai pas entendu se lever. Il a préparé du café. Jean arrive en tenue de rando sac sur le dos.
« Stéphanie dort, j’ai réussi à ne pas la réveiller »
« Si je suis réveillée et je prendrais bien un café » sa silhouette se dessine dans la nuit au fur et à mesure qu’elle approche, Elle porte un grand pull qui lui arrive à mi-cuisse, les cheveux en bataille.
Je me suis enroulée dans mon duvet, il fait un peu frais à cette heure. Nous prenons un café ensemble et à 5 h 15 les hommes s’en vont.
Stéphanie « J’irais bien me recoucher et dormir un peu ! ça ne te dérange pas «
Non « moi aussi, on ne s’est pas couché tôt, hier soir «
Elle enlève son pull, elle est nue.
Elle se couche sous sa couette. Je m’allonge moi aussi. Je m’endors.
Le soleil est à peine levé lorsque je me réveille. Stéphanie dort en chien de fusil. J’ai une folle envie d’elle. Faisant semblant d’avoir un sommeil agité, je me rapproche doucement. Mon genou touche sa fesse, elle ne dit rien.
A la façon dont elle me regardait, me souriais la veille, parce qu’elle s’est confiée à moi s’en pudeur, je pense que je ne la laisse pas indifférente.
Je pose une main tremblante sur sa hanche.
« Qu’est-ce que tu fais ? Je ne suis pas comme ça ! »
J’enlève ma main, je suis honteuse, je viens de tout gâcher.
Mais après 2 mn d’un silence glaçant, elle prend ma main et la repose au même endroit.
« Je l’ai jamais fait avec une femme ! ».
« Et, là, tu en as envie ».
Silence.
« Je veux bien essayer».
Alors je m’approche, mes seins contre son dos, mes cuisses contre ses fesses. Elle ne bouge pas. Je commence à l’embrasser dans le cou. Ma main remonte jusqu’à ces cotes saillantes, glisse sous son bras qu’elle relève à ce moment et vient se poser sur son tout petit sein.
Du bout de mon index et de mon pouce je pince doucement son téton, tout dressé et le fait rouler entre mes doigts.
Elle gémit tout doucement. Je vais pour caresser son ventre, mais y trouve son bras, elle a posé une main entre ses cuisses. Je caresse alors son bras descendant vers sa main qui couvre son sexe comme pour m’en interdire l’accès.
Je laisse alors ma main sur la sienne et continu à l’embrasser sur l’épaule et le haut du dos.
Elle enlève la couette se tourne pour s’allonger sur le dos les bras en l’air. Elle a les yeux fermés, comme si elle ne voulait pas se voir s’offrir à moi.
Elle est vraiment toute fine, je dirais même maigre, un large entre jambe laissant complètement à découvert un minou aux petites lèvres brunes qui dépassent largement. Elle se rase mais ne l’a pas fait récemment et des poils courts presque noirs recouvrent un large pubis.
Je me place au dessus d’elle, une main de chaque côté de ses hanches, les bras tendu le visage au-dessus de son ventre plat.
« regarde moi »
Elle ouvre les yeux ! De magnifiques yeux verts, brillants, elle me sourit timidement, mais je la sens vraiment pas à l’aise, elle referme les yeux.
Je regarde de nouveau sa chatte, au bas de sa fente un petit éclat brillant apparait, le minuscule diamant grossit, petit à petit devenant une petite goutte blanche, comme une perle.
Elle mouille déjà alors que je n’ai rien fait, ça promet !
Lorsque je pose le bout de ma langue sur le haut de sa fente, elle fait un brusque mouvement en avant du bassin en même temps qu’elle pousse un petit cri aiguë.
C’est fou, elle est comme électrique, cela m’excite beaucoup, voilà que moi aussi je mouille.
« Détends toi ma belle, j’ai à peine commencé « .
Je me redresse posée sur mes genoux jambes écartées de mes deux mains je plie les siennes et les écarte en appuyant sur ses genoux. Son minou s’ouvre, laissant apparaitre son intérieur rose tout brillant de sa cyprine.
Je plonge ma tête dans son entre jambe , au contact de mes lèvres sur les siennes, sa réaction est immédiate. Elle pose ses mains sur ma tête et commence de vifs mouvements de va et vient du bassin. Je la lèche, suce son clito, aspire ses lèvres, enfouie mon menton……
Sa réaction est surprenante, elle gémit sans cesse, un concert de oui ouii ouu i ! Ses mains appuient de plus en plus fort sur ma tête comme si elle voulait la faire entrer en elle.
J’ai toute peine à passer une main pour introduire trois doigts dans son vagin ruisselant.
Mes doigts la pénètre et la fouille alors que ma bouche et ma langue lèche et aspire son clito. Je sens les muscles puissants de son vagin se resserrer, ses cuisses frêles me coincent le visage comme dans un étau.
Elle jouit, laissant jaillir un cri qu’elle ne peut retenir.
Son étreinte se relâche, je la regarde, son corps est encore parcouru de spasmes.
Quel orgasme !
Je l’admire. Ses petits seins ornés de leurs tétons dressés, montent et descendent au rythme de sa respiration qui ralentit progressivement.
Elle a laissé retomber ses jambes et je vois de nouveau son minou grand ouvert et une grande auréole sur la couette en dessous de ses fesses.
Elle ouvre les yeux me regarde et sourit à pleine dents, je la sens heureuse !
« Ben dis donc ! Tu es étonnante ! Une vraie bombe ! J’ai peur que tout le camping t’ai entendu»
Je la fait rougir !
