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Jeune amant

Jeune amant



Je fis de mon collègue mon amant. J’en fus la première étonnée. Ce jeune homme qui put être mon gamin ne m’inspira guère le premier jour. Je le trouvais puant et vaniteux. Triste témoignage de cette nouvelle génération. Celle-ci n’a aucun égard pour les vieilles générations. Au-delà de trente ans on est nécessairement un ringard. Je n’avais aucune prédilection pour les jeunes hommes. Le concept couguar trop peu pour moi. Je préférais taper au titre de mes amants plutôt dans le quinqua. Soit un peu plus âgé que moi. Je les trouvais mâles et cochons.

Là-dedans mon mari n’existait pas. De toute façon je subodorais qu’il faisait de même. Les petites secrétaires devaient défiler en son bureau. Nous ronflions l’un contre l’autre sans plus partager la bagatelle. Cependant d’un tacite accord nous tenions à sauver les apparences et à respecter l’autre. Mon mari se doutait que nombre de mes collègues m’avaient sauté. Je demandais à ceux-ci de se garder de regards ou allusions équivoques quand il venait à me chercher et monter dans mon bureau. Il y eût un jour une chaude alerte dont me dépêtra mon jeune collègue.

Il fit montre ce jour-là d’un beau sang froid et d’esprit à propos. Il savait mes mœurs. Il savait au moment où mon mari vint à s’encadrer dans la porte que j’étais dans le bureau à côté à me faire bourrer par le chef comptable. Il inventa aussitôt que j’étais en une réunion à l’étage et que celle-ci s’était inconsidérément prolongée. Il se proposait d’aller voir et de faire passer le message pour que je le rejoigne aussitôt. Il n’en proposa pas moins au mari de partager un café à une machine située dans une aile opposée. Ainsi eût-il le temps par SMS d’envoyer une collègue me prévenir.

Il fit si bien parlant de foot avec monsieur que j’eus une bonne demi-heure pour me faire toilette et me remaquiller. J’affectais que les présentations me fussent épargnées car mon mari en effet découvrait pour la première fois mon nouveau collègue. Il ne tarit pas d’éloge à son égard. Il le trouva, vif, mature et ce qui ne gâche rien amateur de football. L’aspect petit con avait du lui échapper. Quoiqu’il en soit je devais reconnaissance à ce gosse. Je le lui témoignais dès le lendemain. Il sourit alléguant que j’aurais fait même chose à sa place.

Sa répartie d’humour gagna à me faire rougir. Nous n’avions jamais évoqué ensemble mes turpitudes et amants. Il en avait constaté le ballet quotidien. Avec un certain mépris je l’avais laissé à l’écart du trafic manifeste. C’était peut-être une façon de lui signifier qu’il n’était pour moi qu’un morveux boutonneux. Je goûtais peu en effet la façon dont il lorgnait mes cuisses quand celles-ci étaient croisées. Assurément il m’eût voulu dans son pieu. Je goûtais peu son genre d’hommage. Je n’en savais pas moins qu’il avait couché avec une de mes amies. Il affectionnait la vraie femme.

Pour le remercier nous déjeunâmes deux jours après. Pour me moquer et marquer la distance, je lui demandais incidemment s’il avait une petite amie officielle. Il sourit. Manifestement ce gamin voulait s’amuser et s’ébrouer dans le sexe plutôt que de s’embêter avec des histoires d’amour. Je lui dis qu’il avait raison. Il serait assez temps de tomber amoureux et de convoler en justes noces. A mesure du repas je découvris qu’il n’était point sot et que son aspect bourrin n’était que de façade.

Je lui demandais pourquoi avoir adopté un tel rôle. Il me dit qu’il aimait à s’avancer masqué.

Je ne sais comment cela se fit. Attribuons cela au fait du vin. Nous eûmes peu après dans la voiture nos bouches collées et nos langues en lutte. Il se fit fort de caresser ma cuisse et d’enfouir sa main dans ma culotte. Il allait fort vite. Point en reste je le suçais dans le sous-sol du parking. Il était trop bien monté. Autant que lui j’avais envie que nous passions au plus vite au plat de résistance. Le soir même dans son studio, il me sauta. Il me dit mi-sérieux qu’il attendait cela depuis longtemps. J’en fus flattée et fort émue. Je crus devoir mentir en alléguant le même.

Je découvris le délice d’avoir mon amant dans mon bureau. Je m’étais toujours refusée et pour cause cette chose. J’eus peur que ce fut un jaloux et qu’il m’interdit du coup les autres pratiques mais Alain car tel était son prénom, ne voyait pas d’inconvénient que je poursuivis comme avant. Je lui savais autant de coups de son côté. La seule règle étant de forniquer avec la capote d’usage. Les autres n’y virent goutte. Je poursuivais à répandre partout qu’il était un niais et un puceau. Alain fut prévenu bien sure du stratagème. Peu devinèrent que portes fermées nous baisions.

Ce garçon était assez avancé dans le vice. Cette découverte peu après me l’attacha. Des femmes plus âgées que moi l’avait corrompu. Les partouzes n’avaient aucun secret pour lui. Il était à un point dépravé que j’en eus plus d’une fois le frisson. C’est lui qui l’été venu me suggéra d’aller forniquer en plein air et dans certains sous-bois. Je sus peu après qu’il y avait autour maints voyeur et que cela l’excitait. Au début j’en fus chagrinée. L’exhibition n’était pas mon truc. Puis peu à peu suivant mon guide, ma jouissance eût cette condition d’être vue.

Puis il me souffla l’étape suivante. Que je m’offris à l’un de ces voyeurs. Déjà certains s’étaient approchés de notre couple pour se branler ostensiblement. Il parut comme logique que certains élus et distingués purent prendre place et me foutre. D’un coup d’œil avisé je signifiais lequel me plaisait et m’agréait. Ensuite Alain appuyé contre un arbre et fumant une cigarette m’encourageait d’un regard et sourire bienveillants. Au retour d’une de ces premières expériences il dit avec candeur que j’étais une magnifique putain. Le mot m’allât au cœur.

Un de nos autres jeux était que j’affectas le bronzage nue dans le sous-bois. Lorsqu’un type s’approchait, Alain sortait alors du taillis muni d’un pistolet. Il menaçait le type puis peu après il lui expliquait que s’il voulait baiser son amie, il devrait payer une somme conséquente. Deux fois sur trois, les types balbutiaient puis s’enfuyaient. D’autres résolus à se taper la salope, négociaient puis lâchaient les billets. C’était du coup me prostituer et j’adorais. Nous faisions cela dans l’heure du midi. Je passais sous la douche pour effacer les traces de mon forfait.

L’amusant fut que mon mari en dupe insista pour qu’Alain vint souvent à la maison. Les matchs de foot en étaient l’occasion. Alain poussait le défi à me caresser sous la table et à m’embrasser dans la cuisine. Il fit le pari qu’il pourrait me baiser un jour dans mon lit. Ce fut peu après. En effet mon mari partit en province et en difficulté avec la machine à laver, celui-ci me dépêcha le cher Alain lequel outre de réparer se rémunéra deux nuits durant en me baisant dans mon lit. Ce gosse m’apprit le piment du pervers dans le sexe. Son départ à Paris m’affecta au plus haut point.

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