Jenna et moi nous retrouvions le lendemain rendre visite à cet oncle Gérald dont elle m’avait parlé. Ils entretenaient une relation très particulière depuis environ un an. De ce que j’en savais c’était lui qui avait dépucelé ma ronde et grande allemande. Jusque là il lui avait fait connaitre beaucoup de choses mais elle lui avait refusé l’accès à son anus, étant encore trop sensible de ce côté là. En voyant la silhouette de Jenna on ne pouvait qu’être saisi par le démon du vice, seins très gros et très lourds(je l’avais constaté personnellement) et son large derrière appétissant devaient faire rire les garçons de son âge mais devaient plaire aux hommes d’âge mûr.
Quant à nos camarades de classe respectifs, Jenna et moi on assuraient des programmes qui n’étaient pas très chargés. Une sortie dans une fabrique d’horlogerie de toute manière facultative, un match de foot interclasse … nous avions donc du temps pour nos petites escapades. Du reste je ne me rappelle pas qu’il y ait eu beaucoup de ragots concernant notre relation. Beaucoup de couples souvent improbables venaient de se former à l’occasion de ce jumellage.
La veille de mon retour en France je faisais la connaissance de ce Gérald. Il habitait un agréable deux-pièces avec une jolie vue. Je me l’étais représenté vieux et même grisonnant à trente deux ans mais il restait un belle homme avec encore de beaux restes de jeunesses sur son visage anguleux aux cheveux raides et d’un noir de corbeau.
Nous passâmes une demi-heure à discuter dans le salon. Moi qui trouvait la situation assez tordu avant de venir Gérald su me mettre à l’aise. Il était élégamment habillé d’une chemise violette, d’un pantalon de jean noir et d’une jolie paire de chaussures de ville.
Il avait de la conversation, s’exprimait clairement et paraissait très cultivé. Je comprenais pourquoi Jenna était tombée sous son charme. J’en étais jaloux. Je n’avais pas besoin de traduire puisqu’il s’exprimait dans un français parfait et sans accent, langue maternelle de sa mère.
Puis au bout d’un moment il se leva:
-Tu veux voir comment je traite ma petite nièce lorsqu’elle n’est pas sage.?…
Je bredouillais.
-Jenna ,mets-toi toute nue et montre à ton petit ami comment on doit te corriger.
Elle s’exécuta retirant tranquillement ses vêtements un à un. Lorsqu’elle fut toute nue j’admirais ses grosses fesses rebondies et ses énormes tétasses qui tombaient presque jusqu’au nombril.
-Maintenant tu t’appuies contre le fauteuil en te penchant bien.
Elle se pencha. Ses deux pis de vache pendaient de façon obscène. Elle se cambra sur le fauteuil pour bien montrer son imposant derrière.
Les premiers coups pleuvèrent. Avec v******e mais Jenna appréçiait. Je finis par prêter main forte à l’oncle fesseur et au bout de quelques minutes elle eut les fesses tellement rouges que je me demandais si elle pourrait encore s’asseoir.
-Le petit jeu ne fais que commençer. Maintenant montre nous tes seins…
Elle mit ses mains derrière la tête pour encore mieux montrer sa poitrine dans toute sa générosité. Puis l’oncle prit de la corde et entourra ses seins de corde qu’il serra à mort pour ne plus montrer que deux grosses masses violacées. Elle serrait les dents et malgré la douleur je comprenais qu’elle adorait ça. Ensuite Gérald tapa sur les masses violacées… de plus en plus fort ce qui faisait gémir Jenna de plus en plus…
Ensuite les cordes futent retirées et l’on plaça des pinces à linge sur les tétons. Jenna soufflait prise entre douleur et plaisir.
Gérald la fit mettre à 4 pattes et lui infligea ses premières gifles au visage.
Après cette petite séance de claques il se tourna vers moi.
-Vas-y. Elle est prète tu peux la baiser !.
Elle je la baisait ainsi à quatre pattes ,ses seins encore prises par les pinces.
Tous les trois nus comme des vers nous la baisâmes dans toutes les positions. A un moment alors que Jenna était sur son oncle il m’ordonna de la prendre par derrière…
Deux bites dans la chatte. Jenna n’avais jamais essayé mais sa première fois fut extatique, toute secouée de spasmes et jouissant de bonheur, elle en redemandait.
Elle avala nos deux bites en même temps dans sa bouche pour qu’elle puisse avaler le sperme sans en perdre une goutte.
Je regrettais de devoir repartir le lendemain mais nous avions gardé nos coordonnées et par la suite nous devions nous retrouver quelque s mois après, moi elle et son oncle, cette fois dans un cadre strictement privé.
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