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J’ai baisé avec trois jeunes gars

J’ai baisé avec trois jeunes gars



J’ai quarante-cinq ans et je m’appelle Dorothée. Mère de famille, j’élève seule mes deux filles de 15 et 18 ans, Manon et Sandrine, depuis le départ de leur père avec une jeunette de 20 ans ma cadette. Ce n’est pas tous les jours facile d’élever deux adolescentes sans homme à la maison. Cette absence se fait aussi cruellement sentir dans des domaines plus intimes. J’ai beaucoup de mal à supporter de n’être plus qu’une maman et de ne pas pouvoir assouvir mes besoins dans les bras d’un homme. Je me masturbe souvent, de plus en plus souvent, mais mes caresses solitaires ne suffisent plus à me combler. C’est aussi un peu pour ça que je me suis complètement laissée aller l’autre jour, avec trois camarades de ma fille aînée.

Jérémie, Julien et Jonathan, « les 3J » comme Sandrine les appelle ont sonné à ma porte samedi dernier. Ils étaient à la recherche de leur copine. Sandrine était sortie avec une camarade de la fac. Je les ai quand même fait entrer, ne soupçonnant pas encore où cette décision allait me conduire. D’ailleurs, si je l’avais su, je n’aurais sans doute pas procédé autrement. Les garçons étaient un peu éméchés et j’étais soulagée de savoir que Sandrine ne sortirait pas avec eux ce soir-là. Je leur ai proposé de s’asseoir quelques minutes au salon pour prendre un café mais ils m’ont demandé si je n’avais pas quelque chose de plus fort à leur offrir. J’ai été lâche et je leur ai permis de se servir dans le bar ou traînaient encore d’antiques bouteilles laissées là par mon mari après son départ. Je pensais qu’ils se contenteraient d’un petit verre d’apéritif, mais ils ont commencé à siroter du whisky. A 18 ou 19 ans, je trouvais que c’était largement exagéré mais ce que je redoutais le plus, c’était qu’ils décident de reprendre la route en sortant de chez moi. Je ne voulais pas me sentir responsable de ce qui pourrait leur arriver. Comme je me trouvais un peu seule, je leur ai proposé de passer leur début de soirée avec moi, espérant secrètement qu’ils arrêtent de boire et qu’ils puissent ainsi repartir en toute sécurité avec leur voiture pour aller finir la nuit ailleurs.

Je ne tiens pas très bien l’alcool et je n’aurai pas dû accepter le deuxième double verre que m’a tendu Jérémie. J’ai voulu être polie et bien mal m’en a pris. Je n’avais pas terminé de boire la dernière goutte que, déjà, la tête me tournait, je m’entendais rire comme si c’était quelqu’un d’autre. C’est pour ça que je n’ai pas pu dire non quand les garçons ont entamé une partie de strip-poker avec moi. Un paquet de carte surgit de nulle part s’est retrouvé sur la table basse du salon et Jonathan a distribué le jeu. La dernière fois que je m’étais livrée à ce genre de loisir, c’était quand j’avais 15 ans, en colonie de vacances et le jeu s’était interrompu de lui-même avant que les choses n’aillent trop loin lorsqu’un des garçons présents s’était retrouvé en slip au milieu de la tente.

J’ai rapidement été obligée d’ôter mon chemisier. En quelques minutes, j’étais en jupe et soutien-gorge noir devant les 3J. Ils devaient me trouver obscène, serrée dans mini, perchée sur mes talons hauts, les jambes gainées de bas noirs. Sur le moment j’y pensai à peine mais aujourd’hui, j’ai honte de ça et de bien d’autres choses. J’ai eu un peu de répit avec le nouveau jeu qui m’a été distribué et ce sont les garçons qui ont commencé à se déshabiller. Jérémie et Jonathan étaient torse nu alors que Julien enlevait déjà son pantalon. Je voyais bien que les trois garçons reluquaient mes gros nichons péniblement cachés à leur vue par les bonnets trop petits de mon soutif. Mes tétons durcis pointaient vicieusement sous l’étoffe trop fine pour les dissimuler.

