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Que du bonheur.

Que du bonheur.



Ce matin-là, en montant dans le train, je ne savais pas vraiment ce qui m’attendait. J’allais enfin pouvoir mettre un visage sur Blandine rencontrée quelques mois plus tôt sur internet. Tous les soirs, nous nous retrouvions pour discuter sur un tchat et puis un jour, je lui ai donné mon numéro. Elle m’a appelé le soir même et nous sommes restées des heures au téléphone. Elle me téléphonait régulièrement parfois juste pour entendre ma voix elle disait que je l’apaisais. D’un comme un accord, nous n’avons pas échangé de photos afin de garder une part de mystère. Nous n’avons jamais fait l’amour par téléphone comme si, cet acte devait se dérouler uniquement en réel. C’est moi, qui est pris la décision d’aller la voir profitant de quelques jours de congés qu’il me restait à prendre. C’est ainsi que je me suis retrouvée dans ce train en partance pour Toulouse. J’ai passé le trajet dans l’angoisse de ne pas lui plaire. Etrangement, je savais que je la trouverais belle, j’avais déjà envie d’elle. J’imaginais son corps nu sur lequel je promulguerais des caresses sensuelles. J’imaginais son abricot que je gouterais avec délectation. J’imaginais ses seins qu’elle disait petits je m’en moquais, je voulais les admirer, les toucher, les embrasser. ..

Après ce qui me sembla être une éternité, le train entra enfin en gare de Toulouse. Je l’ai reconnu tout de suite dans le hall d’arrivée. Nos regards se sont croisés et nous avons su. Elle était belle, jeune, insouciante j’aurais voulu lui faire l’amour tout de suite. Le trajet en voiture a été assez silencieux ce n’est qu’une fois chez elle que nous avons commencé à nous détendre. Nous avons discuté de tout et de rien autour d’un verre puis, elle a cherché un restaurant pour le soir. Pendant qu’elle consultait les pages jaunes, je regardais le jardin debout devant la porte fenêtre puis, n’y tenant plus, je me suis dirigée vers elle.

– Je vais t’embrasser

J’ai pris son visage dans mes mains et nos lèvres se sont rencontrées. J’ai caressé ses cheveux, sa nuque et je l’ai invité à se lever de sa chaise. Doucement, j’ai posé mes mains sur sa taille et à nouveau, je l’ai embrassé. J’ai rapproché son corps du mien elle m’excitait terriblement. Elle a posé sa tête sur mon épaule et m’a murmurée :

– J’avais peur de ne pas te plaire.

– Tu es si belle, comment pourrais- tu ne pas me plaire ?

J’ai déposé un baiser sur ses cheveux tout en la serrant encore plus contre moi. Je savourais ce moment. Je me sentais bien quand, on a frappé à la porte.

-Merde, mon voisin il vient certainement pour l’apéro.

Elle a ouvert et son voisin lui a dit que lui et sa femme l’attendait. Cinq minutes plus tard, nous étions chez ses voisins. Ils parlaient mais je n’écoutais pas. A ce moment précis, je voulais simplement reprendre ma belle dans mes bras, la déshabiller doucement, embrasser chaque parcelle de son corps avant d’aller découvrir son jardin des plaisirs. Je voulais entendre ses gémissements dans l’étreinte, je voulais voir son regard dans l’extase, je voulais la sentir brûlante mais j’étais là, dans ce jardin avec 2 vieux qui n’en finissait plus de parler. Nos regards plein de désirs se croisaient sans cesse et c’est Blandine prétextant ma fatigue qui a fini par mettre fin à ce supplice. A peine la porte fermée, je l’ai embrassé avec fougue je n’y tenais plus. J’ai retiré son t-shirt. Elle portait un soutien-gorge en coton blanc j’ai caressé ses seins à travers le tissu avant de passer mes mains dedans. J’ai fini par le dégrafer pour mieux profiter de ses deux monticules. Ses mamelons rosés étaient une invitation à la gourmandise. J’ai régalé mes lèvres de la saveur de ces deux charmes qui n’en finissaient pas de pointer tandis qu’elle ne cessait de répéter mon prénom. Je l’ai prise par la main pour l’assoir sur le canapé. Je lui ai retiré son pantalon puis, j’ai écarté ses jambes. Elle était maintenant en culotte et je crevais d’envie de lui enlever. J’ai caressé ses cuisses avant de les écarter légèrement puis, j’ai soulevé son bassin afin de pouvoir lui ôter sa culotte. Son corps nu devant moi devenait synonyme d’une tentation à laquelle il était difficile de ne pas céder. Cette femme que j’avais imaginée pendant de si longues semaines était là, nue et accueillante et cette vision provoquait en moi une excitation indescriptible. J’ai posé ma main sur son sexe et j’ai pu sentir à quel point elle mouillait. Avec mes doigts, j’ai exploré son recoin d’amour tout en agaçant son bouton avec ma langue. Elle se cambrait, gémissait, son abandon était total. Je pouvais entendre sa respiration qui se faisait de plus en plus haletante puis, j’ai entendu qu’elle déjetait son âme. J’étais toujours habillée alors, les rôles se sont inversés. Un par un, elle a déboutonné les boutons de ma robe qu’elle a ensuite fait glisser sur mes épaules puis, elle a retiré mon soutien-gorge et ma culotte. Avec sa langue, elle a agacé mes mamelons qui n’en finissaient pas de durcir. Je me suis installée sur elle, de manière à ce que nos deux sanctuaires se rencontrent. J’allais et venais tandis qu’elle continuait à exciter mes pointes avec sa langue. En cet instant, plus rien au monde que la rencontre de nos deux corps n’avait d’importance elle devenait mon âme et nous entrions en béatitude. Après l’amour, nous sommes allées prendre une douche. Mutuellement, nous nous sommes savonnées et de nouveau, j’ai désiré ses seins, son sexe. Après l’avoir rincé, je l’ai plaqué contre le mur j’ai écarté ses jambes puis, je me suis mises à genoux. Du bout des doigts, j’ai caressé son intimité avant d’ouvrir ses lèvres afin de pouvoir la gamahucher avec plus d’aisance. A son tour, après la jouissance, elle est venue me goûter. Le contact de sa langue sur mon amande a eu raison de moi. Malgré mes efforts pour me dérober à la jouissance, j’ai rapidement cédé à me laisser aller à ce cri de plaisir.

