Chapitre 8 : Aurélie aguiche sa mère et Frank joue avec Kate.
Je me réveille le lendemain avec une grosse gueule de bois, ma bouche sèche et ma tête me lance. Je tourne la tète doucement pour voir que mon mari dort encore. Quelle heure peut-il être ? Il s’est endormi avant même que je sois parti chercher Eric ! En pensant à Eric je revoie dans ma tête les images de la soirée d’hier. Oh mon dieu ! Je me suis mise toute nue devant ces deux filles et dévoilé mon coté salope, et probablement ma relation particulière avec mon fils Eric.
Rien qu’en pensant à la fellation que j’ai faite à mon fils, en face d’elles, mon cœur bat plus vite. Pourquoi j’ai fait cela ! Non seulement c’est mal de faire çà à son fils et c’est très risqué ! Que se passerait-il si elles racontent çà à quelqu’un et dévoilent ma relation avec mon fils ? Et en plus J’AI…J’ai léché la chatte de Gina!!! Gina, qui vient tout juste d’avoir 18 ans et pourrait être ma fille !
Pourtant, le souvenir de la bite de mon fils dans ma bouche pendant que Gina et Sylvie me regardaient m’échauffe déjà… me stimule sexuellement et je suis excitée à la pensée de ce que j’ai fait à Gina et de ce que j’ai laissé Sylvie me faire ! Comment ai-je pu me laisser embringuée dans cette débauche de sexe ? C’est ce foutu joint mélangé à ma consommation d’alcool qui a annihilé mon jugement ! Oui, ce sera mon excuse si quelqu’un découvre ce que nous avons fait ! Ce sera mon excuse quand je me retrouverais devant ces deux jeunes filles !
Lentement, je sort de mon lit et je descends me faire du café en pensant toujours à Eric, Gina, Sylvie et Lilly même… euh…Lilly, ma première expérience avec une fille, si douce et jeune et je me demande si elle pense à moi après notre cette étreinte sexuelle que nous avons eu ensemble.
Je cherche ma tasse de café préférée mais je ne la trouve pas. Je me souviens alors que mon mari l’a rangé sur l’étagère du bas. Sur mes mains et a genoux je la cherche, rampant quasiment dans l’armoire avec ma chemise de nuit qui me rentre dans les fesses.
– Hé maman… waouh, sympa… beau spectacle !
Ses mots me font sursauter, et je me cogne la tête en voulant me retirer trop vite de l’armoire.
– « Aïe… »
Je sais que c’est ma fille Aurélie, qui se tient debout juste derrière moi.
– Maman, que fais-tu là ?
– Chérie, je cherche ma tasse de café, tu sais celle que j’utilise toujours…
Je sens que ma chemise commence à glisser vers le haut sur mes fesses et je pense qu’il est temps de sortir de cette position au cas où j’en montrerai trop à ma fille. Je commence à reculer petit à petit en arrière quand je sens ma chemise de nuit se coincer sur quelque chose au-dessus de moi. J’essaye de revenir en avant mais ma chemise de nuit glisse vers le haut de mon corps.
Je sens que mes fesses sont découvertes et j’entends un petit « oh » de ma fille. Surtout pas de panique car je ne veux pas déchirer ma chemise.
– Merde… je crois que je suis accrochée à quelque chose… Aurélie, peux-tu m’aider s’il te plaît ?
– euh… oui…maman, je ne pense pas t’avoir déjà vue dans cette position.
Il y a de la moquerie dans sa voix mais aussi un tout petit peu d’excitation.
Bien sûr dans son commentaire « Cette Position » elle me rappelle qu’elle m’a vu dans une autre position en train de faire l’amour à son père et heureusement qu’elle ne peut voir la rougeur qui me monte aux joues.
– Ma chérie, ce n’est pas le temps de plaisanter, aide-moi !
Je sens qu’elle s’agenouille derrière mes fesses. Rien que cette pensée me laisse la gorge sèche. J’ai bien un slip mais il est tellement minuscule et dans cette position, il disparait probablement enfoncé entre mes fesses. En fait je le sens coincé profondément entre les lèvres de ma chatte ! Oh Dieu, que c’est gênant ! Ma propre fille va voir en gros plan les détails de mon sexe ! Maintenant mon cœur bat tellement vite.
Soudain je sens ses mains sur mes fesses et surprise, je me cogne de nouveau en redressant ma tête.
– Maman ! T’es vraiment nerveuse aujourd’hui…
Me dit-elle, mais elle ne retire pas ses mains.
– Aurélie, s’il te plaît, décroche ma chemise.
– Tu sais que tu as un cul magnifique maman. Vraiment parfait… le genre de cul qui donne envie de lui foutre une fessée.
