Dans ce récit mon amie Martine s’obstine et obtient ce qu’elle veut de moi.
Je la fréquente depuis plusieurs années et nous avons maintenant des souvenirs en commun:
Chez elle nous avons fait l’amour avec deux techniciens, à cette occasion après bien des hésitations elle a cocufié son mari pour la première fois.
Ensuite ensemble nous avons satisfait sexuellement un homme de passage dans la ville, ce qui a contribué à la libérer.
Maintenant elle a un amant attitré (un black fortement membré) qui la met dans un état pas possible lors de leurs ébats car c’est une femme qui jouit beaucoup et rapidement.
Elle prend d’autres amants qu’elle garde d’une journée à plusieurs mois suivant qu’ils font l’affaire ou pas.
Mais ce qui l’a le plus marquée lorsque nous avons fait l’amour ensemble avec un homme, c’est qu’à un moment je l’ai caressé ses seins et son sexe. Cela lui a donné envie d’avoir une relation avec une femme et elle a jeté son dévolu sur moi.
Je ne penche pas du tout du côté lesbienne et je commence à comprendre qu’elle doit être bisexuelle alors qu’elle même n’en avait pas conscience jusqu’à maintenant.
A chaque fois que l’on se voit Martine me harcèle.
<
<
<
Je refuse longtemps puis un jour je capitule car elle s’obstine et est connue pour son entêtement.
<
Cette perspective la rend euphorique et sans réfléchir elle m’embrasse sur les lèvres.
Dans la semaine elle vient me rendre visite, nous ne parlons pas du sujet brûlant mais je la sens impatiente.
J’achète deux godes (un pour la chatte et un pour l’anus qui avec sa collerette et ses différences de diamètre reste en place et ne peut pas disparaître dans le cul), je trouve également des carottes de différente tailles (j’aime bien quand mon mari me pénètre avec une carotte).
J’arrive chez elle, elle m’ouvre la porte tout sourire et vêtue très sexy.
Elle veut me faire la bise, je passe mes bras autour de son cou, me colle à elle et pose mes lèvres sur les siennes, j’introduis ma langue dans sa bouche et commence à la faire bouger dans tous les sens. Surprise elle ne réagit pas tout de suite puis elle m’enlace et répond à mon baiser. Nos langues se cherchent et se mêlent.
J’y mets de la passion et fais durer le baiser.
<
<
<
Elle n’est pas à l’aise, moi non plus. Je lui demande de nous servir un verre d’alcool pour faire monter la température dans son corps et qu’on se sente plus libérée.
Assises côte à côte sur le canapé je caresse ses joues puis longuement sa poitrine et ensuite ses cuisses, ça lui fait de l’effet: ses narines frémissent et ses yeux brillent.
Timidement elle essaie d’en faire autant sur moi, je la laisse faire un moment pendant que n’étant pas de glace la moiteur envahit mon intimité.
Je décide qu’elle est assez échauffée et je me lève.
<
<
<
<
Une claque violente s’abat sur sa cuisse. Elle pousse un cri mais ne se rebelle pas.
<
<
Je mets une main dans une des siennes et lui demande de me mener à sa chambre. Elle le fait sans dire un mot, troublée les joues empourprées car elle appréhende la suite.
Debout je l’enlace, je l’embrasse et cherche sa langue. Elle répond avec fougue à mes baisers en passant ses bras autour de mon cou.
Je m’attaque à son chemisier que je jette au sol, son soutien-gorge prend le même chemin.
Je caresse sa poitrine, mes doigts agacent et tordent les tétons pendant qu’elle soupire.
Ma bouche et ma langue viennent embrasser et lécher ses seins. Mes dents mordillent et torturent les tétons qui sont érigés. Elle gémit.
Je dégrafe sa jupe qui tombe à ses pieds, je baisse son string qui est très humide et le fais glisser le long de ses jambes qu’elle soulève pour que je la débarrasse du vêtement devenu inutile.
Je caresse longuement son ventre et ses cuisses puis ma main effleure son sexe déjà bien humide.
<
<
J’arrête les caresses.
<<à toi, montres moi ce que tu sais faire>>.
Elle retire mon maillot et mon soutien-gorge et s’inspire des caresses que je lui ai faites.
Je constate qu’être caressée par un femme ou un homme est très différent. Les hommes sont plus brutaux et virils, les caresses des femmes sont plus douces.
Elle s’attaque à ma jupe et mon string et caresse mon ventre, mes cuisses et mon sexe.