Juste après, j’ai dû enlever ma jupe. Ils ont insisté pour que je garde mes chaussures. J’étais en lingerie et ils ont écarquillé les yeux en grand quand ils ont vu que je ne portais pas de collant mais une paire de bas et un porte-jarretelles. J’étais folle de me livrer ainsi à leurs regards concupiscents mais je n’étais plus maître de mes gestes. Un ultime verre d’alcool, avalé sans m’en rendre compte, avait eu raison de mes dernières réticences. Je n’étais plus la femme raisonnable dont je m’efforçais habituellement de donner l’image à mon entourage, juste une gamine inconséquente et puérile.

Quand il a fallu que j’enlève mon soutien-gorge, je me suis exécutée sans gêne. Les gros globes laiteux de ma poitrine ont jailli presque instantanément sous les yeux éberlués des jeunes vicieux. Ils n’ont pas osé les toucher, ni faire de remarque sur ma plastique, mais je voyais bien qu’ils en mouraient d’envie autant les uns que les autres. Je devais être excitée car je sentais que mes bouts me faisaient mal à force de pointer aussi outrageusement. En baissant le regard sur mes lolos, j’ai vu que mes tétines étaient toute raides. Dans une dérisoire tentative pour calmer le jeu, j’ai posé la paume de mes mains dessus. Elles étaient dures sous ma peau.

C’est là que Julien a ôté son slip. Le pauvre garçon n’avait plus rien d’autre à enlever. Pour lui, la partie était finie. Il s’est assis au fond d’un canapé de cuir mais je ne pouvais pas m’empêcher de regarder sa bite qui était bandée entre ses cuisses. En y réfléchissant aujourd’hui, je comprends bien pourquoi le camarade de ma fille bandait aussi fermement. Je devais offrir un spectacle très excitant au trio. Moi-même, j’étais toute émoustillée par l’ambiance qui régnait dans le salon, dans mon salon. Il me semblait bien que je commençais à couler entre les jambes. Je me souviens avoir pensé un instant que cela allait se voir, que les garçons allaient s’apercevoir de la tache de mouille qui enflait, enflait au fond de mon slip.Ils n’en ont pas eu le temps. J’ai été obligée de quitter ma culotte après une nouvelle mauvaise passe. Je me sentais vulnérable mais en même temps très excitée par la tournure que prenaient les évènements. J’avais du mal à quitter du regard le zizi tout raide de Julien. Je n’avais pas de fils, juste mes deux filles, et ça me faisait chaud au ventre de voir cette queue jeune et vigoureuse qui bandait pour moi. J’ai été encore plus troublée quand ce fut au tour de Jérémie et Jonathan d’ôter leurs slips. Tout tournait autour de moi. Je crois que c’est Julien qui nous a fait comprendre que la partie de poker était terminée lorsqu’il a commencé à se masturber sous nos yeux, lentement, très lentement. Je ne pouvais pas le laisser dans cet état.

Sans vraiment m’en rendre compte, je suis allée m’asseoir à côté de lui sur le canapé. En m’approchant, je vacillais quelque peu sur mes talons. Je devais vraiment paraître vulgaire à mes jeunes invités, avec mes gros seins à l’air, ma touffe et mes belles fesses rondes encadrées par les bretelles du porte-jarretelles. A peine assise, j’ai porté ma main vers l’entrejambe de Julien et j’ai posé mes doigts sur son gland qui dépassait de son prépuce. Au bout du nœud perlait une goutte de lubrifiant naturel. J’ai passé mon pouce dessus. Cela faisait si longtemps que je n’avais pas tenu une belle bite entre mes doigts. En me voyant entamer la masturbation de Julien, les deux autres garçons se sont approchés. Jonathan s’est enhardi et a poussé son chibre vers ma main demeurée libre. Lui aussi bandait fort. J’ai branlé les deux jeunes en même temps. Jérémie ne voulait pas être en reste alors je lui ai tendu ma bouche pour lui faire comprendre qu’il pouvait y mettre la queue. Il s’est installé entre mes jambes et son mandrin a traversé la barrière de mes lèvres jusqu’à ma langue.

