Histoires de sexe Histoires érotiques au travail

LA MÉTAMORPHOSE D’UN DIRECTEUR FINANCI

LA MÉTAMORPHOSE D’UN DIRECTEUR FINANCI



Plus tard dans la semaine, Michel et Jade ont travaillé ensemble et se sont rendus chez les parents Jade. La mère de Jade les avait invités pour le souper, et les avaient conduit chez elle, et elle avait exigé qu’ils restent pour la nuit. Jade se sentait un peu nerveuse car Michel avait rencontré ses parents juste une fois auparavant, et seulement très brièvement.

« Il y a une chose chéri, une toute petite faveur. Vous voyez, maman me voit toujours comme sa petite fille innocente. Vous n’allez pas croire que cela, mais elle croit réellement que je suis toujours vierge… Et cela pour sauver mon âme ! Aussi, je ne voudrais pas la blesser, vous savez. Je vous serai vraiment reconnaissante si vous ne disiez rien qui ne puisse la détromper… Vous voyez ce que je veux dire. Vous comprenez cela, n’est-ce pas mon amour. « 

Il ne savait pas s’il devait rire ou applaudir.

« Votre secret sera bien préservé, ne vous inquiétez pas. Je ne lui dirai pas quelle mauvaise fille vous êtes devenue… Et je suis sûr que vous serez vraiment très gentille avec moi pour vous assurer que je ne dirai rien » dit-il en la taquinant.

« Oh ne vous inquiétez pas, je suis sûre que je trouverais quelque chose pour vous récompenser » a-t- elle souri et elle a caressé le haut de sa cuisse avec sa main.

——————————————————————————–

La soirée s’est passée sans à-coup. Michel s’entendait bien avec ses parents. Il a trouvé sa mère un peu sérieuse et un peu dominatrice, en cela pas très différente de ca propre mère, mais très sympathique tout de même. C’était une belle femme, vers la fin de trentaine, avec des cheveux blonds et un joli visage. Il était intéressé de rencontrer les amies féminines de sa mère, car cela lui donnait une idée précise de ce qu’il pourrait attendre de leurs filles dans les années à venir. Si elles étaient comme Jade, si elles parlaient d’une manière autoritaire et ferme. Car il était évident que c’était qui elle prenait toutes les décisions dans cette maison.

Après le dîner et quelques boissons, Mme Hamilton a montré sa chambre à Michel. Il était évident qu’elle n’avait jamais eu l’intention de les laisser dormir ensemble et il fut introduit dans la chambre à côté de celle de Jade et à l’opposé de la chambre des parents.

« J’espère que vous saurez installer confortablement Michel, faites-moi savoir si vous avez besoin de quoi que ce soit… De vraiment quoi que ce soit… Surtout n’hésitez pas » et elle a souri.

Il l’a remerciée et a enfilé son pyjama, en souriant à lui-même en se demandant ce qu’elle avait voulu dire et si cela signifiait qu’elle était d’accord pour qu’il ouvre la porte de communication avec la chambre de sa fille afin qu’il puisse la baiser.

« Bonjour, là-dedans, est-ce que tout va bien ? » Jade se tenait en travers de la porte en pyjama en coton. Michel a ri. D’habitude elle ne met jamais rien d’aussi rébarbatif mais elle faisait cela sans doute plaire à sa mère.

« Et vous, arrêtez donc de rire de mon pyjama. » Dit-elle, en s’approchant pour venir se blottir dans ses bras et lui donner le baiser de bonne nuit.

« Vous vous ennuyiez de moi, mon amour ? » elle a souri, plaçant sa main sur le devant de la braguette de son pyjama et lui donnant une douce pression.

« Hummm. » elle a ronronné tandis que son pénis a remué en reprenant vie, « je pense que je vous manque déjà. »

« … svp ne me taquinez pas  » a-t-il prié.

Elle a chuchoté dans son oreille.