Et je sens la paume de sa mains frapper une de mes fesses ce qui me trouble un peu. C’est une tape légère, pas douloureuse mais plutôt agréable. Et « pan »…une autre sur l’autre fesse.
– Aurélie!!! Mais elle continue
– Enfin je peux me venger de toutes les fessées que tu m’as données quand j’étais petite. Qu’elle chance. Dit-elle en riant
Évidemment, elle joue avec moi.
Elle continue de claquer mes fesses gentiment mais çà m’envoie des vibrations agréables dans mon cul et ma chatte. Je tire mon corps en arrière et tout ce que je réussi à faire c’est de faire glisser ma chemise plus loin vers le haut de mon corps et presque jusqu’à mon cou.
Et voila ! Maintenant mes seins sont visibles et suspendu vers le bas pour le plus grand plaisir de ma fille.
– Aurélie, Arrête tes bêtises et aide moi. Sinon, je vais devoir te donner une fessée moi aussi.
– euh, maman… çà pourrait-être… amusant.
Encore une fois, elle frappe mon cul mais c’est plus une caresse qu’une claque et la sensation est tellement agréable que je ne peux m’empêcher de gémir.
– Oooohhhh.
Je ne voulais pas montrer à ma fille que j’apprécie réellement le traitement, mais encore une fois mon corps me trahi. Je sens même ma chatte se mouiller ! Mon esprit vacille un peu et la chaleur de mon cul commencé à opacifier mes sens. Doux Jésus, je ne peux lui montrer que j’aime çà ! Moi, sa mère je transforme cette situation drôle et innocente en quelque chose de sexuel !
– Aurélie, s’il te plait, aide-moi.
Elle s’approche plus près et je la sens se mettre entre mes jambes qu’elle écarte et s’appuie sur moi, ses seins sur mes fesses
– Aurélie!!!
– Maman, arrête de bouger. Ce n’est pas drôle.
Quand elle cherche ou ma chemise est accrochée je sens un de ses seins qui s’enfonce entre mes fesses et quelque chose de dur entre en contact avec mon trou du cul. Est-ce son téton ? Je frémis de plaisir et j’espère qu’elle ne s’en rend pas compte.
– Alors Aurélie, tu y arrive ou non…
– Ne bouge surtout pas maman. Je crois que je vais y arriver.
Elle pose une de ses mains sur une de mes fesses pour se soutenir et se penche encore plus. Ce qui fait, bien sur, que mes fesses s’écartent encore plus et que je clairement son téton se frotter contre mon trou du cul.
– Humm…
Encore un gémissement que je ne peux réprimer.
Je sais qu’elle m’a entendu et qu’elle sent que je tremble. Mais sait-elle pourquoi ? Son téton est entrain de vachement m’exciter à frotter comme çà sur ma rosette ultra sensible !
Soudain je sens ma chemise de nuit libérée et ma fille se retire en arrière.
– OK, voilà.
Une nouvelle fois je sens ses mains qui glissent sur mes fesses en les pressant vers l’extérieur… ce qui peut sembler innocent si elle a fait çà en voulant prendre appui sur elles pour se pousser… ou… comme mon cul est à l’air, pour mâter mon trou du cul et ma chatte ainsi exposés.
– Eh bien, c’est ta dernière chance de me mettre une fessée.
Et disant çà je ne peux m’empêcher d’arquer mon dos pour faire ressortir mon cul.
– Heuuu, tu crois maman…t’aime pas çà…
Paf… plaf… plaf…
J’en tremble, la tête à l’intérieur de l’armoire. Ses mots me réveillent comme si je sortais d’un rêve.
– Quoi…que…Aurélie, arrête…Oh, tu vas voir…
Je me défile et me lève en tremblant sur mes jambes. Ma jolie fille est là avec un sourire sur son visage, ses joues sont rouges et sa poitrine se déplace au rythme de sa profonde respiration.
Elle porte seulement une mini culotte et une nuisette minuscule. Ses seins sont dressés et ses tétons tous durs sous sa nuisette.
Je ne peux m’empêcher de détailler son corps tout en courbes sensuelles, jeune et de toute beauté, en m’arrêtant un instant sur son slip.
Je vois une tache plus sombre entre ses jambes ? Était-ce de la moiteur ? Ou autre chose ? Je lève mes yeux et elle me regarde fixement.
Nous nous regardons un instant sans dire un mot. Le temps semble s’arrêter et elle se demande probablement si elle n’a pas été trop loin. Moi, je ne veux pas qu’elle pense qu’elle a fait quelque chose d’interdit, je veux que notre relation continue à être parfaite.
