L’hôtel de passage
Ça faisait déjà deux ou trois week-end qu’on s’ennuyait ferme dans notre club préféré avec Marina. En fait on connaissait maintenant tout le monde, surtout les hommes et on commençait à avoir envie de chair fraîche et inconnue. Il n’y avait plus cet d’effet de surprise, ce frétillement de l’épiderme qui pouvait nous rendre chiennes en un clin d’œil.
Lors d’une soirée bien arrosée à la maison, on a passé en revue tous les endroits qui pourraient nous redonner cette voracité sexuelle qui dormait en nous. Moi même je n’avais pas sucé ni été prise depuis deux semaines…ça commençait à faire long !
Alors que nous faisions la liste de nos envies, Marina eu cette idée géniale :
« Tu sais ce que c’est le mieux, en vrai ? »
« Non…dis moi »
« Un hôtel avec des représentants, commerciaux, V.R.P. Que des hommes mariés en déplacement, qui passent leurs soirées à se branler sur leur téléphone en attendant de rejoindre bobone »
« Pas con, ça ! »
« Tu nous imagines débarquer la-dedans habillées en bourgeoises, les muqueuses luisantes, le décolleté en gorge profonde ? »
« En putes, quoi »
« C’est ça…mais en putes de luxe ! »
« Faut oublier le Formule 1 alors, il faut trouver un hôtel un peu chic »
« J’en connais un »
Effectivement, son ex était patron d’une petite boite de réalisation vidéo et avait fréquenté ce genre d’endroit lors de ses voyages professionnels.
« et il est pas loin en plus, Bordeaux nord… »
Oh putain, je sentais l’envie de baiser monter dans mes reins, inévitablement. Dommage que Marina n’est pas bi, sinon je lui sautais dessus.
« On se prépare ? »
On bondit du canapé en courant dans l’escalier à qui serait la première dans la salle de bains pour la séance maquillage/habillage.
Pendant une heure de fous rires on a dépouillé toute ma lingerie pour se faire plus salopes que jamais. Marina a choisi un ensemble guêpière-string-porte-jarretelles rouge vif et moi un soutif tétons apparents avec un joli tanga noir. Elle est superbe Marina, une vraie déesse du sexe, je ne me lasse pas d’admirer son corps de latine….
Rouge à lèvres, robes moulantes, talons, accessoires….et nous sommes prêtes !
« tu es sûre que tu peux conduire ? »
Marina hausse les sourcils.
« Mais oui, je conduis encore mieux quand je suis bourrée… »
« Alors c’est parti ! »
Oops, je me rends compte que j’oublie un détail important. Je file au bureau chercher dans un tiroir le joint que j’avais préparé pour ce soir avant d’aller dormir.
On monte dans la superbe Fiat 500 bicolore de Marina, fières de nous, et surtout émoustillées par la tournure que la soirée a finalement prise.
J’allume le joint et nous le faisons tourner entre nous sagement mais surement, sans le finir.
« Faut pas qu’on croise les flics, maintenant »
« T’inquiète, on les suce et ils nous laisseront passer… »
Toujours réponse à tout celle-là. Au moins je sens qu’elle en veut autant que moi ce soir de la bonne bite inconnue. J’espère qu’il y aura du choix.
19h34
On arrive devant l’hôtel à l’heure de l’apéro. C’est chic, un peu sombre comme j’aime, le bar est loundge, avec des teintes rouges…un vrai lupanar !
Effectivement quelques hommes seuls et encravatés prennent un drink le smartphone à la main. Ils sont plutôt jeunes et slims, la trentaine environ, genre jeunes cadres de start up numérique.
Quand on va s’assoir sur une banquette libre, des têtes se redressent, des jolis sourires nous accueillent poliment.
Un groupe de trois mâles assis en face de nous nous dévisagent plus longuement. Ils puent le cul. Ça tombe bien, nous aussi !
On regarde leurs mains gauches…ils ont tous des alliances, ce qui nous excite encore davantage.
Le plus grand des trois l’a senti, il retire discrètement la sienne et la met dans la poche de son veston. S’il savait que ça nous fait encore plus mouiller de savoir qu’ils trompent leurs femmes au foyer. Au moins ses intentions sont claires. D’ailleurs il se lève et s’approche de nous. Allez vas-y mon grand, envoie ton discours de fin d’année, le jury t’écoute attentivement.
« Bonsoir »
« Bonsoir X 2»
« Je peux vous offrir un verre ? »
Ses mains sont magnifiques, j’en frémis, il est beau gosse lui-même et semble d’une bonne éducation. Charmeur en plus.