« Je vous dis ceci. Attendez une demi-heure jusqu’à ce que chacun soit endormi et alors venez dans ma chambre. Vous devrez être vraiment silencieux cependant, car maman a le sommeil léger. »

« Vous pouvez en être sure » il a ri et elle a frotté son membre une dernière fois et il l’a quitté pour aller au lit. Il s’est étendu tout en restant éveillé, pensant à Jade et se frottant doucement. Il a attendu au moins une demi-heure avant de s’aventurer hors de sa chambre. La maison était silencieuse indépendamment du bruit que faisait M. Hamilton en ronflant.

Il s’est faufilé jusqu’à la salle de bains pour s’assurer que la voie était libre, puis a fait demi-tour pour revenir vers la chambre de Jade et il était juste sur le point de saisir la poignée quand sa mère est apparue à sa porte de sa chambre à coucher dans un déshabillé vaporeux.

« Tout va bien Michel ? Vous semblez être un amoureux perdu, c’est la pièce de Jade n’est pas » a-t-elle chuchoté et l’a amené de nouveau à sa propre chambre.

« Je pense que vous vous êtes un peu embrouillé, cela arrive facilement dans l’obscurité, n’est-ce pas ? » À-t-elle dit, en fermant la porte derrière elle.

« Hum, oui, voilà. Il fait si noir ici que je ne savais plus quelle étais la porte de ma chambre. »

« Oui, c’est ce que j’ai pensé aussi. Maintenant, pourquoi n’iriez-vous pas de nouveau dans votre lit et je pourrais vous y bordez. » Il a rapidement suivi sa suggestion, mais au lieu de rabattre les couvertures sur lui, elle s’est assise sur le bord du lit, se penchant vers lui avec sa main se reposant légèrement sur sa cuisse.

« Je suis désolé si je vous dérange, mais M. Hamilton me maintient toujours éveillé avec son ronflement et il m’a semblé entendre quelque chose… Eh bien je suppose que je ne me suis pas trompé, n’est-ce pas ? »

Dans la chambre à coucher éclairé par la pleine lune, Michel pouvait la voir tout à fait clairement. Elle portait un déshabillé en deux couches superposées de chiffon de dentelle dans une couleur de bleu bébé, très fascinant. Cela ressemblait à un déshabillé qui aurait pu faire partie d’un trousseau nuptial, avec des mètres et des mètres de dentelle translucide qui tourbillonnait autour de ses jambes, accentuant le large ourlet ouvragé qui était décoré avec de la dentelle et des rubans.

Elle était spectaculairement belle, dans ce déshabillé le plus féminin qu’il avait jamais vu, un nuage exquis de dentelle, et de chiffon féminin. Les manches étaient fines et larges et se rétrécissaient au coude au moyen de rubans noués, mais ses yeux étaient irrésistiblement attirés par la coupe de son corsage.

Il était décoré de rubans aux couleurs vives avec de délicates rosettes roses et s’attachait sur le devant avec un nœud en satin. Elle a immédiatement senti qu’il la regardait fixement et elle a désigné le ruban ou ouvrir le déshabillé et montré une double nuisette en dessous.

La nuisette était absolument magnifique, richement brodé avec des lacets de dentelle autour du buste et des roses de dentelle sur le devant. L’ensemble était d’un aspect luxueux, de rêve, l’effet vaporeux qui se dégageait des quatre minces couches lui fit penser que le goût dispendieux qu’avait Jade pour la lingerie de luxe avait été développé par sa mère. Et indépendamment de leur goût semblable pour la lingerie, elles partageaient aussi quelques attributs physiques. Mme Hamilton avait une paire de seins énormes qui semblaient déborder du devant de son déshabillé, le tissu fin révélant ses grands mamelons bruns. Michel s’est trouvé en train d’admirer ses formes et le petit ruban rose attaché autour de son cou. Il se demandait… se demandait si c’était simplement une décoration ou si… »

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire