J’ai frappé à la porte, mais ça n’a pas répondu tout de suite. Au moins trente secondes ont dû s’écouler avant que des bruits de pas s’approchent et qu’une clé tourne dans la serrure.
L’homme avait 78 ans. Mon amie Léna me l’avait dit. Il s’appelait Roger et il vivait tout seul dans ce petit appartement situé en centre-ville.
Il m’a regardée de la tête aux pieds, puis il a dit :
« Bonjour Charlotte. »
« Bonjour Monsieur. »
Son regard m’a de nouveau arpentée de haut en bas, puis il m’a invitée à entrer. J’ai traversé un couloir qui me mena à un petit salon où l’homme m’a rejointe et m’a proposé un café.
J’ai accepté et il est parti vers sa cuisine. Je me suis débarrassée de mon manteau. La déco de la pièce était affreuse, mais il y avait une bonne odeur de vieux papier. Des étagères étaient garnies de livres. Le temps que le vieux monsieur prépare le café, j’ai examiné des titres et des noms d’auteurs. Je n’en connaissais pas beaucoup, mais quelques-uns néanmoins.
A son retour, il a déposé une tasse fumante sur la table basse, puis il m’a invitée à m’installer dans son canapé. Je me suis mise au milieu et il s’est assis à ma gauche, à cinquante centimètres de moi.
Tandis que je sucrais et que je touillais, il m’a dit :
« Je suis triste que Léna ait dû partir de cette ville pour suivre son petit copain. Je l’aimais bien. Cela faisait presque une année qu’elle venait ici. Mais tu m’as l’air bien mignonne. »
Je me suis tournée vers lui en souriant, et il a ajouté :
« Je suppose qu’elle t’a expliqué ce que j’attends d’une demoiselle de compagnie à domicile ? »
« Oui. »
Il a secoué la tête. Il ne souriait pas, il semblait très sérieux.
« Bien, a-t-il dit. Dans ce cas, tu sais que je suis un grand paresseux. Je ne fais pas le ménage et je déteste me préparer à manger. »
« Oui, Léna me l’a dit. »
« Elle a aussi dû te dire que mes hanches me posent des soucis et que j’ai besoin d’aide pour grimper dans ma baignoire. »
« Oui. »
« Parfait, a-t-il dit. Et j’imagine qu’elle t’a aussi expliqué que j’aimais bien passer des moments avec elle, à discuter de tout et de rien, ici, dans ce canapé, ou bien dans ma chambre. Parfois sous la douche. »
« Oui, elle me l’a expliqué. »
« Bien. Très bien. T’a-t-elle parlé de l’argent que je lui donnais en plus des chèques Emploi-service ?
« Oui, elle m’a donné tous les détails. »
« Bon, dans ce cas, on ne va pas perdre de temps. Peux-tu me montrer tes nichons de petite pute ? »
Je connaissais Léna depuis le collège. Nous avions fait l’amour plein de fois toutes les deux. Nous avions aussi partouzé avec des mecs de notre âge, au lycée, puis avec des hommes rencontrés en boîte de nuit ou dans des bars.
Je savais tout de ce qu’elle avait fait avec ce monsieur. Je savais surtout qu’elle s’était faite du fric en venant s’occuper de lui pendant presque une année. Il était généreux. Gourmand, mais généreux.
J’ai soulevé mon pull et le vieux monsieur s’est aussitôt mis à sucer mon sein droit, tout en tripotant le gauche. Je l’ai regardé faire pendant un petit moment, puis j’ai fini par ôter complètement mon pull.
Ensuite, il s’est redressé pour me regarder dans les yeux.
Il m’a dit :
« Lève-toi et va te mettre toute nue dans la salle de bains. Complètement nue. Ne garde rien. »
J’ai obéi.
La salle de bains sentait le savon de Marseille et le moisi. J’ai enlevé tout ce que je portais et je me suis regardée dans le miroir qui était crasseux.
Puis je suis ressortie.