« Oui X 2 »
« Qu’est-ce que vous prenez ? »
J’ai failli répondre « Du foutre ! » à la volée mais j’ai réussi à me retenir de justesse.
Il commande trois Martini blancs et vient s’assoir à notre table.
« Vous êtes en déplacement ?»
Marina décide de jouer un peu avec lui pour voir s’il a du répondant.
« Oui, on est cheffes d’entreprise »
« Dans quel secteur »
«La production vidéo»
«Des reportages ? »
« Oui ! » répondis-je
« Sur quoi ? »
Je sors alors mon Iphone, me connecte sur mon profil Xhamster et lui fourre « Marina se régale » sous les yeux pour voir sa réaction.
« Waouh »
Il n’en perd pas une miette, me retire le smartphone des mains.
« Tu veux en live ? »
« …. »
Il ne répond pas, reste scotché à l’écran.
Marina en profite pour vérifier s’il bande. Elle s’assoit tout prêt de lui et commence à lui caresser la bosse qui pointe dans son caleçon. L’engin est déjà bien dur et semble volumineux. Elle défait la braguette et dégage avec difficulté une magnifique queue de concours.
« On se le suce à deux ? » me dit-elle
« Ok ! »
Pendant qu’il fait le tour de nos vidéos on se lève et on part aux chiottes, il remonte sa braguette et nous suit comme un petit chien, oubliant ses copains à la table qui sont en train de téléphoner à leurs femmes avant d’aller diner.
On va direct chez les hommes, je l’oblige à s’assoir dans la dernière cabine et on se met sans plus attendre à genoux devant lui pour dévorer sa belle queue.
J’ai soif. Marina aussi. C’est la guerre, à qui sera la plus douée pour extraire son jus. On commence chacun son tour pendant qu’il couine fort. Puis on le continue à deux bouches enragées, avides de sperme. Quand je sens qu’il monte en pression définitivement, je pose avec force mes deux mains sur sa tige et enfonce sa grosse queue jusqu’au fond de ma gorge. Marina n’a pas eu le temps de dire ouf et le bellâtre envoie enfin sa purée chaude dans mon estomac en m’appuyant fort sur la tête et en poussant des gloussements de victoire.
Quand j’ai tout bien bu jusqu’à la dernière goutte, Marina me regarde,blasée.
« Salope, tu m’as rien laissé ! »
« T’inquiète, tu t’occuperas des prochains »
J’ai à peine fini ma phrase qu’on entend quelqu’un entrer dans les wc.
Marina me fait « chut » du doigt. On écoute attentivement et on entend une braguette descendre. le gars doit être aux urinoirs. Le bruit d’une giclée de pisse nous le confirme.
Marina sort alors rapidement du cabinet.
« Je peux t’aider à pisser, beau gosse ? » Je jette un œil pendant que mon sucé se demande ce qu’il se passe.
C’est un grand black ! Peut-être le vigile de l’hôtel, on ne l’avait pas vu celui-là. Marine se colle dans son dos et commence à lui caresser les couilles pendant qu’il pisse.
« Hé…. »
Il n’a pas eu le temps de dire ouf mais semble apprécier le traitement. N’importe quel homme se laisserait faire dans ce genre de situation, on le sait par cœur…
« Joli tuyau d’arrosage ! » Je sors la tête pour regarder. Marina le branle doucement pendant qu’il finit d’uriner. Sa queue à demi molle est énorme, au moins 25 centimètres.
Putain c’est jackpot ce soir ! Nos deux premières victimes sont montés comme des ânes, on a vraiment du bol.
« T’es une sacrée salope toi, tu te planques dans les chiottes des mecs !» et en plus il parle….
Marina ne perd pas son sang froid.
« Tais-toi et baise moi ! »
Elle se tourne, soulève sa robe et lève sa jambe droite pour la poser sur la tablette du lavabo. Il n’a plus qu’à écarter son string pour la fourrer. Bizarrement il prend tout son temps, astique sa queue pour qu’elle soit bien dure pendant que Marina lui tend son cul en le provocant.
« Qu’est-ce tu fous, viens me la mettre ! »
Elle est en rut, je l’adore quand elle est comme ça !
Il s’approche enfin d’elle, la bite tendue comme une bûche
« Les putes blanches comme toi je les encule direct ! Écarte les fesses, tu vas la sentir passer ! »
Marina se penche un peu plus sur le lavabo et ouvre ses fesses avec ses deux mains.
