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Cocu story – 2 –

Cocu story – 2 –



Pierre Perron a découvert que sa femme Claire le trompait avec Marc son meilleur ami. Il vient juste de sortir de l’hôpital pour emménager chez Claude son associé, et Marie son épouse.

La nuit qui a suivi mon départ de l’hôpital a été agitée.
J’ai rêvé, cauchemardé.
Je voyais Marc se faire sucer par Claire qui prenait plaisir à avaler sa grosse queue jusqu’à avoir le nez dans ses poils pubiens. Il tirait sa tignasse blonde pour imprimer son rythme , se servant de sa bouche comme un vulgaire masturbateur et elle, elle l’encourageait, lui disant qu’elle était sa chose, sa pute.
Il la prenait ensuite sans ménagement, alternant des aller et retours dans son vagin et son cul, la sodomisant avec vigueur tout en l’insultant copieusement.
Tu es une belle salope, t’aime te faire enculer comme une chienne.
Oui, vas y continue
Ses mains frappaient son postérieur jusqu’à les faire rougir.
Ton cocu de mari ne t’a jamais baisé comme moi
Non, ta queue est meilleure que la sienne, fais moi hurler de plaisir
Il lui triturait les seins jusqu’à lui arracher des cris de souffrance qui se mêlaient à ceux de son plaisir.
Je vais te faire prendre par des copains, tu les suceras jusqu’à ce qu’ils t’inondent le visage.
Oui, fais de moi ta pute, demande moi de faire le trottoir pour toi
Et il jouissait dans sa bouche, l’étouffant à moitié sous des torrents de sperme qui dégoulinaient sur sa poitrine.
Je me réveillais alors en sursaut, le coeur battant à mille à l’heure, le corps en sueur.

Le lendemain , ma première visite est pour Mathilde.
Mathilde, la femme de Marc , est adorable. A tous les sens du terme…
C’est une amie d’enfance et c’est d’ailleurs moi qui lui ai présenté son futur mari.
Je dois bien avouer que j’ai toujours eu un faible pour elle.
Non, soyons francs, j’ai toujours eu le béguin pour elle, un bon gros béguin.
Il faut dire qu’elle est belle.
Presque aussi grande que moi, ses cheveux châtains très clair encadrent un visage au teint mat qui fait ressortir deux grands yeux verts.
Sa silhouette s’est certes arrondie aux fil des ans mais elle demeure svelte et gracieuse.
Toujours soignée, vêtue avec gout , elle fait se retourner bien des regards sur son passage.
Je ne lui en jamais avoué mes sentiments, je n’ai jamais osé tenter ma chance.
Je suis sur qu’elle s’est toujours doutée de mes pensées. Un temps, j’ai même cru qu’elle les partageait, et puis voilà, j’ai rencontré Claire, Mathilde était avec Marc.

Lorsque je sonne à l’entrée de leur villa, j’ai un gros pincement au coeur. Je sais que je vais lui faire du mal, elle aura de la peine, pleurera , surement, mais je me dois de tout lui dire.

Un sourire illumine son visage quand elle me voit en ouvrant sa porte. Elle se jette à mon cou pour m’embrasser , je sens sa poitrine ferme contre la mienne et je ne peux m’empêcher de ressentir l’habituel trouble que j’ai toujours eu en sa présence.

Je suis trop contente de te voir. Ou donc étais tu passé ?
Tu me fais un café ?
Bien sur, entre donc, je vais appeler Marc pour lui dire que tu es là.
Je ne crois pas que ce soit une bonne idée.

Sa mine s’assombrit, des rides d’inquiétude viennent se dessiner entre ses sourcils
Je vais t’expliquer…
Elle me prépare le café en silence et s’installe face à moi.
Mille fois, pendant la nuit, j’ai répété mon discours et pourtant là, maintenant, devant elle, je me sens gauche, emprunté.
Ce que j’ai à te dire n’est pas facile, ne m’en veux pas mais je préfère que tu l’apprennes par moi plutôt que par une « âme charitable ».
Tu m’inquiètes, je suppose que c’est lié à Marc, il me trompe c’est ça ?
Oui. Lui et Claire sont amants.
Non, c’est impossible. Qui a bien pu te raconter une ânerie pareille ? Ton meilleur ami et ta femme ? Je n’y crois pas une seconde.