<
Ma main étant sur son sexe je constate qu’elle mouille de plus belle.
Je la pousse sur le lit et me couche sur elle. Un long baiser nous unit pendant que je frotte mon pubis contre le sien et que ma poitrine écrase la sienne.
Le désir monte dans mon ventre.
J’embrasse et lèche son corps en partant de sa figure, en passant par sa poitrine, son ventre et ses cuisses. Aux mouvements de son corps je constate que ses tétons sont très sensibles quand je les agace.
Je m’allonge tête-bêche sur elle.
J’embrasse son sexe à l’épaisse toison brune. Elle écarte les cuisses, ma langue pénètre sa chatte et l’explore longuement, elle frémit.
Je caresse son anus puis y enfonce un doigt, je m’évertue à agrandir son orifice. En même temps ma main libre masturbe violemment son clitoris.
Martine embrasse et lèche mon sexe, ses mains écartent les lèvres de ma chatte et sa langue s’insinue à l’intérieur et la fouille dans tous les sens. Elle caresse mes cuisses et mes fesses.
Ses fesses remuent de plus en plus et comme je m’y attendais le plaisir l’emporte très vite, prise de spasmes elle atteint l’orgasme et des jets de cyprine éclaboussent ma figure.
Je me déplace et je l’embrasse afin qu’elle profite de l’odeur et du goût de ses secrétions.
Pendant que je caresse son corps, elle lèche et embrasse ma poitrine puis martyrise mes tétons avec ses doigts et ses dents. Je lui parle, je lui dis que j’adore être masturbée et je l’incite à s’occuper de mon anus.
Je suis allongée sur le dos, un coussin sous les fesses pour les surélever, elle lèche tour à tour mon sexe et mon anus. Elle me doigte la chatte et le cul avant de martyriser mon clitoris. Les envies augmentent rapidement en moi. Elle insiste jusqu’à ce que mes fesses se soulèvent et que agitée de tremblements l’orgasme m’emporte accompagné des jets de liquide qui sortent de mon intimité.
Je l’embrasse, le goût et l’odeur de nos mouillures se mélangent dans nos bouches. Elle répond avec fougue à mes baisers que je fais durer.
Nous nous caressons partout en insistant sur les endroits les plus sensibles, le plaisir remonte dans nos corps puis nous commençons un 69 ce qui nous excite encore plus.
Un de mes doigts ne quitte plus son cul dont l’orifice s’est élargi, La masturbation de son clitoris l’amène encore à la jouissance. Je continue à lécher son intimité ou à la masturber.
Comme elle en fait de même sur moi et que le plaisir ne faiblit pas j’ai un orgasme et ma cyprine éclabousse son visage juste avant qu’elle ne jouisse à nouveau.
Après un petit moment de repos je quitte le lit pour récupérer les choses que j’ai amenées dans un sac.
Je lui donne un gode pour qu’elle s’occupe de ma chatte avec.
J’écarte ses fesses et lui met le plug dans le cul.
Pendant qu’elle me défonce le vagin avec le faux pénis j’en fais autant en me servant des carottes en commençant par la plus petite pour finir par la plus grosse quand sa chatte est en mesure de l’accepter. Régulièrement je fais coulisser le gode qui est dans son anus en même temps que la carotte qui emplit son vagin. Les mouvements désordonnés de son corps me gênent pour ce que je fais subir à ses orifices
Elle gémit et râle de plus en plus puis elle commence à avoir des orgasmes à répétition et ne s’occupe plus de me goder que quand elle redevient lucide ce qui dure de moins en moins longtemps.
Pendant que je la défonce je me masturbe le clitoris jusqu’à l’orgasme car mes envies sont très fortes.
Je ne compte pas les orgasmes qui emportent de plus en plus vite Martine, son corps s’agite en permanence et ses gémissements ne arrêtent plus, la cyprine qui s’écoule de son vagin semble intarissable.
Finalement j’ai affaire à un corps qu’elle ne contrôle plus car elle est dans un état comateux alors après l’avoir fait jouir une dernière fois je la laisse se remettre, le gode qui tient bien en place est toujours dans son cul.
Je me lave dans la salle de bain puis je vais dans la cuisine nous servir un verre d’alcool.
Je bois le mien et je retourne dans la chambre. Je soulève la tête de Martine et lui fais boire des petites gorgées d’alcool, elle tousse et s’étrangle.
Progressivement elle reprend du poil de la bête et commence à me parler:
<
<
<
<
<
Elle se lève et va dans la salle de bain la démarche mal assurée.
Rhabillées et assises sur le canapé nous buvons un verre, Martine pose sa tête contre mon épaule amoureusement, je caresse sa joue.
<
<
<
<
Je lui donne mes instructions pour la fois suivante et elle rougit car elle est surprise par mes souhaits.
<
Nous échangeons un long baiser ou nos langues se livrent un combat acharné puis je la quitte avant de la recevoir le surlendemain comme une amie cette fois.
Malgré que ce ne soit pas ma tasse de thé je poursuis ma relation intime avec mon amie Martine qui se révèle être bisexuelle.
je lui dis que j’ai beaucoup d’affection pour elle et que notre amitié ne doit pas souffrir de nos débordements. On se met d’accord pour pas aborder le sujet lorsque nous nous voyons en dehors des rendez-vous sexuels.
Arrive le jour ou je dois de nouveau faire l’amour avec Martine.
Je sonne à sa porte et entre sans attendre comme c’est prévu.
Elle est vêtue dans une tenue sexy comme je le lui avais demandé.
<
<
<
<
Une fois debout je fais une inspection visuelle de sa tenue: jupe très courte et caraco rouges,bas résilles et chaussures à talons assorties.
<
Je glisse une main dans sa culotte et je fouille sa chatte, je retire ma main qui est pleine de mouillure.
<
Martine s’exécute sans répondre.
<
Elle me fait un déshabillage en imitant les effeuilleuses qui me convient même s’il n’est pas très élaboré.
<
<
<
Je lui demande de me précéder dans l’escalier pour que je puisse la regarder remuer son cul quand elle monte les marches ce qui est un spectacle agréable.
Nous arrivons dans sa chambre.
<
<
<
Nous nous enlaçons et partageons des longs baisers amoureux.
<
Elle s’exécute lentement tout en embrassant et léchant la partie du corps qu’elle dénude et quand je me retrouve nue elle s’agenouille et embrasse mon ventre puis mes cuisses et arrive enfin sur mon sexe quelle lèche longuement avec application.
Sa langue pénètre dans mon intimité et l’explore pendant qu’une de ses mains caresse mes fesses puis un doigt s’introduit dans mon anus et le doigte. Je me laisse faire.
Après l’avoir léché et caressé elle masturbe sans ménagement et avec insistance mon clitoris.
Son travail de sape finit par porter ses fruits, je me retrouve allongée sur le lit, sa figure est toujours entre mes cuisses et ses doigts s’activent, le plaisir monte vite dans mon ventre, mon corps se tend et prise de spasmes mon vagin envoie des jets de cyprine sur son visage pendant que je jouis.
Allongés nous nous embrassons, chacune caresse la poitrine et torture les tétons de l’autre puis positionnée tête-bêche ma langue explore son vagin et je doigte ses orifices avant de passer à la masturbation de son clitoris. Elle en fait de même sur moi.
Elle est toujours aussi bruyante et ses gémissements accompagnent nos ébats.
Comme c’était à prévoir elle jouit deux fois avant que je n’atteigne l’orgasme.
La séance se poursuit avec les godes, elle en a acheté d’autres en plus de ceux que j’ai amenés. Pendant qu’avec ces instruments je défonce en même temps sa chatte et son cul, elle en fait de même dans mes orifices.
La masturbation du clitoris occupe les moments de pose du pilonnage des orifices.
Martine arrive à me faire jouir plusieurs fois avant de sombrer dans un état second car pour elle les orgasmes s’enchaînent et excitée par ses râles et cris je n’arrête pas de martyriser son clitoris et de défoncer son cul et sa chatte avec les instruments.
Même les claques que j’assène sur son sexe pour la faire réagir et qui la font sursauter et crier ne la sortent pas de sa torpeur.
Je la laisse récupérer avec le plug enfoncé dans son cul, celui que j’ai mis dans sa chatte en sort progressivement et je vais me laver et me rhabille.
Beaucoup plus tard, elle se lave et reste nue nous buvons un verre et parlons pendant que heureuse elle se colle à moi. Puis je retourne chez moi.
Quand nous nous voyons en dehors des moments ou nous faisons l’amour ensemble nous n’évoquons pas ces faits, nous sommes uniquement des amies proches et nous nous comportons comme telles.
J’arrive chez Martine pour notre quatrième rendez-vous entre bisexuelles.
J’appuie sur la sonnette et j’ouvre directement la porte et entre dans le salon.
Martine est là à m’attendre sur le canapé allongée les jambes repliées.