J’ai pompé et masturbé les 3J comme cela pendant un moment qui m’a semblé une éternité. En même temps, la mouille qui s’écoulait de ma chatte souillait de plus en plus le cuir du canapé. J’ai été soulagée quand l’un des garçons, je crois que c’était Jonathan mais je n’en suis plus très sûre, a glissé sa main entre mes cuisses pour me caresser la fente. Il m’a rapidement fourré deux doigts dans la vulve et s’est mis à ma baratter le vagin vigoureusement. Les lèvres de mon sexe l’ont carrément avalé tellement j’étais avide de caresses. J’ai commencé à remuer des fesses sur mon siège pour mieux aller au devant de ses attouchements qui m’électrisaient. Les deux autres camarades de ma fille me branlaient les seins pendant ce temps. C’était terriblement bon et excitant. Je me sentais de plus en plus chienne et pourtant ce n’était que le début du gang-bang.

Nous avons encore fait beaucoup de cochonneries ensemble. Les jeunes étaient déchaînés au moins autant que moi. Je n’avais jamais connu un tel déferlement de plaisir avec mon époux, ni même avant mon mariage, avec mes premiers partenaires de jeux sexuels.

Julien a juté dans ma main un peu trop rapidement, suivi de prêt par Jonathan. Surprise, je n’ai pas eu le temps de le faire sortir de ma bouche et il s’est répandu dans ma gorge. J’ai tout avalé de son jeune foutre chaud. Jérémie était plus endurant, il a fallu que je le branle encore quelques minutes pour qu’il finisse par venir. Ca a permis à ses camarades de retrouver de la vigueur. Manifestement, ils en voulaient encore. Ca tombait bien car je n’av ais pas eu mon compte de jouissance. Dans un état second, je suis allée me mettre sur la table basse du salon, à quatre pattes, le cul bien cambré, invitant Jonathan à me prendre en levrette. Julien a compris qu’il devait me remplir la gueule à son tour. Jérémie récupérait de son orgasme en nous regardant. Pourtant, il n’est pas resté longtemps spectateur.

Jonathan me lima la chatte en cadence durant dix bonnes minutes tandis que je pompais le gros gland noueux de son copain. J’étais remplie des deux côtés à la fois et ça me faisait du bien. Mon baiseur faisait preuve d’une endurance à toute épreuve, calmé qu’il avait été par sa première purge. Au bout d’un momen,t il se mit à me caresser le trou du cul avec ses doigts tout en me pinant. J’adorais ça. J’ai lâché un court instant la queue de Julien pour lui gueuler de m’enculer. Il est aussitôt sorti de mon trou de devant pour m’enfiler par derrière, laissant la place qu’il occupait jusque-là libre pour Jérémie.

Jonathan me tenait par les hanches. Je n’ai presque pas eu mal quand il m’a sodomisée. Il m’a tirée en arrière et est allé s’affaler dans un fauteuil. J’étais littéralement assise sur sa bite raide, me déhanchant pour mieux le sentir. Les cuisses bien écartées, j’ai accueilli Jérémie dans ma chatte, la queue de Julien toujours fichée dans ma bouche. Il était debout, les pieds de part et d’autre de mon corps et de celui de son ami. D’une main, je suis allée lui tâter les bourses et lui caresser le trou du cul par derrière. Il a eu l’air d’adorer ça car son membre est subitement devenu encore plus gros dans ma gueule. Nous gigotions tous comme des fous et nos gémissements de bonheur emplissaient l’air lourdement chargé de vice du salon. Nos cris et nos plaintes montèrent crescendo jusqu’à que, l’un après l’autre, l’orgasme finisse par nous achever. Mon enculeur se déchargea dans mon cul sans crier gare, déclenchant mon plaisir sous les spasmes de son chibre qui s’agitait dans mes boyaux. Julien a joui sur mon visage quand je lui ai entré mon pouce dans le cul et Jérémie s’est vidé dans ma foune qui s’est mise à déborder de son sperme.

Après ça, j’ai dû demander aux garçons de me laisser car je savais que ma fille ne devait pas tarder à rentrer. Il était hors de question qu’elle me trouve dans cette position insensée avec ses amis. J’étais déçu de déjà les voir partir mais je leur ai fait promette de me rendre bientôt visite à nouveau. Cette nuit-là, je me suis encore branlée trois fois seules dans mon lit en repensant à la vieille salope que j’avais été en leur compagnie.

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