Je lui dis en souriant ;
– Fille ingrate !
J’essaie de tourner çà à la blague, comme si elle n’a pas appris quelque chose…
– Je vais te faire voir comment on donne une fessée !
Je l’att**** par son bras et passe derrière elle. Elle rit, essayant de s’en tirer. La lutte est évidemment faible, comme pour un spectacle. Je lève ma main et je vois son petit cul à peine couvert. Pan ! sur ses fesses !
– Euh…Maman, s’il te plait, je ne voulais pas être une vilaine fille, dit-elle en parlant comme petite fille.
J’en rigole et je continue de lui donner une fessée. Ma main s’arrête sur une de ses fesses et « involontairement » glisse un peu entre ces 2 belles joues rosées.
Elle a vraiment un beau cul, d’une belle rondeur et ferme comme toutes ces jeunes filles qui font de la gymnastique. Son string disparait entre ces fesses et en les regardant j’en frissonne de convoitise et l’eau m’en vient à la bouche. Je lui demande en regardant son cul qui est devenu rouge.
– Alors, t’en as assez ?
Je réalise que je viens de glisser un peu plus le bout de mes doigts entre ses fesses. Je tourne ma tête et je vois qu’elle me regarde avec ses grands yeux qui se déplacent vers ma main.
– Assez ? Moi ? Même pas mal ! Mais je pense que c’est toi qui devrais avoir une autre fessée !
Elle se met à rire mais j’ai bien vu de l’excitation dans ses yeux. Mon cœur bat la chamade et je me demande ce qu’elle va faire. Mais c’est amusant et, juste un plaisir innocent avec ma fille, me dis-je pour me disculper.
– Tu es une vilaine maman et je vais te faire voir comment on punit les mamans qui n’ont pas été sages.
– Aurélie non !
Mais elle ne m’écoute pas.
Me saisissant le bras elle me pousse vers le plan de travail.
Je ri et je mets mes deux mains sur mes fesses pour me protéger.
– La vilaine maman va recevoir sa fessée…
Je ri de nouveau et je ne résiste pas. Recevoir une fessée de ma fille sera amusant et certainement excitant. Je ne peux savoir si elle prend plaisir à ce petit jeu entre une maman et sa fille et je me pose cette question : « Jeu ou perversion »
– Vilaine maman, retire tes mains de là et prépare toi pour une belle fessée… non, encore mieux, tire ta chemise pour moi.
– Aurélie, voyons !
– Tu sais que tu a été vilaine… alors maintenant c’est la punition !
Son ton sévère me surprend un peu, et je me sens comme si j’étais sa fille et elle ma maman. Je retiens mon souffle quand mes doigts saisissent le bord de ma chemise de nuit. Je tourne ma tête pour la regarder avec une expression la plus innocente possible et je lui demande avec une petite voix de jeune fille.
– Tu ne taperas pas trop fort… promis ?
Elle sourit un peu surprise :
– Huuummm, cela dépend… bon maintenant soulève ta chemise !
Lentement, très lentement je tire sur ma chemise… encore … elle passe mes hanches… encore et tout en regardant ma fille ma chemise de nuit est autour de ma taille.
Ses yeux sont fixés sur mon cul ainsi exposé et je peux maintenant dire qu’elle est excitée, et mes fesses ont bien l’air de lui plaire et de l’émoustiller. Ne serais-ce plus un jeu ? Je me pose la question et je frémis à la première claque qui frappe mes fesses.
A chaque claque, elle maintien sa main sur une fesse et la serre un peu. Nouvelle claque et nouvelle pression sur ma peau du cul.
– Vilaine maman, tu dois être punie pour ce que tu as fait de mal et…je dois te fesser encore.
Elle ne rit plus en disant cela. Au contraire je décèle une excitation. Je tends plus mon cul et me retourne de nouveau pour la regarder.
Ses yeux ne peuvent cacher le plaisir qu’elle prend et elle en lèche ses lèvres sèches.
OK, Ok, il faut que j’arrête çà avant qu’elle m’aille trop loin. Je n’ai pas besoin de mettre des idées dans la tête de ma fille.
Mais c’est dur de déplacer mon corps pour qu’elle arrête. Je prends chaque claque avec empressement, anticipation la prochaine. Mon cul commence à me chauffer mais j’en veux plus.
– Alors petite maman… Êtes-vous désolée des bêtises que vous avez faites ?
Paf, paf, paf… Oh que j’aime çà !
– Oh, je suis…Euh…Bébé, je suis désolée… s’il te plaît !
Je ne sais pas si je dis « s’il te plait » pour qu’elle arrête ou pour qu’elle continue…
PAF ! Celle-ci est plus forte.
