Le voyage dans le Sud
Le lendemain (mercredi), nous nous sommes réveillé de bonne heure, après les douches nous avons fit une valise commune à la hâte, et nous avons sauté dans la bagnole destination le Sud. Nous nous sommes installés dans un bon hôtel, et vers vingt heures nous nous sommes rendus au restaurant de l’hôtel pour un dîner bien arrosé. Après, ma femme m’a proposé un verre au bar. Nous nous sommes installés au comptoir et elle a commandé deux verres de J&B aux glaçons. D’habitude elle mélange toujours son whisky. Je lui ai dis:
– Tu bois maintenant du whisky sec?
– Pour te faire plaisir.
– Merci chérie.
Et nous nous sommes embrassés longuement.
À côté de nous, il y avait un groupe de cinq Européens, apparemment des Espagnols. Ils étaient assis autour d’une table derrière ma femme. Un jeune homme qui devait avoir dans les trentaines, paraissait intéressé par ma femme, ne détachait pas ses yeux d’elle. Et je lui ai dis :
– T’as vu cet homme derrière toi chérie?
– Qu’est ce qu’il a ?
– Il te dévore des yeux. Et ne te quitte pas du regard.
Elle s’est retournée, et le jeune lui a souris. Elle a commencé à lui faire des yeux doux.
J’étais allé aux toilettes, et au retour, ma femme était en pleine discussion avec l’étranger. Après, elle m’a rejoint, et ma dit :
– Ce jeune Espagnol nous invite pour la soirée chez lui, il habit une villa juste en face de l’hôtel. Qu’est ce que t’en penses chéri ?
– Si tu le désires, pourquoi pas ?
Elle l’a invité, et il est venu se joindre à nous. Ma femme a fait les présentations, et lui a servi du whisky. C’était un entrepreneur Catalan très fortuné qui parle bien le Français, en déplacement d’affaires pour deux mois au Maroc. Il était très élégamment habillé et très bien parfumé. L’invité a questionné ma femme à mon sujet, et de sa situation. Elle lui a dit que nous sommes un couple moderne, et si l’un de nous désire un tiers, il peut l’inviter avec le consentement de l’autre. Lui aussi était marié à une Andalouse. L’homme a paru sidéré par ma femme, et il en avait vachement envie. Il nous a dit qu’à la première vue, il pensait qu’elle était Latine. Nous avons fini la bouteille, et à ma surprise l’invité a commandé une bouteille de Shivas.
Nous avons entamé la bouteille et ma femme s’est mise à discuter avec son invité, en espagnol, m’ignorant complètement. Nous avons terminé la deuxième bouteille vers une heure du matin et nous étions tous plus ou moins ivres. Xavier l’Espagnol, nous a invités dans sa superbe villa juste en face de l’hôtel. Nous y sommes rendu, tenant à bout de bras, ma femme qui pouvait à peine bouger. Nous nous sommes installés dans un superbe salon, et là notre hôte a débouché une bouteille de champagne de luxe en l’honneur de ma femme disait-il. Il a mis un CD de Julio Iglesias, a pris ma femme par la main et se sont mis à danser au centre de la pièce. Sur le coup j’étais pris d’une vague de jalousie, mais tout de suite je me suis rappelé les déboires sexuels de ma femme.
Après un slow très chaud, ma femme qui était grisée, au point qu’elle a failli tomber à deux reprises, s’est excusée auprès de moi, et a suivi son compagnon dans une autre chambre. Tout de suite après, j’ai terminé mon verre, et je suis allé les épier. J’ai vu une chambre entrouverte d’où émanait une lumière pourpre. J’ai vu ma femme, complètement nue, étendue sur le ventre dans un grand lit, et le jeune homme était entrain de lui lécher les pieds, s’attardant sur les orteils qu’il suçait délicatement un par un. Ensuite il s’est étendu à côté de ma femme qui s’est mise sur le côté droit, et a commencé à lui lécher le dos et la nuque. Elle a commencé à geindre et à trémousser. Je sais très bien la sensation qu’engendrent ces caresses. Ensuite, Xavier, a ouvert le tiroir de la table de nuit, en a sorti un préservatif qu’il a déroulé sur sa queue, a plié un peu les genoux de ma femme, et lui a planté, délicatement son sexe, par derrière, dans la chatte. Il s’y mettait avec une très grande douceur. Il s’est mis à la baiser avec tendresse. C’était un amant très affectif. Une étrange sensation à la fois de joie et d’angoisse a commencé à m’envahir, et j’ai éprouvé un plaisir énorme à voir ma femme se faire baiser tendrement par ce jeune homme. Mon pénis s’est mis à se détendre dans mon slip, j’ai ouvert ma braguette, et j’ai commencé à me branler au seuil de la porte. Ma femme a fait saillir sa croupe et allé à la rencontre du sexe de son amant. Elle a commencé à gémir et à parler en espagnol:
– Ah, sí mi querido! Yo siento bien, yo voy disfrutar. No detenga. ¡Ah ! ¡Ah ! Eso viene, aïe, aïe yo disfruto, yo disfruto.