Le grand black récolte un peu de savon mousse au distributeur dont il s’enduit la queue, pose ses grosses mains sur les hanches de ma copine et la pénètre en une seule poussée.
« Haou…..oh putain….c’est bon ! »
Il lui met des grands coups de bite, espacés de quelques secondes, son énorme sexe au fond du cul de Marina qui se cabre sous l’assaut.
Il lui chope alors les épaules avec autorité et accélère son étreinte brutalement, pour lui démonter le trou du cul sans répit.
Marina jouit comme une folle, elle exulte.
« Ah putain….putain c’est bon ! »
J’ai le ventre en feu de la voir se faire enculer. Je repousse le jeune cadre sur son chiotte et recommence à le sucer en entendant Marina jouir de plus belle.
Je l’astique en me masturbant comme une folle et quand je sens son sexe durcir à nouveau dans ma bouche j’ai déjà mon premier orgasme, rien qu’à m’imaginer m’empaler dessus.
Je suce, je crache, j’étale bien toute ma salive sur sa queue qui gonfle encore pendant que j’entends Marina se faire pilonner l’anus. Ça doit la changer de son gode !
Moi aussi j’ai envie de jouir par le cul sans passer par la chatte. Quand mon jeune sucé est parfaitement dur, je me redresse et avant qu’il dise un mot je lui roule une énorme pelle, soulève ma robe, écarte mon string et commence à me tortiller pour essayer de m’empaler sur sa queue.
Surexcité, il pose ses mains sur mes fesses, les écarte bien et commence à pousser lui aussi pour entrer en moi. Quand je sens que son gland est presque dans mon sphincter je m ‘assois de tout mon poids sur sa queue. La sensation est fabuleuse, mes entrailles s’ouvrent comme par magie, pendant quelques secondes je dirige le mouvement pour en profiter pleinement , je fais pénétrer son gros sexe de plus en plus loin, jusqu’à toucher ses couilles, et je sens déjà un deuxième orgasme monter dans le feu de mon ventre. Mon jeune bandeur prends alors les choses en mains et m’enfile des coups de bassin dévastateurs, sans dire un mot, comme un métronome, de plus en plus vite et me fait exploser le cul de bonheur dans un orgasme d’une v******e incroyable. C’est à peine si mes cris couvrent les hurlements de Marina dans la pièce à coté tellement nous jouissons toutes les deux dans le vacarme des wc qui résonnent.
Je déloge la queue de mon partenaire dont je ne connais même pas le prénom pour la reprendre en bouche et le remercier de m’avoir si bien fait jouir. Marina est encore en train de se faire pilonner à coté, elle gémit fort, pleure presque de plaisir.
Sentant que mon jeune bandeur va jouir pour la deuxième fois dans ma bouche, je le regarde bien dans les yeux et commence à lui parler tout en le suçant.
« Mmmm…. elle est bonne ta queue…shhh….ta grosse queue bien juteuse….shlurp….tu vas jouir encore dans ma bouche….mmmmm… shhh….hein ? … tu vas balancer la purée….mmmmm…. hein ? ….allez vas-y, lache tout, j’ai soif…. »
Il n’en peut plus, écrase ma tête sur sa tige prête à exploser et son foutre jaillit par saccades dans ma gorge chaude. Sa jouissance est longue, délicieuse, je n’avale pas tout d’un coup mais garde son sperme en bouche pour jouer un peu avec, le recracher sur sa queue, le reprendre en bouche, le faire glisser avec ma langue pour mieux le gouter encore, c’est chaud et doux comme de la crème aux œufs, je me régale et le nettoie à fond pendant qu’il halète de plaisir, reprends son souffle.
Les cris se sont tus aux lavabos. J’entends juste le black donner les consignes.
