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La vie d’une chienne (2) : Le baptême e

La vie d’une chienne (2) : Le baptême e



Je m’appelle Marie, j’ai 23 ans et je suis une chienne

Après un été torride ou mes pulsions perverses se sont définitivement réveillées en compagnie de Mr Paul*, j’effectuais ma rentrée à l’université.
Pour moi, l’université était pleine de promesse.
Tout d’abord, cela signifiait la liberté…loin de l’étouffant cocon familial. Mais aussi, la possibilité de commencer une nouvelle vie. Une vie qui combinerait mon goût immodéré pour le sexe hard et mon gout pour les soirées festives entre copines.
Comme je l’ai déjà dit…venant d’un milieu très aisée et sachant que rien ne m’obligerait à travailler pour subsister…obtenir mon diplôme n’était pas ma principale préoccupation.

Le premier jour, je me rendais néanmoins aux cours d’introduction des différentes matières. Si je voulais me faire des amies, il allait bien falloir que je me comporte comme les autres étudiantes.
Cette journée en auditoires m’a semblée interminable. Il m’était en outre impossible de me concentrer, car je ne pouvais m’empêcher de fantasmer sur les perversités que pourrait m’infliger le vieux prof de physique bedonnant ou sur un plan à trois avec les deux beaux mecs assis non loin de moi.
C’est en sortant du cours de chimie que j’ai vu l’affiche annonçant la première soirée de « bizutage » du baptême estudiantin. Elle aurait lieu le soir même. Cependant, mes toutes nouvelles amies ne semblaient pas intéressées. Elles étaient un peu effrayées par les rumeurs sulfureuses qui courent depuis des années sur ce qu’il se passe durant ces soirées de bizutages.
Humiliations, harcèlement psychologique, c*** ethylique, abus sexuels…bref, je devais surement être la seule fille du campus à décider de m’y rendre en espérant que toutes ces rumeurs étaient vraies.

A 20h, habillée d’un t-shirt échancré et de mon short en jean moulant, je me rendais donc seule dans la salle des fêtes où devaient se dérouler la soirée. L’ambiance y étaient plutôt bon enfant. Nous étions une quinzaine de première année à attendre dans un coin. Les anciens chantaient des chants du folklore estudiantin, déjà bien imbibés de bières.
Puis l’activité commença. On nous explique qu’a partir de maintenant et durant les deux semaines à venir, nous ne serions plus que des « sales bleus ». L’épreuve d’aujourd’hui s’annonçait toutefois assez simple. Chaque bleu et chaque bleuette allait devoir monter sur une table et se vendre pour être acheter (a coup de bières) par un ou une ancienne qui devrait ensuite les « protéger » durant les bleusailles.
La parade débuta donc rapidement. Certains vantèrent leur capacité à boire, d’autres promirent de nombreux services de nettoyage à leur futur parrain, d’autre firent des blagues pour plaire à l’assemblé…Lorsque vint mon tour, je me contentais de monter sur la table, de prendre une pose aguichante (poitrine en avant, déhanché sexy, doigt sur la lèvre inférieure et regard de braise) et de déclarer… »Je serais une bleuette très docile ».
Un grand rire parcouru l’assemblée, ainsi que des sifflement et les enchère commencèrent. Après de long palabres, c’est un certain David qui m’acheta et je descendis donc de la table pour le rejoindre, lui et ses deux amis.
Je passais le reste de la soirée avec eux à boire beaucoup, à faire connaissance et bien sur, à les chauffer quelques peu.
Vers 2h du matin, la soirée s’achevait, et David me proposa de les accompagner à leur appart pour « un dernier verre ». Toute fille normale aurait refusée d’aller s’enfermer avec trois garçons ivres qu’elle connaissait à peine…mais pour ma part, c’est le moment que j’attendais depuis des heures.