– Aïe… Mais je ne crie pas je gémis !
Sa main est resté où elle est avec ses doigts profondément enfoncés entre mes fesses. Je regarde étonnée mais elle ne voit que mes fesses la bouche légèrement ouverte avec un petit bout de sa langue entre. Elle m’a surement entendue gémir au lieu de me plaindre et je ne l’ai pas arrêtée. Je sens sa respiration lourde. Je sens son autre main saisir l’autre fesse et elle commence à frotter en rond, comme un massage…
Elle ne joue plus ! C’est devenu sexuel ! je devrais l’arrêter, c’est ma fille, mais je ne fais rien
Je fais semblant de prendre du plaisir à sa caresse car elle ne l’a peut être pas remarqué.
Je sens que je mouille de plus en plus sous cette caresse de la main de ma fille sur mon cul.
PLAF ! Une autre claque assez forte !
– Oooohhhh… un autre gémissant que je n’ai pu réprimer.
Elle pousse mes deux fesses l’une contre l’autre, ce qui doit les faire ressortir et …. PLAF… puis elle les écarte. Je pense qu’elle teste mes limites.
Elle recommence 2 à 3 fois mais je m’accroche et quand de nouveau elle écarte mes fesses je sens de l’air froid qui passe entre mes cuisses humides. Je ne doute pas qu’elle peut voir mon trou du cul, ma petite culotte minuscule ne pouvant le couvrir quand elle maintient mes fesses écartées.
Elle continue sa fessée et les deux mains sur le bord du plan de travail j’arque mon cul pour recevoir ma punition. Cette fois, après une claque elle laisse ses mains sur mes fesses écartées comme jamais auparavant. Je sais qu’elle regarde mes deux trous entre mes cuisses…
OK, Stop maintenant ! Il faut arrêter ce petit jeu érotique. Quelques secondes s’écoule mais ma fille ne lâche pas mes fesses. Avec beaucoup de difficulté, je m’échappe et me retourne en appuyant mon dos sur le comptoir. Je me tiens là, ma poitrine haletante, ma chemise de nuit toujours autour de mes hanches, souriant à Aurélie essayant de donner un sens à ce qui vient de se passer. Je transpire un peu mais ma fille aussi.
– Ouf… mon Dieu, quelle correction ! Tu t’es bien vengée…et amusée… il me semble…
Murmurai-je, la regardant dans les yeux.
Elle sourit mais regarde ses pieds et je pense qu’elle se sent coupable ou peut-être… gênée pour ce qui c’est passé ou pour ce qu’elle a fait. A-t-elle été trop loin…
– Hé toi, ne sois pas triste ou gênée, c’était amusant, et je lui tends mes bras pour un câlin.
Mes paroles semblent détendre la situation
comme si c’était juste un innocent plaisir. Elle lève ses yeux vers moi et me prend le bras. Je la serre contre moi dans une étreinte chaleureuse.
– Merci maman, J’ai pris plaisir à te donner une fessée et ce fut amusant. Tu sais… si tu as besoins d’une autre bonne fessée… dis le moi, je reste ton obligée.
– Oh oui, je suis sure que çà t’a fait plaisir petite garce ! C’est toi qui est une vilaine fille mais méfie toi… moi aussi je peux encore te donner une bonne fessée… mon bébé que j’aime.
Elle a bien grandit mais je chéri ces moments ou je peux la tenir dans mes bras.
Je sens sa tête remonter plus près comme si elle veut m’embrasser. Cà ne peut me déranger après ce que nous venons de faire. Je tourne ma tête et pose mes lèvres sur les siennes. La pression de ses lèvres se fait plus forte et un petit bout de sa langue frôle mes lèvres. C’en est trop et je ne veux pas ouvrir la porte plus grande. Je me désengage le cœur battant.
– Demoiselle, je pense que l’on s’est assez amusé pour aujourd’hui. Disparait avant que je décide de vraiment te donner la fessée !
Elle se recule et se met à rire comme quand elle le faisait petite fille.
– Sûr que maman, je t’écoute mais n’oublie pas, je pourrais t’aimer la prochaine fois…
Et elle court hors de la cuisine. Je soupire en regardant son beau petit cul se trémousser avant qu’elle disparaisse.
Je m’assoie à table en pleine confusion. Mon dieu que vont faire de moi mes enfants ?
Mon fils ma séduite…enfin je l’ai un peu poussé…et maintenant ma fille ? Je ne veux pas que ma fille est une attirance sexuelle envers moi. Ce qui vient de se passer est surement la limite à ne pas dépasser.
– Bonjour mon chou.
