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La chercheuse ( cinquième partie )

La chercheuse ( cinquième partie )



La cuve

Elle continuèrent, la passerelle rentra dans les bois a nouveau. Les crapauds avaient recommencer leur concert.
-Je t’avait dit de ne pas t’occuper de moi! Fit Odile mains a nouveau croiser sur les seins tout comme Judith pour réchauffer leur mamelons.
-T’as pas aimer?
-Bon dieux oui, surtout le doigt dans le cul! Bon on est arriver a l’île voici mon repaire!
Odile c’était arrêter au somment d’un escalier et Judith, mains sur ses épaule vit, éclairer par la lune une grande maison de pierre ronde entourer de grands arbres, avec des annexes ronde aussi, le tout sur trois étages avec des toits pointue et des cheminée qui fumaient et il y avait de la lumière a certaines fenêtres.
-Il y as quelqu’un? Demanda elle.
-Anna est venu pour réchauffé la place et préparer le bain, elle est la seule a connaître l’endroit. Elle et moi on est amante depuis longtemps sans que mon fils le sache, enfin je croît. Il y as un sous-terrain entre le château et cette maisons, un raccourcit que je déteste emprunter. C’est humide et glauque. Anna est repartie, on seras seul! Rajouta t-elle en descendant les marches.
Judith en fut un peut dessus, cette Anna était bien jolie, trois femmes dans le même lit il n’y avait rien de mieux pour se réchauffé.
Une fois en bas, elle suivirent une allé dallée envahit par de mauvaise herbes qui leurs chatouillaient les pieds et montèrent un escalier extérieur en bois qui menait directement au deuxième. Elle entrèrent dans une grande pièce ronde et bien chaude qui faisait tout l’étage et éclairer par de grands cierges. Judith, émerveiller, vit une grande cuve de cuivre en plein milieux de la place au rebord aussi haut que ses épaule avec un escalier de métal pour y grimper. Un tuyaux descendait du plafond et était relier au bain gigantesque. Vers l’est un feu brûlait dans un grand foyer en demie cercle. Trois porte ronde donnait apparemment sur les annexes. Sur une table ronde était poser des victuailles, pain, fromage et du vin. De grande fenêtre, ronde aussi devait bien éclairer la salle pendant le jour.
-Ses ça ton bain Odile? On vas s’y noyer si on s’endort la dedans!
-J’ai pas l’intention de dormir, en tout cas pas tout de suite! Dit-elle en éteignant sa lampe et s’approchant de la table ronde. Elle remplie les coupes de vin et en donna une a Judith qui prit aussitôt une grande gorgée, le vin fruité était délicieux.
-Tout est rond ici on dirais bien!
-Oui, a croire que tout a été construit pour s’harmoniser avec mes rondeur, viens allons nous baigner, amène le plateau avec la nourriture je m’occupe du vin.
Odile amena une bouteille et grimpa dans la cuve, a l’intérieur il y avait un autres escalier. Judith la suivit, faisant attention de ne pas renverser le plateau et une fois en haut, elle vit qu’il y avait deux banc immerger l’un en face de l’autre et une table ronde au centre de la cuve hors de l’eau, aussi en cuivre, dessus reposait, des éponges, de savons, des cierges et la bouteille et la coupe d’Odile qui se lavait déjà avec une grande éponge debout a coté de la table de l’eau jusqu’au seins.
L’eau fumait et dégageait une agréable odeur d’huile aromatiser et il y flottait des feuilles, peut être de noyer ou de chêne réputer pour donner une belle chevelure. Judith descendit et entra dans l’eau chaude mais pas trop si enfonçant avec plaisir après cette marche dans la froidure de la nuit puis posa le plateau et sa coupe sur la table et prit une éponge quelle savonna et se lava face a Odile qui lui souriait et qui fini par la rejoindre pour lui laver le dos, les épaules et les fesses.
-Sa fait du bien non!
-Oh oui! Lâcha Judith dans un long souffle en se retournant en sentant enfin ses os se réchauffer. Elle se lavèrent mutuellement un long moment explorant chaque recoin de leur corps en se regardant, se souriant, se donnant de doux baiser.
Puis elle s’enlacèrent, se frottèrent l’une contre l’autre en s’amusant avant de reprendre du vin et manger avec appétit debout autour de la table. Puis elle s’asseyaiere l’une en face de l’autre.