Et de lui raconter ce qui m’est arrivé ces derniers jours…

Quel connard !! Je savais bien qu’il avait des aventures, depuis longtemps ! Il pense avec sa queue cet imbécile ! De là à fricoter avec Claire… C’est comme si ..
Et elle s’interrompt , ses joues rosissent, trahissant sa pensée.
Je ne veux pas la mettre davantage dans l’embarras mais je sais … Et elle sait que je sais .. !!
Un ange passe…
Je sens sa colère monter, c’est comme si je pouvais suivre le cheminement de ses pensées à travers les expressions de son visage. La tristesse, la déception ont fait place à la rancoeur, au ressentiment et à une froide détermination.

Elle est la première à rompre le silence
Tu vis ou en ce moment ?
Je suis chez Claude , juste pour quelques jours, je vais me chercher un appartement.
Tu vas faire quoi ?
Pour Claire ?
Oui.
C’est fini. Chaque fois que j’y pense je revois la scène , je ré entends les sons, les mots. Et toi ?
Moi, c’est trés simple: ce soir ton ex ami sera mon ex mari. Je suis chez moi, il dégage.

C’est en effet sa maison natale. Fille unique , ses parents immensément aisés lui ont laissé une petite fortune.
Jamais elle n’en parle, jamais elle n’a fait étalage de sa richesse, vivant confortablement mais sans ostentation.
En femme intelligente et avisée, elle a su faire fructifier ses avoirs.
A quel point, je ne sais pas mais, m’ayant fait confiance pour en placer une petite partie, j’ai une idée sur la question.

Un long moment de silence pesant s’installe. Chacun a le nez plongé dans sa tasse.

Que dirais tu de venir t’installer ici le temps que tu voudras ?
Sa proposition me surprend et me plonge dans l’embarras.
On se tiendra compagnie, j’en aurai besoin et toi aussi..
Tu es sure que je ne vais pas te déranger ? Ca ne va pas faire bizarre ? Que vont penser les gens ?
On s’en fout non ?
Oui, tu as raison, on s’en fout !!

Un mois s’est écoulé depuis cette scène, un mois pénible psychologiquement.
Entre les pleurs, les supplications, les explications vaseuses de Claire , la stupéfaction de notre fille quand, et il a bien fallu, je lui ai tout raconté et les excuses de Marc du bout des lèvres.

Il croyait au pardon de Mathilde, il est tombé de haut.
Elle l’a traité de manière froide, distante et quand il a voulu se faire pardonner, croyant la manipuler par des promesses accompagnées de fleurs et de bijoux, la réponse a été cinglante, méprisante, sans appel.

De mon ancienne adresse j’ai vidé tous mes biens personnels et me suis installé chez elle, provisoirement, en attendant.
J’y suis bien.
Elle prend soin de moi, je veille sur elle.
J’aime la regarder le matin, prendre son café dans la cuisine, vêtue d’un long tee shirt qu’elle porte pour dormir. Ses jambes découvertes , soignées, galbées me donnent le sourire.
J’aime me pencher vers elle, lui donner un chaste baiser, nos lèvres proches, pour lui souhaiter une bonne journée.
J’aime la regarder sortir de la douche quand nous revenons de notre footing, son peignoir entre ouvert laissant apparaitre les prémices de ses siens, ses cheveux frisés encore mouillés.

Mon envie d’elle, de la serrer contre moi, de l’embrasser, de lui faire l’amour croit de jour en jours.
Je l’imagine un soir faisant le premier pas, se serrant contre moi, prenant ma tête pour la pencher vers moi, nos bouches se joignant en un baiser passionné.
Je me figure la prenant alors dans mes bras, l’entrainant dans sa chambre, la couchant sur son lit.
Son sourire m’invitant à poursuivre je défais un à un les boutons de son chemisier, dégrafant son soutien gorge, me plongeant dans ses rondeurs.
Je me vois faire glisser sa jupe, arracher fébrilement ses dessous , gouter à ses saveurs intimes lui arrachant des cris de plaisir.
Je rêve de plonger dans ses chairs complaisantes , nos coeurs et nos corps à l’unisson, notre passion l’un pour l’autre éclatant au grand jour.

Mais je rêve…

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