C’est mon mari qui vient d’entrer dans la cuisine et qui me donne un petit baiser sur ma joue.
– Comment çà c’est passé avec Eric hier soir ?
Je sursaute et je suis un peu tendue sur ma chaise.
– Que veux-tu dire…
-Tu sais bien… il était un peu ivre n’est ce pas
Dit-il me regardant dans les yeux avec curiosité.
– Oh, légèrement…je l’ai ramassé et nous sommes rentrés. Il est probablement encore entrain de dormir.
– Il me préoccupe un peu. Ces derniers temps il passe beaucoup de temps à la maison, ne sort apparemment pas avec des filles, à l’exception de la dernière nuit bien sûr. Il y avait des filles à la fête ?
– Et bien pour ton information, il est avec une fille sympa, elle se prénomme Gina, c’est la fille de Jeanine.
En lui répondant je peux encore sentir le goût de sa douce chatte sur ma langue. Dans ma tête je revoie Gina les cuisses écartées et sa chatte empalée sur la bite d’Eric.
– Heu, Gina, je me souviens de cette fille… elle est un peu déjantée, non…
– Quel vieux bourgeois. Il à 45 ans et n’a pas évolué avec notre époque. Je fais demi-tour en ignorant son commentaire et bois mon café.
– Qu’as-tu prévu pour aujourd’hui ?
– OH merde, je ne te l’ai pas ? Nous ouvrons un nouveau bureau à Marseille et je dois aller à mon bureau pour un examen du plan financier proposé.
Il me dit ça, sans même me regarder. L’argent, toujours l’argent, c’était sa première priorité. Moi c’est qu’en il a le temps ou une envie présente !
– Tu vas être parti combien de temps ?
– Je serais de retour assez tard ce soir, je suis désolé bébé, que j’ai oublié de te prévenir.
Huuummm, une journée entière ! Cela me donnera du temps pour réfléchir et peut-être redresser les choses avec mes enfants !
Il vient vers moi pour me faire un câlin et je ne tarde pas à sentir ses mains serrant mes fesses. J’hésite à le laisser faire car mon cul est encore sensible de la fessée qu’Aurélie m’a donnée. Ses mains tirent ma chemise.
– Paul que fais-tu ?
Au lieu de répondre, il presse ses lèvres contre les miennes. Bien que je suis toujours en colère contre lui, je suis retourne son baiser et bientôt nos langues se mêlent dans un baiser passionné. Çà m’excite et je ne comprends pas pourquoi ? Comment un simple baisé peut m’exciter ? Peut-être parce que je n’ai pas baisé avec lui depuis un certain temps ? Ou bien est-ce parce que l’idée d’être une salope m’allume tellement que je suis prête à le devenir pour tout le monde ?
il a mis ma chemise autour de ma taille et il me pelote le cul avec ses mains.
Soudain nous entendons des pas s’approchant de la cuisine et mon mari tire rapidement ma chemise de nuit vers le bas, haletant. C’est Eric. Il se dirige dans la cuisine dit « bonjour » et att**** une tasse de café.
Merde, me voila frustré sexuellement après avoir été émoustillée par ma fille et mon mari sans pouvoir me libérer par une bonne jouissance ! Nous finissons notre conversation et mon mari s’excuse pour aller se préparer pour aller au bureau.
Je demande à Eric quels sont ses plans pour aujourd’hui et il me dit qu’il va voir Gina. Une pointe de jalousie m’envahis rien que de penser à ce que vont surement faire ces deux là. Une partie de moi voudrait être avec lui et une autre partie voudrait être avec Gina, c’était tellement confus !
Peu de temps après que mon mari et Eric sont partis, le téléphone sonne.
– Allo ?
– Kate ?
– Oui, qui est-ce ?
– C’est Frank…
Mon cœur s’arrête de battre. Je ne peux dire un mot. Le coup de téléphone tellement redouté devient une réalité !
– Kate es-tu encore là?
– Oui, que veux-tu Frank ?
– Ma chère Kate…tu sais bien ce que je veux… Toi… contre les photos.
Et d’une voix tremblante,
– Frank… ok… mais… que dois-je faire pour les obtenir ?
– Huuummm…J’aime ton empressement, t’es heureuse…non ?
– Frank, s’il te plaît, je veux juste récupérer ces photos.
Même si je sais que ma fille qui est encore dans la maison ne peut pas m’entendre, j’ai baissé ma voix.
– Oui… je sais, mais je sais aussi ce que tu es…et il faut faire exactement ce que je dis pour les avoir.
– Que veux-tu ?
– Tout d’abord, permet moi de vérifier dans quel état tu es ce matin. Es-tu excitée ou non ? Touche ta chatte pour voir.