Judith sentit une douce langueur l’envahir une fois l’estomac plein de pain noir, de fromage fort et de salami épicer. Elle étira ses longues jambes sous l’eau en regardant sa poitrine qui flottait tout comme celle d’Odile.
-L’eau viens de la haut? Demanda Judith curieuse en montrant le tuyau tout en se resservant du vin.
-Oui, l’eau de pluie est recueillit dans une grande cuve au troisième et chauffer. Mais dit moi, a ta naissance tes parent, il on dut te prendre pour un garçon!
-Oui j’ai vécue en garçon jusqu’à mes 12 ou 13 ans! J’étais un grand garçon frêle et maigre mais qui n’avait pas peur de la bagarre. J’étais déjà plus grande que mes amis a l’époque, frêle mais forte j’aidai mon père a la forge et m’était fait des muscles et j’aimais cela et quand mes seins on commencer a pousser évidemment, tout a changé. Je me suis lever un beau matin avec une poitrine.
-Ouf, sa dut être difficile pour toi mais aussi pour tes parents et tes amis, j’imagine?
-Ses mon père évidemment qui la vraiment mal prit, j’étais enfant unique dans un petit village en Bretagne, ma mère ne pouvait plus enfanter. Il était ravit d’avoir un garçon pour le remplacer un jour a la forge et la, il ne savait plus vraiment si il avait une fille ou un gars. Sa été dur pour lui mais aussi pour ma mère, elle avait comprise que jamais elle ne serais grand-mère, enfin, quelle n’aurais jamais une fille qui porterais ses petit enfants, quant a savoir si je pourrais en faire la… Comment le savoir!
Et avoir des seins ma troubler au début ses certain mais j’ai due faire avec, j’avais pas le choix. Ma mère elle me disait; Paul, pour l’instant tu vas continuer a vivre en garçon ces se que souhaite ton père et dans quelque année tu décideras de ta vie. Pendant des mois j’ai cacher mes seins qui ne cessait de grossir sous des bandelettes mais qui heureusement était plutôt plat, comme ceux de ma mère, mais a 14 ans une filles me courait après et elle me plaisait. La belle Émilie avec ses beau grand yeux noir j’en était amoureux fou mais je la fuyait, passant mon temps a la forge malheureux. Sa ce compliquait chaque jour un peut plus, surtout l’été lors des baignade a la rivière avec des amis, et puis en vieillissant j’avais de plus en plus de courbe et pas de poil au visage. On commença a jaser au village, il devenait évident pour mes parent que je devenait rapidement une fort jolie fille comme ma mère mais qu’il serais impossible pour eux de me marier a qui que se soit mais je ne pouvait plus passé pour un garçon et je n’en avait plus envie. Un soir en revenant de la forge j’ai trouver une jolie robe sur mon lit, des bas, des souliers et des brosses etc… Je me suis laver rapidement et je me suis habiller sachant que ma vie de garçon était derrière moi a tout jamais et le cœur battant a toute allure je suis descendue les joues rouge de gène.
Ils m’attendaient tout les deux émue, mon père surtout et je vit bien qu’il était fier de sa nouvelle fille même si il se contenta de dire.
-J’ai engager un apprenti a la forge mademoiselle!
Ma mère ma serrer dans ses bras en pleurant. Devine Odile quelle a été le sujet de toutes les conversation au village cette semaine la!
-Facile a deviner, et ta belle Émilie!
-Elle c’est évanouie quand elle a vue mon décolleté beaucoup plus profond que le siens et quelques un des mes amis aussi! Et ils n’avait surtout pas envie de faire la cour a quelqu’un qui avait pisser avec eux, debout, depuis toujours!
Odile rit longuement.
-Et ensuite? Fit-elle essuyant ses yeux plein d’eau, ta belle Émilie…
-On était devenue de bonne amie finalement, malheureusement, rien de plus!
-Et ta toujours préférer les filles?
-Oui, mais j’ai été follement amoureuse de bien des hommes aussi et eux de moi malgré mon petit plus!
-Gros plus plutôt je dirais! Fit Odile coquine.
-Vas pour les questions indiscrète?
-On porte un toast au belles femmes que nous sommes, intelligente et cultivé?
-A nous! Fit Judith en frappant la coupe d’Odile.
Elle finirent la bouteille puis sortirent du bain, se séchèrent avec de grand linge blanc mais restèrent nue. La maison était bien chauffé et elles se sentaient bien comme sa, les deux femmes prenaient plaisir a se voir nue. Odile prit une autre bouteille et l’emmena vers une des annexes pour lui montrer sa collection.

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