Entre temps, le vieux monsieur avait baissé son pantalon et son caleçon. Il se masturbait dans son canapé en me regardant de nouveau de la tête aux pieds. Sa queue n’était pas énorme, loin de là, mais il bandait.
Il m’a dit :
« Viens t’empaler, s’il te plait. »
J’ai obéi.
Je suis montée sur le canapé, au-dessus de lui, puis je me suis accroupie en cherchant sa queue avec mes doigts sous le niveau de ma chatte. Ensuite, j’ai approché le gland de ma chatte, puis je me suis assise délicatement dessus, en regardant le monsieur dans les yeux, mais sans rien dire.
C’est lui qui parlait :
« Petite putasse, touche bien mes couilles. »
J’ai obéi.
J’avais couché avec un autre vieux monsieur, quelques semaines avant, au terme d’échanges suivis sur un site de rencontres. Il m’avait bien payée aussi. Mais il n’était que de passage sur la région, à l’occasion de vacances passées chez sa fille. Nous avions cependant prévu de nous revoir. Je n’avais pas détesté du tout de passer une nuit toute nue contre le corps d’un vieux.
Ensuite, ce monsieur-là me demanda de m’asseoir sur sa bouche. Il ne bougea pas du canapé. C’est moi qui me suis déplacée, en faisant de grands efforts avec mes jambes, jusqu’à ce que mes lèvres entrent en contact avec sa langue qui se mit à me lécher comme si ma chatte avait été une glace à la fraise et à la framboise.
Mais il lécha aussi mon anus. Chocolat-café.
Puis il revint à ma chatte.
Il se branlait pendant ce temps. Je suivais du regard le mouvement de ses doigts et de sa queue, tout en me caressant les seins et en me faisant lécher. J’aimais bien ce qui était en train de se passer là.
Ensuite, nous sommes allés dans sa chambre. Sous ses draps qui sentaient un peu la sueur. Je me suis mise sur le dos et j’ai ouvert mes cuisses en regardant la bite s’approcher à la façon d’un missile à tête chercheuse. Il me l’a enfoncée un peu moins délicatement, puis il a collé sa bouche contre la mienne après avoir dit :
« Tu me plais. »
Je n’ai pas répondu. Je n’ai pas pu, car sa bouche dévorait la mienne. Il me baisait en me roulant de grosses pelles baveuses. Pendant ce temps, je me branlais le clito. Ce vieux monsieur avait une petite bite, mais son diamètre me procurait des sensations particulières.
J’ai joui une première fois.
J’ai toujours joui très vite et facilement. Le seul contact de la langue de Léna sur mon anus a parfois suffi. Et il est arrivé que des bites me fassent jouir quatre ou cinq fois rapprochées.
Mon record, c’est neuf fois, mais c’était avec un objet. Un légume frais et très dur. Les hommes éjaculent toujours trop vite.
Ensuite, le vieux monsieur m’a prise par derrière en me disant que j’avais un petit cul d’adolescente. Il n’avait pas mis de capote. Tant mieux, car je déteste le contact du plastique.
J’ai joui une deuxième fois au moment où il m’a dit :
« Tu pourrais être ma petite-fille. »
Il avait largement raison.
Depuis, je me suis fait d’autre vieux, et pas mal d’argent.
Via Internet ou des annonces passées par des retraités qui cherchaient des filles de compagnie.
Je ne vois plus Léna aussi souvent qu’avant, mais quand c’est le cas, on fait l’amour toutes les deux. La dernière fois, tandis que son mec était resté en Bretagne, nous sommes allées dans un sauna ensemble. On a cessé de compter les bites au bout d’une heure.
Le vieux monsieur est mort le mois dernier. Léna est venue à l’occasion de l’enterrement. Nous n’étions pas les seules filles âgées de 20 à 25 ans. Il y en avait au moins dix autres. Elles étaient toutes très belles. Il avait très bon goût, ce vieux monsieur.
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