– Quoi ! Je ne vais pas… faire çà !
Mais de nouveau mon moi salope réapparait et ma respiration devient plus lourde.
Comment ose-t- il me demander quelque chose comme ça !
– Tu dois m’obéir… si non… pas de photos.
Je me sens piégée. Même si je le méprise je n’ai pas beaucoup de choix. Pour l’instant je dois faire ce qu’il veut. J’attends un instant, mais il ne dit rien. Je regarde vers l’escalier au cas où ma fille descendrait et plonge discrètement ma main à l’intérieur de ma culotte. Je suis surprise de trouver ma chatte déjà humide.
– Bon et maintenant je fais quoi ?
– Est-elle mouillée ?
– Non !
– Je suis sur que tu mens Kate, ce n’est pas comme çà que tu vas récupérer les photos…
Je suis sure qu’il est entrain de sourire en disant cela.
– Oui ! je mouille… t’es satisfait ?
– Bien… maintenant frotter ta chatte comme si tu es entrain de te masturber.
Un vrai sadique ! Je n’en reviens pas de ce qu’il veut me faire faire !
– Vas te faire voir ! Tu m’as baisée mais tu n’auras rien de plus, sale pervers !
Je crie dans le téléphone mais je réalise que ma main est toujours à l’intérieur de ma culotte. Quelle confusion entre la décence et la haine pour cette personne et le plaisir pervers provoqué par ses demandes qui s’insinuent en rampant dans mon esprit.
– Kate, Kate, Kate…Je peux poster facilement vos photos partout sur internet, mieux encore, je pourrais envoyer un e-mail à ton mari… Que préfères-tu ? Dit-il en riant.
– Tu ne…S’il te plaît ne…Oooh… je vais le faire, ouiiiii là…
Mes pensées de parfaite maman s’envolent et je frotté rapidement ma chatte. La salope réapparait et je ressens du plaisir et plus d’humidité inonder ma chatte.
– Oui, Kate, je peux entendre à ta respiration que tu es une fille obéissante. Maintenant mettre tes doigts dedans. Exige-t-il.
Je renonce et accepte les plaisirs pervers de Frank. Que faire d’autre ? Je ne veux pas que mon mari voit ces photos car ce serait à coup sur le divorce et j’ai peur de perdre mes enfants. Difficilement, j’essaye de ne pas trop me caresser avec mes doigts… Mais putain ! Pourquoi je ne les retire pas !
– Maintenant, sors-les et suce les Kate.
Et oui… je le fais. Je mets mes doigts dans ma bouche et je sucé mon propre jus en gémissant doucement dans le téléphone, oubliant qu’il écoute mes gémissements sur l’autre extrémité. La pensée de le faire avec ma fille juste à l’étage augmente mon plaisir et mon excitation. Une partie de moi, la salope, veut ce que je n’ai pas eu ce matin.
– Tu es une bonne salope Kate, maintenant je le sais. Es-tu seule dans la maison ?
– Non…ma fille est là, dans sa chambre, à l’étage.
– Ah, oui, Aurélie… elle est chaude elle aussi ? Elle a de beau seins et son cul… une merveille ! J’aimerais bien la baiser… pas toi Kate ?
Sa question me prend au dépourvu.
– N…non, bien sûr, surement pas, c’est ma fille, murmurai-je.
– Tu me semble bien hésitante, as-tu des pensées i****tueuses sur ta fille ? Allez Kate, dis-moi tout.
Mon Dieu non, non, il ne doit rien deviner !
– Non, non, aucunes pensées.
Je nie, mais le cul de ma fille obstrue mon esprit.
– Tu ne pense jamais à ses seins pleins… ses mamelons sombres, le genre de mamelons que l’on a envie de lécher et de mordre ?
– Non…s’il te plait, Frank.
– Je te sens plus excitée…Je suis sure que tu pense à ses seins magnifiques et que probablement tu aimerais lui bouffer sa petite chatte… n’est ce pas Kate ? La chatte de ta propre fille…
J’écoute ce tout jeune homme que je déteste, mais ma main instinctivement est revenue sur ma chatte chaude et humide.
– Aaaahhhhh… non, s’il te plait, arrête !
– En ce moment je t’imagine avoir envie de glisser ta langue entre les lèvres de sa jeune chatte et de la sucer a pleine bouche… tu goutte a son jus de pucelle, enfin… peut être… qui coule dans ta bouche avec ta langue qui baise le trou juteux de ta fille jusqu’à ce qu’elle jouisse en gueulant ! N’est ce pas, Kate ? T’aimerais çà…Dit-le moi !
Je suis appuyée contre le mur avec mes yeux fermés et ma main se déplaçant en cercle sur ma chatte humide.
