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Journal d’une salope – 11 août 2017

Journal d’une salope – 11 août 2017



Je me suis fait surprendre aujourd’hui. Je sais que Simon aime que son souper soit prêt à servir quand il arrive du travail, mais j’ai fait du sexchat toute la journée et je n’ai pas vu l’heure passer.
Quand il est arrivé, je venais tout juste d’envoyer une photo de ma vulve bien ouverte et juteuse à un homme qui me le demandait. Il a vu mon message, puis la réponse de mon inconnu, qui disait qu’il jutait de la queue et qu’il abuserait bien de moi.
Le ventre vide, Simon a la mèche plus courte.
Il m’a levé, m’a amené jusqu’à la table et m’y a fait monter. Il m’a attaché les mains par le dessous de la table, ainsi que les jambes. J’étais étendue, les seins écrasés, les jambes ouvertes et la vulve à l’air et juteuse.
Il m’a laissé là et est allé se faire à manger. Je ne pouvais pas le voir cuisiner, mais ça sentait bon. Il est revenu avec ces bonnes odeurs et s’est installé au bout de la table, entre mes cuisses pour manger. Entre deux bouchées, il me piquait les fesses avec sa fourchette ou glissait un de ses doigts dans l’un de mes trous disponibles.
Son repas terminé, m’a détaché m’a déshabillé et m’a amené sur la terrasse. Il m’a mise à quatre pattes, dos à lui et m’a enfoncé dans les fesses, un gros ass plug, sans fioriture et ni gentillesse. Pour s’assurer de ma soumission, il l’a ressorti et remis plusieurs fois. Mon cul sentait ce gros jouet qui prenait presque trop de place. Je me suis sûrement plainte un peu, car je me sentais à la limite, mais pourtant, je commençais à me sentir élargir tranquillement et c’était très agréable.
Lorsqu’il a senti que son jouet avait bien pris place dans mon cul, il a déposé ses jambes sur mon dos et s’est ouvert une bière.
C’est comme ça qu’Alain et sa copine nous ont trouvé en arrivant, Simon buvant sa bière, et moi lui servant de repose-pieds, à poil, le cul bien rempli, nue, à notre invitée..
Je crois que Lili a été surprise, mais elle a semblé amusée. Alain lui a offert une bière, qu’elle a acceptée et Simon l’a fait asseoir entre lui et Alain. Bien sûr, lui aussi voulait pouvoir profiter de cette visite, inattendue pour lui… Elle contemplait le spectacle de mon cul rempli et Simon lui a montré la taille de mon jouet et me le retirant.
Après leur bière, Lili était plus décontractée et répondait bien aux avances de mes hommes. Simon lui a mis mon jouet entre les mains et lui a demandé de me le remettre dans le cul. J’ai senti ses douces mains sur mes fesses quand elle l’a enfoncé.
Puis il ne se sont plus occupé de moi, Simon et Alain se partageaient leur nouveau jouet qui gloussait en appréciant. Simon lui montait la jupe, pendant qu’Alain déboutonnait sa blouse.
En tournant la tête, je pouvais voir ses jambes ouvertes, mais sa vulve était cachée par la main d’Alain. Je pouvais pourtant voir ses mamelons pointés. Elle aimait ça, la cochonne!
Simon l’a mise sur moi, son ventre sur mon dos en s’assurant que sa vulve soit juste au-dessus de mon cul. Je sentais sa peau contre ma peau et je sentais Simon lui caresser le clitoris. Il s’était assuré que je sois bien consciente de ses gestes. Je le sentais entrer et sortir ses doigts, probablement de son vagin, car son jus coulait sur mes fesses. Son corps était de plus en plus chaud sur mon corps et commençait à trembler.
Alain, ne voulant pas être en reste, s’est placé devant moi pour se faire sucer, mais Simon ne l’a pas laissé pas faire et lui met plutôt la queue dans la bouche de Lili. C’était un peu frustrant, mais je la sentais s’étouffer sur sa grosse queue et c’est très excitant. Je connais bien cette queue longue et large et je l’enviais beaucoup.
J’ai senti Simon retirer ses doigts de Lili. Il a demandé à Alain de se placer derrière nous et de planter sa queue dans Lili. Il s’est exécuté gentiment et doucement, car Lili ne semblait pas habitué à prendre des queues aussi grosses.
Simon, quant à lui, s’était assis à nouveau, mais devant moi, cette fois. Il se masturbait en me montrant bien ce que je n’aurais pas le droit d’avoir. Il bandait bien et faisait glisser lentement sa main sur sa queue en me regardant dans les yeux.
Il m’existait, et je n’avais pas le droit de réagir. J’avais la bouche ouverte dans l’espoir qu’il veuille bien la remplir, mais il ne le faisait pas. Et il semblait adorer me torturer ainsi.
De toute façon, si j’avais bougé, j’aurais fait tomber la partenaire d’Alain qui commençait à vraiment avoir du plaisir. J’entendais sa respiration accélérée, elle gémissait doucement, faisait onduler ses hanches, et son poil humides chatouillait mes fesses.
Alain lui a mis un coup de queue bien au fond. Il l’a rempli d’un coup plus loin et plus durement que les autres fois. Je me suis sentie avancer vers la queue de Simon, dans un fort gémissement de Lili qui ne s’attendait pas à autant de chair et de plaisir.
Mon visage à frapper la queue de Simon qui ne s’y attendait pas et j’ai réussi à att****r quelque gouttes de son jus qui commençait à couler. Lili aussi s’est frappé contre son corps. Il s’est levé et c’est bientôt elle qui a droit à son jus. J’essaie d’att****r ce que je pouvais… Si peu…
Alain continue à la mettre bien au fond et je sens mes fesses et ma vulve étaient toutes mouillées du jus le Lili qui hurlait son plaisir et éclaboussait Alain.
C’est à ce moment que Simon a décidé de me tourner sur le dos et de me placer la face sous les genoux de Lili, qui était à son tour à quatre pattes. Elle était toute mouillée et éclaboussait ma face. Alain se faisait aller en elle comme si elle avait un trou sans fond.
Elle a écrasé ses seins sur moi et j’ai senti son dos se courber pour remonter ses fesses. Elle a jouit tout à coup, et j’ai reçu en pleine bouche, non seulement le jus d’Alain qui explosait, mais la rivière de plaisir de Lili.
Simon, à nouveau excité, a aider Lili à se relever, a invité Alain à rentrer, et ils m’ont laissé là, toute éclaboussée de plaisir et de sperme, sur la terrasse, pendant que Simon allaient allait à son tour, remplir Lili…
Je suis restée là sur la terrasse, seule, les jambes ouvertes, la face juteuse dans la chaleur du soir. Je me suis masturbé…

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