Elle a insisté pour préparer elle-même le dîner. Tandis qu’elle s’affairait en cuisine, je l’observais. Je la voulais encore. Durant le repas, nous avons partagés quelques pans de notre vie. Au moment où elle a évoqué sa dernière liaison avec une femme, j’ai ressentie une pointe de jalousie.

Nous sommes allées nous coucher mais ni l’une ni l’autre ne voulions dormir. Elle a posé sa tête sur ma poitrine et tandis que je lui caressai les cheveux, elle a joué de la langue avec mes boutons d’amour. J’ai senti une main descendre le long de mon ventre pour finir entre mes cuisses. Le désir brûlait en nous j’aurais voulu être un homme pour entrer en elle profondément. Je lui ai demandé de se retourner. Elle m’a offert son cul et son con et nous nous sommes abandonnées l’une à l’autre.

Durant ces 3 jours, nous ne sommes pas sorties. Le temps était compté nous avons profité du plaisir de la chair jusqu’à la fin. Mon départ fut douloureux mais plein de promesses. 1 mois après, elle venait sur Paris.

Elle m’attendait à une station de métro elle était telle que je l’avais laissé. Nous nous sommes embrassées et je l’ai emmené au bureau. Une fois la porte fermée, je l’ai serré contre moi. J’ai passé ma main sous sa jupe et très vite, j’ai pu accéder à sa vallée d’amour. J’ai mis un doigt à l’intérieur pendant de longues minutes, et quand j’ai senti qu’elle pourrait jouir, je l’ai retiré pour le porter à ma bouche afin de goûter sa cyprine. J’ai remis mon doigt et avec mon pouce, j’ai asticoté son clitoris. N’importe qui pouvait entrer mais je me moquais de ça. Je la désirai. J’ai soulevé sa jupe pour mieux patiner la perle et plonger ma langue dans son calice.

Deux jours plus tard, nous nous retrouvions pour une soirée. Il n’a pas fallu longtemps pour que nous nous échappions en toute discrétion. La grande demeure dans laquelle se déroulait la soirée se trouvait entouré d’un immense parc. Nous avons rapidement trouvé un banc à l’abri des regards. Je me suis assise sur le banc et elle a pris place sur mes genoux entourant ma taille avec ses jambes. Elle ne portait pas de soutien-gorge alors, j’ai fait glisser les bretelles de sa robe sur ses épaules pour découvrir ses seins qui pointaient vers le ciel. Elle a offert ses seins à ma bouche je m’en suis délectée. Tandis que ma bouche profitait de ses seins, elle a glissé une main sous mon t-shirt pour jouer avec mes mamelons. Elle s’est relevée pour retirer ma culotte et j’ai enlevé la sienne. Elle s’est remise sur moi et à nouveau, nos roses se sont rencontrées. Nous avons atteint le jubilé ensemble dans la douceur d’une nuit étoilée.

Après cette soirée, nous avons eu plusieurs rencontres mais trop brèves pour la rencontre de nos corps. Plus tard, Blandine m’a envoyé des lettres d’amour et puis un jour, la distance nous a définitivement séparée.

Tu ne t’appelles pas Blandine, je ne suis pas allée à Toulouse. Je te garde un peu secrète toi, la femme dont j’ai en mémoire chaque parcelle de ton corps et le goût sucrée de la cyprine.

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