– OOOhhhh non… . Ahhhhhhh…Je ne sais pas… oh s’il te plaît… que fais tu de moi ?
Je gémi dans le téléphone, en me rendant compte de ce que je viens de dire.
– Je ne sais pas ? Je ne sais pas ! C’est ma fille non de dieu !
– Tu te mens à toi-même Kate ! Je sais que tu en a envie et je sais qui tu es Kate ! Et je sais ce que tu fais en ce moment.
Ma main se déplace plus vite sur mon clito me rendant folle de désir.
– Oui… oui… je joue avec ma chatte… Dis-je en chuchotant.
– Bon, maintenant, imaginez ta superbe fille nue devant toi, ses seins pulpeux avec les tétons bien durs qui bougent devant tes yeux.
Je gémis mais je ne lâche pas le téléphone, gardant mes yeux fermés essayant désespérément de ne pas imaginer ce qu’il me dit
– Arrête Frank non, nooonn…
– Sa chatte sans poils avec des lèvres très légèrement gonflées n’attendent que toi Kate, que tu les touches, tu toucheras ta fille, Kate ?
– Non, non, je ne veux pas !
Je me bas, avec toute ma volonté, contre toutes ses suggestions qu’il met dans mon esprit !
– Mais elle veut que tu le fasses, elle est si proche, elle attend que tu la touche.
– Non… ce n’est pas vrai…
Je perds pied progressivement et il continu.
– Tu veux la caresser, tu veux la sentir. Sentir l’odeur du vagin de ta fille ? Dis-moi Kate !
– Oh Dieu… Ah c’est bon… ahhhhhhh…
– Tu le fais, je le sens. Tu te laisse aller…tu la touche…tu sens sa chatte en chaleur…
– Ouiiiii, pardonne mes péchés ou condamne moi !
J’ hurle dans le téléphone avec l’envie de l’envoyer se faire foutre mais ma main martyrise mon clito engorgée de sang.
-Kate ? Ma belle salope, as-tu toujours ton slip ?
– Oui, je réponds d’une voix rauque
– Enlève là ! Tout de suite !
Les mains tremblantes je retire rapidement ma culotte et la jette sur une chaise à proximité.
– C’est fait, Kate ?
– Oui…
– Maintenant enlève ta chemise de nuit et mets-toi nue.
Encore une fois, j’obéis et rapidement retire ma chemise et resta là… nue, tremblante d’excitation.
– Tu es toute nue, Kate ?
– Ouiiiiii…
– Tes tétons sont dressés et bien durs ?
– Ooh, ouiiiii, murmurai-je dans le téléphone.
– Fouille ta chatte… c’est mouillé ?
J’entre mes doigts dans ma chatte, toute humide et je gémis doucement.
– Oooh, ouiiiiii…ça coule.
– T’as envie que quelqu’un la lèche… qu’elle caresse ta chatte avec sa langue et te fasse hurler de plaisir ?
– Oh oui… Aaaahhhhh… Ouiiiii.
Ma main et mes doigts reprennent rapidement mon clito et je sens que la pression monte dans mon corps en attente de l’explosion de plaisir que j’ai besoin.
– Tu veux que ta fille soit à…maintenant !
– Ooooo… ahhhhhhh… Ohhh… ahhhhhhh…
– Réponds Kate ! Veux tu que ta fille te lèche ta chatte jusqu’à te faire jouir ?
Je ne sais plus ou j’en suis et j’ai perdu toute retenu ou notions de décence. Je suis debout près du couloir, complètement nue entrain de me masturber et tout ce que je peux penser… c’est au corps d’Aurélie !
– Oui… oh Ouiiiiii…
En gémissant dans le téléphone, mon corps brulant de désir.
– Tu veux que sa langue recueille ton jus qui coule pour se faire plaisir ?
– Oui… Oui… OOOhhhh, ouiiiiii…
Maintenant c’est une chienne en chaleur qui gémit en exprimant clairement mon désir pour ma propre fille.
– Et ton trou du cul… tu veux qu’elle le lèche aussi avec sa langue humide ?
– Oui, mon trou du cul, Oooohhhh Ouiiiii je veux qu’elle le lèche aussi.
Je suis hors de contrôle, mon corps tremble de plaisir. La pensée de quelqu’un lèche mon trou du cul est devenu une nécessité impérieuse.
– Présente ton cul vers l’escalier, comme çà quand ta fille descendra elle verra quel genre de maman salope elle a.
Et je le fais ! Rapidement, les jambes droite, j’écarte une de mes fesses avec une main pour faire ce qu’il me dit.
– Voila ! Je suis penchée et ouverte..