« Voilà…comme ça…lèche mes couilles maintenant…. »
J’ouvre la porte de la cabine et je vois Marina à genoux en train de pomper docilement le grand black pendant qu’un autre mec filme la scène avec son Iphone. Je me cache un peu pour ne pas être filmée mais continue à mater le gros pieu du vigile aller et venir dans la bouche de ma copine, qui tente en vain de lui faire une gorge profonde jusqu’à s’en étouffer. Il va falloir que je lui apprenne la technique un jour…
« T’étouffe pas chérie, le meilleur est à venir…tu veux du jus ? »
« Oui…. »
« Tu vas bien tout avaler mon foutre ? »
« Oui… »
« Plus fort ! » Il lui tire carrément les cheveux
« Oui…OUI ! »
« Réclame ! »
« …Donne le moi…donne moi ton foutre, j’aime ça…donne moi tout !!! »
Il reprend sa queue en main pour se finir
« Ouvre ta bouche de petite pute blanche !!! Sors ta langue de pute à blacks !!! AAAHHHHH »
Elle est magnifique, à genoux devant les urinoirs, la bouche grande ouverte, la langue pendante devant son étalon et sa grosse branche d’ébène, le rouge à lèvres qui déborde de partout pendant qu’il éjacule comme un taureau, lui en foutant plein la bouche, plein le visage, la barbouille, lui fait nettoyer sa queue comme une petite chienne affamée qui lape son bol de lait, n’en perd pas une goutte.
Il faut absolument que je récupère cette vidéo ! Je sors de la cabine au grand étonnement du nouveau venu, qui filme encore en gros plan.
« Arrête de filmer ! » Je baisse son téléphone d’une main autoritaire.
« Q…Quoi ? »
« Arrête de filmer et donne moi cette vidéo ! »
« Mais…. c’est MON téléphone !»
Voyant que la partie n’est pas gagnée je tente de négocier
« Donne moi ton téléphone et je te suce »
Le grand black en profite pour ce casser, il doit certainement reprendre son poste, lui qui était juste venu pour pisser.
Marina s’en mêle
« Donne ton téléphone et t’auras la plus belle pipe de ta vie, tu peux me faire confiance »
J’en profite pour me mettre à genoux et dégrafer son pantalon.
Je sors sa jolie petite queue qui est tendue à bloc et le branle en suivant.
Marina insiste :
« Donne… »
Je le prends en bouche en lui caressant les couilles que je sens bien pleines et au bout de 20 secondes de pipe énergique il se vide sur ma langue en couinant et surtout en lâchant son téléphone dans la main de Marina.
« Merci »
Il sort presque en courant des wc, nous laissant son Iphone sans batailler.
Opération accomplie, on va pouvoir récupérer le film.
Le jeune cadre sort à peine de sa cabine, un peu étourdi.
« Je…je vous invite à manger ? »
On est déjà en train de se rhabiller correctement et de faire un brin de toilette sur nos visages souillés. On se remaquille vite fait et on le suit au restaurant de l’hôtel.
Le bar est vide, tout le monde est parti diner. Marina se déhanche et adopte sa démarche panthère en parcourant la salle de restaurant. Tous les mecs la matent attentivement, reluquant son cul bombé.
On s’assoit à une table en coin et qui arrive pour prendre la commande ? Le grand black qui a défoncé le cul de Marina dans les chiottes….
Il s’approche de notre table, comme s’il ne nous avait jamais vus.
« Bonsoir Messieurs dames, vous désirez ? »
On commande une salade et de la viande en plat principal et notre beau black pilonneur de bourgeoises blanches repart sans un mot s’installer derrière le comptoir.
Moi aussi j’en veux du black macho bien membré ! L’occasion est trop belle, je vais voir si on ne pourrait pas avoir un peu de rab. Je me lève et vais au bar lui parler.
« Dis donc baby t’aurais pas des copains comme toi, ou des cousins qui voudraient s’amuser avec nous ?J’ai tellement besoin d’affection ce soir… »
Son regard change. Il reprend son air dominateur et sûr de lui.
« Donne moi ton numéro et je te promets que tu vas avoir toute la tendresse que tu mérites » Il me tend un petit bloc-note sur lequel j’écris mon téléphone et je repars m’assoir sans rien dire à Marina.
Le repas est bizarrement calme, notre jeune cadre commence même à bailler et ne raconte pas grand chose d’intéressant. J’ai posé mon Iphone à coté de moi et je scrute l’entrée pour voir s’il se passe quelque chose. Rien.
Au moment du dessert enfin mon téléphone vibre et je reçois un message.
« Chambre 310, dans 5 minutes »
Putain je sens ma chatte qui dégouline déjà….j’ai faim de bites comme jamais.
J’avale mon dessert vite fait et je fais un petit clin d’œil à Marina.
Je murmure.
« Suis moi »
On se lève toutes les deux presque en même temps et on prend l’ascenseur pour le troisième étage.
« Louise, on va où ? »
« Surprise »
On descend et je m’avance dans le couloir pour trouver la 310, elle est tout au fond. J’ai déjà le goût du sperme qui revient en bouche…
Je respire un grand coup et j’ouvre la porte.
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