Je m’approche d’elle et caresse ses cheveux puis je l’embrasse amoureusement.
<
Elle se met debout: quelle tenue indécente avec sa jupe rose fluo ras de la moule, son maillot blanc fluo bien moulant et très échancré, ses chaussures à talons hauts assortis et ses bas résille. Son maquillage est outrancier, elle a beaucoup abusé du rouge à lèvres, du fard à joues et à paupières ainsi que du fond de teint.
On croirait voir une vieille putain qui a besoin de cacher les ravages du temps sur son visage pour pouvoir continuer son métier.
<
Effectivement elle a fait sans rechigner ce que je lui ai demandé.
Elle ne répond pas.
<
Je soulève sa jupe, je glisse une main dans son string et caresse son sexe. Je retire ma main qui est bien mouillée, ses fesses sont dans un état pas possible, sa culotte est trempée.
<
<
Elle lèche consciencieusement ma main.
<
<
<
<
<
<
Je consens à ce quelle enfile une gabardine pour cacher sa tenue puis elle va sortir son auto du garage.
Nous gagnons un chemin en forêt que je connais et qui est très retiré.
Arrivées sur place nous sortons de la voiture et je lui demande de quitter sa gabardine, elle le fait mais n’est pas rassurée.
Nous nous promenons un bon moment enlacées, elle a du mal à marcher avec ses hauts talons. elle a peur de rencontrer quelqu’un. Cela m’amuse beaucoup.
De retour à l’auto je lui demande de me lécher le sexe et de me faire jouir avec ses doigts.
<
<
A genoux elle lèche mon sexe après avoir retirée ma culotte, elle écarte les lèvres de ma chatte et sa langue pénètre dedans. Elle fouille mon intimité pendant un bon moment.
Je la repousse, elle se relève. Nous retournons à la voiture et prenons le chemin du retour.
De retour chez elle nous mangeons tout en nous embrassant et caressant puis nous allons dans sa chambre.
Nous commençons par des baisers ou nos langues se mêlent et ont du mal à se quitter.
<
<
Lentement elle me déleste des vêtements tout en embrassant et léchant mon corps en partant des joues pour arriver sur mon sexe. Au passage elle s’acharne sur mes seins et surtout les tétons quelle tord et mordille.
Elle me demande de me coucher sur le lit et se met à genoux entre mes jambes.
Elle lèche mes cuisses, mon sexe et sa langue fouille longtemps mon intimité puis viennent le doigter ma chatte et mon anus avant qu’elle ne s’en prenne à mon clitoris en insistant jusqu’à ce qu’elle me fasse jouir deux fois.
<
Elle s’allonge sur moi et frotte son corps sur le mien tout en m’embrassant amoureusement.
Chacun s’occupe de la poitrine et des tétons de l’autre avant d’entreprendre un 69.
Rapidement très excitée Martine jouit, je l’amène encore à l’orgasme deux fois et moi je jouis une fois avant que les queues de substitution ne soient utilisées.
Elle m’amène plusieurs fois à l’orgasme et je la laisse inerte après l’avoir fais jouir de nombreuses fois comme d’habitude.
J’éteins la lumière et m’endors allongée à côté d’elle.
Dans la nuit une main qui caresse ma chatte me réveille et nous faisons l’amour jusqu’à ce que nous jouissions encore.
Nous remettons ça au petit matin en utilisant beaucoup les godes et atteignons plusieurs fois l’orgasme, enfin elle plus souvent que moi.
Quand assises sur le canapé nous discutons après avoir déjeuné je l’informe que je vais essayer de lui trouver une partenaire du même bord qui lui convienne et que je ne peux pas continuer indéfiniment une relation qui n’est pas trop mon truc.
Elle est déçue mais me comprend car elle s’y attendait et ne veut pas perdre mon amitié qui est très forte.
Je la rassure sur ce point car les choses que nous avons vécues ensemble ont renforcé les liens qui nous unissent.
Bien que continuant encore notre relation cela ne m’amuse plus et je préfère être prise par un homme et puis je suis un électron libre, je passe une annonce pour trouver à Martine une femme bisexuelle ou lesbienne qui puisse lui convenir.
Je rencontre une première fois seule des femmes à qui j’expose la situation puis j’amène Martine aux rendez-vous suivants avec les candidates que j’ai sélectionnées.
Finalement mon amie fait un essai avec trois d’entre elles puis elle choisit Myriam, celle avec qui elle a le plus d’atomes crochus, qu’elle voit ensuite une fois par semaine.
Ajouter un commentaire