Elle était toute en transe, et frissonnait.
Xavier, s’est retiré d’elle, l’a retourné sur le dos, après avoir enlevé la capote, s’est mis à califourchon sur elle, et faisait coulisser sa bitte entre les seins de ma femme qu’il a soigneusement pressé entre ses mains. À chaque coup de rein, son gland décalotté vient heurter la bouche ouverte de ma femme. Il s’est raidi et a giclé de longs jets de foutre dans la bouche de ma femme qui l’a avalé, a pris le sexe de son amant, et s’est mise à le nettoyer délicatement avec sa langue.
Sans m’en rendre compte, je me suis retrouvé debout, au bord du lit, à côté de ma femme, entrain de me masturber.
Elle s’est mise à quatre pattes, et m’a dit :
– Viens chéri, me le mettre par derrière, viens.
J’étais troublé et paralysé par son audace. Elle m’a prise par la main et m’a tiré sur le lit au moment où Xavier et allé chercher de l’eau fraîche pour ma femme qui avait soif. Elle m’a chuchoté:
– Faits-moi plaisir et viens me faire l’amour.
– Tu ne te laves pas ?
– Viens me le mettre dans le petit trou. Xavier ne m’a pas touché par là.
J’ai enlevé mes vêtements, et je me suis à genoux devant elle. Elle a pris ma queue dans sa main et s’est mise à me faire une superbe pipe, elle engloutissait complètement ma bite jusqu’à la gorge. Xavier, était de retour avec une bouteille d’eau qu’il a tendu à ma femme. Elle a lâché ma bitte pour étancher sa soif, et j’en ai profité pour me mettre derrière elle. Xavier qui avait remis son slip, a allumé une cigarette, et s’est installé dans un fauteuil au fond de la chambre avec une bière à la main. J’ai ouvert les fesses de ma femme et me suis mis à lui lécher le sillon et le petit trou. Je lui ai introduit un doigt, et puis deux. Son anus d’habitude très étroit, s’est mis à se dilater de façon phénoménale. Ma femme a commencé à trémousser et s’est agrippée aux draps. J’ai empoigné mon sexe, qui était dur comme du bois, je l’ai enduis avec ma salive, je l’ai placé sur le trou de cul de ma femme et me suis mis à la pilonner avec fougue. Xavier a enlevé son slip et s’est mis à se branler. Il s’est levé de son fauteuil, et s’est approché de nous. Ma femme était entrain de gémir à chaque coup de reins :
– Aie, Aie, oui chéri, baises-moi. Faits-moi jouir.
Tout en se branlant, Xavier m’encourageait :
– Oh lala, laboures lui bien le cul, allez, allez.
Ma femme a tourné sa tête et a dit à Xavier:
– Viens Xavier, donnes moi ta bitte que je te la suce.
Le jeune homme s’est mis devant elle, et lui a présenté sa queue devant le visage. Elle la saisi et m’a dit :
– Regardes chéri, je suis comblée, je sens bien ta queue dans mon cul, et je vais en avoir une autre dans ma bouche. Il ne maque plus qu’une troisième pour ma chatte.
Les paroles de ma femme ont intensifié mon ardeur, je l’ai prise par les hanches, et me suis mis à la tiré violemment sur mon sexe qui s’enfonçait dans ses entrailles jusqu’aux couilles. Ma femme a commencé à frissonner et à geindre. Je me suis mis sur le dos, et ma femme s’est assise sur ma queue en me tournant le dos. Je me suis mis à l’enculée, tout en tripotant sa chatte. Après j’ai dis à Xavier:
– Viens mon ami, viens lui remplir la chatte.
Il a enfilé un préservatif, monté sur le lit, et entrepris à la baiser en même temps que moi en prenant soins de synchroniser son mouvement avec le mien.
J’ai introduits mes doigts dans la bouche de ma femme et je lui ai dis :
– Tu es heureuse ma pute? Tu aimes qu’on te traite comme une chienne?
– Oui je suis heureuse, et je jouis des deux trous.
Xavier s’est retiré de la chatte de ma femme, a enlevé son préservatif et s’est déversé sur les cuisses de ma femme. Quant à moi, enfoncé au plus profond de son cul, j’ai joui en elle.
Xavier a tendu une serviette à ma femme pour s’essuyer, et il s’est éclipsé en nous souhaitant bonne nuit.
J’ai pris ma femme dans mes bras, et nous avons sombré dans un profond sommeil.
(à suivre)
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