« Excuse-moi »
« Ha non ! Pas d’excuse ! Tu m’as offert un magnifique spectacle, regarde je suis trempée moi aussi » lui montrant ma main toute humide après l’avoir glissée entre mes cuisses.
« C’était extraordinaire, je n’avais jamais ressenti autant de plaisir ».
« Ma chérie ! Je te laisse un moment, je dois aller au toilette, le café a fait son effet «
Elle se redresse brusquement vient poser un baiser sur mes lèvres « Je viens avec toi !
Il est encore tôt ! Tout est calme dans le camping. Elle me suit à une dizaine de mètres.
J’entre dans les toilettes, elle me pousse et referme la porte derrière elle.
« Vas- y la première «
Je m’assois et urine en écartant les jambes, j’ai bien compris qu’elle veut me voir faire. Elle prend du papier toilette et m’essuie, me tends le rouleau de l’autre main. Puis, c’est son tour. Elle est vraiment, drôle on dirait une grande gamine.
Nous sommes de retour à la tente, dans les bras l’une de l’autre, on papote en nous embrassant langoureusement. Elle veut tout savoir de mes pratiques sexuelles.
Je réponds à ses questions.
Sa vie sexuelle est un désert, mais elle me dit ne pas en souffrir.
Puis, soudain elle se met sur les genoux , le cul en l’air, la tête posée de coté sur le duvet.
« Fais-moi découvrir la sodomie »
Je suis pour le moins surprise de sa façon de faire. Elle n’est visiblement plus du tout gênée.
Sa demande m’amuse et sa position impudique me plait beaucoup.
« Je peux te doigter si tu veux ! mais ce n’est pas vraiment ça, la sodomie »
« Fouille dans ma trousse de toilette, là, y a une brosse à cheveux ! Sers t’en «
Le manche de la brosse est lisse, un peu renflé en son milieu mais pas trop large. Pour une première pénétration anale ça me semble approprié.
Elle n’a pas besoin d’écarter ses fesses peu charnues pour que je voie sa petite rondelle brune resserrée.
Lorsque je pose le bout de ma langue en son centre, elle a la même réaction « électrique.
« Détends toi, sinon je ne vais pas y arriver »
« Ok je me détends, vas-y »
Je recommence.
La lèche en faisant de petits cercles, ses frêles cuisses tremblent, c’est incroyable d’être sensible à ce point. Je continue comme cela un moment en déposant ma salive sur son anus vierge. Elle gémit doucement . « Que tu es douce ! Ellen ! c’est bon »
C’est maintenant mon index que tourne autour de son petit trou tout mouillé de ma salive. Il commence à se contracter se détendre, j’adore ça !
J’appuie un peu et je le sens rentrer de quelques mm sans effort, je le tourne dans un sens puis l’autre. Je pousse doucement tout en tournant et mon index rentre en elle.
« Ca va ? Tu aimes ?»
« Oui ! C’est agréable, continue ! »
J’ai posé mon pouce à l’entrée de son vagin et je commence à faire de petits vas et vient simultanément avec mes deux doigts. Je sens une première goutte tomber sur ma cuisse posée entre ses jambes, sous sa chatte, puis une deuxième. C’est vraiment, surprenant de mouiller aussi vite ! Cela m’excite et je me caresse de l’autre main.
Elle gémit doucement, elle a vraiment l’air d’apprécier !
Je la sens prête.
Je prends la brosse ! De nouveau je viens déposer ma salive puis l’extrémité de la brosse. Je tourne en poussant doucement les deux premiers cm entrent, sans résistance aucune. Lorsque je manche s’élargit, je vais plus lentement. Je vois à ses fesses qui se contractent que c’est peut-être un peu douloureux pour elle, mais elle ne dit rien !
Je continue jusqu’ à ce que son anneau soit resserré autour de la partie la plus large, puis je laisse la brosse qui se rétrécie entrer toute seule, plus profond en elle.
J’entre maintenant mon pouce dans sa chatte, profondément. Je pose deux doigts sur son clito et le masse. Ses gémissements reprennent aussitôt, et de nouveau des gouttes chaudes tombent une à une sur ma cuisse.
Je vais de plus en plus vite , appuyant et relâchant la pression de mes doigts sur son petit bouton. Elle m’accompagne par des mouvements saccadés du bassin, de haut en bas, faisant danser la brosse plantée en elle.
De mon autre main, je saisie la brosse ! la tire et la re-rentre. Elle met son visage dans la couette et la serre de ses deux mains contre sa bouche pour étouffer ces gémissements.
J’accélère le rythme de mes mouvements et en augmente l’amplitude. Elle me suit par ses coups de reins de plus en plus puissants. Puis elle s’arrête, commence à trembler, cesse de respirer et jouit en poussant un long cri qu’elle étouffe autant qu’elle le peut.
Sa liqueur chaude coule sur ma cuisse. Elle est secouée de spasmes encore un bon moment et je m’amuse en regardant la brosse telle une queue, danser en rythme imposé par ces spasmes.
« Ma première fois, avec une femme ! Ma première sodomie ! Je ne regrette pas que l’on se soit rencontrées «
« Si tu veux je connais un petit coin très tranquille en bords de rivière, pas loin. Il n’y a jamais personne à cet endroit, on pourrait aller pique-niquer, se faire bronzées nues, se baigner, faire l’amour ! Je te ferais jouir à mon tour , tu m’apprendrais !
« Tu sais déjà tout ma belle , et oui j’adore ton idée.
A SUIVRE
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