Assise dans le salon des garçons, je constatais avec plaisir que l’ambiance devenait grivoise. Les blagues salaces et les souvenirs de coups d’un soir abondaient et plusieurs allusions à ma pose aguicheuse se firent entendre. Et d’un coup, plus pour rigoler qu’autre chose, David posa sa main sur ma cuisse et me dit « Et donc, tu es une bleuette docile? »…les autres se mirent à rigoler…David sourit de sa propre hardiesse…
C’était le moment de déclencher les hostilités.
Avec un regard de petite fille gênée, je lui répondis « Oui maître…très docile »
L’atmosphère se glaça. Les rirent se turent et tous se regardaient avec incrédulité.
Au bout de quelques secondes, David monta sa main vers mon entrejambe très lentement, sans doute persuadé que j’allais mettre fin à la plaisanterie a tout moment. Voyant que je n’en faisait rien, il commença alors à me caresser le sexe au dessus du short. Il se retourna vers ses amis avec un sourire incrédule.
« Les mecs…je pense qu’on est tombés sur un sacré numéro…elle est m’a l’air chaude comme la braise »
S’enhardissant, assis a coté de moi, il m’embrassa alors fougueusement tout en passant sa main de mon sexe à mes seins avec fébrilité.
Rapidement, ses amis commencèrent à se caresser, n’hésitant pas à sortir leur queues pour se branler.
La main de David passa dans ma culotte et il enfonça l’un de ses doigts dans ma chatte. Tandis que je gémissais, il s’étonna
« -Putain, mais t’es déjà trempée…t’es une vraie salope en fait!
– Ho oui…je suis votre petite pute »
Il sortit sa main de ma culotte et approcha ses doigts de ma bouche
« – Tiens…goûte le jus de ta chatte…allez, lèche moi les doigts…et puis tu suceras mes potes »
Je m’exécutais…excitée à mort tandis tandis que ses deux potes enlevaient leur pantalons.
David me poussa en bas du fauteuil, enleva mon short et ma culotte et me mis à genoux devant ses amis.
« -Allez vas-y bleuette…montre nous comment tu suces! »
J’étais comblée. J’avais atteint mon but. J’étais à genoux, passant d’une bite à l’autre, faisant gemir ses deux mecs avec ma langue. David s’agenouilla derrière moi et enleva mon t-shirt et mon soutien. Il me malaxait les seins et me caressais la chatte avec vigueur en continuant de me donner des ordres
« Lèche leur les couilles », « Prends les bien à fonds », « Suces les en même temps »
Et chaque fois, j’obéissais avec zèle.
Finalement, il n’y tint plus. Il me jeta à terre, allongé sur le dos, et une fois son pantalon enlevé, il me monta brutalement. Il me bourrait de coups de rein violent, râlant de plaisir en sentant ma chatte lui aspirer littéralement a queue. Il m’embrassait en même temps, sans retenue, recouvrant mon visage de bave a force de me lécher.
Au bout d’à peine deux minutes, dans un long gémissement, il déversa son foutre dans ma chatte.
Epuisé, il se retira…
« Allez-y les mecs…baisez la cette chienne »
L’un d’eux bouscula l’autre pour être le premier. Il fourra sa bite dans mon sexe ruisselant de sperme et commença à son tour son pilonnage violent. Celui là était un vrai pervers. Il me crachait carrément sur le visage et dans la bouche tout en me baisant, me traitant de truie et de petite merde…à son tour, il finit par jouir dans mon con…tapissant définitivement mon vagin de foutre chaud.
Une fois qu’il se retira, le dernier me prit par les cheveux et me mit à 4 pattes.
Il écarta mes fesses et s’engouffra à son tour dans ma fente béante. Sa bite était énorme. Je prenais un pied d’enfer à me faire enfiler par un engin de ce calibre.
Comme pour parachever mon bonheur, le type s’avérait être un véritable étalon. Il me travaillait depuis de nombreuse minutes avec hardeur et toujours aucune éjaculation en vue.
David s’en amusait…il vint se placer à croupis devant mon visage pour me gifler.
« Il s’occupe bien de toi…hein ma petite garce…et si on pimentait le jeu? »
Il demanda alors à son pote de me prendre par le cul sans attendre. Il me prit par les cheveux pour coller mon visage sur le sol afin que ma croupe se redresse un peu plus pour faciliter le travail de son ami.
L’étalon commença par me lécher le petit trou. Il passait de ma chatte à mon cul avec sa langue pour bien lubrifier ma rondelle avec un mélange de sa salive et de ma mouille. Puis, estimant que ça suffisait, il posa son gland contre mon trou et commença à pousser. La douleur fut foudroyante, brûlante…mais il ne fallut que 20 secondes pour que l’excitation efface la douleur et me fasse bouger la croupe pour donner un peu plus de plaisir à mon « agresseur ».
David était aux anges. Continuant de maintenir mon visage contre le sol, il me crachait sur le visage et ne cessait de m’insulter.
5 minutes plus tard…enfin…l’étalon finit par jouir. Il se vida dans mon cul abondement…puis s’effondra à bout de force.
Les trois garçons me contemplaient avec bonheur…toujours offertes, épuisée, ruisselant de sperme par mon sexe et par mon anus…
David déclara
« Et ben les copains…je sens qu’on va bien s’amuser pendant ce baptême »

En me relavant…je pensais exactement la même chose…

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