– veux-tu qu’elle te voit comme çà ?
Quelle perversion ! Peu m’importe en cet instant si je pouvais résister à ce détraqué mais mon esprit stimulé sexuellement flash immédiatement sur des images d’Aurélie me regardant du haut des escaliers.
– Oui… ahhhhhhh… Oui, je veux qu’elle me voit comme ça.
– Fourre-toi 2 doigts dans le cul, Kate.
Je manque de respiration quand je sens au bout de mes doigts mon trou du cul et que 2 doigts glissent dedans. Je gémis quand je sens mon anneau céder pour leur laisser la place.
– OOooooooohhhhhh….
– Apparemment c’est fait ! Maintenant baise ton cul avec.
– Ohhh… AAaahhhh…. Ohhh… oh mon Dieu !
Pourquoi ai-je obéis si facilement à cet homme ? Pourquoi je le laisse me contrôler comme ça ? La seule réponse pour me disculper c’est que je dois faire ça pour récupérer mes photos ! La jouissance et le plaisir que mon corps à besoin est secondaire à ma mission, ou est-ce le contraire ?
– Est-ce que tu baise ton cul Kate?
– Oui…
– Comme une belle salope ?
– Non… Si… Ouiiiiiiiiii.
– Dis le moi ! Je veux t’entendre le dire.
Je résiste un court instant à cet homme qui me traite comme une moins que rien mais les mots sortent de ma bouche…
– Je suis une salope… mon Dieu, je suis une putain de salope
Murmurai-je dans le téléphone, fermant les yeux et enfonçant mes doigts profondément dans mon trou du cul ouvert.
– Bon…maintenant que tu es une salope obéissante tu vas être ma salope pour ce soir. Et tu feras tout ce que je te demanderais de faire ! C’est bien compris ?
Je me raidis en me rendant compte de ce qu’il demande. Je lui ai permis de prendre le pouvoir sur moi, mais quel genre de choses perverses va-t-il me demander de faire ? Mon estomac se révulse en pensant aux saloperies qu’il pourrait me demander mais mon coté salope anticipe agréablement…Je suis prête à devenir son objet sexuel.
– Oui, dans un murmure presque inaudible.
– Je ne t’entends pas Kate… plus fort, dis-le !
– Oui, je serais ta salope ce soir..
Mes doigts serrent le téléphone quand mes mots sortent de ma bouche et combiné avec mes doigts qui fouillent mon cul je gémis de plus bel et je me sens vraiment comme une chienne. C’est un de mes gros fantasme, être utilisé par quelqu’un… quelqu’un qui a réussi à baiser tous mes trous et me traite comme un réceptacle de bites à bon marché, quelqu’un qui m’envoie son foutre dans ma chatte, mon cul, sur mes seins et dans ma bouche ! Ces pensées dégradantes font le vide dans mon esprit pour le remplir d’un monde de perversité sexuelle.
– Oh Ouii, je vais être ta salope, je vais faire tout ce que tu voudras Frank ! OH Oui, je suis une telle salope ! Une salope obéissante et disponible pour tous tes désirs.
Je ne peux plus m’arrêter, les mots sortent tous seuls de ma bouche et envois des sensations des plus agréables dans ma chatte et mon cul ! Je m’écroule sur le sol, à genoux et écarte mes jambes aussi larges que possible pour doigter mon trou du cul et gémir dans le téléphone.
Je regarde par-dessus mon épaule vers les escaliers, et j’imagine ma fille sort de sa chambre et qui me regarde en bas ! Que ferait-elle ? Que penserait-elle ? Elle me traiterait de salope ? Pourrait-elle me donner la fessée pour cela ? Oh… Ouiiiii…
Je retire mes doigts et gifle mon cul qui a m’envoie des frissons de haut en bas de ma colonne vertébrale. Je veux tellement jouir, mon corps réclame cette jouissance depuis ce matin mais elle ne vient pas ! J’ai besoin d’une bite, d’une belle et grosse bite qui me péterait le cul pour que j’explose enfin.
– Ahhhhuuuhhh…
C’est un gémissement de frustration que je lâche dans le téléphone.
Comme si il lisait dans mes pensées et qu’il me comprenait, Frank rit dans le téléphone avant de dire :
– Ne t’inquiète pas Kate, si tu es une bonne salope ce soir, je peux t’assurer que tu vas avoir des orgasmes à répétition.
A ses mots je comprends ce que je suis devenue pour lui.
– Maintenant voici ce que je veux que tu portes et où je veux que tu me rencontre.
Je l’écoute en bonne salope obéissante et je finirai peut-être par jouir en m’imaginant porter ces vêtements en public.
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